Poèmes et écriture

Passager, as-tu choisis ta destination ? Laisse toi porter par l'océan Passe le détroit de Magellan Découvre de nouveaux horizons Embarqué sur une blanche caravelle Vers des terres nouvelles Ou préfères tu le fond des mers ? Fourmillant de mille curiosités, Et peuplé de nouveau dangers Jonché d'épave et de trésors Trace des ancien conquistador. Mais peut-être aime tu mieux les airs ? Dans ce cas, élève toi en montgolfière Cheminant enter les nuages Et admirant le monde d'en haut, Tu le verras sûrement plus sage. Mais peut importe le voyage, Tu reviendras riche de souvenirs, Sources inépuisable de plaisirs.
Cette nuit là, je contemplais, Assise au bord d'une rivière, Baignée d'une douce lumière, Du ciel noir, l'intensité. Cette nuit là, j'étais bercée, Par le bruissement de l'eau Troublée par la nage d'oiseaux, Indifférents à mes pensées. Cette nuit là, j'étais éblouie Par ces étoiles innombrables Dans cet univers insondable, Sous cette voûte infinie. Cette nuit là, je percevais A quel point nous sommes petits. O étoiles ! Combien de vies Pouvez-vous me raconter ? Cette nuit là, je rêvais d'éternité. Je voulais arrêter le temps Faire qu'à jamais dure l'instant, Fixer pour toujours la beauté.
J²'ai écris cela il y a quelques temps qu'en pensez vous ? Sourire est autant important que de manger ou boire . Un sourire exprime tant de choses , un sourire cache la tristesse. Le sourire est comme du maquillage , il sert à cacher mais aussi à embellir qui nous sommes. Un sourire est très significatif pour certaines personnes. Mais un sourire ne veut pas forcément dire que nous sommes heureux . Certaines personnes ne se posent même plus la question s'ils sont heureux. Un sourire peut signifier qu'à ce moment là une personne est ou a été heureuse . Mais derrière un sourire peut se cacher une personne blessée. Le sourire est une bonne façon de cacher ses émotions , d'être faux , d'enlever les doutes des autres sur ce que nous...
Elle a peur, Elle a peur de ne pas vivre, Elle a peur de ne pas avoir d’avenir, Elle a peur de ne pas pouvoir survivre, Elle a peur de devenir un souvenir, Elle a peur du mot « partir ». (Très court oui).
Paralysie nocturne… Lors de ces instant effrayants, Une ombre s’approche lentement. Sombre, estompée… Cet aura de tristesse, sentiment scellé. Paralysée, je ne peux me cacher… En proie à tout ces souvenirs effacés, Bruissement incessant, De cette ombre qui se rapproche à pas lent. Entraînée dans ces souvenirs abyssales.. Perdue dans le froid hivernal. Paralysée, je ne peux bouger. Plus d’espoir d’y échapper… Des cris résonnent dans mon esprit, Des coups à présent accomplis… Coincée dans ces pensées, L’ombre continuera de m’effrayer… __________________________________ Je m’excuse d’avance si il y a quelques fautes d’orthographe…
Les pas s'éloignent Non, non je t'en supplie ma Mère, Vient, vient me faire lever, Vient ouvrir mes volets et me murmurer des mots doux, Vient m'arracher de cet Enfer de mon lit, Vient m'arracher de mon esprit embrumé, De la lourdeur de mes jambes, De la faim de mon ventre. Vient, vient je t'en supplie, Je n'en peut plus d'être allongée ainsi, Me tournant et me retournant dans mes draps, Fixant le plafond d'un regard si vide. J'essaie de m'endormir, de m'échapper de cette sensation si étrange. De cet douleur qui tambourine mes tempes. Mais rien n'y fait, mon esprit ne veux pas se calmer. Vient donc, je t'en supplie, Arrache moi de la solitude de ma chambre, Arrache moi de ce matelas qui me retient de partir. Ainsi allongée sur le...
