Poèmes et écriture

A vous, âmes en quête de lumière, écoutez la brise, elle murmure de l'espoir. Les étoiles scintillent, illuminant la nuit, une lumière d'amour, un doux reflet de vie. Dans le jardin des âmes, mille fleurs s'épanouissent, chaque parfum délicat, une promesse de bonheur. Les rivières murmurent des histoires de joie, des rires éclatants, s'élèvent comme une voix. Un simple pas sur terre, un souffle partagé, peut transformer l'instant, le rendre sacré. Un regard bienveillant peut vous donner des ailes, des mots doux et sincères, vous ouvrent de nouvelles portes. Ouvrez vos cœurs, laissez-vous porter, par la magie du monde,par l'amour d'exister. Chaque nuage qui passe, une toile en mouvement, Rappelle nous que la vie est un éternel...
Pourquoi je déteste Noël ? Car de toutes les fêtes, c'est la meilleure On est avec les gens qu'on aime le plus On les regardent heureux découvrir leurs présents Compter celui qui en a le plus Il s'agit d'un moment hors du temps On est avec les gens qu'on a choisi et qu'on aime C'est pourquoi, quand ils ne sont plus là C'est encore plus difficile Chaque sourire en souvenir devient un pleur de plus Chaque image sublime se floute de larmes La nostalgie ne devient que mélancolie et douleur Ô comme cette fête est magique, bien trop pour ne pas serrer le cœur Mais pas assez pour retrouver ceux qu'on aime C'est le genre de fête où le changement peut être source de malheur Car pour une fois, c'est la répétition perpétuelle qui est recherchée Et...
Je suis partie sans un bruit, uniquement pour te sauver la vie. Tu pars sans rien dire, je te regarde de dos partir. Je voulais courir vers toi, mais j’avais trop peur crois moi. Je ne comprends ton silence, pas plus que ton absence. Pourtant je continue d’espérer, même si tu semble avoir arrêter. Pourrais-t-on juste discuter, pour enfin dire la vérité ? Tu sais ou je t’attends, alors reviens même un instant. Je veux vraiment tout réparer, mais comment faire sans toi à mes côtés ? Tu n’est plus jamais là, mais je te cherches du regard. Dis moi à quoi tu penses, avant que notre amour flanche. Penses tu encore à nous, ou tout cela t’est-il déjà flou ? Ces mots que tu as prononcé, en moi restent encore gravés.
Je te vois tourner au coin de la rue, Non c'est impossible, je ne te vois plus ! Il faut que je te rattrape Il faut que le pas j'hâte. Je suis rentrée, ça y est, J'ai durant des heures vagabondé, Mais pourquoi ce fardeau dois-je porter ? En y pensant, de toute manière, De moi tu ne te soucies guère. Je ne veux plus te voir, J'aimerais t'effacer de ma mémoire, Et pourtant tu es toujours là. Je ne comprends pas. Plus puissante que ma volonté Tu as attaqué le coeur, et maintenant qu'il est mort, Tu attaques ma tête et mon corps. Je ne survivrai pas. Je suis une femme brisée.
Le monstre qui sommeil en moi hurle de rage, combien de temps à l’enfermer en aurais-je le courage ? Je t’attends toujours en vain, dis moi est-ce vraiment la fin ? Derrière mes lunettes se cache ma tristesse, et dans un sourire je cache toute ma détresse. Tu n’es toujours pas revenu, te retenir est ce que j’aurais voulu. Mais ta tristesse et ta mise en danger ont eu raison de moi, n’as-tu pas vu la peur qui résidait au plus profond de moi ? Je suis partie pour ton propre bien, mais tu me fuis et je n’y comprends rien. Quand la nuit tombe je repars à ta recherche, dis moi à ton silence y a-t-il encore une brèche ? Dans la nuit je me mets de plus en en danger, car sans toi je ne sais pas comment avancer. M’entends-tu...
