Poèmes et écriture

Bonsoir, tout le monde si j'écris la c est absolument pas pour attendre Une réponse.je suis sûr que chaque Inde nous a une histoire qui lui propre je ne ai juste marre que dise que je suis forte je le suis dans certains mesures.mais autrement je suis humain comme tout le monde ma vie a était une succession de blessures plus profond et sa 'e sais pas arranger maïs j ai.kuste ingore c'est ce signal t squ'il me disant stop stp mais j ai continue parce que il le fallait mais là je sens que si est je continue a ingoree je vais finir vider de chaque partie qui était moi . J'écris la justement mais en parlé g est toute une entre histoire vu que j ai tellement de mal a le.faie parles pour moi revient a vraiment m avouer que tout sa a été vécu...
Salut tout le monde ! Aujourd'hui, @Osirisse et moi publions le chapitre un de notre histoire. Pour ceux qui n'ont pas lu le prologue, voici le lien : https://foforum.fr/threads/lelue-celeste-debut.22536/ Bonne lecture ! ^^ Chapitre 1 Shamaya se réveilla en sursaut. Depuis une semaine, elle faisait toutes les nuits le même rêve, enfin plutôt, le même cauchemar. Dans ce cauchemar elle se trouvait dans une très grande salle, baignée du clair de lune par un toit de verre. Tous les murs étaient recouverts de lierre, excepté celui qu'elle regardait, recouvert de trois horloges de tailles variables aux motifs détaillés. Un parfum floral flottait dans la pièce. Elle n'arrivait pas à détacher son regard des trois horloges, suivant avec...
On me dis assez sage Mais cela n'est en rien ma nature Etant presque étranglé sans bruit Dans cette mélodie sans inerte et sans vie Un meli melo instable Qui cours presque désastre Et m'abat petit a petit Pour satisfaire son appétit Je me rappelle de ces mot Qui me disait tout haut : "On a pas besoin de toi" Respecte la loi "Vivre" , souhait méconnu Qui a disparue Dans un torrent d'injustice Qui m'étouffe sans préjudice Ou bien l'amour Qui me met à la bourre Étant grand comme le ciel Et inatteignable comme tel " Espoir" , un somptueux mots Fort et bien apaisant Que je convoite tant Mais qui m'as trahis assez tôt Mes rimes s'envolent Mes mots d'engloutissent Ma motivation dans les abysses Et mon énergie dans de vide...
L'hiver s'installe doucement, dans un tourbillon de flocons, La neige recouvre le paysage, tout devient blanc et féerique à foison. Les arbres se parent de glace, les rivières se figent en cristal, Et dans l'air froid, on entend le doux chant de l'hiver, si spécial. Les matins givrés nous invitent à rester sous la couette, Les chocolats chauds réchauffent nos cœurs, c'est une fête. Les enfants s'amusent à faire des bonhommes de neige, Et les flocons dansent dans le vent, une symphonie qui neige. Les soirées au coin du feu, emmitouflés dans nos pulls, On partage des moments chaleureux, à l'abri du froid qui brûle. Les étoiles brillent intensément dans le ciel clair, Et l'hiver nous enveloppe de sa magie, sans rien délaisser. Alors...
Bien le bonjour. Je me nomme Aloïs. Je suis le descendant du duc de Rocheviliers. Je me fiche complètement de mon titre de noble, mon but, c'est d'apprécier la vie, car nous en avons tous une seule. C'est seulement mon point de vue et il pourrait être considéré comme fataliste. À l'heure où j'écris ces lignes, j'ai huit ans. Je suis invité à la réception de Grand-père. Il fête ses 87 ans d'existence. Sa vie à lui se raccourcit. Apparemment, il a peu profité de cette longue vie, coincé dans les manières, les statuts, le décorum, emmuré vivant dans de l'or. Il montre peu ses émotions, ses sentiments, par politesse, mais aussi par dureté, par aigreur. Il peut se montrer rude et sévère. Je suis assez attaché à lui, enfin, je crois... Étant...
