Poèmes et écriture

Je te regarde et je souris Tu es tellement beau Non je ne parle pas de ta beauté extérieure Je parle de l’éclat de ton âme Tu as une si belle âme Ton âme est si pure Tu apparais comme un miroir pour moi Je me vois à travers toi Et je pense que c’est ce qui me plaît le plus Non, nous ne sommes pas deux moitiés tombés amoureuses pour se compléter Nous sommes plutôt deux êtres complets qui se sont reconnus l’une dans l’autre et sont tombés amoureux Je t’aime pour toujours
Le temps s'écoule, Et les blessures guérissent lentement, Mais chaque jour, on se roule Dans les draps de la nuit en souffrant. Pourtant, malgré la douleur, L'espoir continue de briller, Comme une flamme dans le coeur, Qui ne cesse de vaciller. Il faut trouver la force, Pour avancer malgré tout, Et faire fi de la morosité qui s'impose, En sachant que la vie vaut le coup. Ainsi, à chacun ses peines, À chacun ses rêves, Mais toujours, la vie nous entraîne, Vers des horizons qui nous élèvent. Parfois surgissent des ombres, Qui planent sur l'avenir. C'est alors qu'il faut se saisir, D'une chance de sortir des décombres.
Je marchais le long de la mer, C'était pendant un soir d'hiver. Je voyais le soleil couchant, Et les vagues sur l'océan. J'écoutais ce moment silencieux, Juste le son des vagues et de l'écume. C'était un instant merveilleux, Je me sentais légère comme une plume. J'étais juste en train de rêver, En marchant sur le sable sans fin, Assise sur les rochers, Ou à l'ombre des grands pins. Et le ciel de couleur flamme, Les vagues comme des larmes, Je voyais quelque chose de beau, Ne sachant l'exprimer avec mes mots.
Ce que vous allez lire est une autobiographie. Je ne vais pas m'étaler sur ma petite enfance, mais me concentrer sur ce que je vis et pense en ce moment. Pour commencer je m'appelle Lili*, j'ai quatorze ans, et je suis scolarisé à domicile. Ces derniers jours je me sens déprimée et surpassé par tout ce qui m'arrive. Pour être honnête je ne vis même pas le moment présent, je ne pense qu'à la moi du future ; "Si je ne passe pas le Bac, est-ce que ça m'empêchera de trouver un travail ?", "Et si je faisais des études supérieures, je gagnerai bien ma vie, et je pourrais faire ce qui me tiens le plus à cœur; voyager", "Et si je partais juste en terre étrangère, vivre au jour le jour". Dans ma tête il en défile des questions. Mais la...
Je te souhaite d’être heureux, parce que tout le monde mérite le bonheur. Qui suis-je pour t’empêcher d’être heureux ? Qui suis-je pour ne pas te souhaiter de l’être ? Je te juge, oui, je suis en colère contre toi, oui. Mais pourquoi ? Parce que tu ne réponds pas à mes propres attentes, parce que tu n’es pas comme je veux que tu sois, parce que je pensais que je pensais que je comblerais ce manque d’amour que j’ai envers ma propre personne auprès de toi. Mais hélas, tu n’as pu combler ce vide et je t’en ai voulu, je t’ai détesté pour cela et je t’ai même souhaité le malheur. Mais j’ai finalement compris, oui, j’ai compris que ce n’est pas ton rôle de me guérir, j’ai compris que c’était moi le problème, pas toi, aujourd’hui, je te...
Les gens gueulent et s'engueulent Ils crient, mais moi j'écris J'écris ma rage j'écris ma haine J'écris ma peur j'écrie ma peine J'écris pour me livrer, pour m'exprimer J'écris pour me libérer et m'envoler.
Bonjour. Qu'en pensez vous? Il est impossible d'aimer sans avoir le don pour l'objet aimé. La raison pour laquelle nous ressentons de l'intérêt, de la sympathie ou de l'amour pour un certain objet réside dans la présence d'un don caché. Par exemple, si une créature vivante n'avait pas le don du dessin, de la musique, de l'intellect ou de la magie, elle vivrait toute sa vie sans manifester un véritable amour et intérêt pour tout ce qui lui est lié. L'idée de dessiner lui semblerait repoussante, une mélodie ennuyeuse, l'apprentissage des sorts provoquerait de la peur et du dégoût, peut-être même l'envie d'éradiquer tous les sorciers, car ils sont obsédés par des absurdités et perturbent sa tranquillité, et bien sûr, l'idée d'étudier le...
