Poèmes et écriture

Là , là , là Je suis bien lache tenu dans tes bras Dépendante et attachante Je me suis habituée a cette belle solitude Étant irritable et invivable Je suis devenue une colère véritable Frustration et colère me guide Car le stresse me perd dans le vide Je suis accablé voilà. Car je sais que personne ne m'aimeras là bas. Crier là est mon seul désir. Car c'est aussi mon seul delire Je me sens bien mal a l'intérieur Car je ne sais rien de ce qu'il en est q l'heure. Perché au dessus des nuages Je reste spectateurs de mon si beau spectacle. Je nage dans ce bassin tel un poisson proie a la chasse. Ne sachant rien de ce qui me porchasse . Peut-être mes pensées ? Mon coeur ? Ma voie intérieur ? Ça non plus je ne sais pour quelle...
Je sais pas comment ça s’arrête, quand tout va mal, dans ma tête, Et je vous trompe, avec mon doux sourire, Avec ce rire, qui vient de loin, de la dans mon petit coin. Et puis la nuit j’essaye de m’arrêter, mais ça continue de me déchirer. Tous ces mensonges qui me dévorent, qui trompe même les plus fort…
Bonjour! Je veut écrire quelque chose sur un site et je compte le publier. Cependant, je sais juste écrire des trucs horreur/fantastique avec un peu d'amour dans l'histoire et je sais pas quoi écrire! 😅 Avez-vous des idées s'il vous plait ? PS: Si je fait votre idée je mets votre nom! (si vous voulez)
J'ai pas d'idée pour écrire cela sur un animer car j'ai connais pas tout les catégories pour écrire sur snk par exemple je débute juste en écriture d'anime je voudrais faire une histoire sur mon crush tzukasa ou eren de snk mais je sais pas comment débuter auriez vous un conseille pour commencer le début de l'histoire dois je reprendre l'histoire entière ou je le fais a ma façon ? PS j'ai ecrit une histoire'sur'la K-pop sur une fille que j'ai inventé et sur junkook ...et chan eunwoo malgré les fautes j'espère que vous la lirais un jour je dois'la corrigé xd alors des conseils ?
Nouvelle maison, Nouvelle vie Léa avait déménager en milieux d’année avec ses parents pendant les fêtes de fin d’année pour raison « personnelle et professionnelle ». Le seul avantage qu’elle trouvait c’était la taille de leur maison. Comparé à celle qu’ils habitaient il y a encore quelques mois, celle la était un vrai château. Après pour une gamine de douze ans ce n’était pas très objectif. Quand on entrait, il y avait un petit meuble en noir pour déposer ses chaussures. Un couloir menait directement à la cuisine ouverte à droite et le salon. Un élément avait tout de suite attiré l’œil de Léa, l’immense frigo comme dans les films américains. C’était la première fois qu'elle en voyait. Son réflexe : prendre un verre et essayer les...
Àlainn est le titre de ce poème, dont le thème que j'ai choisi d'aborder est le mensonge par omission et le regret. Àlainn veut dire tout simplement beau, ou agréable, en Gàidhlig (Gaélique Écossais). Quand il pleut, je mens. Quand il vente, je mens. Quand le tonnerre gronde, je mens. Quand le brouillard se montre, je mens. Quand la neige tombe, je mens. Quand la marée vient et s'en va, je mens. Quand l'écho de la terre se fait entendre, je mens. Quand la montagne tremble et crache sa fumée grise et corrosive qui consume, je mens. Quand la mer se fait colère de Poséidon et rejette sur la rive des éons de pleurs...
Alors que le soleil laisse échapper ses derniers rayons, je m'élève enfin dans les airs et prend mon envol... Ainsi commence la nuit. Je plane au-dessus de la ville, dominant tout, dominant tout le monde. J'observe les allées et venues dans les rues, les sorties des cinémas, les cafés, ombre invisible survolant les corps, écoutant la vie de ceux qui ne veulent pas dormir. La nuit, je ne suis qu'un esprit, libéré de ma chair, de ses limites, de ses douleurs, ne reste que ce terrible sentiment de solitude qui m'accompagne. Toute la nuit durant je cherche, je ne sais pas exactement quoi, mais je cherche, quelque chose qui puisse combler ce vide à l'intérieur, cet abysse obscure qui m’effraie et que je ne veux pas regarder, que je ne...
