Poèmes et écriture

Accroché à cette falaise, Ce petit chalet n’est pas à son aise. Habité par des âmes néfastes… Là bas, il neige toujours, tel est ce contraste. Il s’est passé tant de mauvaises choses, Le vieux bois préférais oublier ces souvenirs moroses. Plusieurs générations y ont vécu, Accompagnées d’émotion confondues… Cris, hurlements…il est apeuré. Et peine à oublier. Réveil nocturne soudain, Il appréhende, tellement il les craint… Ce chalet a vu passer tant de personnes, D’un air lent et angoissant, le vent fredonne. Il soufflera encore et encore, Dans les montagnes et les forêts noires…
Je suis désolée, Mon cœur commence à geler… Je suis épuisée, Je ne parviens pas à me relever. Elles me rattrapent peu à peu. Je vous promet que j’ai fais de mon mieux. Mais c’est trop tard, Je suis trop loin, je m’égare… Une main m’est tendu, Mais c’est peine perdue… Je suis déjà battue. Ce sentiment inconfortable s’accentue… Je tombe, je chute dans ce ravin… Je suis loin, trop loin… Je ne contrôle plus rien. J’ai très peur de l’obscurité… Mais elle m’a exilée. Je suis désolée…
Voyage, tous les jours entre ces pages. Lecture libère, à travers les âges. Je voyage dans ce beau livre… Où mes pensées sont libres. Je relis ce manuscrit, Que tu m’avais donné jadis… Remplis de souvenir douloureux, Mais c’est portant grâce à eux. Chers livres, que chaque jours je peux me reposer. Sortir de cette triste réalité. Je voyage dans ce monde imaginaire. Où tout n’est que bonheur, en ces terres… Mais ce livre, usé par le temps… Ce consume plus rapidement. Il brûlera avec tout son contenu. Il m’avais tant plu…
Suivant le cours de la rivière, Mes pensées vagabondent… Et la culpabilité en moi gronde. Quel espoir éphémère… Le ciel s’assombrit, Tu me l’avais dit. Ces couleurs froides font parties de mon cœur. Et à présent les cieux pleurent… Je m’excuse du mal que j’ai causé. Mais après toutes ces années, Je ne peux être pardonnée… Les flots s’agitent dangereusement. La rivière déborde rapidement. M’emportant avec elle, Et dans un murmure solennel.. Trois mots s’échappent de mes lèvres, "Je vous aime" Peu à peu, mon visage devint blême…
Il est temps que tout s'arrête. Je suis épuisée... Je n'ai même plus la force de pleurer. De crier tout ce qui m'a blessée. Brisée. À mes pieds, tout est noir. Le sol se craquelle sous mon désespoir. Les ombres me tuent. Mains à la gorge, je ne respire plus. Elles murmurent. Mais je n'en suis pas sûre. C'est un boucan infernal. Ça me fait tellement mal. Les voix me hurlent dessus. Elles me tuent. Même les oreilles bouchées... Elles continuent de crier. Alors j'ai cherché. Cherché l'issue pour me sauver. Sans jamais la trouver. Enfouie sous les souvenirs. Des souvenirs à braver. Tout pour me retenir. Bribes démoniaques du passé. Et les ombres commencent à revenir. Chaque jour est un cauchemar. Et le soir... J'ai cherché à m'évader de la...
Sur les écrans, surfant sur internet, Juguler cette sombre souffrance Est devenu priorité nette. De l'amour nous faisons des carences. La vie des autres comme massage Pour fuir les problèmes et messages. Enfermé dans l'asile des réseaux, Sans libre arbitre, conscience, pensées, Nous avalons tout, même ce qui est faux, Et l'uniformisation est lancée.
Aujourd'hui, c'est le plus beau jour de ma vie ! Ma maman a quinze ans et elle est très jolie, Mon papa aussi est très beau. Deux petits pieds ont poussé, Ma maman a été interrogée en physique, Et je lui ai tenu compagnie... Ce matin, nous sommes allés voir le médecin. Et il lui a dit que j'allais bientôt naître. Je suis un garçon, mais elle ne le sait pas encore, J'aimerais bien m'appeler Clément ! Maman l'a annoncé à papa, Il lui a dit que c'était impossible, Que je ne devais pas naître, Maman s'est évanouie... Aujourd'hui il y a un très beau soleil, Mais moi je ne le verrai jamais, Car maman a décidé de me tuer... Mais je ne suis plus triste car j'ai vu ce qu'aurait été ma vie. Papa aurait battue maman. Leur relation n'avait été...
