A
Anonyme
Désolé si j'ai causé du tord !
Je sais que la vie vaut plus que l'or.
Désolé pour le mal que j'ai fait !
Je ne sais pas encore où je vais.
Désolé de me plaindre autant !
Pardonnez moi mes fautes.
Je voulais prendre le temps.
Désolé pour la peine causée,
Désolé, désolé, désolé !
Des fois je devrais me taire...
Désolé de dire tout cela,
Mais je ne sais plus que faire.
Je ne parle que de moi...
Pardon, ça me prend des fois...
Je ne peut pas me plaindre
Quand il y a mes proches.
Je ne sais plus quoi peindre.
Mon cœur se fait de roches...
J'ai rencontré un ange très loin,
Un jour, je lui rendrait visite
Tout cela est arrivé vite,
Je promets d'en prendre soin.
C'était une nuit, durant l'été dernier.
Ridicule hasard, car sur un jeux,
Nous nous sommes rencontrer.
En un message, elle me rend heureux,
Voilà des mois que nous sommes amis.
Nous avons, sur tout et rien, beaucoup ris.
Je ne me rendais pas encore compte
Que j'avais, énormément de chance.
Malgré nos nombreuses différences,
Que jamais ne finissent ce conte.
Elle accepte entier ce que je suis,
Même les plus mauvais de mes côtés.
Jamais je ne la remercierai assez.
Elle m'a sûrement sauver de mon mal cette nuit...
Elle me sauve encore de mes démons
Qui tournent dans ma chambre toujours en rond.
Là, jamais les rimes ne s'épuisent
Et dans le ciel étoilé je puise
L'inspiration qui me fait avancer.
Et encore une fois, je suis désolé...
Et merci...
Je sais que la vie vaut plus que l'or.
Désolé pour le mal que j'ai fait !
Je ne sais pas encore où je vais.
Désolé de me plaindre autant !
Pardonnez moi mes fautes.
Je voulais prendre le temps.
Désolé pour la peine causée,
Désolé, désolé, désolé !
Des fois je devrais me taire...
Désolé de dire tout cela,
Mais je ne sais plus que faire.
Je ne parle que de moi...
Pardon, ça me prend des fois...
Je ne peut pas me plaindre
Quand il y a mes proches.
Je ne sais plus quoi peindre.
Mon cœur se fait de roches...
J'ai rencontré un ange très loin,
Un jour, je lui rendrait visite
Tout cela est arrivé vite,
Je promets d'en prendre soin.
C'était une nuit, durant l'été dernier.
Ridicule hasard, car sur un jeux,
Nous nous sommes rencontrer.
En un message, elle me rend heureux,
Voilà des mois que nous sommes amis.
Nous avons, sur tout et rien, beaucoup ris.
Je ne me rendais pas encore compte
Que j'avais, énormément de chance.
Malgré nos nombreuses différences,
Que jamais ne finissent ce conte.
Elle accepte entier ce que je suis,
Même les plus mauvais de mes côtés.
Jamais je ne la remercierai assez.
Elle m'a sûrement sauver de mon mal cette nuit...
Elle me sauve encore de mes démons
Qui tournent dans ma chambre toujours en rond.
Là, jamais les rimes ne s'épuisent
Et dans le ciel étoilé je puise
L'inspiration qui me fait avancer.
Et encore une fois, je suis désolé...
Et merci...