J’eu le déclic Et dans un clic la nuit vint il craint. j’ouvre ma fenêtre. Et je vis l’être que j’étais, rares sont ceux que je voulais Personne n’a accepté, dans mon lit esseulée. Là où la nuit seule me tiendra compagnie.
25 mars 1967. La pluie déferler dans les rues de Paris, quelques lampadaires produisaient une faible lueur. Faible, mais assez pour apercevoir un homme capuchonné a quelques mètres. Celui-ci regardait la Seine. Tout d’un coup, quelqu’un d’autre, un homme plus grand apparu de nul part et se dirigea vers l’homme capuchonné. – C’est moi. Dit l’homme en s’approchant. – Qui d’autre ? L’homme capuchonné se retourna et arbora un grand sourire. Mon frère, comment vas-tu ? Il tapota l’épaule de l’homme. – Je vais bien, toujours pareil à l’Oly… enfin je veux dire à la maison. Tu as changé ! Cela fait combien ? 10, 20 ans ? – Cela fait 278 ans. – Je suis désolé mon frère ! Leur notion du temps est si...Différente. S’excusa l’homme en se...
Imbécile et agaçant Voilà bien des vocabulaires pour ma si belle maman Ces petits mots aussi insignifiant Nous gigotent dans un subconscient Tout comme un couteau qui remue une plaie Elle est toujours présente pour nous blâmer D'un mot et d'un geste C'est toujours ainsi que je fini déprimé. Les mots ! Aussi efficace que les actes Touchantes et tranchants Ils nous blessent , pèsent . Et ainsi notre conscience Le source vitale de cette vie Nous laissent , partent Et s'en vont sans signe Bonjour ^^ . Je ne suis personne de particulier. Je viens d'essayer de faire un poème. Je suis un débutant donc il ce peut que ça soit nulle voir un peu sans dessus dessous. Ducoup je voulais des avis TvT
O toi l'incertain, que rien ne craint Dans tes rêves... Tu fais le zinzin. Une lueur fictive te vainc! Celle d'une caresse succincte ... La vérité ? Non! loin de moi cette idée! Dans cette vie... Je chéris m'évader. Dans des lieux inavoué, connu, mais expié ! De par les contrées de la méta donné Mais quelle est donc cette vérité ? Le doux réveil de la fin !
J’ai envie d’écrire, J’ai envie de vous voir sourire Certains en ont besoin Mais n’oubliez pas que le bonheur n’est jamais loin Je me suis retourné J’ai vu le passé Je ne resterai pas là J’avance pas à pas Dans ma chambre Il y a moi, Ambre Qui se cache Des mots, plutôt des haches.
Quand mon doux sourire vous avait tromper, rares l’ont deviner, ceux qui se cache derrière son écran, tous ceux à qui l’ont ment. c’était un soir divers. Ce fut un soir d’hiver. ou j’observais ciel noir, les nuages du soir.
Un rêve cauchemardesque Il faisait noir, la pièce, l’endroit dans le quel elle se trouvait était beaucoup trop sombre pour y voir quelques choses. Une personne se tenait devant elle et lui tendait la main. Rien qu’en observant ses doigts qui s’illuminait, elle su. - Aya ? La fille s’éloignait encore et encore. -Aya…, Aya ! Non, s’il te plaît ! Je t’en supplie ne pars pas. Ne me laisse pas seule, pas avec eux… La fille pleurait mais elle souriait également puis partie la laissant seule encore une fois. Elle criait son nom, ce nom. Soudain, des mains l’attrapèrent et serrèrent très fort son cou, ses poignées, ses bras et ses jambes l’empêchant d’avancer. Elles étaient trop forte ou du moins trop forte pour Léa. Elle se réveilla en...
