Poèmes et écriture

Premier Chapitre Bonjour à tous, Désormais, vous avez la possibilité de créer des chapitres pour vos créations et de trier celles-ci par genre. Pour créer un chapitre, il vous suffit de cliquer sur l'icône en forme de livre. À vos stylos ! MONCHAPITRE1 Tempore quo primis auspiciis in mundanum fulgorem surgeret victura dum erunt homines Roma, ut augeretur sublimibus incrementis. MONCHAPITRE2 Tempore quo primis auspiciis in mundanum fulgorem surgeret victura dum erunt homines Roma, ut augeretur sublimibus incrementis. Deuxième Chapitre Tempore quo primis auspiciis in mundanum fulgorem surgeret victura dum erunt homines Roma, ut augeretur sublimibus incrementis, foedere pacis aeternae Virtus convenit atque Fortuna plerumque...
Hello L'idée est de partager des poèmes ou des textes qui nous ont plu. Si en plus on ajoute la raison pour laquelle le texte nous plaît ca sera enrichissant.
C’est un cavalier brun juché sur un cheval Son casque est en argent et sa monture est d’or Sa monture foule la douce herbe du val La douce herbe du val où chemine la Mort. Ses yeux clairs, innocents et naïfs comme l’enfant Se posent sur la fière cavalière de nuit _ Ma chère camarade, je t’implore, entends ! Les râles de souffrance de ceux à qui tu nuis. Les larmes des familles que la perte sépare La trop lente agonie des blessés condamnés. Tous ceux pour qui l’issue est le fatal départ, Pour eux je t’en supplie, abaisse ton épée. C’est un cavalier brun étendu dans un val Un val à l’herbe douce où pâture son cheval. Il est étendu mort depuis que fier et sot, Il s’est levé contre Elle et parlé fort et haut.
Je me sens perdue et vide de tous sens, tandis qu’à mon entourage je mens. Si avec eux je souris ne te méprends pas, je leur cache comme au fond ça ne va pas. Je navigue entre ressembler à un robot et pleurer, ceci dit à toi je n’ai pourtant de cesse de penser. Tu m’as pourtant depuis longtemps abandonnée, mais une fois la nuit venue tu ne cesse d’hanter mes pensées. Je t’aperçois au loin devant moi, Étais-tu là par hasard ou pour moi ? Mes pas se font lourd tandis que je me mets à avancer, sans doute car je veux rester pour te voir te retourner. Mes pensées ont fusées de tous les côtés, peux-tu seulement l’imaginer ? Je ne sais plus quoi croire de tout cela, et soudain tout me rend si lasse. Pourtant en nous je veux y...
Je n’entends qu’un bruit sourd autour de moi, et je sens que l’espoir est mort tout comme toi. Je me sens vidée de toute énergie, comme dans un état léthargique. Mes yeux autrefois rempli d’espoir, sont le soir rempli de larmes du désespoir. Tu as rejoins à jamais les cieux, puisses tu là haut aller mieux. Ton coeur s’est pour toujours mis en arrêt, et ça nous a frappés fort de plein fouet. Tandis que je contemple d’avantage les nuages, j’espère en vain que tout cela n’est que mirage. Pourtant au milieux de ce silence pesant, je ne peux que constater ton absence. En voilà un énorme désastreux malheur, tu ne vis maintenant que dans nos coeurs. Dans la pénombre je rêve de te revoir, là où les étoiles règnent en maître le...
hello, perso je n'avais plus écris depuis un bon et long moment. mon retour ici ma fait me souvenir très rapidement qu'avant j'aimais bien faire des chansons. en tomant sur une discussion de poésie j'ai eu envie d'en refaire un et je crois que mon écrits colle bien avec ce que je ressens intérieurement. Je le trouve sombre mais tlmt introspectif. alors pour ceux qui ont été sur la discussion, poésie / beaux texte de Sommeil, vous avez vu un bref brouillon qui à bien évoluée. avant que je partage mon écrit je vous invite à mettre vos brouillon vos textes ce que vous ressentez ici. perso j'crois que écrire se poème était la millr chose que j'aie pu faire ça m'a fait du bien de posé des mots réfléchis, cherchée. voici mon poème : titre...
