Poèmes et écriture

Nuit calme, nuit paisible, toi qui hante mes nuits. J'avance sans un bruit, Déambulant sans vie. Telle une coquille vide, dans ce froid frigide. Une seule pensée rempli mon esprit, que la vérité soit enfin éclaircie. Quand je te vois le jour tu es si brillant, pourquoi la nuit tu es si distant? Je continue de croire en nous, car je t'aime plus que tout. Cette nuit pourrait être la bonne, je l'espère tandis que je chantonne. Ce fut encore une illusion, je pleure de désillusion. Je rentre lentement en marchant, Mon coeur toujours plus se serrant. Ton absence me fait plus que mal, et voilà que redescend mon moral.
Il est né d'un Forumactif tout en haut d'internet Ce forum que j'ai tant, tant et tant aimé Des débats à l'hiver, du soutien à l'été Les siècles s'enchaînaient aux années... On postait nos photos de vacances l'été Et les rats riaient sur les gifs de Carly Et les trolls faisaient des posts blancs sur les topics animés Du forum que j'ai tant aimé J'y postais de Nantes toutes mes journées Avant qu'il ne soit grand quand notre année est née Des débats respectueux et des amitiés Fleurissaient sous le ciel des pommiers C'est la fin de l'enfance et nous avons étudié Dans l'école où Chuisbibi était prof Le soleil a brillé sur la cour des rats Du forum que j'ai tant aimé Et les rats se soutenaient et les anonymes passaient Le forum...
Petite musique qui a été la toile de fond lorsque j'ai couché sur le papier ces quelques mots. https://m.youtube.com/watch?v=qq4jWEK-qYs Bonne lecture ✨️ Abandonné Sentiment de solitude, attendre des messages, des signes d'un quelconque intérêt. Pourtant encore et toujours seul, seul avec le silence, et quelques livres pour m'accompagner. Difficile de garder espoir cette fois ci, j'ai déjà trop rêvé. S'attacher au gens, y croire, alors que tout n'était que superficiel. Tomber dans l'oubli, dans l'ombre du temps qui coule. Laisser passer les occasions, et se lamenter lorsque les larmes roulent. Comment saisir cette vie qui m'a toujours glissé entre les doigts. Les paroles volent, les écrits restent. Seuls les écrits restent, leurs...
Le soleil se lève doucement, et je pense à toi tendrement. Mais dis-moi mon amour, à quand ton grand retour ? Je t’attends toujours patiemment, d’un amour fou éperdument. Je me languis de toi, qu’en est-il de toi ? Si tu savais à quel point, je t’aime à jamais sans fin. Pourquoi on s’inflige tout ça, j’y songe encore à tout-va. Tu sais déjà qui je suis, pourquoi tu me fuis ? Aimes-tu jouer au chat et à la souris ? Je me le demande dans mes songeries. Dans mes rêves tu y es toujours, j’avoue que je t’aime plus que tout.
Tu sais qui je suis mais tes amis disent le contraire, pourtant ta foi en nous est des plus exemplaire. Désolée si je n’ai de cesse m’éloigner, si tu savais à quel point je veux rester. Ouvre bien tes yeux, crois encore en nous deux. Tu connais déjà la vérité, Dans ton coeur elle est cachée. Tu le ressens au plus profond de toi, le coeur ne se trompe jamais crois moi. Désolée de ne pas pouvoir te faire face, devant toi je suis figée telle une statue de glace. Pourtant tu réchauffe mon âme d’une chaleur intense, comme si je dansait sur un brasier bien immense. J’ai tendance à perdre mes mots, devant tes yeux si beaux. Souvent je manque de courage, mais en moi le feu fait rage.
Tu lisais un poème. Dans tes prunelles, les rimes défilaient cousues d'un fil bleu. Tu t'es fait un noeud. Alors je déposai mon manteau vert, vis ton visage blême ; Tu pleurais de tendresse. Cette chanson violette, celle de tes nuits solitaires Ne voulait pas se taire. Elle s'emmêlait dans le Ciel ; réchauffait ta promesse Et le sel sous tes doigts. Partout, le froid de l'hiver se déposait tristement. Et pourtant, que je mens : Ton ange, ton amour, t'embrassa pour la dernière fois Tu mourras dans ton être D'un silence irréel. Il ferma la fenêtre ; Puis déploya ses ailes. —Dwaen.
Je t’aime plus que tout, mais tu ne me vois pas malgré tout. Je suis là tout près de toi, mais tu ne me vois pas. Oui j’ai le coeur brisé, mais je continue d’espérer. Je lutte sans cesse pour toi, le verras tu un jour ma foi ? Même dans la plus sombre des nuits, et cela bien après les douze coup de minuit. On s’éloigne de plus en plus, et je me sens complètement perdue. Tu es mon étoile dans la nuit noire, je refuse de perdre tout espoir. Je continue de croire en nous, et prie pour te revoir surtout. Est-ce que tu m’attends encore, ou ais-je déjà ouvert la boîte de Pandore ? Est-il déjà trop tard, ou y a-t-il encore de l’espoir ?
