Poèmes et écriture

Moi personnellement, haïkus !:) Je trouve ça plus simple, pour un résultat toujours aussi réussi ! Et oui, car « pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple »:ROFLMAO:
Bonjour, bonsoir à tous UwU Ça faisait longteeemmmppssss que je n'avais pas publié de poème, plus assez de temps avec le lycée TT Donc petit texte sur Halloween, j'espère qu'il n'est pas trop mal, n'hésitez pas à critiquer (objectivement) ^^ Bonne lecture ! 31 octobre, en plein cœur de l'automne La nuit tombe sur la ville, couverte de sa rougeur monotone Dans les jardins, des citrouilles sculptées, fendues de tristes sourires terrifiants Leur cœur de cire s'allume pour éloigner fantômes et mauvais esprits errants Chapeaux de sorcière enfoncés sur la tête Petites créatures aux masques de squelette Les rues sont envahies, attention aux monstres en cette nuit "Ding-dong", sonnette, bonbons, et les voilà repartis Ils arriveront chez...
Étendue dans la pénombre, Les yeux posés sur le plafond. Je regarde danser les ombres, Remonte un souvenir profond. Une image aussi belle que douloureuse, Un moment de ma vie passée. Elle ne me laisse plus rêveuse, Puisqu'aujourd'hui je sais la vérité. Alors les souvenirs s'enchaînent, Et ouvre des plaies que je pensais guéries. Les sentiments se déchaîne, C'est encore moi que je punie. Alors que j'ai tout perdu, Je continue de me punir chaque jour. D'avoir aimé cet individu, De l'avoir laisser me faire la court. De l avoir laissé tout détruire, De m'avoir fait côtoyer la dépression. D'avoir effacer jusqu'à mon sourire, De m'avoir laissé au bord de l'extinction....
Tu es ma lumière,au bout du tunnel... Perdue à errer dans le tunnel, Je t'aperçois,tu est ma lumière, J'aimerais t'embrasser,sous la tonnelle, Penser à demain et oublier hier, Je t'aime,je t'aime,je t'aime, Sache le, n'oublie pas... Ne m'oublie pas... J'arrêterai de m'entailler les veines, Car je t'aime... Aime moi en retour, Donne moi ton amour, Je suis pas désespérée, Juste las, d'espérer... Alors,dit moi,si oui,si non, Tu m'aimes...Ma lumière... Je n'hésiterai pas,sinon, À m'éteindre sans t'étreindre...
Salut à tous ! Tout d'abord, nous avons l'immense plaisir de vous présenter le nouveau numéro du fofojournal, le journal du mois d'Octobre, spécial Halloween ! Comme d'habitude, il se présentera sous le schéma suivant : L'évènement du mois, L'interview du mois, le poème du mois et le petit mot de fin ! Toute la rédaction du fofojounral vous souhaite donc une très bonne lecture ! L'évènement du mois ! Les origines d’Halloween... Etymologie : Le mot “Halloween” vient de l’anglais : C’est la contraction de ”All Hallaws Ève”, c'est à dire, “Le soir de tous les saints”, donc la veille de la Toussaint qui, elle, se célèbre le lendemain d’Halloween, le 1 novembre. Histoire et origine : La fête d’Halloween est à l’origine une fête celtique...
Je vous partage un petit texte que j'avais écrit à une de mes filles dans une période difficile, j'aime bien écrire des textes qui remontent le moral et donnent un peu d'espoir :) "La petite fille se promenait entre les serres du jardin, passait entre les rosiers suspendus, les belles-de-jour, attrapait les fleurs pour se saisir de leur parfum, et zigzaguait entre les plantes jusqu'au petit salon de l'agapanthe. Elle rendait souvent visite à cette joyeuse fleur mauve qui vivait dans une petite serre en forme de bulle, aménagée en un salon très cosy. Toutes les serres et jardins des alentours lui appartenaient, elle était la petite dame de ces lieux. Lorsque l'agapanthe la vit entrer, elle s'écria :"-Ah! Bonjour petite fille de la...
Je me sens seul, frustration, Plus de larmes, j'ai tout vidé, Ça m'énerve. Manque d'attention. Je veux parler, crier, hurler ! Ces lourdes mains noires, Ce démon au dessus, Je ne les supporte plus. Oh, faites moi donc taire ! Je n'ennuierai plus personne Car mon heure enfin sonne. J'irais mourir sous un arbre, J'irais mourir sous un pont, Mourir sans autres armes, Qu'une feuille et mon crayon. Je dessinerais jusqu'à la mort, Car jamais mon imagination ne dort. Je marche sur un fil frileux En lançant des rires nerveux. Oubliez moi je suis un monstre, Égoïste être que je ne montre, J'ai pourtant les idées claires, Mais les pensées suicidaires. Laisser moi dans ma folie, Le loup viendra me manger Quand j'irais voir le joli En dehors...
