Poèmes et écriture

Je te vois tourner au coin de la rue, Non c'est impossible, je ne te vois plus ! Il faut que je te rattrape Il faut que le pas j'hâte. Je suis rentrée, ça y est, J'ai durant des heures vagabondé, Mais pourquoi ce fardeau dois-je porter ? En y pensant, de toute manière, De moi tu ne te soucies guère. Je ne veux plus te voir, J'aimerais t'effacer de ma mémoire, Et pourtant tu es toujours là. Je ne comprends pas. Plus puissante que ma volonté Tu as attaqué le coeur, et maintenant qu'il est mort, Tu attaques ma tête et mon corps. Je ne survivrai pas. Je suis une femme brisée.
Rouillé par l'immense peine de mon être, je t'écris cette lettre, car tout me paraît , mais rien n'a jamais été. (Je suis littéralement pas une poète donc soyez indulgent, mais je pence que ces mots peuvent résonner chez toutes les personnes qui passe toutes leurs vies dans leurs imaginaires. Cet unique lieu où on est tous, sauf nous, et cela me rend si triste. Car enfin, on mérite tous d'être, d'aimer et de s'aimer. )
C͟a͟p͟r͟i͟c͟c͟i͟o͟ I͟n͟v͟e͟r͟n͟a͟l͟e͟ Sa silhouette, découpée dans la lumière du réverbère, d'ombres sévères et de larmes dont il n'en reste que le sel. La sienne. Le manteau un peu trop long, comme ses cils de neige en guise de mascara: blancs; gelés, glacés. Mais cette silhouette réchauffe le cœur, réchauffe les mains trop serrées sur les parapluies servant de murs contre les caprices infernaux du vent. Ce dernier qui a dérobé son chapeau. Ce n'est pas grave, en soit, il n'était pas si beau. Sortie d'un rêve, c'est la silhouette d’un ange. Mais il faut s'approcher pour mieux la contempler. Mais c'est que le réverbère gâche la couleur de ses yeux. Elle se décala un peu, éblouie d'une humble manière : le gant déchiré de sa main...
J'ai tout fait pour t'oublier Mais impossible. Que faire sans toi, Quand tu n'es pas là Je n'arrive pas à avancer, Je ne pense plus à rien, Je n'ai le goût de rien. Je ne sais même pas si j'existe encore. Je me sens tellement bien avec toi, J'ai fait tant de choses pour toi . Je t'aime et tu me manques tant, je pense jour et nuit à toi, Ta douceur me manque, Ta tendresse, ta beauté. On m'avait parlé du mal d'amour Mais je m'en moquait. Je n'y croyais pas, Je trouvais ça ridicule, Déplorable et pathétique. Aujourd'hui je comprends, Aujourd'hui je subis, Aujourd'hui je ne suis plus moi-même Mais qui me contrôle ? Qui me dirige ? C'est toi. Je t'en prie libère-moi, Ouvre tes mains, Ouvre ton coeur. Suis-je bête, tu ne peux pas...
🌳Les arbres anciens, sont des âmes en silence, leurs branches tendues, comme des bras qui accueillent, le murmure du vent, et le chant des souvenirs.🍂 🌲Sous leur ombre douce, les cerfs se cachent, les oiseaux s'élèvent, leurs cœurs battent à l'unisson, dans un monde qui oublie, les trésors de la terre.🍁 🫎Mais l'homme avance, les yeux fixés sur l'oubli, les cris des animaux, sont des échos étouffés, des larmes sur le visage du ciel, des rêves qui s'évanouissent.🦊 🌳Oh ! Arbres vénérables, vous portez nos douleurs, chaque tronc abattu, une pièce de notre histoire, et chaque feuille tombée, un amour perdu.🍂 🌲Alors je crie, pour chaque créature, pour chaque souffle de vie, la beauté de la nature, ne doit pas disparaitre, dans le bruit...
