Des jours écoulés Des nuits passées Dans l’obscurité Ainsi que le vent levé Ils passent de plus en plus vite A une vitesse vacillante Sans trop de vigilance Ni trop de bienveillance Encore une fois elle revient Et me retient Ce sentiment de noirceur Que l’on appelle le malheur ? C’est surtout un rabais Un sentiment de rejet Cette solitude qui renaît Et mes souvenirs souillé Faut il vraiment de l’espoir Dans ce monde plein de déboires Si dérisoire Et aussi avare ? Pourquoi ne peut on pas vivre en paix Mais souvent bataillé Sans calme ni de tranquillité A quoi bon trouver la paix Ce moment qui m’es chère Que j’aime tant retrouver Que je cherche dans ce désert Celle où je me libère Où en fait tristesse...