Poèmes et écriture

Seule et comme de tout isolée, c’est à toi je ne cesse de penser. Où est passé notre amour, est-il perdu pour toujours ? Je me sens comme prisonnière, seul toi peu me libéré de ma peine. Je voudrais savoir ce que tu ressens, me diras-tu un jour ce que tu penses ? J’ai beau dans la nuit te chercher, tu n’as de cesse de t’éloigner. Perdue de plus en plus dans mes songes, mon coeur meurt et dans les ténèbres je sombre. On était si près d’être nous, mais on s’éloigne malgré tout. Je veux retrouver ton sourire, hélas on ne fait que souffrir. Dans le silence de la nuit je t’attends, me rejoindras-tu pour t’asseoir sur le banc ? Prendras-tu alors la paroles, là où elle se coince dans ma gorge ? Pourras-tu me dire le fond de...
Mes joues s'enflamment, mon coeur bat bien trop vite, mes mains deviennent moites et je ne sais plus où poser le regard. Mon dieu. Elle est là. Elle passe dans le couloir. Non, je n'en suis pas amoureuse. Mais c'est mon âme soeur. Les quolibets murmurés fusent. Conséquence du dernier commentaire de texte où tout le monde s'est pris une tôle. Sauf moi. J'ai négligé les autres matières pour me lancer corps et sang dans cette interrogation. "MDR regarde là avec son style de grand-mère ! " Non, elle a juste un style qui lui est propre. Elle a de l'originalité. Pas comme vous. "Elle a quoi à nous regarder comme ça ??" Mais vous avez vu comment vous la jugez, bande de macaques ? "Avec son air austère là" Non, elle a une aura...
J’ai tant de fois voulu te voir, juste pour continuer d’y croire. J’ai raté tellement d’occasions de te le dire, que maintenant je passe mon temps à me maudire. J’ai passé tellement de nuits blanches, en vain dans le silence de la nuit à t’attendre. Je ne sais pas ce que tu ressens, ni si c’est à moi que tu penses. Je voudrais réellement t’écouter, mais mes jambes refusent de s’arrêter. Je ne voulais pas partir en silence, mais tu me laisse aller et reste distant. Mes crises augmentent toujours plus, pourtant c’est toi que j’ai déçu le plus. Je voudrais revenir en arrière, me retourner vers toi et être sincère. Le temps ne fait que défiler, je ne peux pas le rattraper. Pourtant je continuer d’espérer, juste pour...
Je marche seul. Mais je ne suis pas seul. Je blasphème et demande pardon. Je tombe puis me relève. Je rêve, mais la réalité me percute. Je voulais mourir, pourtant je me bats pour vivre. L'injustice tombe sur moi et pourtant je refuse de me servir. Je dois me venger et ne peux le faire que contre moi. Entre le bien et le mal, j'ai choisi le pire. L'équilibre sur la corde raide me plonge dans le vertige. Je sais que le néant me guette dans la surcharge. Sur mon âme coulent les vomissures de mon esprit. Je voulais découvrir la vérité. Je n'ai vu que mes mensonges. Il ne me reste plus que l'amour. Sur cette corde raide qui m'a été offerte. Je ne souhaite plus qu'aller jusqu'au bout. Pour ne décevoir personne. Pour ne blesser qui que ce...
Je sais que c’est dur pour toi, tout autant que ça l’est pour moi. Alors disons nous la vérité, avant de nous laisser sombrer. Pourquoi on s’éloigne, si il reste encore de l’espoir ? On n’a pas besoin de l’avis des autres, quand la seule vérité est bien la nôtre. Entre nous règne tout le temps un grand silence, qui nous plonge toujours plus dans la souffrance. Laissons tomber nos barrières, et laissons les loin derrière. Je rêve toujours de ton retour, pourras-tu m’aimer sans détour ? Pour toi je me suis battue nuits et jours, mais tu m’ignores encore plus toujours. Il est vrai que je suis restée silencieuse, mais la vérité est juste sous tes yeux. Parle moi encore une fois, avant que je ne perdre la foi. Je continue...
Ma santé se décline, pendant que tu te débines. Ton absence est insupportable, et ton silence est aussi indéniable. Mon amour pour toi je ferais tout, mais tu m’ignores à quoi tu joues ? J’essaie de garder la foi, mais tu t’éloignes de moi. Dis moi où est la vérité ? Puis-je encore espérer ? On me dit de lâcher prise, mais je m’accroche sans surprise. J’ai besoin de savoir le fond de tout ça, est-ce qu’un jour cela se redressera ? Je t’attends toujours en vain, mais j’ai peur que ce ne soit la fin. Alors regarde moi et parle moi, Est-ce qu’en nous tu as encore la foi ?
Ô ma Rivière... Ô ma Rivière Tu m'appelles Ô ma Rivière Je t'entends, Ô je t'entends Au loin, au loin, tu coules...au loin, tu coules Ta voix, le murmure de ta voix Ton écho se propage Il vient, jusqu'à moi Accompagné de ton image Tout deux, résonnent en moi Comme une plainte Une triste chanson Jusque dans ma tête Je peux entendre le son Dans les airs se répand Le doux vol de tes sentiments Ô merveilleuse symphonie Aux douces notes d'amour Plaisir d'harmonie De leurs ailes De ta vie Chaque jour Aidé par le Vent Par le Vent Du matin, au soir En compagnie des nuages Qui viennent se poser sur mon cœur De tes témoignages En moi... montent les larmes Je ne peux... retenir mes pleurs Elles s'écoulent sur mon...