Je culpabilise d’aller mieux Mais j’ai déjà fais mes adieu Je veux un avenir plus joyeux Dans ce néant absolu J’ai tout perdu J’ai cru être abattue Pourtant je me relève à travers cette cohue Je croyais que c’était mieux de rester à terre Mais c’est pas ça un comportement de guerrière Je culpabilise d’aller mieux Mais j’ai déjà fais mes adieux J’ai l’impression de jouer avec le feu Mais au fond je crois que c’est ce que je veux Je veux partir avec le sourire Je veux partir pour le meilleure Et pour le pire
Science-Fiction Livre sans nom (pour l'instant) Chapitre 2 : La forte lumière soudainement allumée accompagné d'un bruit désagréable le reveilla. Aidan, apres quelque seconde à se demander s'il devrait etre heureux de vivre un nouveau jour, se redressa dans un grognement, les yeux mi-clos. L'air frais le fis trembler, alors il encercla de ses bras ses genoux qu'il ramena à sa poitrine. Il entendit les portes des cages s'ouvrit et se fermer. Quand se fut son tour, un jeune homme à la peau foncé et aux longs cheveux noirs coiffée en tresse ouvrit la porte de la cage apres avour passé sa clef dans les dizaines de serrures. De son visage stoïque, il adressa un bref signe de tête pour saluer le jeune homme et posa par terre un petit pain...
Echec de la mission. Chapitre 1 L'écran était devenu blanc. Un bip aigu ressonna dans toute les salles autour de la salle pincipale. Dans les cages. Voilà comment elles étaient appelée entre les Tests. Regardant par la seule fenêtre que contenait sa cage, Aidan, numéro 52, crus apercevoir les mines attristées de leurs "chefs". Numéro 48, 49 et 50 venaient de perir. De la même manière que les précédents. Une larme coula sur la joue d'Aidan. Les prochains seront les numeros 51, 52 et 53. Les prochains à mourir. Les prochains à traverser ce portail habillés d'une combinaison de "survie". Mais bon, c'est un bien grand mot ! Soudainement le bip s'arrêta et la lumière s'éteignit dans un bruit sourd. Comme chaque jour, une voix masculine...
Les yeux clos C'est un beau paysage doux et coloré, Que les oiseaux survolent avec splendeur et grâce. In my heart, je suis assis là, dans mes pensées. Tout est de coton et de fleurs, et le temps passe. C'est un chemin scintillant et ensoleillé, Que les églantines rose pâle enluminent. In the sky, je vois le bonheur, il est arrivé. Tout est calme dans la forêt qui s'illumine. J'ignore la destination et la distance, C'est enivrant, je m'en vais là où la joie est. J'ai cueillis des violettes en abondances, Je crois bien que mon cœur en est satisfait. J'ignore le bien ou mal, je saisis la chance. C'est appaisant... les vibrations... je me tais, J'ai cette impressions d'être ailleurs, comme en transe, Je crois bien que j'ai des...
Voici un poème que j'ai fais pendant ma deuxième hospitalisation (pas celle là mais celle encore d'avant). Donc vous vous en doutez, c'est pas joyeux joyeux. Libre a vous de lire ou non. Je ne recommande pas aux personnes sensible de lire. Dites moi ce que vous en pensez ceux qui ont lu ^^. Sachez que depuis je vais un peu mieux. En partie grâce à vous ^^. Alors no stress et venir me demander "CA VA AWEN ?????!". C'est juste que j'aime bien ce poème. Je l'ai ecrit en juillet je crois. Bref. J'espère que ca n'a choqué personne ^^".
Bonsoir. Le jeudi matin je me suis inscrit à une activité thérapeutique qui pourrait éventuellement m'aider. C'est vraiment super, on dessine et on ecrit. Apres un dessin, le jeudi avantles vacances il me semble ou bien celui encore d'avant, il était demander de faire un poème avec un rapport à ce qu'on avait dessiner. Ce poème devait commencer par la pjrase de mon titre. C'est à dire "Mon âme est un paysage choisi". Je voulais vous le montrer pour savoir ce que vous en penssez. Mon âme est un paysage choisi Un feu brulant d'envie, Se balançant à la recherche d'aide Voulant crier "À l'aide". Elle pourrait s'éteindre à chaque seconde, Faire exploser toutes ces ondes. C'est un feu glacial. Distant, associable. Glacé mais brulant...
Cela faisait maintenant un an que les terres de Eiael étaient devenues un enfer. La rage et souffrance des humains avaient tout détruit. Un ciel noir recouvrait ce monde de terreur, où les Hommes se battaient tels des sauvages pour survivre, ayant perdu le cœur et la raison. Après des années de guerres, d'injustices, d'immondes crimes, l'univers reprenait ses droits sur l'Homme. Pour survivre, il fallait se battre. Se battre contre ses semblables. J'observais jour après jour ce désastre s'empirer. Des terres ravagées, des maisons brûlées, des corps ensanglantés... il ne restait qu'une infime poignée d'humains, qui du mieux qu'ils le pouvaient, essayaient de sauver ce désastre. Les plus riches avaient pu construire une demeure dans...