Voici un poème que j’ai écrit, j’espère ne pas avoir fait trop de faute… La petite fille insouciante court. Par delà les rivières et forêts sans retour… Elle est traquée depuis des années. Mais elle préfère s’oublier. A travers les montagnes, les vallées. Elle ne s’arrêtera plus jamais… Cette petite fille est enfin libre. Elle a trouvé son propre équilibre… Elle sourit joyeusement. Mais se rends compte malheureusement… Qu’elle perds du terrain. On la rattrape, mais en vain. C’est trop tard… Encore un faux espoir. Elle y a cru, tant de foi… La petite fille s’arrêta, et les vis, avec effrois… Ces ombres menaçantes… A nouveau, reviennent et la hante..
Le soir d'Halloween 3 amies, Emilie, Anna et Zoé décident de faire une séance de spiritisme avec une planche à ouija. 💀👻 Elles étaient excité à l'idée de communiquer avec des esprits. À vous... 😌
Ce loup, cet animal mauvais… Renferme en lui un triste passé. Terrifiant les autres, sonne au loin une sirène. La seule âme dont il a peur, est la sienne… Il court dans les montagnes glacées… Apparaissent alors des larmes gelées, Au coins de ses yeux… Dans ce lieu brumeux. Ce loup est déchiré, il a peur… Et dans la nuit résonne, une sinistre langueur Hurlées par cette bête. Dans les sombres cieux, passe une comète… Et ce dangereux ravin sera sa tombe, Car il y basculera dans l’ombre… Voilà, j’espère ne pas avoir trop de fautes …
Cette nuit, un vieux train passa… Un souffle de vent, un oiseau se cacha. Avec lui, des dizaines de sentiments. S’envolent dans la nuit lentement… Lumière du soir, douce et orangée… Font place à la nuit noire et attristée. Morne, sombre et angoissante… Telle est la nuit, où ma faible joie est mourante… Visage pâle et cerné se reflète, Dans cette sombre petite fenêtre… Pensées sinistres occupent ce cœur meurtri. Depuis des mois, et encore cette nuit… Cette nuit encore, elle se réveillera… Plusieurs heures, pas un œil elle ne fermera. Alors elle attendra, assise sur ce lit… Que le soleil se lève enfin, dans le déni…
C'est le dernier poème d'une série de trois,je vous conseille de lire les deux poèmes précédents "Kurai ryu"et "Akarui ryu"... Ao ryu Dernier de la fraterie,se sentant oppressé, Écailles bleues ciel aux reflets turquoises,rappelant les montagnes et les rivières... Haut potentiel,voulant ressembler aux autres,il s'est lui même troublé ... En grand manque affectif,se trouvant délaissé... Maîtrisant son pouvoir,il fit semblant d' être faible... Des troubles il s'est créé... Pour enfin être accepté... Akarui ryu,à essayé de l'aider, Ne voulant rien entendre Ao ryu dépérissait... Un soir d'automne,il s'est en allé... Avec son eau il s'est noyé...
Je vis une lumière, phare dans l'obscurité ambiante, elle brillait d'un feu blanchâtre. Des mains agrippaient le phare dans un éternel combat. Les mains étaient crochues, griffues, et la lumière était fablissante après tant de temps de combat, quand tout d'un coup, surgit, de la pénombre, un ange, auréolé, dont la bouche était cousue, il me pris la main et m'emmenai dans un lieu adjacent, une pièce viellote, sans fenêtre, qui était pleine, entièrement remplie de montre , il y en avait au plafond, au sol sous une vitrine, collées sur les murs, suspendues autour de nous. L'ange en prit une sur laquelle des lettres étaient gravées: E. B. Une voix dit alors: Bienvenue, Emily Bringhston. L'ange jeta la montre, et je me sentie amputée d'une...
Je erre dans ce tunnel. Mes souvenirs sont troubles, je me souviens d'un pont, d'un rideau noir, de lumières, de pleurs, de cris, du froid. Je me sentais toute engourdie, parcourue de frissons, j'avais froid, j'étais mouillée. Je regarde mes pieds, mais, je ne vois que la brume, au bout du tunnel, un lampadaire, lumière bénie, me guide vers la sortie, j'ai mal, je ne sens plus que la douleur plus j'avance. Je remarque des yeux rougeoyants sur les murs noirs du tunnel. Je marche. Je titube. Je m'écroule. Je tente de me relever mais une force, tel le poing de mon père lorsqu'il me battait. Je me sens lasse, fatiguée. Je me relève péniblement, je marche. Je m'avance avec courage et, enfin, j'atteints la lumière. Et là...