Ce poème est la version longue d'un poème que j'ai soumis à un certain concours où il n'était pas permis de dépasser les 14 lignes, malheuresement. Je n'ai pas encore décidé pour le titre, qui était "Faible Voie" pour la version courte. Serais-ce une bonne idée de le garder ou ... ? Enfin, je cherche des avis objectifs, pour faire court. Même si ce n'est pas à cœur ouvert, Je compte le dire et seulement à vous. Les autres ne me connaissent pas. Je compte changer de voie, Car là-bas je me suis trouvé un nouveau moi. Il se cachait pour fuir, Perdu et oublié, Dans un puits de fêlures rempli, À ne faire que subir le temps et la mauvaise pluie. Mais le temps a mis fin à son supplice, Car il éteins et remplace, Par bien des choses, hélas...
Chère Terre, Je te vois belle à travers les vitres de la classe. Ton herbe est verdoyante et ton ciel bleu clair avec quelque boules de cotons qui le parsème. J'entends les autres de la classe qui t'écrivant à propos de ta santé : la pollution te ronge. Mais personnellement je veux plutôt de parler de toi et de ta beauté, pour que ma lettre te trouve heureuse. C'est une lettre d'amour que je t'adresse. J'aime me promener dans tes forêts que le soleil illumine, voire tes fleurs éclosent lors du printemps. Ta beauté avale ma tristesse pour la remplacer par une joie sans nom. J'aime me réveiller avec tes oiseaux qui sifflotent sur le rebord de ma fenêtre, comme pour me donner du courage d'affronter la journée. Je me demande qu'elle est ta...
Toi. Le jour où je t'ai vu, mon monde a changé. Ton rire, ton sourire, ta façon de me parler, Tel un ange, tu m'es apparue, Cet étrange sentiment inattendu. Tes bras élancés, enlacés en une étreinte, Ton tendre toucher me laisse bouche bée, Ne plus te lâcher est mon seul souhait, Ce poison rose dans mon cœur s'est propagé. Cet amour interdit, pourtant, Pour toi n'est qu'amitié seulement, Cette passion profonde, qui me consume toute entière, À leurs yeux n'est qu'éphémère. Ta lumière divine, ta beauté sublime, Mes pensées innocentes, perçues comme un crime, Toi, mon ange, l'objet de mes désirs, Un jour peut-être, ta main je pourrais tenir.
Il y a des gens qui m'ont fait mal, Des choses qui m'ont fait mal Mais toute cette douleur, Je la garde au fond de mon cœur En espérant que mon cœur ne devienne dur, Dur comme de la pierre, Froid comme de la glace Mais je cache ma face De peur de m'enfoncer dans les abîmes sombres Plus sombres que mon ombre...
Bonjour à tous-tes, Dans le cadre d’un travail artistique, je recherche des opinions anonymes. Je souhaiterais que les personnes qui le veulent, écrivent ici leurs opinions sur la société d’aujourd’hui, sur n’importe quel domaine que ce soit. Le principe serait de recueillir des pensées brutes, sans filtres, sans contexte et surtout anonymes. Utilisez ce message comme exutoire, comme déversoir des pensées que vous croyez devoir taire parce qu’elles ne seront pas comprises par la masse. Vous ne connaissez pas mon nom, je ne connais pas le vôtre. Laissez parler votre esprit comme jamais avant il n’en avait eu l’occasion !
Quand le matin je me lève, c'est pour toi. Et quand le matin tu prononces mon nom, Je sais tout d'un coup pourquoi je suis là. Quand vient midi, nous sommes six, et quand quatre s'en vont nous ne sommes que deux, et moi je ne veux faire qu'un. Quand tu me regardes, je te regarde et tourne vite mes yeux, de peur qu'ils me trahissent et qu'ils me disent adieu. Quand tu t'approches, je me sens mieux et je sens aussi ce qui pourrait être, mais j'ai peur que le soleil derrière toi ne m'aveugle. Quand j'y repense, je me sens las, et je soupire tout bas... Je t'aime. Une vérité qui tarde à se faire savoir, comme le train qui jamais n'arrive en gare. Une simple pensée qui ne fait que passer, que peut-être et j'ose, tu as déjà partagée...
