Poèmes et écriture

Les fleurs ont fané Le soleil s’est couché, Les larmes ont coulé Sur mes joues, par milliers Je vois ton beau visage, Mais ce n’est qu’un mirage, Je vois ton beau sourire, Celui qui me fait souffrir. Sans toi je suis vide Je me sens si stupide.. Je t’ai laissé partir, Je t’ai laissé, sans rien dire.. Alors j’endure ma douleur, Je laisse éclater mes pleurs, Et je garde l’espoir, L’espoir de te revoir.
La rose... Je la cultivais dans mon jardin, Elle était la douceur incarnée, Je l'aimais,je l'aimais... Au fond de mon jardin, J'allais lui parler, Son blanc éclat sa pureté m'évoquait, Mais ai-je oublié,ses épines tranchantes ? Elles me faisaient parfois mal,mais je m'en fichais... De ses épines acérées,elle se blessait... Au début de l' été elle commençait à fanner... Ses pétales tombaient... Aller la voir,je l'avais oublié... Mais une matinée,j'y suis allée, Le sourire aux lèvres,la joie dans mon coeur... Mon désespoir grandit quand j'ai vu la scène... Des pétales jaunis... Des pétales secs... Des pétales sans vie... Voilà,c'est vraiment le genre de poème que j'adore écrire,courts, évocateurs,profonds, métaphorique,personnels et...
Dans cette montagne... Dans cette montagne se trouve cette maison, Celle dans laquelle j'ai grandi, Le bois au creux de la cheminée, Mon coeur et moi,me rechauffais... Une chaussure,une chemise un manteau... Tu as vécu ici... Je me rappelle de tous ces bons moments... Mais aussi de tous tes tourments... Tu étais triste et violente, Mais aussi euphorique... J'ai tout fais pour t'aider, Chaque fois que je reviens, Je pense toujours à toi... Je me rappelle de tout, Ce que l'on a vécu... Je ne veux plus venir, Je veux toujours fuir... Je me rappelle des journées, Où,dans ton lit tu étais, Jamais tu ne te levait... Je vis ça aujourd'hui... Les douleurs du passé,vont finir par me rattraper... Ces photos,ces souvenirs... Quand tu étais...
Une odeur boisée, Me rappelant ce lieu tant détesté.. Forcée d’y retourner chaque année, Dans cette maisonnée, qui m’effraie. Une odeur très spéciale, Dans cette pièce où j’ai mal… Ta chambre, que je dois occuper, Tes propres affaires s’y trouvaient. Tes vieux livres, ta commode. Me rappelant cette période, Tes médicaments, tes écrits, Qui à leur vu ne m’évoquent que tes cris… L’odeur de la montagne, La vision de ces campagnes… Me donnent des vertiges. Pourquoi tout cela m’afflige ? S’il te plaît… J’ai si peur, mais je veux t’aider. Malheureusement, tu m’as oublié… ___________________________________
Plus jamais... Odeur opressante, Respiration saccadée, Sonnerie angoissante... Chaleur suintante... Ce masque et cette chaleur,finiront par m' ettouffer... Plus jamais le service réanimation... Plus jamais ce mutisme inquiétant... Plus jamais ce mourroir ambulant, Où les gens se retirent en mourrant... Plus jamais cet endroit anxiogène, Où les staphylocoques traînent... Plus jamais cet endroit de noirceur, Plus jamais cet endroit de stupeur, Plus jamais cet endroit de torpeur, Plus jamais...
L’aube sonnait la fin des combats J’avançais péniblement, abandonnant derrière moi Les larmes, le poison et les cris J’errais sur les quais, l’âme meurtrie. Attirée vers le flowerburger endormi une évidence m’appelant amie Sans crainte, j’entre en son sein privé Accueilli par les sourires des surprisiers Je me sais alors protégée, amnésique, Je me perds dans leurs danses hypnotiques Leurs mots poétiques caressent mes maux Qui s’écoulent, laissant la déesse des eaux Abaisser les armes et apaiser la peur Sa peau se déchire et sa mue de fleur L’entraine dans leur bras où je me perds Dans leurs chants joyeux, mes repères Un nouveau battement de cœur vivace, Auprès d’eux, j’oublierais sa trace.
