Poèmes et écriture

Boucles d'or Une fillette au teint blême vagabondant les violons d'Ingres, semblable a boucles d'or aux yeux émeraudes et animés, mais, pourtant mal-aimé elle ne s'éclipsa jamais, de faire découvrir et prononcée corps et âme son expresivité. Un et miles sourires, cette opiniâtre physionomie... autant en rire? Nombreuses différences comme ce a quoi elle pense, que d'ambivalence a cette petite marchant parfois, sans prudence. Boucles d'ors aux talents vu comme des "trésors". Souvent discrimée, mais l'as t'elle méritée ? Un et miles sourires, cette opiniâtre physionomie... autant en rire? Des pleures qui s'écoulent sur un teint proche de l'anémie ainsi que des leurres et cauchemars qui alimente mes peurs chaque nuit. Cette petite...
- A quoi tu penses? - En fait, je me demande, quel goût tu as… Quel goût à ta bouche? Ta langue? Est-elle charnue? Est-elle souple? Tes lèvres sont-elles douces? Écorchées ? Je me demande si je presserais mes lèvres contre les tiennes, Ou si nos fluides permettraient qu’elles s’enlacent naturellement, Suavement. Je me demande si ta langue est chaude ou juste tiède. Raide contre la mienne. Je me demande quel goût tu as. -Elewo -> (ig)
La petite dame se baladait seule dans la rue. C’est alors qu’elle faillit rentrer dans cet bel inconnu. Et bien que dans leurs yeux une étincelle jaillit, aucun son de leurs bouche n’en soit sorti. Ils se croisèrent à plusieurs reprises, mais jamais ses sentiments ne lui furent dit. Il essaya en criant d’attirer son attention, hélas son appel restait toujours sans réponse. Elle décida de s’éloigner de lui, pensant qu’il en avait assez de la croiser ainsi. Pourtant c’est dans son cœur qu’il demeure, espérant chaque soir qu’il lui parle sans peur. Cloîtrée et isolée chez elle, elle attend en vain qu’il comprenne. Dans une dernière prière elle l’appelle, espérant qu’il vienne enfin à elle. Et que sous le ciel nocturne de la...
Je vous parle d’un temps que les utilisateurs récents ne peuvent pas connaître Foforum en ces temps-là était plein de débats, de bons conseils et de rigolades jusque sous nos fenêtres Et si l’humble garni qui nous servait de lit ne payait pas de mine C’est là qu’on s’est connu, moi en questionnement, et toi qui étais bienveillant La Fofofamily, la Fofofamily Ça voulait dire On est heureux d’être amis Dans les sous-forums nous étions quelques-uns qui attendions la gloire Et bien qu’en déprime, en débat ou ailleurs, nous ne cessions d’y croire Et quand à la boutique, contre des Fofocoins, nous personnalisions notre pseudo Groupés autour du forum, en oubliant nos situations en porte-à-faux La Fofofamily, la Fofofamily Ça...
J'erre seule dans la nuit, bercée d'une douce mélancolie. Je sens l'air frais sur mon visage, même si aussi tôt ce n'est pas très sage. La fumée s'envole dans le vent, autant que le temps passe lentement. Prise dans mes songes je ne pense à cette personne, bien que je rate les tentatives qu'elle occasionne. Perdue dans mes tristes pensées, je me sens épiée. Est-ce juste un simple impression, ou une réalité cachée dans la pénombre ? Manquant sans cesse de sommeil, c'est la nuit que je m'éveille. Dans mes songes embourbés, je désespère de le retrouver. Fixant le ciel à peine étoilé, j'espère juste m'être trompée. Saura-t-il un jour à quel point je l'attend, ou l'ignorera-t-il jusqu'à la fin des temps? Car mon amour sache que chaque soir...
L’amour, un sentiment bien pesant. Parfois mignon Parfois avançant Puis devient un penchant. Mes sentiments sont miens. Non réciproque mais c’est bien Rien ne presse , rien n’y force Je suis moi bien forte. Être amoureux n’est pas horrible Ça nous fais assi découvrir On en apprend pour nous en servir Et découvrir la joie de vivre D’au moins avoir aimé un être Être incroyable que le cœur élu. Le négatif ne gagne , Et positif apparu... Fort malheureusement, Un feu frémit. Il gémit. Il vit en moi, me chauffant. Quel tristesse. Quel malheur. Quand cela cesse ? Quand verrais je le bonheur ? Torturre mental... Ces dilemmes Ces problèmes Ça fait mal... Mon coeur et mon ésprit Convergent d’une...