Lassée d’attendre en vain, cette fois c’est la fin. Je ne sortirais jamais plus de la nuit, même si c’est à toi que je pense avant de dormir. Je laisse tout tomber, comme seule tu m’a laissée. Je pleure tout le temps, tu le vois pas pour autant. Même si j’ai le coeur brisé, il n’y a que toi pour le réparer. Je n’en peux plus de ces jeux, mais je n’ai plus de valeur à tes yeux. Seule et isolée dans mes quatre murs, sais-tu à quel point c’est dur ? Je rêvais qu’on soit ensemble, dis moi fessais-tu semblant ? Sans toi tout es vide de sens, et je me sens bousculer dans le néant. Dis moi ressens-tu la même peine, ou as-tu pour moi juste de la haine ? J’attendais un signe en silence, mais c’était vain de toute évidence.
Pourquoi même m’as-tu dit ces mots, si c’est pour disparaître ensuite sans un mot ? Un jour tu dis oui puis tu dis non, j’en perds presque la raison. Autour de moi tout s’écroule, vas-t-on un jour en découdre ? Je sors sans cesse en vain la nuit dans l’espoir de te retrouver, pendant que tu caches c’est tes amis qui continuent de m’espionner. On me pointe du doigt et on se moque de moi, tandis que le seul qui reste dans l’ombre c’est toi. Crois-tu que c’est facile à vivre ? Je me sens de plus en plus vide. As-tu essayer au moins de me comprendre ? Ou te joues-tu seulement de mes sentiments ? Toi seul à les réponses à ces questions, ceci dit tu restes sur tes positions. Comment savoir ce que tu ressens, si tu ne me...
Je ne sais plus quoi faire, comme si j’étais prisonnière. Je me retrouve bloquée là, et je me sens devenir lasse. C’est comme parler à un mur, et je pleure dans un murmure. Je m’isole de plus en plus, je cache ma tristesse dans la solitude. J’ai si mal au coeur que de deux crises je passes à trois, mais ça hélas tu ne le remarque même pas ma fois. Je me sens lentement dériver, comme si j’étais déjà noyée. Sais tu comme je t’aime ? Pour toujours et à jamais. Tu n’es plus jamais dans mon champ de vision, mais pour toujours gravé dans mon coeur sans raisons. Et chaque nuit je t’attends pourtant, sans te revoir pour autant.
Des larmes sur mes yeux se sont mises à perlées, triste constat de ton absence sans cesse répétée. Sans toi autour de moi je me sens si seule, mais ton coeur je ne crois pas en avoir le seuil. Hormis ton éloignement je fais face à tes silences, ils font rage comme un éternel énorme ouragan. Mais dis moi dans les ténèbres de la nuit, n’entends-tu pas ma voix qui pour toi crie ? Il est vrai que bien trop souvent j’ai manqué de courage, mais en te voyant t’amuser sans moi mon coeur fait rage. Je m’isole seule tard dans la nuit, il n’y a que mes pas qui font du bruit. Mon coeur se meurt chaque fois un peu plus, jusqu’au jour où vraiment je n’en pourrais plus. Ne vois-tu pas toute ma détresse, qui se cache dans ma maladresse ...
Même si le doute s’est installé en moi, En nous deux je garde toujours la foi. M’isoler n’a fait que m’enfermer, alors je décide de ne plus me cacher. Pour moi fini la fuite je suis prête à me déclarer, si tu es toujours prêt à me laisser une chance de me lancer. Je ne fuirais plus devant toi ni même dans la foule, je continuerais d’aller vers toi quitte à en perdre la boule. Je ferais front à ton entourage et ton antre, qui à trembler de partout la boule au ventre. Cette fois entre nous il n’y aura plus aucun faux semblants, juste la vérité sincère de nos coeurs quitte à le faire en pleurant. Finis les mensonges et les ignorances, avançons sur la vérité dans l’espérance. Que tout enfin soit révélé, finis les maux du...
Étoile salvatrice et fidèle sujet, méprisons ensemble, Infâmes qui en ces lieus grands travers causèrent, intrus et perfides vipères, À l'origine de problèmes et injustices, imposteurs à déloger. L'Étoile et son astronaute dévoué, se devaient de s'en occuper, Parmi heureux compères, des infiltrés, des damnés, Ont semé le désordre, des enfoirés à expulser. Très court, je m'en excuse. Mais il n'avait pas besoin d'être bien long... 🙂
Encore un de ces jours, où tout autour de moi s’écroule. Est-ce la réalité ? Ou un rêve éveillé ? Tout se bouscule dans ma tête, je réfléchi à tout sans cesse. Comme prisonnière d’une toile d’araignée, je suis piégée dans mes sombres pensées. Le temps continue d’avancer, tu n’es pas là à mes côtés. Et ces balades nocturnes, à croire qu’elles ne servent plus. Même en journée tu n’est jamais présent, alors dis moi comment supporter ton absence ? Le peu que je t’aperçois, ça me fais mal ma foi. Tu traînes souvent la nuit avec des belles femmes, et je sens la jalousie monter en moi telle des flammes. La fois suivante tu fais la fête avec tes potes, tu me vois non loin mais là encore tu m’ignores. Où est le vrai ? Où est...