Il y a des fois où j'ai juste envie de me laisser aller et pleurer. J'ai juste envie de parler à quelqu'un qui puisse me comprendre. J'ai juste besoin de bras réconfortant. J'ai juste besoin de tes bras. Je voudrais pouvoir me libérer. Pouvoir pleurer et être écouter sans aucun jugement et avec compréhension. J'aimerai juste dire une bonne fois pour toute ce que je ressens. Je voudrais te dire tout l'amour que j'ai pour toi. Combien j'ai besoin de toi. Combien j'ai besoin d'entendre le son de ta voix, de ton rire mélodieux. Combien j'ai besoin de voir tes beaux yeux, ton sourire si charmeur et ton corps si parfait. J'aimerai pouvoir te dire combien tu me manques quand tu n'es pas là...
Tranquille entrain bouffer mon pain, Puis soudainement, elle se pose sur ma main, Elle pensait vraiment y arriver avec succès, Essaye de trouver c'que c'est. Oui tu l'auras d'viné, C'est une mouche suicidaire, Franchement elle ne manque pas de toupet ! Mais c'n'est pas à moi qu'elle va la faire... J'ai bien compris ce qu'elle voulait, Simplement gerber dans mon pain et s'en allait... Lady cracra t'as pas capté, Si tu y touches tu t'fais défoncer... ____________________ Comme promis un petit texte de m*rde 😘
J'entends ces cris dans ma tête ! Rien qui ne puisse les faire taire ! Et jamais ils ne s'arrêtent ! J'étouffe enfermé dans leurs serres. Parfois j'aimerais disparaître, Sans lueur et sans être ! Mais j'entends ces cris dans ma tête, Et toute cette folie me guette ! Mais la peur peut-elle rendre bête Quand la douleur m'inquiète !? Je ne serais plus jamais seul, Ces voix m'habitent et me hantent. Soudain ma raison m'esseule ! Je perds tout repère. Chute lente. Mais faîtes moi partir en fumée, Dans un dernier souffle glacé ! J'entends ces cris dans ma tête Et j'en deviens fou à lier Assourdis par leur bruit insensé Alors je cris aussi à tue-tête ! ___________________________________ Poème inspiré de la musique que j'ai partager...
-Qu'est-ce qu'il y a dans ce verre ? Je me sens vraiment pas bien... *Vacille d'avantage* -En attendant qu'ils reviennent je vais aller me mettre dans mon lit. * Non loin de là, dans une camionnette* - Mais dans le genre abruti on fait ne vraiment pas mieux ! -I don't understand what you're saying, I don't speak French. ( Traduction : Je ne comprends rien à ce que vous dites, moi je ne parle pas français.)  -How stupid are you when you thought it was a good idea to knock her out, we want to keep her alive! ( Traduction : Es-tu stupide, à quel moment tu t'es dit que c'était une bonne idée d'aller l'assommer, on veut la garder en vie !) -I know but your way of doing things is too slow. ( Traduction : Je sais mais votre manière de faire...
Si dans le titre c'est écrit "véritable chapitre 1" c'est parce que @Ana m'a fait remarquer que le texte était un peu court pour un chapitre, et elle a raison. Donc pour ceux qui on lu le premier texte, considérez-le comme une introduction. Merci d'avoir lu cet "avertissement" (?), et bonne lecture 🤗 ___________________ -Aller... j'ai bientôt fini, il ne reste plus que l'entrée et la cuisine... Passer l'aspirateur ce n'est pas chiant, c'est de commencer qui l'est, après ça y va tout seul ! -Rhaaa la rallonge tu me saoule, pousse toi. *Étincelles au bout de la rallonge* -Wooo !!! Mince je fais quoi ? Je devrais aller le dire aux parents... *Sort la rallonge de la maison* -Maman ! Ed ! *À quelques mètres de la maison, dans une...
Je me suis souvent baladé dans cette forêt étant jeune, mais jamais auparavant je n'avais remarqué cette cabane... Étrange me direz-vous, mais à l'époque j'étais assez tête en l'air, et je ne remarquais pas les petits détails. Je l'ai remarqué seulement il y a quelques jours, depuis les cauchemars se succèdent, le cadavre qui était dans le placard me hante, enfin, cette forêt me hante. Sans prendre compte du corps abandonné dans le placard, ce qui est le plus dérangeant dans cette forêt ce sont les bruits la nuit, je ne vous parle pas de son provenant d'animaux, je vous parle de bruits anormaux. Il y a aussi le fait que cette forêt appartient à mon grand-père... Qui est cette personne abandonné ? Combien de temps cela fait-il qu'il y ait ?
