Poèmes et écriture

Salut! En gros en français la prof nous as demandé de faire un poème sur une situation gênante en s'inspirant du poème "le petit endroit"(parlant de toilette oui) de Georges Sand. Ont devaient le faire a deux, mais vu que j'aime pas ça du tout, j'ai enfreint la règle. J'ai pas vérifié les fautes encore une fois, il se pourrait que se soit chaotique. Conseil? Je prend. Si c'est pas assez travaillé ou que je dois rajouter un truc moi je veux bien que vous me le disiez. La première phrase est celle du poème de GS, c'est elle qui l'a demandé. Vous qui venez dans une humble posture, Prêt à subvenir a vous besoin financier, Marchant d'un air serein et sur, Mallette en main et tête relevé. Arrivé à un stade ou, Le danger n'est que...
Cerveau sous cellophane le coeur dans l' aluminium Dans une toile d' araignée ou mon âme est piégée ... Qui pourra faire taire les grondements de bêtes ! Les hurlements furieux de la nuit dans nos têtes ...
Un poème ayant pour but de représenter l'acceptation de mon insomnie (et de l'insomnie, en général) comme conseillère. La nuit, la nuit porte conseil. Elle ouvre des portes, Vers des chemins inconnus. Mais là où mes pensées errent, Aucune porte ne se dresse. La passerelle solaire qui apparait, Au petit matin, est le seul indice laissé. La nuit, la nuit porte conseil. Peu pourtant l'écoute, Et encore moins choisîssent de la suivre. Mon corps lui vit et mes rêves sur-vivent. La nuit, la nuit porte conseil. Elle montre la voie, Et là où mon cœur passera, La pénombre elle éclairera. La nuit, la nuit porte conseil, Quand il pleut et que le carreau vibre, Quand la lune chante, Se faisant messagère du ciel dégagé, Veillant sur une moitié de...
"Parce que j'aimerais sauter de la plus haute falaise que j'aimerais m'ouvrir les veines jusqu'à me vider de mon sang que j'aimerais brûler tout mon corps à en crier et ne plus avoir de voix ouvrez-moi la gorge fusée moi le corps arracher moi les membres mais par pitié je veux que mon cauchemar prenne fin et que l'enfer disparaisse je n'en ai rien à faire de vivre et encore moins de mourir je veux simplement être en paix je n'ai jamais voulu le mal. Cette année sera ma dernière." Voilà ce que j'ai découvert dans le journal intime de ma petite soeur âgée de 14 ans. Je ne m'en serai jamais douté qu'elle pouvait avoir des pensées aussi sombres. Que dois-je faire pour l'aider j'ai extrêmement peur.
C'était comme au sénat, ou à l'Assemblée Nationale. Je scrutais d'en bas l'immense amphithéâtre. J'étais assise à une table, avec deux ou trois juges. J'observais d'en bas les spectateurs de cette étrange audience. Ils étaient si nombreux et tous fort peu à l'aise. Ils étaient concentrés, perdus dans leurs pensées. Ils étaient dans leur monde et ignoraient le nôtre. J'analysais ces visages, tous plus ou moins connus. J'aperçois celui de Tatiana, elle se tenait bien droite dans son fauteuil roulant. Sa mine était impassible, comme beaucoup de personnes ici. Je me suis mise à fixer cet autre visage, celui de la personne en face de moi. Le visage de mon bien-aimé... Ses grands yeux noirs soulignés de belles cernes étaient plongés dans mes...
Vous Vous vous battez tous les jours Vous souffrez tous les jours Vous supportez toutes les douleurs Les affronts de chaques heures Pendant mille ans vous avez éte humiliées Battues et attachées Aux chaînes d'un Nous Qui a oublié trop souvent que le Vous Lui permettait de vivre Et ce malgré notre manque de savoir-vivre Encore aujourd'hui il vous faut encore crier Pour faire entendre votre voix Et que l'on vous voit Comment pouvez vous encore aimer ? --Gengisclan--
Bonjour, je m'appelle Alex, j'ai 15 ans. Comme vous le savez, je suis hermaphrodite. J'ai une soeur qui s'appelle Axel, elle me protège beaucoup. J'ai aussi une meilleure amie qui s'appelle Camille, qui est albinos et qui souhaite devenir hackeuse au service du gouvernement. Malheureusement, mes parents qui sont ministres ont décidé de me changer d'école. C'est ainsi que j'ai été admis.e à la prestigieuse académie de Dragieu. Là-bas, j'ai rencontré Aloïs, un jeune homme rêveur et studieux atteint d'alexithymie. J'avais décidé de trouver un week-end pour présenter Aloïs à Camille. C'était un samedi après-midi, le soleil brillait et j'étais très excité.e à l'idée de présenter Aloïs à Camille. J'avais parlé de lui à Camille au téléphone...
