Poèmes et écriture

TW: violences conjugales et 🟣. Je t'aimes chéri. Je t'aimes chéri, Même quand cette valse se transforme en cris, Lorsque notre danse macabre me force à me couvrir davantages, Et que notre relation n'es d'après autrui qu'un mirage. Je t'aimes chéri, Même forcée a m'allonger dénudée sur ce lit Malgré la peinture que tu mets sur ma peau, Tu restes dans mon cœur, mon beau et doux Roméo. Je t'aime chéri, Même si les gens a la vu de mon corps sont ahuris, Plus tu m'aimes, plus tu me bats, Et de nouveau avec moi tu dansas, Finissant par m'emmener au paradis, Là où enfin cesseront mes cris. Je t'aime, et toi chéri, ne serrais-ce qu'une fois mas-tu aimés? ou dois-je me baser sur les danses que j'ai subi par le monstre que tu étais ...
L'amour est une poésie. Ça se construit. D'abord par des vers, certains plus longs, certains plus courts. Après des vers, se forment des strophes. De différentes tailles. De différentes longueurs. De différentes langueurs. Parfois, les plus complexes sont les plus prompts. Les plus lents sont les plus simples. Ça se recommence. Car le début n'a pas plu. Que la fin n'est pas belle. N'est pas parfaite. Alors on essaie d'autres façons de faire. On gribouille, on raccourcit, on allonge. Il y a aussi des passages très beaux. Mais douloureusement beaux. Car ils nous rappellent des choses que l'on préférerait oublier, enterrer, étouffer. Alors on les efface. Ça fait mal mais c'est nécessaire. Puis ça se finit. Car tout a été...
Comment faire quand la tempête domine le navire? Quand les vagues qui se déchaînent brisent à grands fouets tout ce qui me protège de ce grand océan de solitude? Le ciel m'accompagne dans mes sanglots, l'eau envahit le bateau. Se battre pour ne pas couler...bat toi...bat toi! La foudre gronde. Je crie. Je suis seule. Seule au milieu de ce déluge. À l'aide! Aucune réponse. Comment faire quand on est tombé à l'eau? Non...non c'est trop tard...je me noie. Seule, complètement seule...seule...seu…s...
Bonsoir ✨ Aujourd'hui, @Osirisse m'a donné envie d'écrire un petit poème. Je voulais redonner un semblant d'espoir à tous ceux qui ne vont pas bien... ❤️‍🩹 Même si la poésie n'est pas mon fort, j'ai voulu essayer... Bonne lecture ! ----------------------------------------------------------------- C'est une vague qui déferle sans relâche; Ne la manque jamais, avec force l'écrase. C'est un poids qu'elle traine avec elle, implacable; L'emporte lentement au fond, âme vulnérable. Elle est une adolescente, Hortense; Brisée en mille petits morceaux. Dans un labyrinthe tortueux, Qui ne porte qu'un nom : Dépression. Hortense n'a pas confiance en l'avenir. Quel métier ? Quelles passions ? Pour elle, une seule solution : Inutile de chercher à...
Petit texte ✨ Tu es celle que je n'aurais jamais dû rencontrer, celle qui en un simple moment a su me charmer, sans vraiment se souvenir que nos chemins s'étaient croisés. J'ai gardé chaque instant de cette rencontre, de cette évasion, dans un écrin précieux et secret, cet écrin que l'on appelle le cœur. Sans vraiment le savoir, sans vraiment le vouloir, tu as laissé la marque profonde que seul l'amour sait graver. J'ai aimé entendre ta voix, mais aussi voir ton visage, illuminé par ces deux yeux qui étincelaient de vie et de joie. J'ai aimé cette douceur que tu dégageait, cette folie que tu contenait, mais surtout cette aura si attachante et propre à toi qui t'enveloppait. Tu n'es comme personne, chacun est unique, mais tu es encore...
On me dis assez sage Mais cela n'est en rien ma nature Etant presque étranglé sans bruit Dans cette mélodie sans inerte et sans vie Un meli melo instable Qui cours presque désastre Et m'abat petit a petit Pour satisfaire son appétit Je me rappelle de ces mot Qui me disait tout haut : "On a pas besoin de toi" Respecte la loi "Vivre" , souhait méconnu Qui a disparue Dans un torrent d'injustice Qui m'étouffe sans préjudice Ou bien l'amour Qui me met à la bourre Étant grand comme le ciel Et inatteignable comme tel " Espoir" , un somptueux mots Fort et bien apaisant Que je convoite tant Mais qui m'as trahis assez tôt Mes rimes s'envolent Mes mots d'engloutissent Ma motivation dans les abysses Et mon énergie dans de vide...