Mon amour, Je t'écris ce poème Pour te dire combien je t'aime Tu es mon soleil, et sans toi, plongé dans la pénombre Je ne suis plus qu'une ombre Tu es tellement beau et drôle Avec ton sourire qui m'enrôle Tu es ma gaieté, mon bonheur, J'ai besoin de toi à toute heure Ton amour si sincère Est aussi pur que de l'air Tu es mon inspiration Toute ma vie, ma potion
Dans la lumière tamisée où nos ombres s'entrelacent, ta peau, douce soie,sous mes doigts se replace. Chaque frisson que tu donnes, une promesse consumée, nos soupirs se mêlent, désirs enflammés. Tes lèvres, pétales de roses, m'appellent à m'aventurer, s'aventurer au-delà, là où les âmes peuvent s'enflammer. Quand nos corps se rapprochent, le temps se suspend, dans cette danse sensuelle, tout devient incandescent. Tes courbes sont des collines que j'aspire à explorer, chaque contour, chaque ligne, une invitation à rêver. Ton souffle chaud sur ma peau, un tendre vent de passion, emportés par cette vague, nous perdons la raison. Dans l'étreinte de la nuit,nos secrets se dévoilent, les étoiles, témoins de nos âmes en toile...
★ L'amour en échos... Dans la ville criante, dans les ruelles sombres, je cherche l'amour,parmi les ombres. Mais l'amour n'est pas la seule étoile, Il y a tant de lumière, tant de toits qui s'étalent. Regarde ! Les visages,ces âmes en mouvement, chaque regard croisé, un éclat d'instant. Les rires résonnent comme des tambours, la vie pulse, vibrante, un éternel détour. Amis, ne pleurez pas sur l'amour évanoui, la passion n'est pas seule, elle n'est pas tout, vous saisissez ? Le souffle du vent, l'odeur de la pluie, dans chaque goutte d'eau, une promesse de vie. La beauté crie dans les murs décrépits, la joie se cache derrière chaque bruit. Les enfants qui jouent,les rêves qui s'éveillent, la vie, sans amour, est une étoile sans...
Il y a quelques mois, Je t’ai rencontrée. Tu m'as captivée, Et j'ai fini par craquer. J'avais beau penser Que jamais je ne devais m'attacher, J'ai finalement tout fait Pour te voir et être de toi près. J’ai finalement tout fait Pour cacher ce sentiment malheureux, Et toi, tu n'y vois que du feu. Et tu ne peux pas m'aimer. Au contraire, tout ce que tu fais C’est sans raison me dédaigner. Je suis tombée amoureuse, Amour impossible, qui me rend si malheureuse, Qui me fait tant souffrir... Comment vais-je m'en sortir? Des vagues à l'âme, des bleus au coeur De désespoir, je me consume et meurs. Je me suis tant attachée, Et j’ai souhaité et prié.. J'aurais tellement voulu être aimée.
Mes joues s'enflamment, mon coeur bat bien trop vite, mes mains deviennent moites et je ne sais plus où poser le regard. Mon dieu. Elle est là. Elle passe dans le couloir. Non, je n'en suis pas amoureuse. Mais c'est mon âme soeur. Les quolibets murmurés fusent. Conséquence du dernier commentaire de texte où tout le monde s'est pris une tôle. Sauf moi. J'ai négligé les autres matières pour me lancer corps et sang dans cette interrogation. "MDR regarde là avec son style de grand-mère ! " Non, elle a juste un style qui lui est propre. Elle a de l'originalité. Pas comme vous. "Elle a quoi à nous regarder comme ça ??" Mais vous avez vu comment vous la jugez, bande de macaques ? "Avec son air austère là" Non, elle a une aura...