★ L' Art...Street... Dans ma tanière la journée Je suis l'homme de la nuit Dès le coucher du Soleil J'sors de ma jungle Comme un animal surgit J'ai pour mode de vie, les ténèbres C'est ainsi qu' j'les célèbre Du jour qui décline De la nuit qui s'installe Pour moi c'est le signal Et que s'ouvre le bal Pour que j'rentre dans la danse De noir totalement revêtu Je suis l'homme qui tue Un hors-la-loi J'en revendique le droit De mes griffes j' lacère les murs Avec mes mains J' disperse ma cervelle J'répand mes tripes,mes entrailles De la peinture,s' trouvant dans ma tête J' pulvérise mes mots J'exhibe mes fresques Pour créer du laid,du beau Pour étaler le portrait d' la société Et ,d'mon univers à moi J'ai mes armes...
Nuit calme, nuit paisible, toi qui hante mes nuits. J'avance sans un bruit, Déambulant sans vie. Telle une coquille vide, dans ce froid frigide. Une seule pensée rempli mon esprit, que la vérité soit enfin éclaircie. Quand je te vois le jour tu es si brillant, pourquoi la nuit tu es si distant? Je continue de croire en nous, car je t'aime plus que tout. Cette nuit pourrait être la bonne, je l'espère tandis que je chantonne. Ce fut encore une illusion, je pleure de désillusion. Je rentre lentement en marchant, Mon coeur toujours plus se serrant. Ton absence me fait plus que mal, et voilà que redescend mon moral.
Petite musique qui a été la toile de fond lorsque j'ai couché sur le papier ces quelques mots. https://m.youtube.com/watch?v=qq4jWEK-qYs Bonne lecture ✨️ Abandonné Sentiment de solitude, attendre des messages, des signes d'un quelconque intérêt. Pourtant encore et toujours seul, seul avec le silence, et quelques livres pour m'accompagner. Difficile de garder espoir cette fois ci, j'ai déjà trop rêvé. S'attacher au gens, y croire, alors que tout n'était que superficiel. Tomber dans l'oubli, dans l'ombre du temps qui coule. Laisser passer les occasions, et se lamenter lorsque les larmes roulent. Comment saisir cette vie qui m'a toujours glissé entre les doigts. Les paroles volent, les écrits restent. Seuls les écrits restent, leurs...
Le soleil se lève doucement, et je pense à toi tendrement. Mais dis-moi mon amour, à quand ton grand retour ? Je t’attends toujours patiemment, d’un amour fou éperdument. Je me languis de toi, qu’en est-il de toi ? Si tu savais à quel point, je t’aime à jamais sans fin. Pourquoi on s’inflige tout ça, j’y songe encore à tout-va. Tu sais déjà qui je suis, pourquoi tu me fuis ? Aimes-tu jouer au chat et à la souris ? Je me le demande dans mes songeries. Dans mes rêves tu y es toujours, j’avoue que je t’aime plus que tout.
Tu sais qui je suis mais tes amis disent le contraire, pourtant ta foi en nous est des plus exemplaire. Désolée si je n’ai de cesse m’éloigner, si tu savais à quel point je veux rester. Ouvre bien tes yeux, crois encore en nous deux. Tu connais déjà la vérité, Dans ton coeur elle est cachée. Tu le ressens au plus profond de toi, le coeur ne se trompe jamais crois moi. Désolée de ne pas pouvoir te faire face, devant toi je suis figée telle une statue de glace. Pourtant tu réchauffe mon âme d’une chaleur intense, comme si je dansait sur un brasier bien immense. J’ai tendance à perdre mes mots, devant tes yeux si beaux. Souvent je manque de courage, mais en moi le feu fait rage.
Tu lisais un poème. Dans tes prunelles, les rimes défilaient cousues d'un fil bleu. Tu t'es fait un noeud. Alors je déposai mon manteau vert, vis ton visage blême ; Tu pleurais de tendresse. Cette chanson violette, celle de tes nuits solitaires Ne voulait pas se taire. Elle s'emmêlait dans le Ciel ; réchauffait ta promesse Et le sel sous tes doigts. Partout, le froid de l'hiver se déposait tristement. Et pourtant, que je mens : Ton ange, ton amour, t'embrassa pour la dernière fois Tu mourras dans ton être D'un silence irréel. Il ferma la fenêtre ; Puis déploya ses ailes. —Dwaen.