J’entends les voix autour de moi, on se moque et rigole de moi. J’entends les voix autour de moi, elles me disent que je devrais abandonner. J’entends les voix autour de moi, elles s’inquiètent de mon état. J’entends les voix autour de moi, elles résonnent sans cesse dans ma tête. J’entends les voix autour de moi, j’essaie de les chasser en vain. J’entends les voix autour de moi, je ne sais plus où donner de la tête. J’entends les voix autour de moi, mais je reste toujours de marbre. J’entends les voix autour de moi, parfois elles m’agacent un peu trop. J’entends les voix autour de moi, pourquoi je garde espoir ma foi ? J’entends les voix autour de moi, et on me pointe encore du doigt. J’entends les voix autour de...
Aujourd'hui un homme, Un homme C'est pendu dans le parc, Dans le parc Dans le parc de ma ville Sous les caresses du vent, Son corps Son corps, sans vie se balance Mon Dieu ! Mon Dieu ! Quelle horreur ! Pourquoi ? Pourquoi a-t-il fait ça ? En arriver, En arriver là Mon Dieu ! Mon Dieu ! Que c'est triste Quel drame ! Oh oui ! Quel drame ! L'avez-vous vu ? Vous l'avez vu ! Pendu Pendu à cet arbre Bien-sûr, que Non ! Quelle question !? Fort, heureusement, que non ! De ce corps, De ce corps se balançant Sous les caresses Les caresses du vent Que,de voir cela ! Je, J'en, J'en serai hanté Hanté, jusqu'à la fin, La fin de mes jours Que, Que,lui a-t-il pris !? Pour mettre Mettre, fin à sa vie ! De nos jours Comment ? Comment...
Tu me laisse tomber, sans prendre le temps de parler. Celui qui a fauté c’est pourtant pas moi, alors pourquoi tu disparaît comme ça ma foi. Ton absence est longue et douloureuse, pourtant de toi je suis toujours amoureuse. Tandis que tu te balade tranquille, je pleure à chaque les nuits. Te serais tu joué de moi, alors que tu sais ce que je ressent pour toi ? Était-ce juste un rêve ou une illusion, je ne sais plus ce qui est vrai ou non. Je veux que nous en discutons, mais tu reste dans l’ombre. Alors vas y prends ton courage en main, et viens me dire la vérité que j’attends en vain. Je n’attends que toi, pourquoi tu ne me crois pas ? J’erre toutes les nuit à ta recherche sans savoir ou tu pourrait être, et quand je...
J’ouvre un livre peu ordinaire, et soudain j’entre dans un monde extraordinaire. Ici où mes soucis et mes peines existent, là tout s’envole sans un bruit et se dissipent. D’un monde morne et sans vie, j’entre dans un lieu rempli de magie. Mes yeux s’émerveillent devant la beauté de cet univers, c’est fantastique et merveilleux sans aucun pareil. Les dragons volent au vent, tandis que je survole le firmament. Les sorciers sont de sortie, et je reprends goût à la vie. Les méchants n’ont qu’à bien se tenir, ici enfin je me sens libre et revivre. Là où les autres voient des lignes sans vie, moi je vois des paysages si splendides. On m’a dit qu’il faut grandir et de cesser avec tout ça, désolé de vous décevoir mais ça...
Un autre jour, où je sors sans te voir. Un autre jour, où tu n’est pas là. Un autre jour, où je m’inquiète pour toi. Un autre jour, que je passe à pleurer chez moi. Un autre jour, loin de toi. Un autre jour, à me demander si tu reviendras. Un autre jour, à me demander si tu me pardonneras. Un autre jour, où mes pensées fusent vers toi. Un autre jour, à sortir la nuit pour rien. Un autre jour passé sans toi. Un autre jour, à mourir de désespoir.
Dans le noir Extinction volontaire de la lumière J'ai tiré les volets Pour me plonger Ainsi, dans l'obscurité Pour passer Comme souvent Rien, qu'un moment Dans mon lit de désespoir Ainsi, dans le noir Encore une de ces journées Où Je puis m'abandonner Chercher un peu de chaleur Allongé sous les draps De mon cercueil voilé Pour tout oublier Mon passé Mon présent Mon futur pourrissant La tête posée sur mon oreillet De mes pleurs gorgé Je ressasse Sans cesse Mon mal-être Mes angoisses Ma tristesse Laisser En toute sécurité Ainsi, le temps passer Réchauffer mon cœur glacé Juste un moment Ou, un court instant Se fabriquer des rêves Un monde imaginaire Où, tout est merveilleux Pour oublier La vie Ses...

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