Envies et fantasmes lesbiens très bizarres, suis-je folle ?

  • Auteur de la discussion Phinette
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L
Lily
Anonyme
Pourquoi il est pas passé mon message ? Je recomence. Donc c'est ma grande soeur, elle est majeure et c'est une vrai bombasse elle est trop belle mais pourtant nan j'ai jamais kiffé sur elle, je l'ai déjà vue à oilp mais ça me fait pas d'effet je préfère les femmes plus vielles de toute façon. Et j'ai déja demandé à ma mère si elle faisai des trucs aussi avec elle m'a dit pas du tout et que elle lui faisai pas d'effet non plus. Moi je suis plus coquine et quand ma mère ma grillé à la maté elle a compris que j'avai des envies et que j'étai lesbienne. Les mères elles donne des conseils à leur fille sur le sexe elle les guide ou elle les oriente toujours à un moment c'est la vie, moi je regrette pas ce jour la de l'avoir maté et qu'elle m'a grillé paceque j'ai fait des trucs que j'aurai jamais osé faire avec des autres. Ma mère ce jour la elle m'a dit que si je voulais savoir plus de chose, je pouvai continué de la maté, ou lui demendé d'autres trucs et qui fallai pas que j'hésite qu'elle étai là pour me montré. J'ai hésité j'ai dit que je voudrai bien savoir ce que ça fait de touché des seins, et elle ma dit vasy hésite pas. Ensuite on a fait des autres trucs et maintenant des fois on fait rien du tout et on est mère fille normale mais on kiffe tellement que le plus souvent possible on fait des trucs. Et maintenant on fait des trucs hyper chaud je kiffe à mort. Des fois juste touche pipi en deux seconde dans la salle de bain si y a du monde à la maison, sinon quand on est que nous deux on va hyper loin et ma mère dit qu'elle a jamais eu d'orgasme aussi fort avec kelkun d'autre avant.
 
L
Lily
Anonyme
Ah si il est passé le message désolé pour le doublon du cou.
 
J
Jeanne
Anonyme
Bonjour les foforumeurs.
Phinette, êtes-vous en ligne ? Je lance une boîte mail éphémère immédiatement. Faites-moi signe de votre présence et je communique l'adresse.
Lily, je vois que tu vis ça très bien, ta maman aussi, et tu as vraiment une sexualité déjà très libérée pour ton âge. Même si ta proposition va encore choquer quelques personnes, je pense que Phinette pourrait étudier l'éventualité de te rencontrer toi et ta maman, et pourquoi pas découvrir certaines choses qui semblent dans vos attirances communes. Mais Lily, ça signifie que tu dévoilerais votre secret à Phinette en faisant connaissance, imagine que vous vous connaissiez ou que vous avez des personnes en commun ? Le monde est petit, à toi de voir mais parles-en à ta maman avant, au cas où Phinette serait intéressée.
 
J
Jeanne
Anonyme
Pas de nouvelle de Phinette, j'espère que tout va bien.
Je serai à nouveau en ligne demain à la même heure, éventuellement ce soir sans certitude.
 
M
Methlyan
Anonyme
Pas de nouvelle de Phinette, j'espère que tout va bien.
Je serai à nouveau en ligne demain à la même heure, éventuellement ce soir sans certitude.
« Si quelqu'un m'entend, n'importe qui, je vous en supplie, vous n'êtes pas seul. Je m'appelle Robert Neville, je suis un survivant, je vis à New York. J'émets sur toutes les ondes courtes. Je serais à South Street Seaport tous les jours à midi, quand le soleil est au plus haut dans le ciel. »
 
cielbleu
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« Si quelqu'un m'entend, n'importe qui, je vous en supplie, vous n'êtes pas seul. Je m'appelle Robert Neville, je suis un survivant, je vis à New York. J'émets sur toutes les ondes courtes. Je serais à South Street Seaport tous les jours à midi, quand le soleil est au plus haut dans« Si quelqu'un m'entend, n'importe qui, je vous en supplie, vous n'êtes pas seul. Je m'appelle Robert Neville, je suis un survivant, je vis à New York. J'émets sur toutes les ondes courtes. Je serais à South Street Seaport tous les jours à midi, quand le soleil est au dans le ciel
Ca me fait penser à un film avec Will Smith, ça serait pas le survivant ?
 
J
Jeanne
Anonyme
Bonjour.
Phinette ? Dispo ?
 
J
Jeanne
Anonyme
« Si quelqu'un m'entend, n'importe qui, je vous en supplie, vous n'êtes pas seul. Je m'appelle Robert Neville, je suis un survivant, je vis à New York. J'émets sur toutes les ondes courtes. Je serais à South Street Seaport tous les jours à midi, quand le soleil est au plus haut dans le ciel. »
Oui, il est vrai que ça fait penser à ce film ;)
 
P
Phinette
Anonyme
Bonjour.