Voici un homme qui n'a rien pour lui Souvent il déconne mais n'ai pas punie Cela fait un moment qu'au fond il le sait Et depuis longtemps il garde le secret Ses pensées se troublent souvent Ses idées sont très inconstant De la joie aux idées noir Il ne voit plus aucun espoir Légèrement poète dans l'âme Il ne souhaite que d'arrêter les larmes Et il pense que l'idée vainqueur Celle qui va l'aider, tel un sauveur La pensée absolue qui le guide Très tôt il le sut que c'est le suicide
Briser les Chaînes de l'Âme... Ce poids funèbre, ce lourd fardeau tenace, à mon être enchaîné, colle avec audace. Ce [............] [...........], souffle âpre et volé, m'oppresse l'âme, en un râle isolé. L'air me déserte, en spasmes étouffants, mon sein se soulève, proie des tourments poignants. Besoin d'un souffle pur, d'une brise nouvelle, mais l'étau se resserre, en une étreinte cruelle. Alors, d'un courage blême, d'un élan désespéré, bien que mon cœur s'alarme, d'ombres effrayé, de mes mains tremblantes, cherchant une issue, dans ma propre chair, une blessure s'est accrue. Ignorant la douleur, niant l'horreur profonde, dans ma poitrine captive, mes doigts s'enfoncent, immonde. À travers l'osuaire, leur chemin se fraie, entre...
Ton absence est bien plus que pesante, tu ne sais pas à quel point tu me manques. J’ai beau tout faire pour essayer de me résonner, au fond de moi je n’ai de cesse de t’aimer. Tu m’as brisée plus que personne, et ma raison m’abandonne. Je suis maintenant isolée de tous comme jamais, comme je regrette de ne pas t’avoir dit que je t’aimais. Je reste longtemps éveillée le soir, car je ne fais que broyer que du noir. Seul reste mes crises de douleur, comme celle que j’ai au coeur. Tu as disparu sans rien expliquer, vais-je seulement te manquer ? Dans mon coeur tu es à jamais gravé, Comment as-tu pu l’oublier ? Quand je n’ai pas mal je ne fais que pleurer, tandis que tu continues encore de m’éviter. Pour toi j’ai vraiment...
Tu es parti sans rien dire, Sans jamais rien me dire. Maintenant il est trop tard pour tout, J’aurais essayé jusqu’au bout. Mon cœur se meure sans toi, Mais désormais je n’ai plus la foi. Je ferme mon cœur pour toujours, Même si au fond j’attends ton retour. Je dis adieu à mes rêves en vain, Car cette attente prends fin. J’ai voulu croire en nous, Mais je reste dans le flou. Aujourd’hui une page se termine, Mais j’en ai mauvaise mine. Ne me demandez pas de sourire, Car ce soir tout se termine. Dans mon cœur tu restera à jamais graver, Mais je n’ai plus la force d’espérer.
Je ne sais plus quoi penser, il m’a laissé sans rien expliquer. J’ai beau le chercher du regard, il n’y a que le vide et le brouillard. Je me sens comme vide à l’intérieur, au fond je sens que je me meurs. Ne me demandez pas de sourire, parfois je ne sais plus quoi en dire. Désormais la tristesse fait partie de mon quotidien, mais où sont donc passés nos beaux matins ? Parfois je me demande vraiment où il est allé, tandis que je me perds dans de sombres pensées. Crois-t-il encore juste un peu à nous, ou est-ce juste moi qui pense à nous ? Reviendra-t-il seulement un jour pour s’expliquer, ou tout cela ne sert à rien à part de moi se moquer ? Et plus j’essaie d’y croire encore une fois, plus il me laisse à cet immense...
Bonjour tout le monde je voudrais savoir votre avis sur un roman que je suis entrain d écrire
Dévorance Il est là, droit, voûté, perdu, pendu, Au cœur d’un vide et d'une étreinte, Un cri étouffé, une âme essoufflée, Entre deux états, divisé en ébats, Bonheur, extase, joie, le transperce ardemment, Vide, apathie, fatigue, abattent si vivement, Oh, passions broyées ! Oh créations, dévorées, Oh espoir annihilé, Il, spectre déchu, vacille, Que reste-t-il ?... Un soupir, lumière qui s’éteint, Un être défunt, Une âme d'étain, Un souvenir ancien, Emporté en un flot sans fin. Une âme passée, révolue, en immense déclin, Un trou sans cesse sans butin. Dévorance. Un flot d’indifférence, Où le tout se noie Où le rien gerbe sa joie, Détruite avec dédain, Errante, affamée, en ce festin piteux, Un souffle...
Jusqu’au bout je voulais croire en nous, mais désormais tout me paraît flou. Tu disparais de nouveau en silence, sais-tu que je n’en peux plus de cette distance ? Je ne comprends pas ce silence qui t’entoure, dis moi pourquoi tu m’évites sans détour ? Je me sens complètement vidée, pourtant j’ai essayé de résister. Résister à cette tristesse qui me consume, et ma joie de vivre a tout autant disparue. Je ne regarde plus mes chers étoiles dans le noir, sans nul doute car dans mon cœur il ne reste que le désespoir. Je sens que quelque chose s’est cassé, et mon cœur refuse d’abandonner. Dois-je partir ou rester ? Je ne sais que penser. Je ne veux pourtant rien lâcher, pourquoi as-tu tout abandonné ? Nous étions deux dans...