Photo brûlées… Souvenirs enflammés. Pourquoi les as-tu jetées ? Tant d’histoires cachées. Dans le feu crépitant, En ce chalet brûlent doucement. Le tonnerre gronde au dehors… Et le vent passe entre les arbres morts. Mon cœur se noue dans une triste langueur. Aveuglée, je suffoque dans cette chaleur. Si réconfortante autrefois. Mais ne provoquant plus que de l’effroi, en moi. Photos brûlées, abandonnées par ces âmes. Ne reste plus que le néant, dans cette flamme… Mes yeux se perdent dans ce triste feu. Ainsi que dans les restes de ce lieu…
C'est le deuxième poème d'une série de trois,je vous conseille de lire le premier "Kurai ryu"... Akarui ryu Cadet de Kurai ryu et aîné de Ao ryu, Écailles blanches nacres,aux reflets argentés... Doux,perfectionniste discipliné... Il aimait Kurai ryu, malgré sa folie,il a tenté de le changer... Mélange parfait de rigueur et de douceur, Akarui ryu devait réussir,or ce n'est pas arrivé... Il a surmonté les épreuves,la douleur... Malheureusement,lui même devenant fou.... Akarui ryu, dragon d'air et prenant ses libertés, Un soir d'automne,il s'est en allé... Son souffle glacé,l'a emporté...
C'est le premier poème d'une série de trois... Kurai ryu Aîné des trois ryu légendaires... Noires écailles,sombres et ténébreuses... Douceur d'Antan et folie destructrice, Dès son plus jeune âge ses voix le conseillaient, Pulsions,crises,paranoïa et anxieté... Le ryu savait qu'il était différent... N' écoutant que ses voix,il devenait,violent... Un simple regard,un chuchotement lointain, Et sa cible tu devient... Un beau jour de printemps, Lumineuse saison, Dans une camisole chimique, Ryu kurai fut enfermé, Ses voix méphitiques, A jamais étouffées....
J’ai écrit un poème, j’espère qu’il est à peu près réussi…Il porte sur la nature…la nuit et le jour. Douce pénombre régnant sur ce village. La belle Lune se reflétant dans ce lac familier. Mon regards perdu dans cette infinie clarté… Une silhouette majestueuse se dresse telle un grand sage. Il s’avance doucement sur la berge… Une vague d’émotion me submerge. Oh belle Lune, rassure moi. Un bruissement, je m’immobilise avec effrois. Cet ombre…s’enfonce dans le lac. Et le calme revient, accompagné du soleil levant… Le lac prenant une belle couleur cyan. Je me perds dans les douces couleurs chatoyantes de la montagne… Si belle en ce jour d’été. Mes pieds foulant l’herbe, je m’en vais…
Fût-il un temps, bien avant le déluge, au delà des temps immémoriaux, où rien n’existait. Puis, vint un événement des plus fantasmagorique: quelque chose, innommable, inimaginable qui opposa la constance du néant des plus profond, au delà de l’origine à la Chose. Ainsi le conflit naquit. Ô matière, Que sait-tu faire? Éons incessants de modélisation de l’entité et de l’in-entité, que certains y mettrons identité. Fit! Que fait-tu donc, dauphin blanc chevauchant, on-ne-dirait-plus les incommensurables astres par delà les frontières de l’irréelle convalescence du réel? Que fais-tu? Ô, saint-magicien? Élémentaire est la fibre de l’infrastructure, communicatif est l’espace. Passe-ton-chemin! D’ou viens-tu? Que sait-tû? Nul ne le pût...
J'ai écris quelques haikus,qu'en pensez-vous ? Temps Sablier égrainé, Temps perdu, Monde effacé... Renouveau Pétales de roses, Se cambrent au clair de lune De leurs éclats rouge sang... Automne Les feuilles jaunes s'envolent, Les lacs se remplissent, Les gens disparaissent... Dame hiver Teint blanc neige, Cheveux ébène, Voile de brume vaporeux...

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