Destin Rosario Castellanos Nous tuons ce que nous aimons. Le reste n'a jamais vécu. Personne n'est si proche. Un oubli, une absence, parfois moins, ne blesse personne d'autre. Nous tuons ce que nous aimons. Que cesse maintenant cette asphyxie de respirer du poumon d'autrui! Il n'y a pas assez d'air pour deux. Et la terre ne suffit pas pour les corps réunis et la ration d'espérance est petite et la douleur ne se partage pas. L'homme est animal de solitudes, cerf blessé d'une flèche au flanc qui fuit et se vide de son sang. Ah, mais la haine, sa fixité insomniaque de pupilles de verre; son attitude à la fois repos et menace. Le cerf va s'abreuver et dans l'eau apparait le reflet d'un tigre. Le cerf boit et l'eau et l'image. Il...
Dans cette pièce où il fait noir, J'ai stupidement posé le pied, La porte claque, il est trop tard, Sur moi le piège s'est refermé. Comment ai-je pu en venir là ? Je voudrais faire demi-tour, Chasser la trace du faux pas, Qui de mon cœur balaie le jour, Dans cette pièce où il fait noir, J'essaie de trouver la lumière, Et lorsque viennent les idées noires, Je pense à toi et il fait clair.
Et j'étais là Planquée entre les nuages Dans le noir Dans le froid Grelotante Sous les étoiles je ne suis pas née Sous les étoiles je resterai Et sous ton charme je resterai Je ne pars pas Je ne laisse pas rien Ce n'est qu'un au revoir on se reverra Tout la haut dans les étoiles
La ville respire. Son souffle caresse tes cheveux, tes courbes légères. Ta peau, recouverte de mille éclats de soleil, m'attire. Je suis à toi. La nature te sublime de la tête aux pieds. Le ciel, clair, t'éclaire et quand je te vois, mon cœur éclate en morceaux de verres colorés. Brisé.
Enfant. Mon chère enfant. Toi qui arrive, innocent dans ce triste univers, laisse moi te prévenir. Laisse-moi te prévenir de la cruauté de ce monde. De la brutalité de ceux qui le peuple. Écoute moi enfant, écoute moi, c’est important. Car tu dois être près à affronter tout cela. Tu dois être prêt à te battre, pour toi, et pour les autres, ceux qui le méritent. Il y en a peu, qui méritent que tu te sacrifies pour eux, mais il y en a. Et tu les trouveras un jour…Mais ne te trompe pas! Bats toi seulement pour les bonnes personnes, celles qui en valent la peine. Tu dois savoir dire “non”. Ces trois lettres là, apprend les, utilise-les sans limites, et ne les oublies jamais. Si l’on te force, refuse, si tu n'es pas d’accord, contredis...
L'aiguille s'enfonce dans ma peau, me transperce, force ma chair et mes veines, creuse un trou dans mon corps. Le sang coule. Je regarde cette petite pointe argentée qui a percée mon bras. -Qui es-tu ? Demandais-je. L'aiguille ne répond pas. Le sang continue de couler le long de ma peau. - Qui es-tu ?! Silence. J'entends mon souffle saccadé résonner dans mes oreilles. -QUI ES-TU ? hurlai-je, les larmes me montant aux yeux, le gouffre du silence me compressant les tempes. Puis soudainement, je la sens. Elle grandit dans ma main, se transforme, se tend et se distord. Et, peu a peu, elle devient la silhouette argentée de toutes les personnes qui m'ont abandonné. Une par une. Année par année. Fil par fil. Elles m'ont décousue lentement...
Dans ce champs de fleur, Je laisserai évacuer tout mes pleurs… Et quand viendra le soir… Je laisserai enfin s’effacer ma mémoire. Peu à peu, j’aurais des vertiges, De ces souvenirs, ne resterons que vestiges… Dans ce champs de fleur, Je ne compterai plus les heures… Car tout sera déjà fini, Mon esprit partira avec le douce pluie… J’effleurerais encore une fois ces herbes, Et je me réciterais une dernière fois ce proverbe. "La douleur ne disparaîtra jamais, on apprends juste à vivre avec…" Mais pourtant , tout ce que j’entreprends ce finis par un échec… Je voudrais tellement pouvoir les aider… Ne rien faire me consume peu à peu… Je ne me souviendrai plus de ce lieu, Ce champs, sous le ciel étoilé… __________________________________...
