Par la levée du jour, il s'extirpe des regards aux alentours, Dans la tombée de la nuit, obscure couverture occultant la piété du midi, Il plonge dans le bain de l'ombre, en recherche de son extase la plus fringante, L'âne esseulé observe le monde avec pétrification, pauvre bête qui croyait deviner les sentiments et les passions, Se rend compte inéluctablement d'être atteint d'une cecité cinglante, Où était-il ? Cet esprit salvateur qui se prémunit de l'ignominie, Quand le déclaratif inhérent, s'arcboutant des dogmes et des lois les plus avilissants, Faisant retentir les tambours des cieux, Rappelant au nomade de la honte, sa triste condition de piètre figurant, Où se cachent-ils ? Ces êtres de la nature, mythique de part leur...