Poèmes et écriture

Des larmes sur mes yeux se sont mises à perlées, triste constat de ton absence sans cesse répétée. Sans toi autour de moi je me sens si seule, mais ton coeur je ne crois pas en avoir le seuil. Hormis ton éloignement je fais face à tes silences, ils font rage comme un éternel énorme ouragan. Mais dis moi dans les ténèbres de la nuit, n’entends-tu pas ma voix qui pour toi crie ? Il est vrai que bien trop souvent j’ai manqué de courage, mais en te voyant t’amuser sans moi mon coeur fait rage. Je m’isole seule tard dans la nuit, il n’y a que mes pas qui font du bruit. Mon coeur se meurt chaque fois un peu plus, jusqu’au jour où vraiment je n’en pourrais plus. Ne vois-tu pas toute ma détresse, qui se cache dans ma maladresse ...
Même si le doute s’est installé en moi, En nous deux je garde toujours la foi. M’isoler n’a fait que m’enfermer, alors je décide de ne plus me cacher. Pour moi fini la fuite je suis prête à me déclarer, si tu es toujours prêt à me laisser une chance de me lancer. Je ne fuirais plus devant toi ni même dans la foule, je continuerais d’aller vers toi quitte à en perdre la boule. Je ferais front à ton entourage et ton antre, qui à trembler de partout la boule au ventre. Cette fois entre nous il n’y aura plus aucun faux semblants, juste la vérité sincère de nos coeurs quitte à le faire en pleurant. Finis les mensonges et les ignorances, avançons sur la vérité dans l’espérance. Que tout enfin soit révélé, finis les maux du...
Encore un de ces jours, où tout autour de moi s’écroule. Est-ce la réalité ? Ou un rêve éveillé ? Tout se bouscule dans ma tête, je réfléchi à tout sans cesse. Comme prisonnière d’une toile d’araignée, je suis piégée dans mes sombres pensées. Le temps continue d’avancer, tu n’es pas là à mes côtés. Et ces balades nocturnes, à croire qu’elles ne servent plus. Même en journée tu n’est jamais présent, alors dis moi comment supporter ton absence ? Le peu que je t’aperçois, ça me fais mal ma foi. Tu traînes souvent la nuit avec des belles femmes, et je sens la jalousie monter en moi telle des flammes. La fois suivante tu fais la fête avec tes potes, tu me vois non loin mais là encore tu m’ignores. Où est le vrai ? Où est...
J’entends les voix autour de moi, on se moque et rigole de moi. J’entends les voix autour de moi, elles me disent que je devrais abandonner. J’entends les voix autour de moi, elles s’inquiètent de mon état. J’entends les voix autour de moi, elles résonnent sans cesse dans ma tête. J’entends les voix autour de moi, j’essaie de les chasser en vain. J’entends les voix autour de moi, je ne sais plus où donner de la tête. J’entends les voix autour de moi, mais je reste toujours de marbre. J’entends les voix autour de moi, parfois elles m’agacent un peu trop. J’entends les voix autour de moi, pourquoi je garde espoir ma foi ? J’entends les voix autour de moi, et on me pointe encore du doigt. J’entends les voix autour de...
Aujourd'hui un homme, Un homme C'est pendu dans le parc, Dans le parc Dans le parc de ma ville Sous les caresses du vent, Son corps Son corps, sans vie se balance Mon Dieu ! Mon Dieu ! Quelle horreur ! Pourquoi ? Pourquoi a-t-il fait ça ? En arriver, En arriver là Mon Dieu ! Mon Dieu ! Que c'est triste Quel drame ! Oh oui ! Quel drame ! L'avez-vous vu ? Vous l'avez vu ! Pendu Pendu à cet arbre Bien-sûr, que Non ! Quelle question !? Fort, heureusement, que non ! De ce corps, De ce corps se balançant Sous les caresses Les caresses du vent Que,de voir cela ! Je, J'en, J'en serai hanté Hanté, jusqu'à la fin, La fin de mes jours Que, Que,lui a-t-il pris !? Pour mettre Mettre, fin à sa vie ! De nos jours Comment ? Comment...
Tu me laisse tomber, sans prendre le temps de parler. Celui qui a fauté c’est pourtant pas moi, alors pourquoi tu disparaît comme ça ma foi. Ton absence est longue et douloureuse, pourtant de toi je suis toujours amoureuse. Tandis que tu te balade tranquille, je pleure à chaque les nuits. Te serais tu joué de moi, alors que tu sais ce que je ressent pour toi ? Était-ce juste un rêve ou une illusion, je ne sais plus ce qui est vrai ou non. Je veux que nous en discutons, mais tu reste dans l’ombre. Alors vas y prends ton courage en main, et viens me dire la vérité que j’attends en vain. Je n’attends que toi, pourquoi tu ne me crois pas ? J’erre toutes les nuit à ta recherche sans savoir ou tu pourrait être, et quand je...