Bonjour, ça fait super longtemps que je n'ai pas écris. J'ai commencé un premier essai pour mettre en lumière le personnage principale de mon histoire qui débouchera sur l'horreur. Pouvez-vous me dire ce que vous en pensez ? Prologue Dans l'obscurité oppressante d’une zone industrielle délabrée, comme un spectre vengeur, le Dr. Vargas se perdait dans les tréfonds de sa propre folie. Les ruelles étroites étaient jonchées de débris, des vestiges d'une ère révolue, devenus des stèles silencieuses marquant le déclin inexorable de la civilisation. Les cheminées tordues perçaient le ciel telles des flèches noires, crachant autrefois des volutes de fumée toxique, maintenant figées dans un silence glacial. Les bâtiments délabrés, aux...
Léo C'était le dernier soir où nous nous sommes vu La mort guettait, funeste et silencieuse Rampant vers toi, tendant ses mains crochues Déjà tu lui appartenait, et la Mort le savait Ce matin, pour la première fois, depuis ce jour où tu nous a quitté, je t'ai vu. Une croix de pierre marquait ton emplacement S. A-S
Dans vingt neuf ans plus rien plus aucun être vivant existera sur terre appart deux personnes les derniers survivant :un gars et une fille .plus de civilisation était présente la nature avait repris ses droits .Tous les arbres sans exception faisaient au moins trente mètres de hauteur les branches étaient aussi grandes qu'un éléphant en surpoids et les deux survivants passaient leur temps à chasser et récolter la seule nourriture qu'ils trouvèrent c'est sur que sa doit changer des burger frite tout le weekend car oui je vous ait pas dit mais la raison pour laquelle plus aucun être vivant était sur la planète était qu'il y avait eu une énorme guerre qui était entre les animaux et les humain mais bien sûr les président les plus puissants...
Cc j'ai commencé à écrire une histoire mais je sais pas si je vous l'a montre ou pas
Éternel recommencement Ma vie est un enfer Je me réveille et ma conscience vagabonde Comment vais-je vivre cette conscience Que vais-je faire avant de mourir J’ai décidé qu’aujourd’hui serait dur. Froid. Reclus. Inhospitalier. Je pourrais aussi chérir cette journée Quoiqu’elle s’achèvera comme les autres Dans l’obscurité Et je devrai naître de nouveau Dans le monde que j’ai laissé hier Les églises sonnent. Il est midi. La rumeur des promeneurs du dimanche parvient à mon velux La chaleur du soleil s’infiltre dans ma chambre Cette lumière est détonante Elle se mêle de ma noirceur Ce matin la vie s’est encore présentée à moi Impétueuse Elle me commande de vivre Quel enfer -Elewo
L'inspecteur Arthur Rochambert Chapitre 1 Arthur Rochambert, inspecteur de police bien établis, à la carrière brillante, reconnu par ses collègues comme un des plus compétent dans son domaine, à savoir la résolution de crimes, ne s'attendait pas à être réveillé en pleine nuit par son supérieur. C'était un homme d'une cinquantaine d'années, aux cheveux courts et cendres, aux yeux clairs et à la mine fort peu sympathique. Et c'est de sa démarche ferme et assurée qu'il sonna, à minuit précise, au Manoir Hémery. C'était un grand domaine en apparence rustique : façade en pierre et toit en ardoise, et la grande porte d'entrée était encadrée par deux énormes statues de pierre représentant des chiens, babines retroussées et dents aiguisées...
Halloween, Jour de peur, Les décorations qui couine, Jour de la terreur. On cherche des bonbons, Un sac à la main, Ils coulent à foison, On les mange le lendemain. Je n’y ai pas le droit, A ce petit jour de fête, Je reste chez moi, A regarder par la fenêtre.
Il faisait nuit. Elle se retournait, en face du mur, sur lequel trônait sa photo avec Violette, sa meilleure amie. Elle sourit, se rappelant des souvenirs. Cette photo, datant du CE2, avait été prise par la mère de Violette, qui l’avait ensuite imprimé. Elle se retourna, sentait ce vent secouer ces cheveux d’un rouge sanglant, combien de fois on s’en était moqué, mais bon, ça s’était avant. Sa préoccupation actuelle était de stopper tout ça, sortir de son rôle et faire ce qu’elle voulait. Qui lui en voudrait ? Alors prenant son courage à deux mains, elle écrit sa lettre en disant : Je fais ce que j’appelle une fugue, vous savez, quand on s’enfuie de quelque chose, mais là ne me cherchez pas, ne déprimez pas, je suis heureuse là où je...

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