L'hiver s'installe doucement, dans un tourbillon de flocons, La neige recouvre le paysage, tout devient blanc et féerique à foison. Les arbres se parent de glace, les rivières se figent en cristal, Et dans l'air froid, on entend le doux chant de l'hiver, si spécial. Les matins givrés nous invitent à rester sous la couette, Les chocolats chauds réchauffent nos cœurs, c'est une fête. Les enfants s'amusent à faire des bonhommes de neige, Et les flocons dansent dans le vent, une symphonie qui neige. Les soirées au coin du feu, emmitouflés dans nos pulls, On partage des moments chaleureux, à l'abri du froid qui brûle. Les étoiles brillent intensément dans le ciel clair, Et l'hiver nous enveloppe de sa magie, sans rien délaisser. Alors...
Boucles d'or Une fillette au teint blême vagabondant les violons d'Ingres, semblable a boucles d'or aux yeux émeraudes et animés, mais, pourtant mal-aimé elle ne s'éclipsa jamais, de faire découvrir et prononcée corps et âme son expresivité. Un et miles sourires, cette opiniâtre physionomie... autant en rire? Nombreuses différences comme ce a quoi elle pense, que d'ambivalence a cette petite marchant parfois, sans prudence. Boucles d'ors aux talents vu comme des "trésors". Souvent discrimée, mais l'as t'elle méritée ? Un et miles sourires, cette opiniâtre physionomie... autant en rire? Des pleures qui s'écoulent sur un teint proche de l'anémie ainsi que des leurres et cauchemars qui alimente mes peurs chaque nuit. Cette petite...
Je culpabilise d’aller mieux Mais j’ai déjà fais mes adieu Je veux un avenir plus joyeux Dans ce néant absolu J’ai tout perdu J’ai cru être abattue Pourtant je me relève à travers cette cohue Je croyais que c’était mieux de rester à terre Mais c’est pas ça un comportement de guerrière Je culpabilise d’aller mieux Mais j’ai déjà fais mes adieux J’ai l’impression de jouer avec le feu Mais au fond je crois que c’est ce que je veux Je veux partir avec le sourire Je veux partir pour le meilleure Et pour le pire
Voici un poème que j'ai fais pendant ma deuxième hospitalisation (pas celle là mais celle encore d'avant). Donc vous vous en doutez, c'est pas joyeux joyeux. Libre a vous de lire ou non. Je ne recommande pas aux personnes sensible de lire. Dites moi ce que vous en pensez ceux qui ont lu ^^. Sachez que depuis je vais un peu mieux. En partie grâce à vous ^^. Alors no stress et venir me demander "CA VA AWEN ?????!". C'est juste que j'aime bien ce poème. Je l'ai ecrit en juillet je crois. Bref. J'espère que ca n'a choqué personne ^^".
Bonsoir. Le jeudi matin je me suis inscrit à une activité thérapeutique qui pourrait éventuellement m'aider. C'est vraiment super, on dessine et on ecrit. Apres un dessin, le jeudi avantles vacances il me semble ou bien celui encore d'avant, il était demander de faire un poème avec un rapport à ce qu'on avait dessiner. Ce poème devait commencer par la pjrase de mon titre. C'est à dire "Mon âme est un paysage choisi". Je voulais vous le montrer pour savoir ce que vous en penssez. Mon âme est un paysage choisi Un feu brulant d'envie, Se balançant à la recherche d'aide Voulant crier "À l'aide". Elle pourrait s'éteindre à chaque seconde, Faire exploser toutes ces ondes. C'est un feu glacial. Distant, associable. Glacé mais brulant...