Bonjour, je m'appelle Alex, j'ai 15 ans. Comme vous le savez, mes parents ont décidé de m'inscrire dans un lycée élitiste. Aujourd'hui, c'est le premier jour de classe et je suis à la fois excité.e et nerveux.se. Je suis obligé.e de porter un uniforme masculin et je me sens mal à l'aise dedans. J'ai l'impression d'être déguisé.e. Les autres élèves ont tous l'air de se connaître depuis des années. Ils portent fièrement leur uniforme et arborent des insignes pour montrer leur appartenance à des groupes sociaux et a des genres bien définis . En arrivant dans la cour de l'école, je sens les regards se tourner vers moi. Je me sens différent.e, comme si j'étais un extraterrestre. J'essaie de me concentrer sur mes pensées et de me rappeler que...
Salut, Alors voilà, troisième poème que j'écris et premier que je vous partage. J'ai pas vraiment vérifier les fautes, donc si vous pouvez me corriger et que c'est pas trop demander bahh Merci d'avance ! J'ai 13ans, en 5e, c'est vraiment pas ouf je le sais. Je prends toutes les conseils et idées! Et j'ai pas encore trouver de titre déso, je suis trop pressé de vous le partager (⁠・ั⁠ω⁠・ั⁠) Voili voilou. Pas de titre encore ;-; Dépourvu de forces intérieures, À l'instar d'un sol pleureur, Notifiant cette bonté exacerbée D'offrir comme présent cette sensibilité, Renforçant le jugement d'autrui Bien que le sel s'estompe sous la pluie. Un teint porcelaine, de grands yeux verts, Totalement gâchés par ces...
Chaque jour qui passe je te vois sous différents formes En été comme en hiver , tu reste reste aussi magnifique que le marbre Que tu soit d’or ou de verdure , ta beauté reste aussi conforme Laisse moi donc t’admirer que je me délecte de ta magnifique verdure Que ça soit dans moments de joie ou de tristesse t’était là en bon ami Quand la solitude se sentait t’était là beau dans la nuit T’es si précieuse à mes yeux , que si tu disparaît je mourrait Alors seulement pour aujourd'hui fait moi me délecter de toi comme du pain Je t’adore tellement que je te contempler jour et nuit Et assis sur ta verdure t’observe avec un ouistiti Toutes tes facettes me passionnent De ta verdure à tes branches , tu m’inspire confiance et de l’entente T’es...
ce brouillard qui tourmente ma vie, si sombre et épais, qui me paraît insurmontable et interminable, est l’unique chose que je vois, seule face à lui, je m’y oppose et pourtant, je me vois en lui, il est le reflet de mon chaos intérieur , de mes pensées sombres qui hantent toute mon âme entière , et qui prennent le contrôle de tout ce qui m’entoure, et me fait face au désordre que j’engendre moi même , de manière incontrôlable et involontaire, je m’auto sabote et m’inflige ce désarroi et cette solitude dans laquelle je me perds un peu plus chaque jour, dans le brouillard de mon âme, où je me noie dans toute cette noirceur , où je m’interdis de voir ce rayon de soleil qui m’appelle, répondant à mon appel à l’aide, mais je...
Je te regarde et je souris Tu es tellement beau Non je ne parle pas de ta beauté extérieure Je parle de l’éclat de ton âme Tu as une si belle âme Ton âme est si pure Tu apparais comme un miroir pour moi Je me vois à travers toi Et je pense que c’est ce qui me plaît le plus Non, nous ne sommes pas deux moitiés tombés amoureuses pour se compléter Nous sommes plutôt deux êtres complets qui se sont reconnus l’une dans l’autre et sont tombés amoureux Je t’aime pour toujours
Le temps s'écoule, Et les blessures guérissent lentement, Mais chaque jour, on se roule Dans les draps de la nuit en souffrant. Pourtant, malgré la douleur, L'espoir continue de briller, Comme une flamme dans le coeur, Qui ne cesse de vaciller. Il faut trouver la force, Pour avancer malgré tout, Et faire fi de la morosité qui s'impose, En sachant que la vie vaut le coup. Ainsi, à chacun ses peines, À chacun ses rêves, Mais toujours, la vie nous entraîne, Vers des horizons qui nous élèvent. Parfois surgissent des ombres, Qui planent sur l'avenir. C'est alors qu'il faut se saisir, D'une chance de sortir des décombres.
Je marchais le long de la mer, C'était pendant un soir d'hiver. Je voyais le soleil couchant, Et les vagues sur l'océan. J'écoutais ce moment silencieux, Juste le son des vagues et de l'écume. C'était un instant merveilleux, Je me sentais légère comme une plume. J'étais juste en train de rêver, En marchant sur le sable sans fin, Assise sur les rochers, Ou à l'ombre des grands pins. Et le ciel de couleur flamme, Les vagues comme des larmes, Je voyais quelque chose de beau, Ne sachant l'exprimer avec mes mots.