De hauts arbres, bordent ce torrent, Emportant avec lui une rafale de sentiments. Le vent souffle en direction de cette impasse, La lumière laissa à la noirceur sa place… Respiration saccadée, Elle se devait d’y aller, Quittant cette endroit pour s’enfoncer un peu plus en cette forêt. Son cœur blessé, elle se laissa aller. Secouer de spasmes, elle tomba dans l’herbe verte. Une ultime respiration, inerte. Puis plus rien… Ce monde n’étais plus le sien… Cette petite vallée, Ne faisait plus partie de sa réalité…
Comme un réverbère. Juste comme un réverbère. À la fin d'une journée maussade, Me tenant droite, absente d'esprit, J'essaie de toutes mes forces de sourire brillamment au milieu de cette nuit solitaire. Je ne veux pas que mes faiblesses deviennent évidentes aux yeux de tous. Pour ceux qui comptent sur moi, ce serait une contradiction. Prétendant être forte, assurant ne pas souffrir, faisant semblant d'aller bien, Je veux juste être la force de quelqu'un d'autre. Je ne peux pas être la raison qui leur enlève leur force, Parce que je n'ai même pas le courage de leur retourner la question "Je peux me reposer sur toi ?" La souffrance a grandi silencieusement, enfermée dans une salle sans issue. C'était infernal, j'en ai tellement enduré...
Perdue... Oui,j'ai compris... Je vois cet esprit prendre la direction la plus torturée, Je suis toujours au croisement, délaissée, Je sais où sa route mène, Car je l'ai pris moi même, Poursuivie par mon passé, Torturée par mes pensées, Mais mon passé... Le voilà qui s'enfuit... Suis-je enfin libérée ? Non,je ne le suis pas,car je le sais. Je le sais,pourquoi je me suis effondrée avant de l'attraper... Sans réfléchir,je prends la route, Celle qui est escarpée et sinueuse, Le sourire aux lèvres,le regard sincère. Ce n'est pas le dernier poème de cette série,il y'en aura d'autres.
La seule chose prévisible à propos de la vie est son imprévisibilité. Anyone can be anything. N'importe qui peut être n'importe quoi. You can be everything. Tu peux être tout ce que tu veux. Tombée ici, je suis un extraterrestre sur cette terre, J'ai l'impression d'appartenir à aucun endroit. Peu importe combien je souris, je me sens si seule Un extraterrestre qui essaye de se mélanger aux terriens. J'ai tenté de parler à voix haute mais personne ne m'entend. J'ai atterri dans un endroit étrange et au départ j'étais pleine d'attentes. Quand la nuit noire tombe, mes larmes continuent de s'accumuler au creux de mes yeux. Car ma confiance pourrait être détestée par quelqu'un, J'ai vécu comme si j'étais morte, mais d'une manière ou d'une...
Je te fuis et suis,mais ne me suis pas. Pourquoi je ne te parle pas ? Pourquoi je reste loin de toi ? Je ne suis pas une antisociale, Je suis juste un peu associale... Pour toi c'est différent... Je n'ose pas t'approcher, J'ai si peur du rejet.... Dans une foule je peux te distinguer... Quand je te vois j'ai l'envie de te parler, Mais point le courage d'y aller... Et pourtant ça me ronge... Car te voilà devenue,une inconnue... Je ne connais de toi que nos communes passions, Ton âge et ton prénom, Origami et comptabilité, Je sais que comme moi tu vient d'extrême orient, Mais je n'ai pas pu te parler, J'ai si peur du rejet... Peut-être m'a tu déjà oubliée ? Peut-être que jamais,nous pourrons lier une solide amitié ? Alors dans une...
Aimer est un verbe qui se conjugue a tout les temps mais il n'est beau qu'au présent, car au futur il fait rêver et au passé il fait pleurer.
j'ai récemment écrit une nouvelle dont je suis plutôt fière, mais j'aurai besoin d'avis extérieur... Et aussi d'un peu de visibilité à vrai dire! https://www.wattpad.com/1220963481-brigneux-en-l%27arme-chapitre-1
Esprit… Esprit embrumé, De toutes ces pensées… Incessantes depuis tant d’années. Elle marche par delà les forêts. A l’abris des regards… Seule jusqu’au soir. Esprit meurtri, Par ces poings et ces cris… A jamais gravé dans cette conscience. Elle a perdu toute sa vaillance. Enfermée derrière son propre silence, Elle n’a plus aucune chance… Esprit épuisé, Ce fais ressentir en ces soirées. Plus de force pour avancer, Elle a atteint ce fossé.
