Soit ce que vous dites est totalement abscons, soit c'est une réflexion d'une élévation complètement binaire, permettez-moi...
En gros, ce que vous dites, c'est que le bien engendre le bien, et que nous avons la liberté de faire le bien, et le mal engendre le mal, mais nous en avons pas la liberté, donc un mélange de logique et d'illogique.
La liberté se vaut pour les deux cas, ce n'est pas un concours ou une compétition à savoir lequel est le plus apte à toute forme de liberté d'exécution, il n'y a pas de déclinaison entre la proportion à commettre le bien en toute liberté tout en négligeant sa liberté à commettre le mal et inversement.
La réalité est que en bien ou en mal, l'acte de polarisation menant à la liberté, à l'ouverture, à la possibilité de faire l'un ou l'autre est stabilisée dans le temps,
Les personnes font du mal car elles ont la possibilité et donc la liberté de le faire, indépendamment du reste, de l'éthique ou de la morale, et c'est ça le grand paradoxe de notre existence finalement.
C'est la fatalité qui est que même avec une évolution dans les idées, dans la posture, dans les concepts théoriques, la liberté de faire le mal ou le bien reste propre à la nature humaine, et reste indépendante de la recherche de l'austérité.
ce ne sont pas des moteurs inventés, confectionnés et placés dans le mécanisme afin de faire tourner la machine, c'est naturelle et biologique,
Nos ancêtres préhistoriques qui se démenaient pour survivre en tuant le gibier qui servaient à maintenir leur vie en place l'ont-ils fait par bienveillance ou malveillance ? Et bien ni l'un ni l'autre, c'étais simplement nécessaire, car leur nature propre le permettait, et la fin (faim) justifiait les moyens.