Ô toi, bel automne aux couleurs de feux, Pourquoi es-tu si triste et si maussade ? Ne veux-tu pas rire sous ce ciel bleu Quand les arbres virent au rouge grenade. Ne t'inquiète pas, tout est éphémère, Le feuillage reviendra au printemps. Écoute le vent qui chante dans l'air Et regarde les nuances qu'il prend. Attendons ensemble dans le doux froid, La pluie ankylosera nos pensées Pour éteindre les ténébreuses voix, Et passer l'hiver long à espérer. Alors quand tombent lentement les feuilles, Que temps colore selon la saison, Brunes et rousses comme les écureuils, Rêvons de bourgeons et de floraison.
Dans le texte qui suit, je vais laisser le correcteur de mon microphone faire ce qu'il veut des mes phrases, et je ne vais rien corriger ; ce matin je me suis réveillé dans cette pièce étrange sans savoir ce que je faisais ici, me suis fait kidnapper ou bien est-ce une caméra cachée. Je ne sais pas point à la ligne la seule chose que je sais c'est que l'on observe à travers une caméra sur moi ou en petite roue je ne sais pas. Qu'il me tuer qui me noie qui me brûle je m'en fiche point à la ligne qu'est-ce qu'il faut que je fasse, ça non plus je n'en sais rien. Bref point à la ligne je ne sais pas, en fait je ne sais même pas qui je suis alors pourquoi est-ce que je dois rechercher qu'est-ce que je fais là point à la ligne...
Dans un vent frais s'envolent les feuilles, Souvenirs du beau printemps qui n'est plus. Et la saison brune nous accueille Dans un doux tumulte de chants perdus. L'herbe humide reste pourtant verte Et bientôt d'or elle sera recouverte. Mais les pins garderont leurs épines, Tandis que, là, sous la brume fine, J'attends, seul, dans les ruines du printemps. Je cours, je marche, je m'arrête... un instant... Je me perds, je pars, je m'en vais, là-bas, M'évanouir, perdre raison, ici bas.
Mots doux, mots fous, à l'époque tu m'en disais tous les jours, maintenant le temps a changé, tu m'as oublié, délaissé, j'ai tant de fois pensé à me suicider, tant de fois j'ai voulu me changer mentalement comme physiquement, mais j'ai réalisé un jour que puisque tu ne m'aimais plus pourquoi changer ? Je me suis empêchée tellement de fois de manger pour essayer de te plaire à nouveau, je me suis fait tellement de mal pourquoi au final, pour rien. Mon cœur me fait souffrir à chaque fois que je repense à notre histoire. Toutes ces bonnes choses qui nous sont arrivées au début, pour moi c'était comme un rêve comme le rêve d'une petite fille qui se réalise, tu étais mon prince charmant et moi ta princesse, nous étions le roi et la reine de...
Semblant,sang blanc... Non,j'en ai marre, Oui,j'en ai marre, Briser les chaînes, Casser cette couche exogène, Je vais te percer, Pour faire sortir ta toxicité, Apparences trompeuses, Et si fangeuses... Je vais te souiller, Oui,je vais te briser, Marre de tes faux semblants, Marre de ton faux sang blanc, Je suis innocente, Toi seul est coupable, Ta ruse est désolante, Je gagnerais,non mais, Je joue avec toi, Ne le vois tu pas ? Oh,non,c'est vrai...
Reflet du soleil sur l'eau, S'écoule une larmes, Qui se mélange aux flots. Mais toujours là, toujours debout. Ces bleus sur ma peau, Qui vous alarmes, Vous ne trouvez pas les mots. Mais toujours là toujours debout. Le cœur dans un étau, Je suis sans armes, Je n'aimerais pas de sitôt. Car je suis las d'être toujours debout.
Ignorant des sentiments, de la vie, de la mort, Le pauvre sir contemplait en continu son triste sort. Aux innombrables pins qui jonchaient son champs de vision, Bien heureux celles et ceux refusant sa fréquentation. Pourri de l'intérieur, sourire de façade de l'extérieur, Vilain et désespérant chagrin par ailleurs, Son existence, au grand dam de ces laudateurs, Demeure une grande déception pour l'heure. Enthousiasme reflétant l'amorçage de sa joie, Impatient par sa naïveté de partager ces choix et son histoire, Gougniafier et oisif dans sa miséreuse imprudence, Homélies et moqueries récoltées, punition de son indécence. Étranger de son père, de sa mère, de ses frères et sœurs, du lointain, de lui-même, Générateur de bonheur et...
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