Je suis pressée de parler avec vous Jeanne, je me sens très mal et perturbée. Je ne suis pas disponible en semaine le midi, je mange au travail avec mes collègues, à part le vendredi où je mange en famille. Lily je te remercie mais j’avoue que j’ai du mal à considérer que ça se passe chez moi comme chez toi, j’ai l’impression que c’est impossible et inenvisageable quand je te lis, alors que je suis en train de mettre la même chose en place. Je ne comprends rien à ce qui se passe. Je ne peux pas te rencontrer maintenant que tu sais ce qui se passe, personne ne doit savoir. Et j’ai une question, on ne se connait pas ? Il vient d’où ton pseudonyme ? Désolée pour ces questions mais c’est surprenant et je m’interroge, j’espère que ce n’est qu’un hasard.
 
P
Phinette
Anonyme
Je tiens une sorte de journal intime informatique, un simple fichier word sur lequel je note, j’écris ce qui me chagrine ou m’énerve. Là, je dois vraiment me libérer et savoir ce que j’ai mal fait. J’ai donc écrit à nouveau ce qui s’est passé dimanche après-midi. Je suis obligée de mettre ça par écrit, il faut que ça sorte de ma tête. J’ai décidé de vous soumettre ce que j’ai écrit, c’est bête mais je veux être jugée, je veux savoir si je suis un monstre comme je le ressens, fautive à 100%, je suis perdue. Je vais donner le plus de détails possible sur la chronologie des choses, je ne sais pas si j’ai envie de me trouver des excuses ou me flageller. Je cite les phrases comme je m’en souviens, ce n’est pas au mot près, mais quasiment. S’il vous plait, lisez jusqu’au bout avant de me juger, c’est mal je sais et ça mérite des insultes, mais prenez bien toutes les informations. J’ai juste remplacé les prénoms par « mon mari, mon fils, ma fille », sinon je ne cache rien, c’est un copié collé complet.
 
P
Phinette
Anonyme
J’étais ultra motivée pour résister et réagir comme une adulte réfléchie. Mon mari étant parti avec mon fils pour aller faire des travaux, nous nous sommes retrouvées seules avec ma fille hier en fin de matinée. Nous n’avons pas parlé de notre baiser jusqu’au déjeuner, tout était normal et rassurant dans un sens. C’est ma fille qui en a reparlé la première vers la fin du repas, pendant qu’elle servait notre petite infusion habituelle. Elle m’a dit « ça va depuis vendredi ? J’espère que tu ne m’en veux pas c’est un peu moi qui t’ai emmenée sur ce chemin-là, je ne voulais pas t’embrasser réellement, j’avais juste envie et je me suis demandé si tu ne t’étais pas forcée pour me faire plaisir ou te débarrasser de la situation, j’avoue que c’était gênant et troublant de parler de tout ça c’était vachement érotique en fait je suis désolée, je t’ai sentie perdue ». J’ai répondu qu’elle n’était pas du tout fautive et que c’était à moi de prendre sur moi et de résister.

Elle m’a dit « ah parce que du coup tu résistais, c’est que tu avais vraiment envie ? Comme je t’ai dit que j’étais impatiente de savoir ce que ça faisait et vu tout ce que je t’ai avouée, j’ai dû te saouler, j’ai cru que tu me cédais mais que tu faisais ça comme ça pour te débarrasser. » Je lui ai dit qu’effectivement je m’étais retenue le plus possible mais que, comme elle, j’avais eu envie et je me suis excusée. Elle m’a dit de ne pas m’excuser et même qu’elle me remerciait car elle a adoré ce moment, elle dit qu’elle rêvait d’embrasser une femme et qu’elle n’osait pas avouer que dans ses fantasmes elle aurait aimé que ça soit moi qui l’initie pour son premier. Elle m’a dit « tu dois te dire que ta fille est cinglée ». Il y a eu un petit blanc et elle a repris en me disant « c’est pas facile d’avoir des fantasmes comme ça, on se demande si on est folle, on se force à les transformer en pensant à d’autres mais ça revient tout seul, c’est limite chiant des fois parce que quand tu as ça dans la tête régulièrement tu montes en pression, y a des envies, des pulsions, comme quand on se parle de tout près du coup je vois tes lèvres les idées me viennent, mais je sais faire la part des choses et je te ferai jamais rien, j’ai mon moment d’excitation, ma pulsion mais je sais qu’il ne faut pas passer à l’acte, je te respecte et je sais que tu ne tolères pas ce genre de chose, et je sais que c’est un fantasme et que ça doit rester dans ma tête, je m’en veux souvent vis-à-vis de toi mais je relativise car c’est normal finalement ». Je lui ai répondu que moi aussi j’ai déjà eu des pulsions en sa présence, qu’elle a bien dû s’en apercevoir, et que contrairement à elle, moi je ne pardonne pas les idées qui me passent dans la tête. Elle m’a dit de me renseigner sur les fantasmes, que ce qui nous procure le plus de plaisir est souvent bizarre ou extrême, tout ce qui est considéré anormal, interdit, et qu’on peut avoir envie d’un de ses proches si le corps, la sensualité ou le comportement nous plait, que la sexualité est une question de plaisir physique et de situation et que le désir physique ne tient pas compte du lien parental. Ma fille est très ouverte et experte en la matière, à ma grande surprise. Je lui ai donc dit bravo pour sa façon de gérer ça et j’ai voulu passer à autre chose car des idées commençaient à revenir, parler sexe et l’avoir à côté de moi c’était dur à gérer. J’ai dit « bon allez on passe à autre chose, on oublie ».
 