Ce que vous allez lire est une autobiographie. Je ne vais pas m'étaler sur ma petite enfance, mais me concentrer sur ce que je vis et pense en ce moment. Pour commencer je m'appelle Lili*, j'ai quatorze ans, et je suis scolarisé à domicile. Ces derniers jours je me sens déprimée et surpassé par tout ce qui m'arrive. Pour être honnête je ne vis même pas le moment présent, je ne pense qu'à la moi du future ; "Si je ne passe pas le Bac, est-ce que ça m'empêchera de trouver un travail ?", "Et si je faisais des études supérieures, je gagnerai bien ma vie, et je pourrais faire ce qui me tiens le plus à cœur; voyager", "Et si je partais juste en terre étrangère, vivre au jour le jour". Dans ma tête il en défile des questions. Mais la...
Je te souhaite d’être heureux, parce que tout le monde mérite le bonheur. Qui suis-je pour t’empêcher d’être heureux ? Qui suis-je pour ne pas te souhaiter de l’être ? Je te juge, oui, je suis en colère contre toi, oui. Mais pourquoi ? Parce que tu ne réponds pas à mes propres attentes, parce que tu n’es pas comme je veux que tu sois, parce que je pensais que je pensais que je comblerais ce manque d’amour que j’ai envers ma propre personne auprès de toi. Mais hélas, tu n’as pu combler ce vide et je t’en ai voulu, je t’ai détesté pour cela et je t’ai même souhaité le malheur. Mais j’ai finalement compris, oui, j’ai compris que ce n’est pas ton rôle de me guérir, j’ai compris que c’était moi le problème, pas toi, aujourd’hui, je te...
Les gens gueulent et s'engueulent Ils crient, mais moi j'écris J'écris ma rage j'écris ma haine J'écris ma peur j'écrie ma peine J'écris pour me livrer, pour m'exprimer J'écris pour me libérer et m'envoler.
Bonjour. Qu'en pensez vous? Il est impossible d'aimer sans avoir le don pour l'objet aimé. La raison pour laquelle nous ressentons de l'intérêt, de la sympathie ou de l'amour pour un certain objet réside dans la présence d'un don caché. Par exemple, si une créature vivante n'avait pas le don du dessin, de la musique, de l'intellect ou de la magie, elle vivrait toute sa vie sans manifester un véritable amour et intérêt pour tout ce qui lui est lié. L'idée de dessiner lui semblerait repoussante, une mélodie ennuyeuse, l'apprentissage des sorts provoquerait de la peur et du dégoût, peut-être même l'envie d'éradiquer tous les sorciers, car ils sont obsédés par des absurdités et perturbent sa tranquillité, et bien sûr, l'idée d'étudier le...
Ce poème est la version longue d'un poème que j'ai soumis à un certain concours où il n'était pas permis de dépasser les 14 lignes, malheuresement. Je n'ai pas encore décidé pour le titre, qui était "Faible Voie" pour la version courte. Serais-ce une bonne idée de le garder ou ... ? Enfin, je cherche des avis objectifs, pour faire court. Même si ce n'est pas à cœur ouvert, Je compte le dire et seulement à vous. Les autres ne me connaissent pas. Je compte changer de voie, Car là-bas je me suis trouvé un nouveau moi. Il se cachait pour fuir, Perdu et oublié, Dans un puits de fêlures rempli, À ne faire que subir le temps et la mauvaise pluie. Mais le temps a mis fin à son supplice, Car il éteins et remplace, Par bien des choses, hélas...
Chère Terre, Je te vois belle à travers les vitres de la classe. Ton herbe est verdoyante et ton ciel bleu clair avec quelque boules de cotons qui le parsème. J'entends les autres de la classe qui t'écrivant à propos de ta santé : la pollution te ronge. Mais personnellement je veux plutôt de parler de toi et de ta beauté, pour que ma lettre te trouve heureuse. C'est une lettre d'amour que je t'adresse. J'aime me promener dans tes forêts que le soleil illumine, voire tes fleurs éclosent lors du printemps. Ta beauté avale ma tristesse pour la remplacer par une joie sans nom. J'aime me réveiller avec tes oiseaux qui sifflotent sur le rebord de ma fenêtre, comme pour me donner du courage d'affronter la journée. Je me demande qu'elle est ta...

🚫 Alerte AdBlock !

Vous avez activé le mode Ninja, et il cache toutes les pubs ! 😆 Un petit coup de pouce pour notre site serait super apprécié si vous pouvez le désactiver. 🙏

🦸‍♂️ J'ai Désactivé AdBlock !