Je marche seul. Mais je ne suis pas seul. Je blasphème et demande pardon. Je tombe puis me relève. Je rêve, mais la réalité me percute. Je voulais mourir, pourtant je me bats pour vivre. L'injustice tombe sur moi et pourtant je refuse de me servir. Je dois me venger et ne peux le faire que contre moi. Entre le bien et le mal, j'ai choisi le pire. L'équilibre sur la corde raide me plonge dans le vertige. Je sais que le néant me guette dans la surcharge. Sur mon âme coulent les vomissures de mon esprit. Je voulais découvrir la vérité. Je n'ai vu que mes mensonges. Il ne me reste plus que l'amour. Sur cette corde raide qui m'a été offerte. Je ne souhaite plus qu'aller jusqu'au bout. Pour ne décevoir personne. Pour ne blesser qui que ce...
Ô ma Rivière... Ô ma Rivière Tu m'appelles Ô ma Rivière Je t'entends, Ô je t'entends Au loin, au loin, tu coules...au loin, tu coules Ta voix, le murmure de ta voix Ton écho se propage Il vient, jusqu'à moi Accompagné de ton image Tout deux, résonnent en moi Comme une plainte Une triste chanson Jusque dans ma tête Je peux entendre le son Dans les airs se répand Le doux vol de tes sentiments Ô merveilleuse symphonie Aux douces notes d'amour Plaisir d'harmonie De leurs ailes De ta vie Chaque jour Aidé par le Vent Par le Vent Du matin, au soir En compagnie des nuages Qui viennent se poser sur mon cœur De tes témoignages En moi... montent les larmes Je ne peux... retenir mes pleurs Elles s'écoulent sur mon...
★ L' Art...Street... Dans ma tanière la journée Je suis l'homme de la nuit Dès le coucher du Soleil J'sors de ma jungle Comme un animal surgit J'ai pour mode de vie, les ténèbres C'est ainsi qu' j'les célèbre Du jour qui décline De la nuit qui s'installe Pour moi c'est le signal Et que s'ouvre le bal Pour que j'rentre dans la danse De noir totalement revêtu Je suis l'homme qui tue Un hors-la-loi J'en revendique le droit De mes griffes j' lacère les murs Avec mes mains J' disperse ma cervelle J'répand mes tripes,mes entrailles De la peinture,s' trouvant dans ma tête J' pulvérise mes mots J'exhibe mes fresques Pour créer du laid,du beau Pour étaler le portrait d' la société Et ,d'mon univers à moi J'ai mes armes...
Petite musique qui a été la toile de fond lorsque j'ai couché sur le papier ces quelques mots. https://m.youtube.com/watch?v=qq4jWEK-qYs Bonne lecture ✨️ Abandonné Sentiment de solitude, attendre des messages, des signes d'un quelconque intérêt. Pourtant encore et toujours seul, seul avec le silence, et quelques livres pour m'accompagner. Difficile de garder espoir cette fois ci, j'ai déjà trop rêvé. S'attacher au gens, y croire, alors que tout n'était que superficiel. Tomber dans l'oubli, dans l'ombre du temps qui coule. Laisser passer les occasions, et se lamenter lorsque les larmes roulent. Comment saisir cette vie qui m'a toujours glissé entre les doigts. Les paroles volent, les écrits restent. Seuls les écrits restent, leurs...
Tu lisais un poème. Dans tes prunelles, les rimes défilaient cousues d'un fil bleu. Tu t'es fait un noeud. Alors je déposai mon manteau vert, vis ton visage blême ; Tu pleurais de tendresse. Cette chanson violette, celle de tes nuits solitaires Ne voulait pas se taire. Elle s'emmêlait dans le Ciel ; réchauffait ta promesse Et le sel sous tes doigts. Partout, le froid de l'hiver se déposait tristement. Et pourtant, que je mens : Ton ange, ton amour, t'embrassa pour la dernière fois Tu mourras dans ton être D'un silence irréel. Il ferma la fenêtre ; Puis déploya ses ailes. —Dwaen.