Bonjour! Je veut écrire quelque chose sur un site et je compte le publier. Cependant, je sais juste écrire des trucs horreur/fantastique avec un peu d'amour dans l'histoire et je sais pas quoi écrire! 😅 Avez-vous des idées s'il vous plait ? PS: Si je fait votre idée je mets votre nom! (si vous voulez)
Je lis la tristesse puis la colère dans ton regard, et moi au milieux de tout ça pour toi je m’égare. Qu’est-ce qui te rends triste et en colère ? Je veux dissiper toutes ces ténèbres. Dis moi penses-tu encore à nous, ou cela est-il pour toi flou ? Je suis partie le coeur lourd pour protéger ta vie, et j’ai même risqué ma vie pour te revoir la nuit. Mais tu ne reviens toujours pas vers moi, pourtant je m’accroche à chaque souvenir de toi. Je vois bien que tu ne cesse de t’éloigner, pourtant je ne peux m’empêcher d’espérer. Je voulais vraiment faire un pas vers toi, alors pourquoi tu me fuis as-tu encore la foi ? Je n’abandonnerais pas malgré le temps, car de se parler il le faut absolument. Pour toi je ne cesse de...
Tous ces mots que tu dis puis-je y croire ? Puis-je encore un instant garder espoir ? Dans ma tête tout se bouscule, tel un cheval à bascule. Pour toi je serais prête à soulever des montagne, mais ton absence sans cesse elle stagne. Tu t’éloignes de plus en plus de moi, comment dans ce contexte garder la foi ? Pourtant je veux toujours y penser, à croire que je ne suis bonne qu’à me blesser. Je marche en vain pour te voir, mais les nuits ne font que me décevoir. Crois-tu encore en nous, ou as-tu jeter l’éponge après tout ? Les voix autour de moi me disent d’arrêter, combien de temps vais-je pouvoir le supporter ? N’entends-tu pas mon coeur qui se brise, là où la nuit mon visage caresse la brise ? Donne moi un signe de...
Je me noie dans un océan de douleurs, mais tu n’entends pas la peine de mon cœur. Tu es parti depuis bien trop longtemps, aujourd’hui il ne reste plus que le silence. Tout me semble vide de sens, et de tristesse j’en tremble. Ce grand vide qui m’entoure, j’en ai tant de fois fait le tour. Et malgré la douleur de mon cœur, je ne peux t’en tenir rancœur. Je veux y croire encore une fois, mais ais-je encore assez de foi ? Et toi qui est parti sans un mot, souffres-tu des mêmes maux ? Combien de fois on va se faire du tord, alors que nos cœurs pleurent de remords ? Je voudrais te revoir sans cesse en vain, mais dis-moi est-ce vraiment la fin ? Reviendras-tu seulement un jour vers moi, comme je l‘ai si souvent fait pour toi ?
Tu réapparait tout comme le soleil, ce moment me semble si irréel. Je te vois lentement vers moi t’avancer, tandis que je me retiens presque de respirer. On est enfin l’un en face de l’autre, tu te penches et l’on se frôle. Entends-tu mon cœur qui rate un battement, tandis qu’on s’éloigne bien lentement ? Je ne me tourne pas mais je souris, si tu pouvais voir comme je rougis. Ce moment reste gravé en moi, as-tu aussi ressenti cela en toi ? Si j’aurais eu ma note en poche, je l’aurais glissé dans ta poche. Il me tarde que vienne le soir, pourra-t-on encore se revoir ?
Korrigans de Bretagne... Dans les landes de bruyère et les forêts profondes, où les menhirs se dressent, témoins du vieux monde, Vit un peuple secret, espiègle et malicieux, les korrigans de Bretagne, êtres mystérieux. Nains ou lutins, leur taille importe peu, leur magie est immense, leur pouvoir est en jeu. Yeux rouges comme braises, cheveux de jais profonds, ils hantent les dolmens, les tumulus et les ronds. La nuit, quand le silence enveloppe la vallée, ils sortent de leurs grottes, dansent à la clarté De la lune argentée, au rythme des tambours, leur rire éclate, joyeux, au milieu des labours. Gardien de la nature, ils protègent les sources, les fontaines sacrées, les arbres et leurs écorces. Mais gare à qui les trouble, à qui...

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