« Jamais où la vivance de mots, ne pourrait rendre visible l’absent aux fenêtres que sont les yeux, La forme de loin dans la profondeur de l’imaginaire, persiste, empreinte du Roi. Au cœur de la brillance d‘orangés cieux, la main irréelle maintient le fil d argent du lien. Sang de la vie, Sang de la mort, ramène les pensées de l’esprit frêle vers lui, l’être de grandeur. Imbuvable, l’inespérée possible revient obstinément en son autre, Âme choisie. Essence encrée, lettres fantomatiques dans l’âtre conservées, en l espérance pour l‘après, demeure. L’Ineffaçable Amarre, éternité enfoui dans un cœur de cendre, consomme sans souffrance sa sœur destinée. Cocon de soie endormi, elle, préserve l’ambroisie, aura de l’éternel esprit...
Rouillé par l'immense peine de mon être, je t'écris cette lettre, car tout me paraît , mais rien n'a jamais été. (Je suis littéralement pas une poète donc soyez indulgent, mais je pence que ces mots peuvent résonner chez toutes les personnes qui passe toutes leurs vies dans leurs imaginaires. Cet unique lieu où on est tous, sauf nous, et cela me rend si triste. Car enfin, on mérite tous d'être, d'aimer et de s'aimer. )
C͟a͟p͟r͟i͟c͟c͟i͟o͟ I͟n͟v͟e͟r͟n͟a͟l͟e͟ Sa silhouette, découpée dans la lumière du réverbère, d'ombres sévères et de larmes dont il n'en reste que le sel. La sienne. Le manteau un peu trop long, comme ses cils de neige en guise de mascara: blancs; gelés, glacés. Mais cette silhouette réchauffe le cœur, réchauffe les mains trop serrées sur les parapluies servant de murs contre les caprices infernaux du vent. Ce dernier qui a dérobé son chapeau. Ce n'est pas grave, en soit, il n'était pas si beau. Sortie d'un rêve, c'est la silhouette d’un ange. Mais il faut s'approcher pour mieux la contempler. Mais c'est que le réverbère gâche la couleur de ses yeux. Elle se décala un peu, éblouie d'une humble manière : le gant déchiré de sa main...
J’endure en silence ta longue absence, elle est tout aussi glaciale que le vent. J’essaie en vain de faire un pas vers toi, mais te ne cesse de t’éloigner de moi. Perdue dans mes questionnements, je t’aime pourtant éperdument. Pourquoi d’un coup tu me fuis, est-ce que ton amour dévie ? Ne vois tu point mes efforts, comment t’apporter du réconfort ? Tu me semble étonnement si distant, mais dans mon coeur tu es à chaque instant. Je continue de croire en nous, quitte à en devenir folle j’avoue. Je me demande ce qui t’arrive, pourquoi me laisses-tu à la dérive ? Toi qui encore hier me souriais, dans ton regard la tristesse se trouvais. Parle moi de tout ce qui te tracasse, ne t’enfermes pas dans ta carapace. Promis je...
Je te cherches partout du regard, juste pour pouvoir te revoir. Mais il n’y a que ton absence, aussi violente que ton silence. Je ne montre jamais rien quand je suis au dehors, les larmes coulent une fois rentrée mêlées aux remords. J’aurais vraiment voulu te retenir, mais ton regard me disais de partir. Depuis lors je t’attends en vain, notre amour survivra-t-il ou est-ce la fin ? Je m’accroche à ton souvenir, mais je ne fais que souffrir. Dis-moi pourquoi tu laisses tout tomber, quand je suis prête à ne rien lâcher ? Ne vois-tu pas qu’on est malheureux l’un sans l’autre, dis moi ce qu’il te faut pour ne pas disparaître tel un fantôme ? Je sais que j’ai traîner à venir à toi, mais regarde comme je n’attends que toi...
