Poèmes et écriture

Voyelles manquantes Est-ce difficile d’écrire une suite de mots où, première des vingt-six lettres ne surgit point? Sûrement, si l’on si prend bien. Ça tourne à un travail plus ardu, Passons au prochains, il sont moins tordus Avec la 9ème des lettres, la tâche est beaucoup plus à notre portée, Malheureusement pour elle, Cette lettre de l’alphabet, N'est pas la plus utilisée des voyelles. La voyelle d’après, est belle et circulaire, Mais elle n'apparaîtra pas dans ces vers. Le poème est bientôt terminé Et la règle est toujours bien respectée L’avant dernière des lettres n’est presque jamais utilisé, Mais elle permet de finir ce poème avec facilité. Est-ce difficile d’écrire une suite de mots où, première des vingt-six...
Accroché à cette falaise, Ce petit chalet n’est pas à son aise. Habité par des âmes néfastes… Là bas, il neige toujours, tel est ce contraste. Il s’est passé tant de mauvaises choses, Le vieux bois préférais oublier ces souvenirs moroses. Plusieurs générations y ont vécu, Accompagnées d’émotion confondues… Cris, hurlements…il est apeuré. Et peine à oublier. Réveil nocturne soudain, Il appréhende, tellement il les craint… Ce chalet a vu passer tant de personnes, D’un air lent et angoissant, le vent fredonne. Il soufflera encore et encore, Dans les montagnes et les forêts noires…
Je suis désolée, Mon cœur commence à geler… Je suis épuisée, Je ne parviens pas à me relever. Elles me rattrapent peu à peu. Je vous promet que j’ai fais de mon mieux. Mais c’est trop tard, Je suis trop loin, je m’égare… Une main m’est tendu, Mais c’est peine perdue… Je suis déjà battue. Ce sentiment inconfortable s’accentue… Je tombe, je chute dans ce ravin… Je suis loin, trop loin… Je ne contrôle plus rien. J’ai très peur de l’obscurité… Mais elle m’a exilée. Je suis désolée…
Cocooning. Il pleut chez moi,le gouttes ruisselent sur les vitres, Assise dans mon lit en tailleur, Coussins moelleux derrière moi, Tasse de thé geimaisha, Ouvrage sur le Moyen-Age,ouvert devant moi, Une gorgée,puis je tourne la page, Une gorgée,une page tournée, Les gouttes de pluie sont en train de tomber, Et ne sont pas prêtes de s' arrêter, Mon chauffage est allumé, Dans mon plaid enveloppée, Je me sens réconfortée, Journée cocooning,bien au chaud dans ma maisonnée.
Solitaire. Introvertie de nature, Quand je suis seule grand bien me fait... Je pense l'avoir toujours été. Personne avec qui parler,je préfère la solitude. Ce n'est que mon opinion,vous pouvez donc la contester, Mais selon moi être seul,permet de se ressourcer. Même quand je suis avec des gens,le monde autour de moi s' évapore,et je reste seule. Solitaire est mon mot préféré,suivi de prêt par rêveuse et enfin par froideur. Je me fiche de votre avis,mais moi je préfère rester seule.
Voyage, tous les jours entre ces pages. Lecture libère, à travers les âges. Je voyage dans ce beau livre… Où mes pensées sont libres. Je relis ce manuscrit, Que tu m’avais donné jadis… Remplis de souvenir douloureux, Mais c’est portant grâce à eux. Chers livres, que chaque jours je peux me reposer. Sortir de cette triste réalité. Je voyage dans ce monde imaginaire. Où tout n’est que bonheur, en ces terres… Mais ce livre, usé par le temps… Ce consume plus rapidement. Il brûlera avec tout son contenu. Il m’avais tant plu…
Quand tu est là. Quand tu est là,tu me rend heureuse, Tu sèche ses larmes sur mes joues et me câline... Quand je tombe tu refait mes lacets... Mon petit coeur est plein de sang, Quand tu là je vais bien tout simplement, Je ne peux pas me passer de toi, Couronne de fleurs,sourire d'antan,ikebana... Je me rappelle t'en avoir fait... Quand tu est là je ris, Quand tu est là je t'embrasse, Quand tu est là je souris, Quand tu est là je te prends dans mes bras, Mais maintenant,tu n'est plus là.... Qui va refaire mes lacets ? Me relever, et m'enlacer ? En cendre,mon petit coeur est brisé...