J’ouvre un livre peu ordinaire, et soudain j’entre dans un monde extraordinaire. Ici où mes soucis et mes peines existent, là tout s’envole sans un bruit et se dissipent. D’un monde morne et sans vie, j’entre dans un lieu rempli de magie. Mes yeux s’émerveillent devant la beauté de cet univers, c’est fantastique et merveilleux sans aucun pareil. Les dragons volent au vent, tandis que je survole le firmament. Les sorciers sont de sortie, et je reprends goût à la vie. Les méchants n’ont qu’à bien se tenir, ici enfin je me sens libre et revivre. Là où les autres voient des lignes sans vie, moi je vois des paysages si splendides. On m’a dit qu’il faut grandir et de cesser avec tout ça, désolé de vous décevoir mais ça...
Un autre jour, où je sors sans te voir. Un autre jour, où tu n’est pas là. Un autre jour, où je m’inquiète pour toi. Un autre jour, que je passe à pleurer chez moi. Un autre jour, loin de toi. Un autre jour, à me demander si tu reviendras. Un autre jour, à me demander si tu me pardonneras. Un autre jour, où mes pensées fusent vers toi. Un autre jour, à sortir la nuit pour rien. Un autre jour passé sans toi. Un autre jour, à mourir de désespoir.
La nuit s’éveille, tandis que je désespère. La force me quitte, je n’avance plus vite. Je marche lentement, sous la brise du vent, Mon coeur se brise, sous le ciel qui scintille. Je regarde les étoiles, elles emportent mon dernier espoir. Je monte sur le pont, cette fois je suis au fond. Et dans la nuit noire, je sombre dans le désespoir. Cette fois c’est la fin, enfin ma peine prend fin.
Je pense à toi quand je regarde le ciel étoilé, ton regard est aussi profond que l’océan sous la lune argentée. Je pense à toi quand je vois un champs de blé, tes cheveux sont comme le soleil un jour d’été. Je pense à toi malgré la distance qui nous sépare, car notre amour est tout aussi incomparable. Je pense à toi quand la pluie forte tombe, j’espère que tu es à l’abri loin de son ombre. Je pense à toi quand il fait froid, pourvu que tu sois au chaud ma foi. Je pense à toi quand je dois m’éloigner. Mais pourtant à toi je ne cesse de songer. Je pense à toi quand je suis seule et renfermée, car je n’ai de cesse de regretter mes erreurs passées. Je pense à toi quand tombe la nuit, où je marche à tomber dans la folie. Je...
Sérénade... Une belle soirée Sous un ciel nocturne, sans le moindre nuage De nos compositions, pour vous rendre hommage C'est ainsi, que tout a commencé Te souviens-tu, mon ami,de ce temps là ? Où, nous allions porter la Sérénade ! Avec, pour instrument notre guitare Aux cordes,si sensibles Source de cette musique amoureuse Sous les fenêtres de nos aimées,nos désirées En cette manière de courtiser Des mots prononcés,de part notre éloquence, Qui s'envolaient dans les airs Pour nous l'importance Pour tout simplement, leurs plaire De ces moments de pure intimisme Je ne cesse de me les remémorer Où,il n'y avait que de l'optimisme À tout jamais Que, cela me serre la poitrine Ô combien jamais Que, j'en ai encore mal au cœur...
Elle rentre lentement, en cachant son visage baissé mollement. D’une dernière nuit d’espoir elle espérait, pour que leurs coeurs soient unis à jamais. Mais au lieu de cela, c’est la fin qui l’emporta. Son coeur rempli de tristesse, était pleins de détresse. Alors sous son visage caché, c’est en pleurs qu’elle se laissa allée. Dans son lit elle se laissa tomber, et c’est en larmes qu’elle fini par sombrer. Cela demeure la triste réalité, d’un amour mort avant d’être révélé.
Poésie écrite le soir du 14 juillet de cette année après être allé aux feux d'artifices avec une fille. Elle parle de moi, d'elle, d'une relation qui s'est terminée. Elle comporte beaucoup de symbolisme et de métaphores. Rimes croisés. Vers en septain (en principe, mais je m'accorde quelques libertés parfois). Quand le crépuscule fini Sa descente sur la terre, Et qu'ici-bas plus un bruit Ne viens corrompre l'air, Les éclairages de la ville Embellissent les surfaces, D'un teint pâle à peine subtil Formant comme une préface, C'est ici dans ces landes Où s'est rencontré fort bien, Ta tendre âme d'amande À mon pauvre cœur éteint Assis comme sur un mirage Attendons, prés des méandres, Quelques subtiles présages Et ces pluies d'or si...