Je reprends mes balades nocturnes tristement, j’aimerais te comprendre tout simplement. Tu n’es plus là encore une fois, pourquoi tu t’éloignes de moi ? Nous étions pourtant si près d’y arriver, dis-moi pourquoi tu as décidé d’abandonner ? Je te regarde impuissante en silence, j’aimerais comprendre tes sentiments. Tu te montres d’un coup si distant, j’en pleure encore en y repensant. Qu’est-il arrivé à notre amour, est-il perdu pour toujours ? J’attends patiemment ton retour, me parleras-tu sans détour ? Viendras-tu à ma rencontre, où resteras-tu dans l’ombre ? Je veux encore continuer d’y croire, mais suis-je la seule à garder espoir ? Dis moi ce qui te chagrine, je serais là quoiqu’il arrive. J’aimerais pouvoir te...
J'ai tout fait pour t'oublier Mais impossible. Que faire sans toi, Quand tu n'es pas là Je n'arrive pas à avancer, Je ne pense plus à rien, Je n'ai le goût de rien. Je ne sais même pas si j'existe encore. Je me sens tellement bien avec toi, J'ai fait tant de choses pour toi . Je t'aime et tu me manques tant, je pense jour et nuit à toi, Ta douceur me manque, Ta tendresse, ta beauté. On m'avait parlé du mal d'amour Mais je m'en moquait. Je n'y croyais pas, Je trouvais ça ridicule, Déplorable et pathétique. Aujourd'hui je comprends, Aujourd'hui je subis, Aujourd'hui je ne suis plus moi-même Mais qui me contrôle ? Qui me dirige ? C'est toi. Je t'en prie libère-moi, Ouvre tes mains, Ouvre ton coeur. Suis-je bête, tu ne peux pas...
🌳Les arbres anciens, sont des âmes en silence, leurs branches tendues, comme des bras qui accueillent, le murmure du vent, et le chant des souvenirs.🍂 🌲Sous leur ombre douce, les cerfs se cachent, les oiseaux s'élèvent, leurs cœurs battent à l'unisson, dans un monde qui oublie, les trésors de la terre.🍁 🫎Mais l'homme avance, les yeux fixés sur l'oubli, les cris des animaux, sont des échos étouffés, des larmes sur le visage du ciel, des rêves qui s'évanouissent.🦊 🌳Oh ! Arbres vénérables, vous portez nos douleurs, chaque tronc abattu, une pièce de notre histoire, et chaque feuille tombée, un amour perdu.🍂 🌲Alors je crie, pour chaque créature, pour chaque souffle de vie, la beauté de la nature, ne doit pas disparaitre, dans le bruit...
Tu sembles si distant et fuyant, sachant que je te suis en marchant. Pour une fois que je suis prête à parler, c’est toi qui a décidé de m’ignorer. Pourquoi ne pas t’être retourné, était-ce car tu étais blessé ? Mon coeur se serre à cette idée, et contre moi je veux te serrer. Je veux vite courir vers toi, et te montrer mon amour ma foi. Mais mon coeur me fait souffrir, et je n’arrive pas à tenir le rythme. Je te vois t’éloigner sans pouvoir me rapprocher, J’aurais voulu te parler ou pouvoir te soulager. Je reste en silence derrière toi, sans pouvoir le faire ma foi. Et derrière tes yeux si intensément bleu, j’ai bien vu comme tu étais malheureux. Mon amour ne perds pas espoir, tu es dans mon coeur tous les soirs.
