Poèmes et écriture

À chaque fois que vers toi j’essaye d’aller, tu n’as de cesse de toujours plus t’en aller. Que diable devrais-je donc dire ou faire, pour que de moi tu en aies quelque chose à faire ? Je me meurs sans toi, mais tu n’as plus foi en moi. Je pleure un peu plus à chaque fois, c’est pour ça pour ça que je bois. Tu ne vois pas toutes mes larmes, même si pour toi j’ai baissé mes armes. Je ne vis que pour ton retour, mais tu t’éloignes à chaque tour. Reverrais-je un jour ta douceur, alors que je me meurs sur l’heure ? Pour toi j’ai essayer d’avancer, mais tu ne cesses de reculer. Dis-moi comment y voir plus clair, quand j’ai perdu toute lumière ? Je fume seule en silence, pour faire taire tous ces silences. Dans ma tête confuse résonne leurs...
Tu me hantes. Ta présence est si envahissante que je ne vois plus que toi. Le reste compte peu, face à ta domination de l’instant. Mes yeux ne te quittent pas, et ils transmettent à mon cerveau l’information. La panique. L’instabilité. Mais surtout, cette vulnérabilité à laquelle je me retrouve exposée. Me voilà en danger. On pourrait penser que je parle d’une personne. D’un homme. Un pervers manipulateur que je craindrais. Mais ce n’est absolument pas le cas. Mes mots visent un élément essentiel de notre quotidien. Dont on a besoin. Quelque chose qui nous permet de vivre. D’avoir de l’énergie. Des forces. Ceux qui en manquent sont décharnés, tandis que ceux qui en abusent ont de la chair en excès. Vous l’aurez sûrement deviné...
Pourquoi je déteste Noël ? Car de toutes les fêtes, c'est la meilleure On est avec les gens qu'on aime le plus On les regardent heureux découvrir leurs présents Compter celui qui en a le plus Il s'agit d'un moment hors du temps On est avec les gens qu'on a choisi et qu'on aime C'est pourquoi, quand ils ne sont plus là C'est encore plus difficile Chaque sourire en souvenir devient un pleur de plus Chaque image sublime se floute de larmes La nostalgie ne devient que mélancolie et douleur Ô comme cette fête est magique, bien trop pour ne pas serrer le cœur Mais pas assez pour retrouver ceux qu'on aime C'est le genre de fête où le changement peut être source de malheur Car pour une fois, c'est la répétition perpétuelle qui est recherchée Et...
L’aube se lève, plaie silencieuse, sa lumière pâle effleure la terre creuse. Elle caresse les pierres froides et nues, souvenirs d’un monde où tout s’est tu. Le vent s’insinue entre les troncs brisés, portant l’odeur des bois fatigués. Chaque feuille tombée murmure un nom, l’écho fragile d’un ancien frisson. La forêt s’éteint dans un soupir lourd, ses ombres s’étirent vers un ciel sourd. Le sol retient le souffle de la nuit, gardien muet de ce qui s’enfuit. Rien ne répond, rien ne se relève, le vide pèse, dur et sans trêve. L’homme avance, serrant ses bras, une chaleur perdue entre ses doigts. Celle qu'il a sans doute aimer , Celle qui l'a sans doute laisser. Depuis , les jours passent en ruine, il s'est laissé dévorer par la...
Je me sens si vide, On dirait une coquille vide. Pourtant personne ne le verra, Car à part toi personne ne lit en moi. Et je me saoule presque toutes les nuits, Comme pour effacer tout ce vide. Chaque jour tu me manques, Au point où j'en tremble. Pourtant personne ne le verra, Car tu sais à quel point je le cacherais. Mon cœur se brise une fois de plus, Cette fois je ne sais plus, si je peux tenir le coup un peu plus. Tu hantes mes pensées, Mais ne cesse de s'absenter. Pourrais tu revenir, Autant que je rêve de toi la nuit ? J'en peux plus de ces non-dits, Je ne veux plus fuir. Mais visiblement il ne reste plus que mon cœur meurtri, Celui-là même qui t'attend sans fin toutes les nuits. Et je bois bien trop souvent, Sûrement car je me...
Hello L'idée est de partager des poèmes ou des textes qui nous ont plu. Si en plus on ajoute la raison pour laquelle le texte nous plaît ca sera enrichissant.