LA CIGARETTE Il se trouvait dans le jardin posé sur une des chaises avec sa cigarette, cigarette qu'elle détestait. Elle le regardait et quand leurs regards se croisèrent elle décida d'aller le voir. Il l'avait vu et savait très bien ce qu'elle allait lui dire. - Tu ne devrais pas fumer. Il savait qu'elle n'aimait pas la cigarette c'était d'ailleurs la raison pour laquelle il s'était mit dans le jardin. Lui n'aimait pas qu'elle répète cette phrase car il le savait, il le savait très bien. - Tu sais que c'est mauvais pour toi et ton corps. Elle avait raison. Il ne répondait pas et avait décidé de l'ignorer. Elle n'aimait pas ça non plus surtout qu'à ce moment elle se trouvait juste en face de lui. - Tu m'ignores ? dit-elle...
Tu regardais la lune tout en tirant sur ta clope. Tes mains tremblaient a cause du froid et ton nez rougis coulait. Tes yeux émeraude scannaient chaque petites étoiles dans le ciel et tes cheveux dansaient sout la légère brise d'automne. Tu étais beau. Et je pense que pour que tu ai aussi peut confiance en toi on ne doit pas te l'avoir dit souvent. Tu possédais cette sorte d'aura naturel qui entourait ton corps et que je pouvais apercevoir a n'importe quel moment de la journée. Un model. Voilà ce que tu étais pour moi. Tu riais de la mort de ton grand frère comme personne n'oserait le faire et tu dansais sous l'orage et la pluie même si cela engendrait plusieurs jours de crève. Tu n'avais pas honte de sortir avec ton t-shirt Metallica...
Me créer un univers imaginaire grâce à des mots alignés, sur un bout de papier, qui permet de s'évader un instant pendant une croûte durée. D'oublier la vie, la vraie, et tout les problèmes qui vont avec, parfois se reposer. Laisser nos rêves se dessiner, voyager avec les phrases qui nous racontent une histoire. Et puis le retour à la réalité où tout les problèmes sont nés c'est durant ces quelques instants que je me sens libre et soulagée. Pour certains lire permet de s'évader. PS: qui lit sur wattpad icii ??? 🫣
Salut ! 👋🏼 J’ai crée cette discussion pour vous demandez, si vous avez du temps à tuer un des ces jours d’aller lire une de mes histoires qui s’intitule « Fatigué ». C’est vraiment un récit qui me tiens à cœur, j’ai écrit plusieurs autres histoires bien sur mais celui-ci, je le considère comme une partie de moi même. Je dépose un lien en dessous pour les curieux. Si vous avez l’envie d’aller y jeter un œil, n’hésitez pas à me faire part de vos impressions en privés, cela me ferait très plaisir...
Un jour de soleil, dans une grande prairie, Se trouve un grand arbre: c'est un saule solitaire. Au milieu de son tronc se trouve un grand cratère, Car le coeur du saule pleureur se trouvait meurtri. Narcisse à nouveau déchu, il était épris De son image tordues par des remous austères Provoquées par un vil et cruel vent d'hiver Qui riait de pouvoir tourmenter l'arbre ainsi. Voilà: il était épris de sa propre image Lointaine telle le ciel, lointaine telle les nuages, Séparée de lui par une simple barrière d'eau. Ses feuilles se flétrissent, ses feuilles deviennent pâles. Les lamentations du saule s'ouient jusqu'aux étoiles: "Que mon reflet est proche! Que mon reflet est beau!" La Dame de Pique
Rien que pour toi, Je suis prête à mentir, Je peut sourire. M'en allée,je le sais, Une honte,un horizon Je ne suis plus qu'un rêve sans fond. Une chose aux qu'elle, Même toi n'y crois plus, Tu me possède, Dans ton regard je crève. Un tatouages que l'on regrette, Un sourire,même pire. Dans ton empire, Je suis l'accoudoir, On me demande d'y croire, Comment fais-je pour t'aimer ? Après tout se que tu as fais.

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