Suivant le cours de la rivière, Mes pensées vagabondent… Et la culpabilité en moi gronde. Quel espoir éphémère… Le ciel s’assombrit, Tu me l’avais dit. Ces couleurs froides font parties de mon cœur. Et à présent les cieux pleurent… Je m’excuse du mal que j’ai causé. Mais après toutes ces années, Je ne peux être pardonnée… Les flots s’agitent dangereusement. La rivière déborde rapidement. M’emportant avec elle, Et dans un murmure solennel.. Trois mots s’échappent de mes lèvres, "Je vous aime" Peu à peu, mon visage devint blême…
Il est temps que tout s'arrête. Je suis épuisée... Je n'ai même plus la force de pleurer. De crier tout ce qui m'a blessée. Brisée. À mes pieds, tout est noir. Le sol se craquelle sous mon désespoir. Les ombres me tuent. Mains à la gorge, je ne respire plus. Elles murmurent. Mais je n'en suis pas sûre. C'est un boucan infernal. Ça me fait tellement mal. Les voix me hurlent dessus. Elles me tuent. Même les oreilles bouchées... Elles continuent de crier. Alors j'ai cherché. Cherché l'issue pour me sauver. Sans jamais la trouver. Enfouie sous les souvenirs. Des souvenirs à braver. Tout pour me retenir. Bribes démoniaques du passé. Et les ombres commencent à revenir. Chaque jour est un cauchemar. Et le soir... J'ai cherché à m'évader de la...
Insomnie,cause... Il y a 7 ans tu étais là,et maintenant,tu ne l'est plus... Chaque nuit,je pense à toi... Va tu sortir de ma tête ? Va tu arrêter d'envahir mes songes ? J' entends tes cris à tue-tête... Non ! Laissez moi esprits vagabonds... Je dois dormir,et je ne veux pas te rendre triste si je le suis... Je t'en prie,sort de mon esprit avant que je crie.... Je doit étouffer ce stress,je dois noyer cette tristesse... Mais c'est plus fort que moi,je vois ce doux visage... Ton visage... Tu me souris et moi aussi,des fleurs je t'avais cueilli... Et soudain... Non je ne veux plus y penser... Alors,je m'abandonne à Morphée...
Insomnie... Je dors six heures par nuit... Mais pourquoi,me dira-t-on ? Je pense à toi... Soupir...Quand aurais-je fini de pleurer ?Quand vais-je sombrer ? Happée par ma couverture,je regarde mon téléphone... Oh ! Envoûtante lumière bleue... Je voyage,d'https en https... Vais-je bailler,ou bien fermer les yeux ? Privée de sommeil,angoisses existentielles... Me voilà,debout dans mon lit,faisant le vide dans mon esprit... Je pousse une profonde inspiration et je murmure "Insomnie..." Plus forte que moi,de mes larmes noyées, Morphée m'a emportée...
Sur les écrans, surfant sur internet, Juguler cette sombre souffrance Est devenu priorité nette. De l'amour nous faisons des carences. La vie des autres comme massage Pour fuir les problèmes et messages. Enfermé dans l'asile des réseaux, Sans libre arbitre, conscience, pensées, Nous avalons tout, même ce qui est faux, Et l'uniformisation est lancée.
Aujourd'hui, c'est le plus beau jour de ma vie ! Ma maman a quinze ans et elle est très jolie, Mon papa aussi est très beau. Deux petits pieds ont poussé, Ma maman a été interrogée en physique, Et je lui ai tenu compagnie... Ce matin, nous sommes allés voir le médecin. Et il lui a dit que j'allais bientôt naître. Je suis un garçon, mais elle ne le sait pas encore, J'aimerais bien m'appeler Clément ! Maman l'a annoncé à papa, Il lui a dit que c'était impossible, Que je ne devais pas naître, Maman s'est évanouie... Aujourd'hui il y a un très beau soleil, Mais moi je ne le verrai jamais, Car maman a décidé de me tuer... Mais je ne suis plus triste car j'ai vu ce qu'aurait été ma vie. Papa aurait battue maman. Leur relation n'avait été...