Léo C'était le dernier soir où nous nous sommes vu La mort guettait, funeste et silencieuse Rampant vers toi, tendant ses mains crochues Déjà tu lui appartenait, et la Mort le savait Ce matin, pour la première fois, depuis ce jour où tu nous a quitté, je t'ai vu. Une croix de pierre marquait ton emplacement S. A-S
- A quoi tu penses? - En fait, je me demande, quel goût tu as… Quel goût à ta bouche? Ta langue? Est-elle charnue? Est-elle souple? Tes lèvres sont-elles douces? Écorchées ? Je me demande si je presserais mes lèvres contre les tiennes, Ou si nos fluides permettraient qu’elles s’enlacent naturellement, Suavement. Je me demande si ta langue est chaude ou juste tiède. Raide contre la mienne. Je me demande quel goût tu as. -Elewo -> (ig)
Halloween, Jour de peur, Les décorations qui couine, Jour de la terreur. On cherche des bonbons, Un sac à la main, Ils coulent à foison, On les mange le lendemain. Je n’y ai pas le droit, A ce petit jour de fête, Je reste chez moi, A regarder par la fenêtre.
Petite inspiration nocturne 🌙 Posté en anonyme hehehe 🙊 (mystère ~) N'hésitez pas à donner votre avis 👀 --- Love Il arrive que tu nous sauves Nous donnes le courage des fauves Perdus dans un brouillard mauve Liebe Tu crées en nous un immense feu Qu'il faut alimenter à deux En y jetant nos meilleurs vœux Amor Tu sonnes comme une mise à mort Livré à ce triste sort On a mal comme on aime fort Ai Dans notre esprit tu travailles Origine de nos plus grandes failles Ton filet m'a pris dans ses mailles Pyaar Tu m'as laissé à l'écart Et jusque dans la nuit si tard J'ai pleuré des amours épars Amour On dit que tu dures toujours Mais bien souvent les beaux jours Sont des allers sans retour L'amour n'a pas de langue, c'est à vous de...
S'endormir en pleurant.. Pleurer en rêvant... Rêver de la fin des pleurs… Ainsi le cycle de la nuit, Tristesse et nostalgie, Doigts croisés, yeux fermés, Coeur lourd, découragé… Est-ce un espoir que je vois! Une lueur? Est-ce la fin de ma douleur? Oh non..non ce n’était qu’une illusion… Que se passe t’il? Je crois que je perd la raison…
Tout ce temps sans lumière C’est presque vivre sans air Et dans cette sombre masse Je me noye Puis , t’es venu Avec ton air inquiétant et malvenu Me soutenant avec des rires Des jeux et de l’aventure Je ne te connais presque pas Mais je t’aime comme cela T’es bien drôle à des moments Mais dès je ne sais pas quand tu mens Ah , ce calvaires. Mon coeur qui s’altère . Qui ne s’aère guère Et qui se serre .
Sans titre Ces beaux jours de paix Sont tristement passés Laissant place au tumulte Qui sera bien rude Une année deroutante Et aussi extasiante M’attend sur l’allée Et me laissera balader Elle sera dur Et ça c’est sur Ella m’attend sur le toit Avec sa pudeur sournois Cette année scolaire Que j’appréhende avec le fer Que je vais bouleversé Pour leurs prouver
Souvent je m'en frottais À Cesair de jouvence Sur cette inclinaison Qui m'egouttait le cœur Quand d'autres nostalgies Parfumaient mes labeurs Je m'engouffrais de pluie Souvent je me courbais Incitait mon étoile À frotter dans nos cous Le bar de nos regrets Quand le vent de tes yeux À mon âme soulevait La plume et le combat Imperceptiblement Sous pressions souveraines L'averse a détraqué Comme un manteau, l'été Le printemps sur nos mœurs Pour en changer l'humus Le rire et la couleur Barres d'espoir à nous peindre La vie de ses réformes.
Sur le miroir, j'ai brisé l'œuf, De nos racines, ronde froissée Au pli rendu de nos pensées Un sou pour rire, l'autre à s'aimer Regarder chanter ton nuage, Sur mes contours, c'est vivre mieux Feuille déviée, sur tes aveux Fertilités de tes langages À s'enmêler, l'air de bruisser, Innocemment, tes ors en eaux, Mots tatoués, nos grains ciseaux, Sur tes peaux lisses, m'émerveiller Passer le coup, fatigues blondes Creusées de coiffes, je reste coi, D'Insolations, rêver pour trois Tes cœurs m'allongent et nous fecondent.
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