P
Phinette
Anonyme
Elle ne souhaitait pas qu’on reste là-dessus, pour elle il fallait qu’on crève l’abcès parce qu’elle voulait être sûre que je n’étais pas perturbée. C’est vrai que depuis toujours, j’ai toujours eu du mal à dire non à mes enfants, j’ai toujours voulu les satisfaire et je ne supporte pas de les voir déçus, et j’ai la chance qu’ils n’en aient jamais profité, j’ai des enfants super. C’est pour ça que ma fille a pensé après coup que je l’avais embrassée uniquement parce qu’elle en avait envie ou comme si elle en avait besoin. Je lui ai confirmé que c’était bien la situation qui m’avait créé ce qu’elle appelle une pulsion et que je l’ai fait parce que j’en avais malheureusement terriblement et honteusement envie sur le moment. Elle m’a dit que la sensation était « 1000 fois meilleure » que dans ses rêves et qu’elle avait tellement peur de ne plus pouvoir s’arrêter qu’elle a stoppé net, parce qu’étant à l’extérieur et pas très loin de chez nous, nous n’étions pas à l’abri d’être vues, ce qui aurait été catastrophique. Elle m’a dit qu’elle regrettait d’avoir arrêté parce que le plaisir ne faisait que monter et que ça s’est arrêté beaucoup trop tôt. Tout en regardant mes lèvres à nouveau. Quelle angoisse. Elle m’a dit que si un jour ça se représentait elle espérait que ce soit tranquille à la maison pour que ça dure le plus longtemps possible et que l’envie était encore plus forte depuis vendredi, car elle a ressenti « une sensation extrêmement et anormalement plaisante et excitante », elle dit qu’elle se demande si elle n’aurait pas eu un orgasme rien que par ce baiser si ça avait duré encore. Je lui ai dit « ne me regarde pas comme ça en me disant ça, il ne faut pas que ça recommence ». Elle m’a d’abord répondu « d’accord, excuse-moi ». Puis elle a dit « mais si un jour ça nous le refait, il ne faut pas qu’on résiste, il faut aller au bout parce que là on reste sur un truc merveilleux qu’on n’a pas pu terminer, c’est comme un super rêve où on se réveille trop ». Elle enchaîne en disant « et moi j’étais bien au moins, c’était bien pour toi, je faisais ce qu’il fallait ? J’ai pas calculé je me suis laissé aller mais je ne sais pas trop faire ». Je ne savais pas quoi dire, soit j’avouais que j’ai ressenti la même chose qu’elle pendant ces quelques secondes, soit je mentais pour faire croire que je n’avais pas aimé embrasser ma fille, au risque de la décevoir, auquel cas ça arrête tout ou au contraire ça l’incite à recommencer et à forcer les choses pour faire mieux. Je lui ai dit « non tu te débrouilles très bien tu n’as pas à craindre de décevoir tes futures petites copines ». Elle m’a demandé si ça m’avait procuré des sensations d’excitation et l’envie de recommencer, comme elle. J’ai dit « oui sur le coup j’étais dans un autre monde, c’était presque violent, c’est pour ça qu’il ne faut pas qu’on recommence, ce n’est pas sain ». Elle m’a répondu que ce n’était pas possible de rester là-dessus et qu’elle est surexcitée à l’idée de voir ce qu’un vrai baiser entier procure. Je lui ai dit « tu verras avec une copine c’est mieux ». Et elle m’a répondu « ça ne sera pas pareil, c’est pas aussi excitant, c’est trop normal en fait, pour l’instant c’est tes lèvres qui m’attirent, c’est pour ça que le plaisir est plus fort, c’est le fantasme qui se réalise en fait, y aura rien de mieux. Mais je te forcerai jamais, je peux comprendre que tu trouves ça malsain et que tu me trouves cinglée. C’est dommage que tu te laisses pas aller à tes envies quand tu as la possibilité, on va pas se mettre en couple et avoir des enfants, c’est juste pour découvrir un truc ensemble qui nous attirent toutes les deux… » et elle n’arrêtait plus. Je la sentais déçue et très frustrée. Elle finit par me dire « allez on réessaie juste une fois de s’embrasser, on est tranquille on ferme tout et c’est juste pour voir si ça fait le même effet, on prend le temps on l’a, on arrête quand on veut ». Elle rajoute « ou alors dis-moi que tu as pas aimé mais je n’y crois pas du tout ». Je lui réponds « je peux pas faire ça avec ma fille quand même, ça se fait pas, je peux pas rouler une pelle à ma fille, je peux pas avoir envie de ma propre fille, j’ai pas le droit de me laisser tenter, tu comprends ? ». Elle me dit « ok, tu penses toujours que deux paires de lèvres qui ont envie l’une de l’autre ne peuvent pas se toucher parce qu’elles sont sur les visages d’une mère et de sa fille ».
 