Je t’aime plus que tout, mais tu ne me vois pas malgré tout. Je suis là tout près de toi, mais tu ne me vois pas. Oui j’ai le coeur brisé, mais je continue d’espérer. Je lutte sans cesse pour toi, le verras tu un jour ma foi ? Même dans la plus sombre des nuits, et cela bien après les douze coup de minuit. On s’éloigne de plus en plus, et je me sens complètement perdue. Tu es mon étoile dans la nuit noire, je refuse de perdre tout espoir. Je continue de croire en nous, et prie pour te revoir surtout. Est-ce que tu m’attends encore, ou ais-je déjà ouvert la boîte de Pandore ? Est-il déjà trop tard, ou y a-t-il encore de l’espoir ?
Lassée d’attendre en vain, cette fois c’est la fin. Je ne sortirais jamais plus de la nuit, même si c’est à toi que je pense avant de dormir. Je laisse tout tomber, comme seule tu m’a laissée. Je pleure tout le temps, tu le vois pas pour autant. Même si j’ai le coeur brisé, il n’y a que toi pour le réparer. Je n’en peux plus de ces jeux, mais je n’ai plus de valeur à tes yeux. Seule et isolée dans mes quatre murs, sais-tu à quel point c’est dur ? Je rêvais qu’on soit ensemble, dis moi fessais-tu semblant ? Sans toi tout es vide de sens, et je me sens bousculer dans le néant. Dis moi ressens-tu la même peine, ou as-tu pour moi juste de la haine ? J’attendais un signe en silence, mais c’était vain de toute évidence.
Pourquoi même m’as-tu dit ces mots, si c’est pour disparaître ensuite sans un mot ? Un jour tu dis oui puis tu dis non, j’en perds presque la raison. Autour de moi tout s’écroule, vas-t-on un jour en découdre ? Je sors sans cesse en vain la nuit dans l’espoir de te retrouver, pendant que tu caches c’est tes amis qui continuent de m’espionner. On me pointe du doigt et on se moque de moi, tandis que le seul qui reste dans l’ombre c’est toi. Crois-tu que c’est facile à vivre ? Je me sens de plus en plus vide. As-tu essayer au moins de me comprendre ? Ou te joues-tu seulement de mes sentiments ? Toi seul à les réponses à ces questions, ceci dit tu restes sur tes positions. Comment savoir ce que tu ressens, si tu ne me...
Je ne sais plus quoi faire, comme si j’étais prisonnière. Je me retrouve bloquée là, et je me sens devenir lasse. C’est comme parler à un mur, et je pleure dans un murmure. Je m’isole de plus en plus, je cache ma tristesse dans la solitude. J’ai si mal au coeur que de deux crises je passes à trois, mais ça hélas tu ne le remarque même pas ma fois. Je me sens lentement dériver, comme si j’étais déjà noyée. Sais tu comme je t’aime ? Pour toujours et à jamais. Tu n’es plus jamais dans mon champ de vision, mais pour toujours gravé dans mon coeur sans raisons. Et chaque nuit je t’attends pourtant, sans te revoir pour autant.
Des larmes sur mes yeux se sont mises à perlées, triste constat de ton absence sans cesse répétée. Sans toi autour de moi je me sens si seule, mais ton coeur je ne crois pas en avoir le seuil. Hormis ton éloignement je fais face à tes silences, ils font rage comme un éternel énorme ouragan. Mais dis moi dans les ténèbres de la nuit, n’entends-tu pas ma voix qui pour toi crie ? Il est vrai que bien trop souvent j’ai manqué de courage, mais en te voyant t’amuser sans moi mon coeur fait rage. Je m’isole seule tard dans la nuit, il n’y a que mes pas qui font du bruit. Mon coeur se meurt chaque fois un peu plus, jusqu’au jour où vraiment je n’en pourrais plus. Ne vois-tu pas toute ma détresse, qui se cache dans ma maladresse ...
Même si le doute s’est installé en moi, En nous deux je garde toujours la foi. M’isoler n’a fait que m’enfermer, alors je décide de ne plus me cacher. Pour moi fini la fuite je suis prête à me déclarer, si tu es toujours prêt à me laisser une chance de me lancer. Je ne fuirais plus devant toi ni même dans la foule, je continuerais d’aller vers toi quitte à en perdre la boule. Je ferais front à ton entourage et ton antre, qui à trembler de partout la boule au ventre. Cette fois entre nous il n’y aura plus aucun faux semblants, juste la vérité sincère de nos coeurs quitte à le faire en pleurant. Finis les mensonges et les ignorances, avançons sur la vérité dans l’espérance. Que tout enfin soit révélé, finis les maux du...
Encore un de ces jours, où tout autour de moi s’écroule. Est-ce la réalité ? Ou un rêve éveillé ? Tout se bouscule dans ma tête, je réfléchi à tout sans cesse. Comme prisonnière d’une toile d’araignée, je suis piégée dans mes sombres pensées. Le temps continue d’avancer, tu n’es pas là à mes côtés. Et ces balades nocturnes, à croire qu’elles ne servent plus. Même en journée tu n’est jamais présent, alors dis moi comment supporter ton absence ? Le peu que je t’aperçois, ça me fais mal ma foi. Tu traînes souvent la nuit avec des belles femmes, et je sens la jalousie monter en moi telle des flammes. La fois suivante tu fais la fête avec tes potes, tu me vois non loin mais là encore tu m’ignores. Où est le vrai ? Où est...

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