Chaque jour, chaque instant, je trotte, je courre je vole, mes pieds dénudés lésés par les galets acérés. Simplement pour éviter toute rencontre infortune, tout regard déplacé. Simplement pour éviter la traîtresse aux cheveux de neige mêlés d'acier. Simplement éviter son chemin, éviter ce sourire carnassier, ces verres hypocrites, surplombant l'infectée aux yeux verts, pervers. Simplement ignorer la vampiresse aux fonctions de mairesse, oui, cette femme corrompue à l'âme devoyée, ce démon de vertu se cachant derrière sa conscience, cette impureté impie se croyant, de vertu emplie. Traîtresse à ma personne ! Tu aurais dû m'atteindre en personne, mais comme j'aurais pu m'en douter tu rampe avec sournoiserie, te faufile parmi la vérité...
★ Les Lavandières : En l'honneur de Dame Lavandières...( C'était le titre de départ ?...). ★ Autrefois, elles portaient ce nom là Les Lavandières Elles lavaient le linge De leurs mains ou avec un batoir A la rivière où au lavoir... ★ Entendez-vous cette douce musique Qui se propage Elle vient de la rivière qui accompagne Le chant des Lavandières De leurs corbeilles remplies de linge Tout les jours Elles se rendent au lavoir Sous le soleil Où sous la pluie Avec la santé Ou la maladie Tel est leurs dur quotidien Elles chantent Elles frappent Elles tordent... Les étoffes De leur batoir pour les aider Et, elles les étendent,tout comme des voiles Pour qu'elles sèchent sous les souffles du vent De leur courage De...
★Qui peut me dire,de quoi, je me suis inspiré ? ★( le texte n'est pas fameux... cela n'est pas ça, qui m'intéresse...), c'est la réponse à la question ! ★ Je regarderai, s'il y a des propositions. ★ Écoute, un peu mon histoire Viens par là Assieds-toi Prend un verre Le cours de la vie... défile devant moi Tel un miroir d'eau...de ce qu'il me renvoie Le film de mon passé...se déroule... voilà C'est comme ça... c'est comme ça... Je voudrais, tellement pouvoir le changer Je voudrais, tellement pouvoir le changer De ma voix vers les cieux Je m'adresse aux dieux Pour leurs demander... Qu'il est triste de voir tout ça Devant...
Cours, cours, Tu es en retard Tu vas rater ton bus de travail Et cours, cours, Pour le reprendre ce soir. Vite, vite Trouve une excuse Pour te sortir de cet énième mensonge Et plus vite, plus vite, la prochaine fois. Dépêche-toi, tu n'es jamais à l'heure. Mais ce soir prend tout ton temps Pour admirer une dernière fois Enfin libérée. Le bus de ce soir Ne partira pas sans toi Pour t'emmener de l'autre côté.
{Je t’ai regardée observer les étoiles Et je me suis demandée Si l’on voyais aussi Cette nostalgie dans mes yeux, quand il est tard le soir. J’crois qu’t’as capté mon regard Ou alors qu’t’as vu mes larmes... Mais tu m’as posé plein d’questions Et je t’ai répondue que C’est vrai j’ai un poid sur le cœur. J’ai un peu mal au foie, Des yeux qui se ferment Et un peu rouge d’avoir trop pleurer. Mais tu sais... Si on coule, On apprendras forcément à nager, un jour. Si on chute, On apprendras forcément à voler, un jour. Le beau temps après l’orage... Ce soir, ce seras encore une nuit Ou je me réveillerais en sueur, A nouveau un cauchemar sous la pluie, Une nouvelle chanson qui se meurt... Et si je suis comme ça... C’est sûrement à cause...
Tel est mon amour pour toi Un paysage de rêve et de possibilités Là où tout est possibles Là où on y es toi et moi C’est comme un refuge Là où tout bouge Celui où mes sentiments rayonne ( Elle me berce) Telle la chaleur qui réchauffe ( et m’apaise ) Cet amour est mien Tout comme il peut être tient Elle brûle telle un feu ardent, Celle d’un feu de camp Elle est mon soutien, Celui au quotien Elle est force Mais aussi faiblesse... Je t’aime , d’un amour sain A telle point qu’on se saura décrire. Des sentiment fort et frais telle l’air du matin Et telle une femme qui aime un homme Tu es tout pour moi Tu es soutien pour moi Tu es mon ami , le mien Et je veux que tu soit mien Ce feu est là grâce à toi Merci de ne pas l’avoir éteint...
Et dans la nuit noire, Son regard. Le miroir posé près de la fenêtre. Ouverte. Il souriait. Éclat, lumière. Ton visage vole aux éclats. Tu n'es plus là. Dans le jour lumineux, Sont rassemblés tes limbes. Et moi, toujours là. Toujours. Toujours. Encore quelques jours, Et tu t'envoleras. Et tu partiras. Ton éclat avec la brisure du verre s'effacera. Continue. Continue de m'assassiner. Continue ton venin, Continue ton meurtre si doux et réconfortant. Continue. Je veux. Je ne peux pas. Je veux. J'ai peur. Je veux. Tue moi. ____ Repost car le premier est inaccessible.
