Poèmes et écriture

Salut! Je ne sais pas si c'est une nouvelle, une poésie... Donc je l'ai classé comme cela. Bonne lecture ! Cet homme. Alors que je rêvassais en observant l'amour que les lignées portaient a leurs loupiots avec envie, un vieil homme s'approcha, le dos courbé et un regard qui me méprisa, "pas des plus bavard celui là", me suis-je alors dis. Il s'assit sur le banc ou j'étais et sorta d'une sacoche, un bouquin qu'il se mit a feuilleter lentement, une main dans la poche et l'autre faisant frôlé drôlement vite les pages. J'arrêta alors de rêvasser, et me rendit compte que cet homme était proprement vêtu d'une veste de cuire couleur chaudron, et d'un soyeu pantalon noir accompagné de bottines en cuir éclatant. J'habite dans une petite ville...
Assise sur le bord de ma fenêtre, dans ma chambre, je contemplai la neige tomber à gros flocons sur les toits des maisons. Apres le long et ennuyeux traditionnel "repas de Noel", mes frères et moi - la seule fille de la fratrie, et la plus âgée - avons recus l'ordre d'attendre dans nos chambres respectives. La faible lumiere des etoiles et de la lune me permettait d'observer dehors. C'était magnifique. Je suis chanceuse de voir chaque année cette magnifique couche de blanc qui recouvre les environs. En bas, les adultes parlaient forts. Ce qui m'agace plus que tout. Il ne font même semblant de parler à ce fameux Père Noël pour mes petits frère de 2 et 5 ans. Les adultes, j'aime pas ca. Surtout leus conversation. Elles partent le plus...
Je me balade dans la capitale, l’esprit ailleurs. Je flâne, je fouine, je fouille. Il est encore tôt, peu de gens sont dans les rues. Paris s’éveille doucement. J’apprécie ce moment de la journée. Des travailleurs pas tout à fait réveillés déambulent. Les boulangeries et les cafés commencent à ouvrir leurs devantures. Une odeur particulière se repand dans la rue et se mélange aux autres, cette odeur du matin, savant mélange entre le pain, le café, la poussière et la fatigue. Je me sens envahi d’une étrange melancolie. Je jette un coup d’œil à ma montre et m’installe à la terrasse d’un café. Dans quelque minute, je rencontre mon assassin. Quelques coup d’œil à l’heure et un café plus tard, un homme arrive. Je me lève pour...
Tel une fine couche d'existence, d'une simple caresse elle redonne vie. L'onde bleue s'empare de tous, les noie sous sa prestance et son initiative. Il n'y a pas besoin de demander, cette nappe au reflet de lumière sait déjà qu'on préfère ici et là, qu'il ne faut pas aller là bas. Ce qui ne l'empêche pas de le faire. Mais ce qu'elle préfère le plus c'est ces petits carrés émeraudes qui chatoyent de couleurs à sa venue, qui a de belles courbes harmonieuses. Qu'elles soient petites ou grandes, discrète ou extravagantes, ce sont les seules qui resplendissent en coupant le souffle du moindre inconscient quand elles le souhaitent. De leurs plus belles parures elles attirent, elles sont là pour donner envie. Elles qui l'avaient pourtant...
C'est l'histoire d'un fermier et de ses trois fils. Le fermier possédait de vastes terres, un moulin, des champs, un âne, des moutons et des vaches, et ses terres étaient coupées en deux par un très grand lac. Les trois fils du fermier était mariés, et habitaient tous les trois avec leur père, leur femme et leurs enfants. Bientôt, le fermier n'arrivait plus à subvenir aux besoins de sa famille. Les dépenses se succédait et les factures toujours plus lourdes. Alors le fermier décida de désigner un de ses fils pour allez voir le roi et le supplier de l'aider. Le fils attela la carriole et le plus fort des cheval et dit au-revoir à son père, à ses frères, à sa femme et à ses enfants. Un mois plus tard, le premier fils n'était pas revenu...
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