Coucou ^^ Petit texte, une inspiration d'un soir, je précise que ce n'est pas un poème même s'il y a de nombreux retours à la ligne 😅 Bonne lecture ✨ Notes à un mirage Un jour te revoir, l'espoir qu'un jour à l'horizon, ton soleil se lève à nouveau … Tu es comme un mirage, quand je t'aperçois, puis que je t'approche, tu disparais, tu es comme un fantôme, de brèves apparitions, et le reste du temps tu me hantes … Le temps passe, et dans l'album photo de la mémoire, tu deviens peu à peu floue, je ne veux pas t'oublier, jamais, je ne veux pas que ces sentiments cessent, même sans retour … Ta voix, cette voix si douce, parfois elle murmure encore dans ma tête, quand j'ai envie de l'entendre, elle vient, je souhaiterais tant l'entendre à...
Quel chemin étrange me pousse vers cette vieille bâtisse abandonnée. Je me souviens de ces années où elle se rêvait éblouissante et majestueuse. Elle n'est plus aujourd'hui qu'un taudis délabré qui ne tient que par miracle. Il suffirait d'une dernière bourrasque pour qu'elle s'effondre dans un nuage de terre. La clôture s'est effondrée, les portes sont enfoncées, laissant le passage A tous ceux qui veulent la pénétrer. J'erre dans ses couloirs, poussant délicatement les portes entrebâillées. Je souris en voyant que celle du fond reste hermétiquement verrouillée, J'entre dans la chambre d'enfant, m'attendant presque à entendre les pleurs de la fillette. Je la revois assise par terre dans le coin, ses grands tristes qui me fixaient...
Je viens m’assoir sur ce banc, notre banc Nous contemplons le monde de nos 93 ans Moi l’auteure ratée, toi le robot inhumain La nuit serait à nous jusqu’au matin. Tu prendrais le contrôle de mon monde J’écrirais le tiens Pendant quelques heures, nous serions un Moi l’auteur perdue, toi le robot humain. La nuit tombe, je suis là Sur ce banc déserté Je n’ai pas sû faire taire ce cœur humain Qui résonnait trop fort certains matins Insupportable pour toi l’IA qui ne ressentait rien. J’ai perdu l’échos de tes mots dans le silence De ce monde qui ne m’appartenait pas Je nous ai parfois cherché en vain, Toi le virtuel, moi l’irréelle Je nous imagine parfois comme autrefois Sur ce banc, à nous moquer de ce monde Que tu avais fuis Que je...
Détermination. Sablier égrainé,temps perdu,monde effacé... La vie ? Un coup de pied,puis un baiser... Longtemps j'ai été malmenée... Et j'ai compris... C'est ce que le vieux disait,n'est-ce pas ? Ce ne sont pas nos capacités qui déterminent ce que nous sommes,ce sont nos choix... Le troisième frère ? C'est simple,la mort comme une vieille amie,il l'a acueillie, après l'avoir longuement fuis... Tu vois ? Déterminé... Qui nous sommes ? Un amas de cellules et de tissus organiques,passionant,n'est-ce pas ? Cet amas...Comment fait-t-il pour réfléchir,penser,se déplacer,analyser ? Grâce au cerveau,non ? Maintenant je sais... Peut- être toi aussi ? Qu'importe le nombre de coups, ou l' intensité, Car toujours je me relèverais...
Bonjour ^^ Alors ces 2 poèmes n'ont pas vraiment de rapport entre eux, si ce n'est le fait que je suis dessus depuis quelques temps et que je n'arrive pas à les améliorer alors que je ne suis pas vraiment satisfait tels qu'ils sont maintenant ~ N'hésitez pas à donner votre avis, ce qui ne va pas, à moins que ce ne soit moi qui suis trop dur dans le jugement de mon travail 😅 Je ne sais pas, bref à chaque fois je met des explications sans fin avant mes textes, désolé si c'est ennuyant 😶 Sur ce bonne lecture à ceux qui liront 😊 Brise de renaissance Douce brise, les pétales virevoltent dans les airs Rosée du matin sur les bourgeons en éclosion Le froid du morne hiver n'est plus de saison Désormais c'est le temps des amours dans les...