Poèmes et écriture

S'endormir en pleurant.. Pleurer en rêvant... Rêver de la fin des pleurs… Ainsi le cycle de la nuit, Tristesse et nostalgie, Doigts croisés, yeux fermés, Coeur lourd, découragé… Est-ce un espoir que je vois! Une lueur? Est-ce la fin de ma douleur? Oh non..non ce n’était qu’une illusion… Que se passe t’il? Je crois que je perd la raison…
Tout ce temps sans lumière C’est presque vivre sans air Et dans cette sombre masse Je me noye Puis , t’es venu Avec ton air inquiétant et malvenu Me soutenant avec des rires Des jeux et de l’aventure Je ne te connais presque pas Mais je t’aime comme cela T’es bien drôle à des moments Mais dès je ne sais pas quand tu mens Ah , ce calvaires. Mon coeur qui s’altère . Qui ne s’aère guère Et qui se serre .
Sans titre Ces beaux jours de paix Sont tristement passés Laissant place au tumulte Qui sera bien rude Une année deroutante Et aussi extasiante M’attend sur l’allée Et me laissera balader Elle sera dur Et ça c’est sur Ella m’attend sur le toit Avec sa pudeur sournois Cette année scolaire Que j’appréhende avec le fer Que je vais bouleversé Pour leurs prouver
Souvent je m'en frottais À Cesair de jouvence Sur cette inclinaison Qui m'egouttait le cœur Quand d'autres nostalgies Parfumaient mes labeurs Je m'engouffrais de pluie Souvent je me courbais Incitait mon étoile À frotter dans nos cous Le bar de nos regrets Quand le vent de tes yeux À mon âme soulevait La plume et le combat Imperceptiblement Sous pressions souveraines L'averse a détraqué Comme un manteau, l'été Le printemps sur nos mœurs Pour en changer l'humus Le rire et la couleur Barres d'espoir à nous peindre La vie de ses réformes.
Sur le miroir, j'ai brisé l'œuf, De nos racines, ronde froissée Au pli rendu de nos pensées Un sou pour rire, l'autre à s'aimer Regarder chanter ton nuage, Sur mes contours, c'est vivre mieux Feuille déviée, sur tes aveux Fertilités de tes langages À s'enmêler, l'air de bruisser, Innocemment, tes ors en eaux, Mots tatoués, nos grains ciseaux, Sur tes peaux lisses, m'émerveiller Passer le coup, fatigues blondes Creusées de coiffes, je reste coi, D'Insolations, rêver pour trois Tes cœurs m'allongent et nous fecondent.
Cartables grisés, sur un doute, Ces fardeaux blancs comme une rose, Bannie aux claires d'une névrose, Ces ombres vives sur nos routes, Ventre incertain, chant médecin, Sirène douce, ta beauté, Virile exploit, vent de gaieté, Sur mes pommettes, entre mes mains J'écris un baluchon courbé, Portant tes lignes sur mes lèvres, Quoique j'en lise, je reste sève Parmi nos seves et tes étés Cet inclassable résurgence Qui m'en soulève et m'en maintient Tes mots en mes yeux, arlequins Mes incassables, mes enfances.