P
Phinette
Anonyme
Elle m’invite alors à venir dans sa chambre. Sur le coup, j’ai eu peur et j’ai dit non. Elle me dit « mais arrête de flipper, manquerait plus que tu ais peur de moi, tu ne vas plus oser me regarder et m’approcher maintenant ? Je veux juste te montrer un truc sur l’ordi ». Donc j’y vais, elle s’installe sur son lit avec son ordi portable, et elle me dit « regarde, sur internet, des vidéos de sexe entre mère et fille, tu en as des tonnes, y a même des catégories ». Je lui dis « parce que tu regardes ces vidéos ? ». Elle me dit « pas que celle mère fille, des vidéos de lesbiennes ça m’arrive et des fois je tombe dessus. C’est pour te montrer que si ça existe c’est bien que c’est courant comme fantasme ». Elle me donne l’ordi et me fait taper « mère fille lesbienne », il y a des vidéos en effet, c’est flippant. Elle me dit clique sur celle-là. Je refuse, elle le fait. Au début je ne regardais pas mais elle avait mis le son. A un moment, la « fille » qui pleurait et que sa mère réconfortait si j’ai bien compris, lui dit « tu te rappelles quand j’étais petite et que tu me caressais le minou le soir, ça me manque ». Et voilà que les deux commencent à se toucher et vous imaginez la suite. J’ai regardé vite fait, on voyait bien que les femmes avaient une trentaine d’années d’écart, mais j’ai dit à ma fille « c’est pas sa vraie fille, c’est des actrices ». Elle me répond « oui sûrement mais c’est pour te montrer que c’est excitant et même plus qu’entre deux personnes lambda ». Et là elle me dit « tiens prends l’ordi, tape « real lesbian sisters piss ». Déjà, le « piss » m’inquiète. Elle me fait cliquer sur une vidéo où se sont deux sœurs jumelles, sans aucun doute possible. Elles font celles qui ne se sont pas vues depuis longtemps, les retrouvailles durent, rien de sexuel. Je lui dis « au pire elles vont finir par se faire un bisou parce qu’on les a payé pour ça ? ». Elle me dit d’attendre. A un moment, ça tourne mal et les sœurs finissent par s’uriner dessus à plusieurs reprises, se dénudant et se léchant de plus en plus. Je cachais mon ressenti car j’avoue que ça m’a fait des trucs, surtout que depuis peu, je suis attiré par les pratiques un peu « bizarres ». J’étais sur le lit de ma fille, elle était assise à côté de moi, et elle me prouve que tout va bien en me disant « tu vois, on partage un truc entre mère et fille, on fait rien de mal, on est capable de partager des moments, on en aura toujours, on regardera la télé, on mangera, on ira se promener, on fera du shopping, on fera du tennis, on se racontera des trucs de fille, comme une mère et une fille ». Elle me dit ensuite « on est capable de se câliner comme une maman et sa fille, c’est pas pour ça qu’on n’a pas le droit en toute discrétion de tester ou partager un truc, moi j’apprécie que ce soit toi qui me montre, qui m’aiguille ou qui me fasse découvrir les choses de la vie, tu restes ma maman ». Je lui réponds « je sais je comprends ce que tu veux dire mais je m’en voudrais ». Elle me dit « et quand tu as une pulsion et que tu me pelotes les fesses, si je me mettais à faire pareil, tu ferais quoi ? ». Je lui dis « c’est des pulsions et c’est mal ». Elle répond « tu ferais quoi quand tu es excitée comme ça si je l’étais aussi et que je jouais le jeu ». J’étais gênée, vous n’imaginez pas, j’ai dit « justement tu le fais pas et c’est très bien, je veux pas imaginer ». Elle rétorque « pourquoi tu te laisses pas imaginer, on parle d’imaginer là, y a rien. Tu as peur que ton imagination aille trop loin ? Ou tu as peur d’accepter tes désirs ? On ne va pas le faire, n’ai pas peur, moi aussi c’est dans mon imagination, des fois quand ça me fait trop d’effet, je peux pas m’empêcher de regarder ton corps si j’ai l’occasion, je touche de loin avec mes yeux, ça amplifie ce qui se passe dans ma tête et mon corps, et alors ? Je trouve le corps de ma mère sexy et excitant, je sais que le mien te laisse pas indifférente, et alors ? Tu as peur de tes fantasmes ? » Je lui dis « franchement des fois oui, je suis ultra classique et limite coincée depuis toujours, et maintenant je pars en vrille dans ma tête, donc oui je préfère ne pas me laisser aller à ça. Tu sais, ne t’imagine pas des caresses langoureuses avec moi ou des baisers romantiques, je serais une très mauvaise partenaire pour une jeune fille comme toi, j’ai des envies trop tordues et malsaines, même sales, arrête de t’imaginer quoi que ce soit de tendre avec moi, ou alors garde ça pour toi et invente toi un personnage pour ta mère, il ne faut surtout pas m’inciter à laisser faire mes pulsions, crois-moi. »
 
