Venez à moi, Esprits de la Nature, Me conter les légendes d'autrefois, Comme autant de murmures, Vagabondant dans ces bois, Que le vent d'un souffle pur, Disperse sur les murs sournois, De nos cités, ces impostures, Où errent nos âmes aux abois, A la recherche d'une rupture, Pour retrouver les anciens émois, Et la douce désinvolture, Du temps que l'on prenait parfois, Pour ressentir la brulure, Des amours courtois.