Tout ce temps sans lumière C’est presque vivre sans air Et dans cette sombre masse Je me noye Puis , t’es venu Avec ton air inquiétant et malvenu Me soutenant avec des rires Des jeux et de l’aventure Je ne te connais presque pas Mais je t’aime comme cela T’es bien drôle à des moments Mais dès je ne sais pas quand tu mens Ah , ce calvaires. Mon coeur qui s’altère . Qui ne s’aère guère Et qui se serre .