Je tripote mes mains, nerveuse. Elle me demande : " Ça va ?". Je dis oui. Elle me demande pourquoi je suis là. Jamais je n'aurais crut me retrouver ici. Je sais déjà que je ne l'aimerai pas. Je vois qu'elle est pressée. Moi aussi je suis pressée. Pressée de partir, d'oublier, d'aller mieux. Alors oui, je parle, même si je ne lui fais pas confiance. Je parle d'elle, de j*de, je ne prononce pas son prénom à voix haute. Je ne peux pas. Je parle du sang qui a coule tant de fois. À cause d'elle. Elle me demande si mon orientation m'a posé un problème. Non je le savais déjà depuis longtemps. Elle me demande : " alors pourquoi t'es-tu scarifiée ?" Elle ne comprends donc pas ? À cause d'elle. De J*de. Elle ne comprends toujours pas. Je...
Y a t'il quelqun pour dire ce qu'il en pense franchement?? ( a lire avec la musiqu) (j'ai pas réussi a joindre le fichier en audio 😅) ( la fin est ...) On se connaissait depuis dix ans On était meilleurs amis On a tout vécus ensemble De la primaire au lycéée Du CP à la première On a tout fait ensemble On sortait le soir pour faire nimportequoi sur le pont dans la rue On soulait les voisins qui nous criaient dessus Mais on s'en fichait parce qu'on s'amusaient On était comme des frères, on se connaisssaient par cœur On avait les mêmes goûts, les mêmes envies Et on restait presque tous les jours ensembles Au lycée, tu as pris tes distances Tu parraissait triste, tu ne ne me parlait plus Quand je venais tu fuyait, et ça, ça...
Tiré d'une histoire vraie. Toi, petit Playmobil dans ce rouleau de PQ, Je ne pense pas que se soit toi, qui est choisie cette vue. Je ne pense pas que se soit toi, qui t'est mis ici, De ton plain grès, pour nous voir faire pipi. Alors, est-ce toi, qui a choisis de te mettre là, Pour nous voir faire caca ? Pauvre toi... Je sais qui t'as choisit cette itinéraire, Il me semble que c'est mon petit frère...
La nuit tout le monde dort, Sous le bleu nuit du ciel elle reflète, Et là on y aperçoit son squelette, Le squelette de ma soeurette... ... Vous avez vraiment cru qu'il n'y aurait pas de suite au playmobil dans le rouleau de PQ ? Et bah si ! Je ne parle pas du Playmo, mais, le thème des toilettes est restée ; Je suppose que ça nous est déjà tous arrivé, De quelques fois avoir envie de ch*er, Mais moi perso dès que j'y vais, Quelqu'un se met à toquer... Alors la prochaine fois j'irai dans la marre, Ouais, dans la marre aux canards, Ça fera des heureux, De ne plus toquer pendant des heures. Et quand mon bronze sera terminée, Les canards iront becqueter, Le cadeau que je leurs ai laissé, Manger, manger, vous pouvez vous régaler...
I may have seen in you the bandage that I never had. Or that I never knew how to put. The one who will fill the void of an absent father. It is sure that I exaggerate, But, are we good for anything ?
dans cette absence de présence, je n’entend que mes questions qui ressassent sans arrêt, qui ne s’arrêtent que lorsque je suis moi même absente dans un sommeil profond qui se fait rare , ou dans cet état d’ivresse que mon âme s’apaise cette absence, ou plutôt cette inanité qui me porte , chaque jour un peu plus lourde, me grignote petit à petit, sans que je ne puisse y échapper Ce silence qui fait écho à mes pensées les plus envahissantes, qui ne cessent d’hurler toutes ces nuits blanches, jusqu’à ne plus avoir assez de voix pour le jour. Le jour est lumière, la nuit est sombre, et pourtant, le moment où l’on me perçoit le mieux , est dans la nuit. La nuit est calme et passive, laissant le corps parlait de ce qu’il n’a...

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