P
Phinette
Anonyme
Elle me dit « bah moi j’ai une pulsion j’ai envie d’embrasser tes belles lèvres, je n’ai pas eu assez vendredi ». Elle profite de notre proximité et position pour me faire un bisou sur les lèvres et elle enchaîne aussitôt un petit coup de langue. Je lui dis « arrête fais pas ça », elle me dit « toi arrête alors » et elle m’embrasse à nouveau. Je suis trop conne, avec l’excitation accumulée avant entre notre conversation, les vidéos, la proximité et mes envies plus fortes chaque jour, j’ai ressenti du plaisir avec ses lèvres et je n’ai pas résisté, je me suis mis à l’embrasser aussi. J’ai honte de l’avouer, mais plus on s’embrassait, plus les frissons et le plaisir augmentaient, et moins je pouvais trouver la force d’arrêter. Au bout de quelques secondes ou minutes, je ne me rends pas compte en fait, mon cerveau et mon corps commençaient à bouillir. J’avais une voix de plus en plus lointaine qui disait « pourvu qu’elle veuille arrêter, moi je vais pas y arriver ». Je l’ai attrapé par les cheveux et je l’ai plaquée contre son oreiller. J’avais à ce moment là envie de la dévorer, presque de lui faire mal, mais je pense que j’aurais résisté. Le problème c’est que on s’embrassait tellement fort que ce n’était plus réel, c’était comme si ça n’était pas vrai et que je pouvais aller aussi loin que je voulais, tout en ayant une légère retenue qui ne tenait qu’à un fil. C’était intense comme jamais. Heureusement je ne pensais même plus que c’était ma fille, ma chair, mon sang, c’était animal. Je me souviens qu’en dérivant mes lèvres dans son cou, elle m’a glissé d’une voix tremblante « mes seins, ça me fait drôle, c’est normal ? » Je continue en lui disant « tu as mal ? » et elle répond « non c’est mes tétons ils sont durs, comprimés, on dirait qu’ils vont casser, oh ça fait drôle mais c’est bon ». Elle remet alors ses lèvres sur les miennes, et nos langues n’en pouvaient plus, je n’ai jamais, de toute ma vie, même surexcitée, jamais embrassée de cette façon. Elle voulait mettre ses mains derrière ma tête mais je lui tenais les bras écartés, puis quand je lui tirais à nouveau les cheveux elle cherchait à faire pareil. Je pensais que ce genre de chose ne se passait que dans les films érotiques et même pornographiques. Nous nous sommes embrassées comme ça pendant plusieurs minutes, puis je suis allée fermer la porte d’entrée à clé et je suis revenue dans sa chambre et j’ai aussi fermé la porte, je ne sais pas pourquoi, sûrement pour un maximum de précaution. J’aurais dû alors reprendre mes esprits et dire qu’on arrêtait là. J’étais vraiment un animal et j’avais l’impression de ne plus me contrôler. Ma fille, surprise que je me lève, croyait que j’arrêtais, et déçue, elle était en train de vérifier ses tétons, je pense qu’elle découvrait ce que pouvait provoquer le plaisir. Elle m’a regardé en s’inquiétant de mon arrêt, et a vite soupiré de contentement en me voyant me remettre sur elle. Nous avons repris nos baisers de plus belle, nous nous sommes jusqu’à lécher les visages, et en même temps je lui ai pris les tétons dans mes doigts en lui disant « tu vas voir tu vas aimer qu’ils soient si durs ». J’avais à ce moment-là ma cuisse entre les siennes et même si elle hésitait, je sentais qu’elle commençait à se frotter contre. Je n’en tenais plus, ma main est descendue toucher son sexe à travers son tailleur, puis je l’ai passée dessous et je n’ai pas réussi à résister, je l’ai touché dans son intimité. On s’embrassait toujours. Elle commençait à respirer difficilement et j’ai entendu des petits gémissements. Au lieu de me dire que j’allais trop loin, comme une s****pe que je suis, je voulais aller toujours plus loin. Jusqu’à ce qu’elle ouvre grand les yeux en se redressant, et dise « non, non, oh non ». J’ai tout juste, mais alors tout juste réussi à ralentir en lui disant « quoi, ça va pas ? » et elle a alors dit d’une voix presque pleurante « continue, désolée, je crois que je vais jouir, je sais pas, il se passe un truc, continue, t’arrête pas, continue, continue ». Là encore c’était le moment de reprendre mes esprits. Je n’ai pas eu la force. J’avais de plus en plus envie d’aller loin, j’avais déconnecté complètement avec la réalité. J’ai alors relevé son tailleur et j’ai repris une masturbation, je crois que je ne l’ai jamais faite aussi bien et fort à moi-même. Mon autre main est alors passé sous son chemisier, elle a voulu continué à m’embrasser, comme si ça détournait son attention, pour moins ressentir le reste, car je crois qu’elle avait peur d’une réaction surprenante de sa part. Je sentais sa langue aller jusqu’au fond de ma bouche, elle gesticulait de plus en plus et tout à coup elle a eu un orgasme extrême, à notre grande surprise, ma fille est femme fontaine. Après coup j’aurais préféré l’apprendre de sa bouche et non en action, mais sur le moment, impossible de me contrôler, c’était trop tard, la limite était franchie et loin derrière nous. Le problème est que moi, je n’avais pas encore eu d’orgasme et je crois qu’à ce moment, je ne pouvais qu’aller le chercher, c’était devenu mon but. Pourtant, j’étais dans un état d’excitation encore plus fort que toutes les fois où j’ai fait l’amour avec mon mari, même les premières fois. C’est indescriptible.
 