Emprisonnée seule dans ma tour, dont j’ai déjà mille fois fait le tour. Je l’attends en silence, son retour en pleurant. Seule et isolée dans les ténombres de la nuit, j’espère en vain le moindre signe de lui. Cloîtrée entre ces quatre murs, sait-il à quel point c’est dur ? Je désespère en rentrant chez moi, combien de temps encore vais-je garder espoir ? Et dans la nuit telle une ombre, lentement je sens que je sombre. De retour dans mon lit où je m’allonge, c’est dans les pleurs que je rejoins les songes. Perdue dans cet amour qui demeure inaudible, je rêve de retrouvailles qui semblent impossibles.
Boucles d'or Une fillette au teint blême vagabondant les violons d'Ingres, semblable a boucles d'or aux yeux émeraudes et animés, mais, pourtant mal-aimé elle ne s'éclipsa jamais, de faire découvrir et prononcée corps et âme son expresivité. Un et miles sourires, cette opiniâtre physionomie... autant en rire? Nombreuses différences comme ce a quoi elle pense, que d'ambivalence a cette petite marchant parfois, sans prudence. Boucles d'ors aux talents vu comme des "trésors". Souvent discrimée, mais l'as t'elle méritée ? Un et miles sourires, cette opiniâtre physionomie... autant en rire? Des pleures qui s'écoulent sur un teint proche de l'anémie ainsi que des leurres et cauchemars qui alimente mes peurs chaque nuit. Cette petite...
- A quoi tu penses? - En fait, je me demande, quel goût tu as… Quel goût à ta bouche? Ta langue? Est-elle charnue? Est-elle souple? Tes lèvres sont-elles douces? Écorchées ? Je me demande si je presserais mes lèvres contre les tiennes, Ou si nos fluides permettraient qu’elles s’enlacent naturellement, Suavement. Je me demande si ta langue est chaude ou juste tiède. Raide contre la mienne. Je me demande quel goût tu as. -Elewo -> (ig)
La petite dame se baladait seule dans la rue. C’est alors qu’elle faillit rentrer dans cet bel inconnu. Et bien que dans leurs yeux une étincelle jaillit, aucun son de leurs bouche n’en soit sorti. Ils se croisèrent à plusieurs reprises, mais jamais ses sentiments ne lui furent dit. Il essaya en criant d’attirer son attention, hélas son appel restait toujours sans réponse. Elle décida de s’éloigner de lui, pensant qu’il en avait assez de la croiser ainsi. Pourtant c’est dans son cœur qu’il demeure, espérant chaque soir qu’il lui parle sans peur. Cloîtrée et isolée chez elle, elle attend en vain qu’il comprenne. Dans une dernière prière elle l’appelle, espérant qu’il vienne enfin à elle. Et que sous le ciel nocturne de la...
Je vous parle d’un temps que les utilisateurs récents ne peuvent pas connaître Foforum en ces temps-là était plein de débats, de bons conseils et de rigolades jusque sous nos fenêtres Et si l’humble garni qui nous servait de lit ne payait pas de mine C’est là qu’on s’est connu, moi en questionnement, et toi qui étais bienveillant La Fofofamily, la Fofofamily Ça voulait dire On est heureux d’être amis Dans les sous-forums nous étions quelques-uns qui attendions la gloire Et bien qu’en déprime, en débat ou ailleurs, nous ne cessions d’y croire Et quand à la boutique, contre des Fofocoins, nous personnalisions notre pseudo Groupés autour du forum, en oubliant nos situations en porte-à-faux La Fofofamily, la Fofofamily Ça...
J'erre seule dans la nuit, bercée d'une douce mélancolie. Je sens l'air frais sur mon visage, même si aussi tôt ce n'est pas très sage. La fumée s'envole dans le vent, autant que le temps passe lentement. Prise dans mes songes je ne pense à cette personne, bien que je rate les tentatives qu'elle occasionne. Perdue dans mes tristes pensées, je me sens épiée. Est-ce juste un simple impression, ou une réalité cachée dans la pénombre ? Manquant sans cesse de sommeil, c'est la nuit que je m'éveille. Dans mes songes embourbés, je désespère de le retrouver. Fixant le ciel à peine étoilé, j'espère juste m'être trompée. Saura-t-il un jour à quel point je l'attend, ou l'ignorera-t-il jusqu'à la fin des temps? Car mon amour sache que chaque soir...
L’amour, un sentiment bien pesant. Parfois mignon Parfois avançant Puis devient un penchant. Mes sentiments sont miens. Non réciproque mais c’est bien Rien ne presse , rien n’y force Je suis moi bien forte. Être amoureux n’est pas horrible Ça nous fais assi découvrir On en apprend pour nous en servir Et découvrir la joie de vivre D’au moins avoir aimé un être Être incroyable que le cœur élu. Le négatif ne gagne , Et positif apparu... Fort malheureusement, Un feu frémit. Il gémit. Il vit en moi, me chauffant. Quel tristesse. Quel malheur. Quand cela cesse ? Quand verrais je le bonheur ? Torturre mental... Ces dilemmes Ces problèmes Ça fait mal... Mon coeur et mon ésprit Convergent d’une...

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