Elle attend seule dans le noir, tandis qu’en elle monte le désespoir. Elle aurait du s’attendre à être trahie par sa famille, mais pourquoi alors son coeur est autant meurtri ? Tous ceux qui l’aimaient ont rejoins la lumière, mais pourtant un seul être reste dans sa tête. Elle veux pouvoir enfin être justement aimer, mais ne sait plus comment faire pour avancer. Elle a tout donner pour y arriver, hélas elle n’a été que rejetée. Elle pensais avoir enfin trouvé l’amour de toute une vie, cependant même lui sans rien dire est juste parti. Elle n’a plus les idées très claires, pourtant sans cesse elle en rêve. Elle rêve toujours de son retour, mais osera-t-elle lui parler à son tour ? Elle ignore si il voudra un jour la...
La France à l’abandon Il est des villages que l’on traverse sans les voir, Des gares où plus rien ne descend, Des silences plus lourds qu’un discours au lavoir, Et des routes qui mènent au néant. Les lampadaires clignotent comme une mémoire vacillante, Dans les bourgs où l’on ne fête plus rien. Les écoles ont fermé, les commerces s’éteignent, Et les clochers résonnent dans le vide des lendemains. Autrefois, il y avait des voix, des rires, Le pain chaud du matin, la poste, la mairie. Aujourd’hui, le temps s’écoule comme une fuite, Et les vieux regardent partir les derniers trains de vie. Les campagnes pleurent sans faire de bruit, Les usines rouillent sous des ciels de grisaille, Et même les murs semblent vouloir fuir Ce pays qui se...
Parfois je regarde en bas , me demandant ce que ca ferait de sauter . Je m'imagine dans une voiture ayant eu un accident mortel . Je me vois pleurer un proche qui n'est jamais rentré de sa sortie nocturne . C'est étrange ce genre de pensait je sais . Mais c'est pourtant celle qui me reviennent le plus souvent . Certain me diront d'aller voir un psy , mes comment avouer ceci a un inconnu sans avoir la peur d'être enfermer ? J'ai une tristesse constante qui ne veut jamais s'en aller . Je me sens seul en étant entourer et je ne trouve même pas ma place dans ma propre famille ? Je ne m'attend pas a être comprise ni même a ce qu'on soit triste pour moi . Tout le monde me dirait que ce n'est qu'une passade et que ca ira mieux plus tard ...
(⁠ツ⁠)...Un Monde Meilleur... Un enfant rêve, les yeux brillants d'espoir et d'utopie, il imagine un monde où la bonté serait la seule monnaie. Dans sa chambre, il cogite un plan simple et pourtant révolutionnaire, une chaîne de bienveillance, où chacun tend la main à son prochain. Trois personnes aidées, à leur tour bienfaiteurs, une ronde infinie de gestes d'amour, de solidarité. Un sourire, un coup de main, une parole réconfortante, des étincelles de lumière qui se propagent dans les cœurs. De la plus petite action naît une vague d'altruisme, un feu de joie qui embrase les âmes et réchauffe les cœurs. Mais sur le chemin semé d'embûches, les ombres persistent, la misère, la violence, le doute, autant de freins à l'idéal. Le mal...
Encore, encore, encore. Flot infini, toujours insatisfait, Il ne cesse pas, il ne cessera jamais, Le sang coule, éternellement, Recroquevillé, arrachant mes envies, Avant que l'obscurité vienne arracher ma vie, Avant que les obscénités, mon contrôle, défient, Avant que la lubricité, de mon être s'empare, Présentant l’enveloppe, en ultime rempart, Toujours torturant mon cœur, meurtrissant mon corps, Violemment, violemment, violemment, Pourquoi, à présent si ardent ? Pourquoi cette fois, cela ne se calme pas ? Bloqué, bloqué, en un sulfureux état, Au pied du mur, pendu, en de furieux ébats, Quand le désir vivement, le glas, sonne, Quand le plaisir présentement empoisonne, Tout nier, pour enterrer stupre qui emprisonne, Mon...