P
Phinette
Anonyme
Elle me dit « bah moi j’ai une pulsion j’ai envie d’embrasser tes belles lèvres, je n’ai pas eu assez vendredi ». Elle profite de notre proximité et position pour me faire un bisou sur les lèvres et elle enchaîne aussitôt un petit coup de langue. Je lui dis « arrête fais pas ça », elle me dit « toi arrête alors » et elle m’embrasse à nouveau. Je suis trop conne, avec l’excitation accumulée avant entre notre conversation, les vidéos, la proximité et mes envies plus fortes chaque jour, j’ai ressenti du plaisir avec ses lèvres et je n’ai pas résisté, je me suis mis à l’embrasser aussi. J’ai honte de l’avouer, mais plus on s’embrassait, plus les frissons et le plaisir augmentaient, et moins je pouvais trouver la force d’arrêter. Au bout de quelques secondes ou minutes, je ne me rends pas compte en fait, mon cerveau et mon corps commençaient à bouillir. J’avais une voix de plus en plus lointaine qui disait « pourvu qu’elle veuille arrêter, moi je vais pas y arriver ». Je l’ai attrapé par les cheveux et je l’ai plaquée contre son oreiller. J’avais à ce moment là envie de la dévorer, presque de lui faire mal, mais je pense que j’aurais résisté. Le problème c’est que on s’embrassait tellement fort que ce n’était plus réel, c’était comme si ça n’était pas vrai et que je pouvais aller aussi loin que je voulais, tout en ayant une légère retenue qui ne tenait qu’à un fil. C’était intense comme jamais. Heureusement je ne pensais même plus que c’était ma fille, ma chair, mon sang, c’était animal. Je me souviens qu’en dérivant mes lèvres dans son cou, elle m’a glissé d’une voix tremblante « mes seins, ça me fait drôle, c’est normal ? » Je continue en lui disant « tu as mal ? » et elle répond « non c’est mes tétons ils sont durs, comprimés, on dirait qu’ils vont casser, oh ça fait drôle mais c’est bon ». Elle remet alors ses lèvres sur les miennes, et nos langues n’en pouvaient plus, je n’ai jamais, de toute ma vie, même surexcitée, jamais embrassée de cette façon. Elle voulait mettre ses mains derrière ma tête mais je lui tenais les bras écartés, puis quand je lui tirais à nouveau les cheveux elle cherchait à faire pareil. Je pensais que ce genre de chose ne se passait que dans les films érotiques et même pornographiques. Nous nous sommes embrassées comme ça pendant plusieurs minutes, puis je suis allée fermer la porte d’entrée à clé et je suis revenue dans sa chambre et j’ai aussi fermé la porte, je ne sais pas pourquoi, sûrement pour un maximum de précaution. J’aurais dû alors reprendre mes esprits et dire qu’on arrêtait là. J’étais vraiment un animal et j’avais l’impression de ne plus me contrôler. Ma fille, surprise que je me lève, croyait que j’arrêtais, et déçue, elle était en train de vérifier ses tétons, je pense qu’elle découvrait ce que pouvait provoquer le plaisir. Elle m’a regardé en s’inquiétant de mon arrêt, et a vite soupiré de contentement en me voyant me remettre sur elle. Nous avons repris nos baisers de plus belle, nous nous sommes jusqu’à lécher les visages, et en même temps je lui ai pris les tétons dans mes doigts en lui disant « tu vas voir tu vas aimer qu’ils soient si durs ». J’avais à ce moment-là ma cuisse entre les siennes et même si elle hésitait, je sentais qu’elle commençait à se frotter contre. Je n’en tenais plus, ma main est descendue toucher son sexe à travers son tailleur, puis je l’ai passée dessous et je n’ai pas réussi à résister, je l’ai touché dans son intimité. On s’embrassait toujours. Elle commençait à respirer difficilement et j’ai entendu des petits gémissements. Au lieu de me dire que j’allais trop loin, comme une s****pe que je suis, je voulais aller toujours plus loin. Jusqu’à ce qu’elle ouvre grand les yeux en se redressant, et dise « non, non, oh non ». J’ai tout juste, mais alors tout juste réussi à ralentir en lui disant « quoi, ça va pas ? » et elle a alors dit d’une voix presque pleurante « continue, désolée, je crois que je vais jouir, je sais pas, il se passe un truc, continue, t’arrête pas, continue, continue ». Là encore c’était le moment de reprendre mes esprits. Je n’ai pas eu la force. J’avais de plus en plus envie d’aller loin, j’avais déconnecté complètement avec la réalité. J’ai alors relevé son tailleur et j’ai repris une masturbation, je crois que je ne l’ai jamais faite aussi bien et fort à moi-même. Mon autre main est alors passé sous son chemisier, elle a voulu continué à m’embrasser, comme si ça détournait son attention, pour moins ressentir le reste, car je crois qu’elle avait peur d’une réaction surprenante de sa part. Je sentais sa langue aller jusqu’au fond de ma bouche, elle gesticulait de plus en plus et tout à coup elle a eu un orgasme extrême, à notre grande surprise, ma fille est femme fontaine. Après coup j’aurais préféré l’apprendre de sa bouche et non en action, mais sur le moment, impossible de me contrôler, c’était trop tard, la limite était franchie et loin derrière nous. Le problème est que moi, je n’avais pas encore eu d’orgasme et je crois qu’à ce moment, je ne pouvais qu’aller le chercher, c’était devenu mon but. Pourtant, j’étais dans un état d’excitation encore plus fort que toutes les fois où j’ai fait l’amour avec mon mari, même les premières fois. C’est indescriptible.
 