Et dans la nuit noire, Son regard. Le miroir posé près de la fenêtre. Ouverte. Il souriait. Éclat, lumière. Ton visage vole aux éclats. Tu n'es plus là. Dans le jour lumineux, Sont rassemblés tes limbes. Et moi, toujours là. Toujours. Toujours. Encore quelques jours, Et tu t'envoleras. Et tu partiras. Ton éclat avec la brisure du verre s'effacera. Continue. Continue de m'assassiner. Continue ton venin, Continue ton meurtre si doux et réconfortant. Continue. Je veux. Je ne peux pas. Je veux. J'ai peur. Je veux. Tue moi.
Tout ce temps sans lumière C’est presque vivre sans air Et dans cette sombre masse Je me noye Puis , t’es venu Avec ton air inquiétant et malvenu Me soutenant avec des rires Des jeux et de l’aventure Je ne te connais presque pas Mais je t’aime comme cela T’es bien drôle à des moments Mais dès je ne sais pas quand tu mens Ah , ce calvaires. Mon coeur qui s’altère . Qui ne s’aère guère Et qui se serre . Bonsoir, alors voilà, j’ai décidé de mettre quelques uns de mes poèmes ici . Et je voudrais vos conseils 🥲.
Le clapotis résonnait contre la ruine, Devenue verte par le temps, elle s'était peu à peu effondrée, Puis parfois, une âme venait y marcher, Ses pas glissaient sur l'herbe grisée, Et elle avançait. Cette ombre avait souvent l'air perdue, Souvent l'air abandonnée, Elle marchait. Et la muraille l'observait, L'eau se glissait près d'elle, Et l'herbe se courbait. Dans l'ombre des branches, Des créatures bondissaient, Difformes, creusées Elles vivaient. Sans savoir ce qu'il se trouvait sous elles. Un amoncellement de saveur Un amoncellement de terreur Un amoncellement d'erreurs Puis encore et encore Elles vivaient Sans compter ceux qui ne vivaient jamais. L'ombre, pied nus, détachée, Observait, Marchait Mais ne...
Parmis les derniers maillons toujours accrochés. Que fais-je encor dans cet endroit abandonné, Dans cet endroit marqué par un temps passé ? Cicatrice bleues des retrouvailles oubliées, Qui n'auront jamais lieux, non jamais, ou du moins Qui n'auront jamais lieux dans ce désert d'airain. J'ai aperçu un oiseau au-dessus des terres, Les ailes noires, il observait, depuis les airs, Le cimetière qui s'étendait en dessous, Cet hectare qui dans l'âme ne vaut plus un sous. J'ai suivi sa fuite d'un regard attristé, Lui aussi ne pouvait supporter de rester. Il est donc parti comme bien d'autre avant lui. Ne reste ici que les gris renards de la nuit, En derniers maillons de notre chaîne brisée, Souvenir révolus désormais. Prisonniers.
Une personne m'a demandée de faire une chanson pour son "flirt friend arrogant" Définition d'un flirt friend arrogant : Un "flirt friend" arrogant est une personne qui aime flirter de manière prétentieuse ou vaniteuse. Ils peuvent avoir un fort sens de leur propre importance et chercher à attirer l'attention en se mettant en valeur. Cette attitude peut être perçue comme séduisante par certaines personnes qui apprécient le charme et l'assurance, même si cela peut aussi être considéré comme arrogant ou prétentieux par d'autres. En fin de compte, cela dépend des préférences individuelles et de la manière dont chacun interprète le comportement de cette personne, et m'a cliente aime ce type de personne et de relation. Place à la...
Oui ça a parle de moi Titre : "Reflets" Intro : Yo, check it out, on fait monter le son, Pour tous ceux qui se sentent perdus, on chante tous en chœur, ouais ! Refrain : Parfois je me perds, mon reflet s’efface, Dans ce monde cruel, je cherche ma place, Mon estime vacille, comme un bateau en mer, Mais je continue à avancer, envers et contre tout. Couplet 1 : Les regards sont des lames, qui percent mon âme, Les mots sont des flammes, qui brûlent mon cœur, Je me sens brisé(e), des morceaux éparpillés, Cherchant un sens, dans ce monde de douleurs. Refrain : Parfois je me perds, mon reflet s’efface, Dans ce monde cruel, je cherche ma place, Mon estime vacille, comme un bateau en mer, Mais je continue à avancer, envers et contre tout...
Oui, encore xD Voyez-vous des points que je pourrais améliorer ? ಠ⁠ ͜⁠ʖ⁠ ⁠ಠ Une lumière pâle inondait la vallée Le soleil se levait, éclairant les tranchées C'était finit pour lui, il le savait Car c'est au lever du soleil que les bourreaux Achèvent d'une balle, en un coup Les mourants, qui désespérés Rampent vers ce soleil levant. Enfin, la délivrance Mais sa mort, car il le savait aussi, N'avait que peu d'importance Des centaines et des milliers il y en aurait encore Et le soleil continuera de se lever.

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