La complexité est telle, que nous n'aurons jamais vraiment la réponse, du ''pourquoi ?". La vie, est-ce que je t'ai dit oui ? M'a t-on seulement demander mon avis ? Si oui, montre moi l'extrait de ce passage, j'en serai ravie. Nous naissons, vivons, avons des émotions, pleurons nos pertes... Sans voir l'alerte, car est-ce que la joie de vivre n'est pas la façon la plus hypocrite de cacher sa peur de vieillir ? Dites moi, allez-y, la réponse se doit d'être là, pour moi, pour toi et nous. C'est dur et complexes, venez parents pour un câlinou. Après tout les adultes ne sont que de grands enfants, le traumatisme nous connaissons, le vivons et le chantons. Tristes histoires, n'est-ce pas les enfants ? Alors, puisque je veux vous protéger...
Qui es tu donc gracieuse créature ? Bondissant dans les vagues et riant aux éclats, Éclaboussant le sable de la mer crépusculaire, Les cheveux mouillés et les yeux scintillants, Les vagues se brisant sur ton corps constellé de sable doré. Qui es tu donc étrange créature ? Toi qui admire le ciel et le doux chant des mouettes, Ton ombre projetée sur la rive blanche, Le regard rivé sur les vagues désormais ondulantes, Tenant dans ta main une poignée de sable blond. Qui es tu donc mélancolique créature ? Elle se tourne vers moi, Et me souris. Je la regarde quelques instants, Puis, sans un signe dans sa direction, Je lui tourne le dos. Qui es tu donc noble créature, pour ainsi oser saluer La Mort ?
Les fleurs ont fané Le soleil s’est couché, Les larmes ont coulé Sur mes joues, par milliers Je vois ton beau visage, Mais ce n’est qu’un mirage, Je vois ton beau sourire, Celui qui me fait souffrir. Sans toi je suis vide Je me sens si stupide.. Je t’ai laissé partir, Je t’ai laissé, sans rien dire.. Alors j’endure ma douleur, Je laisse éclater mes pleurs, Et je garde l’espoir, L’espoir de te revoir.
Une odeur boisée, Me rappelant ce lieu tant détesté.. Forcée d’y retourner chaque année, Dans cette maisonnée, qui m’effraie. Une odeur très spéciale, Dans cette pièce où j’ai mal… Ta chambre, que je dois occuper, Tes propres affaires s’y trouvaient. Tes vieux livres, ta commode. Me rappelant cette période, Tes médicaments, tes écrits, Qui à leur vu ne m’évoquent que tes cris… L’odeur de la montagne, La vision de ces campagnes… Me donnent des vertiges. Pourquoi tout cela m’afflige ? S’il te plaît… J’ai si peur, mais je veux t’aider. Malheureusement, tu m’as oublié… ___________________________________
L’aube sonnait la fin des combats J’avançais péniblement, abandonnant derrière moi Les larmes, le poison et les cris J’errais sur les quais, l’âme meurtrie. Attirée vers le flowerburger endormi une évidence m’appelant amie Sans crainte, j’entre en son sein privé Accueilli par les sourires des surprisiers Je me sais alors protégée, amnésique, Je me perds dans leurs danses hypnotiques Leurs mots poétiques caressent mes maux Qui s’écoulent, laissant la déesse des eaux Abaisser les armes et apaiser la peur Sa peau se déchire et sa mue de fleur L’entraine dans leur bras où je me perds Dans leurs chants joyeux, mes repères Un nouveau battement de cœur vivace, Auprès d’eux, j’oublierais sa trace.
De hauts arbres, bordent ce torrent, Emportant avec lui une rafale de sentiments. Le vent souffle en direction de cette impasse, La lumière laissa à la noirceur sa place… Respiration saccadée, Elle se devait d’y aller, Quittant cette endroit pour s’enfoncer un peu plus en cette forêt. Son cœur blessé, elle se laissa aller. Secouer de spasmes, elle tomba dans l’herbe verte. Une ultime respiration, inerte. Puis plus rien… Ce monde n’étais plus le sien… Cette petite vallée, Ne faisait plus partie de sa réalité…

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