Voici un poème que j’ai écrit, j’espère ne pas avoir fait trop de faute… La petite fille insouciante court. Par delà les rivières et forêts sans retour… Elle est traquée depuis des années. Mais elle préfère s’oublier. A travers les montagnes, les vallées. Elle ne s’arrêtera plus jamais… Cette petite fille est enfin libre. Elle a trouvé son propre équilibre… Elle sourit joyeusement. Mais se rends compte malheureusement… Qu’elle perds du terrain. On la rattrape, mais en vain. C’est trop tard… Encore un faux espoir. Elle y a cru, tant de foi… La petite fille s’arrêta, et les vis, avec effrois… Ces ombres menaçantes… A nouveau, reviennent et la hante..
Le soir d'Halloween 3 amies, Emilie, Anna et Zoé décident de faire une séance de spiritisme avec une planche à ouija. 💀👻 Elles étaient excité à l'idée de communiquer avec des esprits. À vous... 😌
Émotions... Cette petite voix,converse avec moi, Tristesse, gêne, peur,joie.... Cache les,cache toi... Personne ne doit savoir,personne n'a besoin de savoir... Ne ressent rien... Mes émotions, Contenues dans des fioles et des flacons... Gardées ici,bien précieusement... Occlumens ! Bloque ton esprit. Ferme ses flacons,classe les,montre ta joie... Anxiété s'est créé,je n'ai pas pu l'enfermer, Mes précieux flacons... Elle les a brisés... Mélange d' émotions,et éclats de verre, étendus sur le sol, Elles se sont mélangées, Mon anxiété est devenue prononcée... Ma voix m'a rassurée... Yamete ! Bloque l'intrus,concote cette potion,et tue la ! Je savais de quoi elle parlait... Humus,rayons de soleil, chrysanthèmes... Potion de joie...
Ce loup, cet animal mauvais… Renferme en lui un triste passé. Terrifiant les autres, sonne au loin une sirène. La seule âme dont il a peur, est la sienne… Il court dans les montagnes glacées… Apparaissent alors des larmes gelées, Au coins de ses yeux… Dans ce lieu brumeux. Ce loup est déchiré, il a peur… Et dans la nuit résonne, une sinistre langueur Hurlées par cette bête. Dans les sombres cieux, passe une comète… Et ce dangereux ravin sera sa tombe, Car il y basculera dans l’ombre… Voilà, j’espère ne pas avoir trop de fautes …
Cette nuit, un vieux train passa… Un souffle de vent, un oiseau se cacha. Avec lui, des dizaines de sentiments. S’envolent dans la nuit lentement… Lumière du soir, douce et orangée… Font place à la nuit noire et attristée. Morne, sombre et angoissante… Telle est la nuit, où ma faible joie est mourante… Visage pâle et cerné se reflète, Dans cette sombre petite fenêtre… Pensées sinistres occupent ce cœur meurtri. Depuis des mois, et encore cette nuit… Cette nuit encore, elle se réveillera… Plusieurs heures, pas un œil elle ne fermera. Alors elle attendra, assise sur ce lit… Que le soleil se lève enfin, dans le déni…
C'est le dernier poème d'une série de trois,je vous conseille de lire les deux poèmes précédents "Kurai ryu"et "Akarui ryu"... Ao ryu Dernier de la fraterie,se sentant oppressé, Écailles bleues ciel aux reflets turquoises,rappelant les montagnes et les rivières... Haut potentiel,voulant ressembler aux autres,il s'est lui même troublé ... En grand manque affectif,se trouvant délaissé... Maîtrisant son pouvoir,il fit semblant d' être faible... Des troubles il s'est créé... Pour enfin être accepté... Akarui ryu,à essayé de l'aider, Ne voulant rien entendre Ao ryu dépérissait... Un soir d'automne,il s'est en allé... Avec son eau il s'est noyé...
Je vis une lumière, phare dans l'obscurité ambiante, elle brillait d'un feu blanchâtre. Des mains agrippaient le phare dans un éternel combat. Les mains étaient crochues, griffues, et la lumière était fablissante après tant de temps de combat, quand tout d'un coup, surgit, de la pénombre, un ange, auréolé, dont la bouche était cousue, il me pris la main et m'emmenai dans un lieu adjacent, une pièce viellote, sans fenêtre, qui était pleine, entièrement remplie de montre , il y en avait au plafond, au sol sous une vitrine, collées sur les murs, suspendues autour de nous. L'ange en prit une sur laquelle des lettres étaient gravées: E. B. Une voix dit alors: Bienvenue, Emily Bringhston. L'ange jeta la montre, et je me sentie amputée d'une...