Elle vivait constamment dans la peur, incessante, derrière son masque de fleurs. Elle sourirait, qu’importe les situations, traverser l’océan. Elle aurait aimé. Mais que vont-ils dire ? Que c’est un rêve, un rêve, rien qu’une idéologie, aux lèvres, un rire. Un lys à la main, elle a du te le donner, un dernier adieu, un regard éteint. Elle aurait voulu réagir, quand elle le pouvait, te voir, lorsque tu marchais. Mais elle ne possédait plus cette défunte volonté. Elle aurait voulu tant de choses, tant de choses impossibles. Un sourire collait désespérément à son visage. Qu’importe les ravages, la pluie, le vent, cette affiche ne tombera pas. Est-ce un mirage ? Non, je connais bien cette expression, celle de quand tu sombres dans la...