P
Phinette
Anonyme
Ma fille reprenait son souffle et moi je la caressais en étalant le liquide sorti d’elle, je lui en ai mis sur les cuisses, puis j’ai déboutonné son chemisier. Elle était ailleurs et ne se rendait pas encore tout à fait compte. Elle a alors dit « j’ai rien compris, j’ai surkiffé, c’est quoi ce truc, c’était en vrai ? » Je lui ai confirmé en lui étalant la cyprine sur ses seins. Je me rappelle même l’avoir fait rire aux éclats quand je lui ai dit « ça fait soulager tes tétons ». N’importe quoi. Comment on peut dire cette phrase à sa fille. Elle m’a alors dit « qu’est-ce que ça aurait été si on avait vraiment baisé, je serais morte, j’aurais pas tenu le choc » en souriant, ravie et satisfaite. Vous savez ce que j’ai répondu ? Un truc du genre « On n’a pas fini, tu regardes mon corps de loin par la serrure, tu veux le voir mieux, tu vas le voir de près, tu vas le toucher ». Elle a répondu « oh j’ai droit à la cerise sur le gâteau, tu vas vraiment me laisser faire ? » Et je crois que j’étais dans un tel état que j’ai dit « c’est moi qui dirige maintenant, tu m’as entraînée, tu as voulu voir, tu vas voir ». En l’écrivant et en y repensant, je me fais peur, vraiment. Mais ma fille avait un grand sourire et elle s’est redressée pour, encore, m’embrasser. C’est je crois la chose qu’elle fantasmait le plus et elle ne voulait pas en perdre une miette, elle devait savoir que ça ne se reproduirait plus jamais ».
 