Mon amour, Je t'écris ce poème Pour te dire combien je t'aime Tu es mon soleil, et sans toi, plongé dans la pénombre Je ne suis plus qu'une ombre Tu es tellement beau et drôle Avec ton sourire qui m'enrôle Tu es ma gaieté, mon bonheur, J'ai besoin de toi à toute heure Ton amour si sincère Est aussi pur que de l'air Tu es mon inspiration Toute ma vie, ma potion
Dans la lumière tamisée où nos ombres s'entrelacent, ta peau, douce soie,sous mes doigts se replace. Chaque frisson que tu donnes, une promesse consumée, nos soupirs se mêlent, désirs enflammés. Tes lèvres, pétales de roses, m'appellent à m'aventurer, s'aventurer au-delà, là où les âmes peuvent s'enflammer. Quand nos corps se rapprochent, le temps se suspend, dans cette danse sensuelle, tout devient incandescent. Tes courbes sont des collines que j'aspire à explorer, chaque contour, chaque ligne, une invitation à rêver. Ton souffle chaud sur ma peau, un tendre vent de passion, emportés par cette vague, nous perdons la raison. Dans l'étreinte de la nuit,nos secrets se dévoilent, les étoiles, témoins de nos âmes en toile...
★ L'amour en échos... Dans la ville criante, dans les ruelles sombres, je cherche l'amour,parmi les ombres. Mais l'amour n'est pas la seule étoile, Il y a tant de lumière, tant de toits qui s'étalent. Regarde ! Les visages,ces âmes en mouvement, chaque regard croisé, un éclat d'instant. Les rires résonnent comme des tambours, la vie pulse, vibrante, un éternel détour. Amis, ne pleurez pas sur l'amour évanoui, la passion n'est pas seule, elle n'est pas tout, vous saisissez ? Le souffle du vent, l'odeur de la pluie, dans chaque goutte d'eau, une promesse de vie. La beauté crie dans les murs décrépits, la joie se cache derrière chaque bruit. Les enfants qui jouent,les rêves qui s'éveillent, la vie, sans amour, est une étoile sans...
Ton regard est triste quand je détourne le regard, mais je rougis sous tes yeux impénétrables. On dirais que tu te laisse aller, mais je sens que tu veux espérer. Pourrons-nous un jour nous avouer, ce que nos coeurs ne cesse de réclamer. Je ressens que tu veux encore y croire, ta foi est aussi grande que la mienne ma fois. Je voulais courir vers toi et te prendre dans mes bras, mais quand je me suis retournée tu n’étais plus là. On y était si près d’être réunis, sens-tu ce destin qui nous relie ? C’est passé à près d’un cheveux, je veux te voir enfin heureux. Comment aurais-tu réagi si j’avais réussi à te prendre dans mes bras, j’en rougis rien qu’à y songer tu peux me croire sur ce point là. Pourtant je n’ai de cesse...
Seule dans la nuit noire, j’entends l’écho du soir. J’avance en silence lentement, attendant la fin imminente. Sachant que tout cela aura un jour une fin, je m’y accroche malgré tout en vain. C’est le triste constat d’une réalité, qui chaque soir me le fait réaliser. Perdue dans mes sombres pensées, j’essaie encore d’y échapper. Mais la réalité sans cesse y demeure, là où mes pleurs restent dans mon coeur. Lasse et fatiguée de ce monde, mon âme se perds dans les songes. Qui pourrait voir la tristesse derrière mon sourire ? Car après tout jamais ce masque ne se brise. Je laisse échapper un soupire, avant de recommencer à sourire. Toi qui m’observe dans la pénombre, sais-tu à quel point tu es tout mon monde ? Ne...
Plongée seule dans la nuit noire, j’entrevois le corbeau du désespoir. Il attend sur une branche calmement, dans l’ombre intense du silence. Au creux le plus profond de la nuit, c’est mes rêves que je lui confie. C’est alors que fortement il en rit, tandis que mes espoirs se dissipent. Je lui demande pourquoi il en rit, il me répond avec mépris que mes songes ne sont que rêveries. Je lui rétorque qu’il n’y a rien de plus fort que l’amour et qu’il a tord, ce à quoi il déclare que plus fort que l’amour il y a la mort. Et que rien n’est plus triste qu’un amour qui est déjà mort. Pour la première fois dans le silence de la nuit, C’est là que je la découvrit, la plus grande tristesse au coeur de la nuit.

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