Aujourd'hui un homme, Un homme C'est pendu dans le parc, Dans le parc Dans le parc de ma ville Sous les caresses du vent, Son corps Son corps, sans vie se balance Mon Dieu ! Mon Dieu ! Quelle horreur ! Pourquoi ? Pourquoi a-t-il fait ça ? En arriver, En arriver là Mon Dieu ! Mon Dieu ! Que c'est triste Quel drame ! Oh oui ! Quel drame ! L'avez-vous vu ? Vous l'avez vu ! Pendu Pendu à cet arbre Bien-sûr, que Non ! Quelle question !? Fort, heureusement, que non ! De ce corps, De ce corps se balançant Sous les caresses Les caresses du vent Que,de voir cela ! Je, J'en, J'en serai hanté Hanté, jusqu'à la fin, La fin de mes jours Que, Que,lui a-t-il pris !? Pour mettre Mettre, fin à sa vie ! De nos jours Comment ? Comment...
Sérénade... Une belle soirée Sous un ciel nocturne, sans le moindre nuage De nos compositions, pour vous rendre hommage C'est ainsi, que tout a commencé Te souviens-tu, mon ami,de ce temps là ? Où, nous allions porter la Sérénade ! Avec, pour instrument notre guitare Aux cordes,si sensibles Source de cette musique amoureuse Sous les fenêtres de nos aimées,nos désirées En cette manière de courtiser Des mots prononcés,de part notre éloquence, Qui s'envolaient dans les airs Pour nous l'importance Pour tout simplement, leurs plaire De ces moments de pure intimisme Je ne cesse de me les remémorer Où,il n'y avait que de l'optimisme À tout jamais Que, cela me serre la poitrine Ô combien jamais Que, j'en ai encore mal au cœur...
Poésie écrite le soir du 14 juillet de cette année après être allé aux feux d'artifices avec une fille. Elle parle de moi, d'elle, d'une relation qui s'est terminée. Elle comporte beaucoup de symbolisme et de métaphores. Rimes croisés. Vers en septain (en principe, mais je m'accorde quelques libertés parfois). Quand le crépuscule fini Sa descente sur la terre, Et qu'ici-bas plus un bruit Ne viens corrompre l'air, Les éclairages de la ville Embellissent les surfaces, D'un teint pâle à peine subtil Formant comme une préface, C'est ici dans ces landes Où s'est rencontré fort bien, Ta tendre âme d'amande À mon pauvre cœur éteint Assis comme sur un mirage Attendons, prés des méandres, Quelques subtiles présages Et ces pluies d'or si...
Boucles d'or Une fillette au teint blême vagabondant les violons d'Ingres, semblable a boucles d'or aux yeux émeraudes et animés, mais, pourtant mal-aimé elle ne s'éclipsa jamais, de faire découvrir et prononcée corps et âme son expresivité. Un et miles sourires, cette opiniâtre physionomie... autant en rire? Nombreuses différences comme ce a quoi elle pense, que d'ambivalence a cette petite marchant parfois, sans prudence. Boucles d'ors aux talents vu comme des "trésors". Souvent discrimée, mais l'as t'elle méritée ? Un et miles sourires, cette opiniâtre physionomie... autant en rire? Des pleures qui s'écoulent sur un teint proche de l'anémie ainsi que des leurres et cauchemars qui alimente mes peurs chaque nuit. Cette petite...
- A quoi tu penses? - En fait, je me demande, quel goût tu as… Quel goût à ta bouche? Ta langue? Est-elle charnue? Est-elle souple? Tes lèvres sont-elles douces? Écorchées ? Je me demande si je presserais mes lèvres contre les tiennes, Ou si nos fluides permettraient qu’elles s’enlacent naturellement, Suavement. Je me demande si ta langue est chaude ou juste tiède. Raide contre la mienne. Je me demande quel goût tu as. -Elewo -> (ig)

🚫 Alerte AdBlock !

Vous avez activé le mode Ninja, et il cache toutes les pubs ! 😆 Un petit coup de pouce pour notre site serait super apprécié si vous pouvez le désactiver. 🙏

🦸‍♂️ J'ai Désactivé AdBlock !