« Jamais où la vivance de mots, ne pourrait rendre visible l’absent aux fenêtres que sont les yeux, La forme de loin dans la profondeur de l’imaginaire, persiste, empreinte du Roi. Au cœur de la brillance d‘orangés cieux, la main irréelle maintient le fil d argent du lien. Sang de la vie, Sang de la mort, ramène les pensées de l’esprit frêle vers lui, l’être de grandeur. Imbuvable, l’inespérée possible revient obstinément en son autre, Âme choisie. Essence encrée, lettres fantomatiques dans l’âtre conservées, en l espérance pour l‘après, demeure. L’Ineffaçable Amarre, éternité enfoui dans un cœur de cendre, consomme sans souffrance sa sœur destinée. Cocon de soie endormi, elle, préserve l’ambroisie, aura de l’éternel esprit...
Qui est d'accord pour dire qu'Arthur Rimbaud , c'était la street de.l'epoque ? Au passage , je l'admire beaucoup
C’est un cavalier brun juché sur un cheval Son casque est en argent et sa monture est d’or Sa monture foule la douce herbe du val La douce herbe du val où chemine la Mort. Ses yeux clairs, innocents et naïfs comme l’enfant Se posent sur la fière cavalière de nuit _ Ma chère camarade, je t’implore, entends ! Les râles de souffrance de ceux à qui tu nuis. Les larmes des familles que la perte sépare La trop lente agonie des blessés condamnés. Tous ceux pour qui l’issue est le fatal départ, Pour eux je t’en supplie, abaisse ton épée. C’est un cavalier brun étendu dans un val Un val à l’herbe douce où pâture son cheval. Il est étendu mort depuis que fier et sot, Il s’est levé contre Elle et parlé fort et haut.
hello, perso je n'avais plus écris depuis un bon et long moment. mon retour ici ma fait me souvenir très rapidement qu'avant j'aimais bien faire des chansons. en tomant sur une discussion de poésie j'ai eu envie d'en refaire un et je crois que mon écrits colle bien avec ce que je ressens intérieurement. Je le trouve sombre mais tlmt introspectif. alors pour ceux qui ont été sur la discussion, poésie / beaux texte de Sommeil, vous avez vu un bref brouillon qui à bien évoluée. avant que je partage mon écrit je vous invite à mettre vos brouillon vos textes ce que vous ressentez ici. perso j'crois que écrire se poème était la millr chose que j'aie pu faire ça m'a fait du bien de posé des mots réfléchis, cherchée. voici mon poème : titre...
Voici un homme qui n'a rien pour lui Souvent il déconne mais n'ai pas punie Cela fait un moment qu'au fond il le sait Et depuis longtemps il garde le secret Ses pensées se troublent souvent Ses idées sont très inconstant De la joie aux idées noir Il ne voit plus aucun espoir Légèrement poète dans l'âme Il ne souhaite que d'arrêter les larmes Et il pense que l'idée vainqueur Celle qui va l'aider, tel un sauveur La pensée absolue qui le guide Très tôt il le sut que c'est le suicide
Briser les Chaînes de l'Âme... Ce poids funèbre, ce lourd fardeau tenace, à mon être enchaîné, colle avec audace. Ce [............] [...........], souffle âpre et volé, m'oppresse l'âme, en un râle isolé. L'air me déserte, en spasmes étouffants, mon sein se soulève, proie des tourments poignants. Besoin d'un souffle pur, d'une brise nouvelle, mais l'étau se resserre, en une étreinte cruelle. Alors, d'un courage blême, d'un élan désespéré, bien que mon cœur s'alarme, d'ombres effrayé, de mes mains tremblantes, cherchant une issue, dans ma propre chair, une blessure s'est accrue. Ignorant la douleur, niant l'horreur profonde, dans ma poitrine captive, mes doigts s'enfoncent, immonde. À travers l'osuaire, leur chemin se fraie, entre...
Il fait nuit, il est tard La lame se lève et s'abaisse Sur ma peau elle fait tout un art C'est ma force et ma faiblesse. A la recherche d'une solution, Elle creuse des sillons profonds. Mais si ce n'est pas un appel à l'aide, Alors qu'est-ce ? Un gémissement, un couinement, Un caprice d'enfant ?
La tristesse en moi sifflait, s'infiltrant dans les fissures de mon esprit. Elle pourrissait chaque section soigneusement reconstituer par mes soins. Elle s'animait, mue par son insatiable soif de sang. Serpentant brutalement et dangereusement vers les soupçons de saineté qu'il me restait. Cassant savamment ma sombre conscience.

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