P
Phinette
Anonyme
Je l’ai alors prise par les cheveux et j’ai récupéré ce qu’il restait de cyprine entre ses jambes, je crois que je tirais très fort, mais elle avait l’air ravie, ça me fait bizarre de me dire que j’ai entendu ma fille me dire des choses qu’on entend dans les films. J’en suis glacée maintenant. Bref, je l’ai alors déshabillée totalement, je me suis assise sur sa poitrine et mettant mes genoux sur ses bras, et j’ai commencé à me déshabiller. Quand elle a vu mes seins elle a voulu se redresser mais je l’ai empêchée. Je crois que je me suis mis à vouloir la dominer dans l’extrême. Elle disait des choses comme « oh wahou mon dieu, tu es belle, trop belle », et moi je ne pouvais plus trop parler, j’avais le souffle court, je n’en pouvais plus. J’ai pris sa tête par les cheveux et j’ai mis mes doigts dans sa bouche pour lui sortir de la salive et lui étaler sur le visage. Je ne voyais même pas que j’allais trop loin et en plus, elle avait l’air d’adorer et d’en vouloir plus. Je l’ai même giflée, heureusement pas trop violemment, enfin je crois, et elle a dit « encore ». Je me suis mise debout sur le lit le temps de retirer mes vêtements du bas. Elle s’est redressée et je l’ai à nouveau remise sur le matelas par les cheveux. Elle sortait sa langue comme pour lécher n’importe quelle chose que je lui aurais présenté. Je lui ai mis des fessées puis je l’ai allongée bien sur le dos. Je me suis allongée sur elle et j’ai frotté mes seins sur les siens, j’ai écarté ses cuisses et j’ai frotté mon sexe contre le sien en même temps. On s’est remise à s’embrasser comme des mortes de faim. C’est pitoyable quand j’y repense. Elle a alors eu un deuxième orgasme, encore fontaine. Je lui ai dit « tu ne peux pas m’attendre ? Tu dois jouir en même temps que moi ». Oui je sais, je parlais à ma fille, ce dont je n’avais plus conscience à ce moment-là, j’étais comme sous l’emprise de drogue. Du coup j’avais le sexe trempé, je lui ai même dit un truc du genre « c’est bien lubrifié on va pouvoir y aller ». Je me suis mis à me frotter à une vitesse et d’une force incroyable, elle n’arrivait plus à respirer et moi non plus, elle se dressait par moment pour m’embrasser, me toucher ou lécher le corps, mais vraiment, comme on voit dans les vidéos. Elle a eu encore un jet très puissant, je ne sais pas où elle stocke tout ça. Elle a même crié comme quelqu’un qui n’a plus la force mais qui n’arrive pas à s’en empêcher. J’ai continué en sentant que je n’étais pas loin de l’orgasme aussi. Quand j’ai senti que c’était le moment, j’ai remonté sur elle, je me suis frotté entre ses seins et son menton, elle regardait mon sexe avec gourmandise, elle avait ses mains sur mes seins. Je lui ai dit « tu le vois assez bien là, t’es contente ? ». J’ai traité ma fille de s****pe à plusieurs reprises, tellement elle aimait ce qui se passait. Je n’avais jamais dit de grossièreté devant mes enfants, vous imaginez ! Je sentais que c’était le moment, j’ai remonté sur son visage et je me frottais contre son nez, sa bouche et son menton, c’était extrêmement jouissant et je n’en revenais pas de ne pas jouir plus rapidement. Je me suis retournée, toujours sur son visage, je lui ai dit de me la bouffer, de me faire jouir comme je l’ai faite jouir, de faire ça bien, je ne sais pas comment elle aurait pu s’appliquer tellement je me frottais, mais je sentais sa langue et ses mains sur mes fesses faire de son mieux. J’ai alors fait aussi un cunnilingus, quand j’y pense, comment est-ce possible, un cunnilingus à ma fille. Elle était trempée. Moi aussi. Je me rends compte que j’ai fait un 69 avec ma propre fille. C’était tellement bon sur le coup et tellement à vomir après coup. C’est affreux alors que c’était monstrueusement bon. J’ai honte. J’ai fini par atteindre l’orgasme, j’ai mouillé comme jamais de ma vie, jamais, avec le sentiment de perdre conscience avec plaisir. Ma fille a eu le sien quasiment en même temps, à 10 secondes près. Elle était vidée, moi aussi. Je suis restée dans cette position quelques secondes, et vous n’imaginerez pas ce que ma fille me dit à ce moment-là : « j’en peux plus, embrasse-moi, viens, serre- moi, embrasse-moi, encore… ». Je me suis alors remise sur elle et on s’est embrassée avec le peu de force qu’il nous restait, puis on est restée l’une sur l’autre à se caresser le corps quelques minutes. Ensuite on s’est regardée longuement, et petit à petit la honte m’envahissait, alors qu’elle me remerciait du regard et me faisait comprendre qu’elle assumait complètement. Je me suis alors levée, je lui ai demandé de le faire aussi pour défaire le lit, la couette, le drap et les oreillers étant trempés. Nous avons alors remplacé tout ça, et j’ai mis le tout à laver aussitôt.
 
P
Phinette
Anonyme
Je suis allée prendre ma douche, elle voulait qu’on la prenne ensemble. Je n’ai pas voulu. Elle est passée derrière mois dans la salle de bain, je n’ai pas pu la regarder alors qu’elle me dévorait encore du regard. Elle m’a alors dit « c’est le meilleur moment de toute ma vie et c’est grâce à toi, ne regrette rien, je rêvais de faire ma première fois avec une femme, je fantasmais en secret pour que tu m’inities, et on s’est initiées toutes les deux, pour moi c’est la plus belle preuve de complicité entre nous, je t’aime ». Il était déjà 15h, je venais de me rendre compte que nous avons fait ces choses là durant plus d’une heure et demie. La culpabilité devenait aussi forte que cette saloperie d’excitation l’avait été. La honte aussi, le dégoût de moi. Et d’avoir ressenti une telle énergie, une telle envie d’aller loin, d’y mettre de la force, une telle motivation, je ne comprends pas, en fait, j’avais l’impression de ne plus être moi, d’être sous emprise d’une force bizarre. Je ne cherche pas d’excuse, je ne comprends pas c’est tout. J’ai repensé à mon ancienne collègue et sa fille, et je me suis dégoûtée à comprendre qu’elles puissent y trouver du plaisir. C’est affreux.
 
P
Phinette
Anonyme
(je n'arrive pas à coller la suite de ce que j'ai écrit hier, c'est bloqué pour l'instant)
 
P
Phinette
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Je suis allée prendre ma douche, elle voulait qu’on la prenne ensemble. Je n’ai pas voulu. Elle est passée derrière mois dans la salle de bain, je n’ai pas pu la regarder alors qu’elle me dévorait encore du regard. Elle m’a alors dit « c’est le meilleur moment de toute ma vie et c’est grâce à toi, ne regrette rien, je rêvais de faire ma première fois avec une femme, je fantasmais en secret pour que tu m’inities, et on s’est initiées toutes les deux, pour moi c’est la plus belle preuve de complicité entre nous, je t’aime ».
 
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Phinette
Anonyme
(quand je pourrais coller la suite, j'espère que vous prendrez le temps d'aller au bout, car il y a un truc très important à la fin)
 
P
Phinette
Anonyme
Il était déjà 15h, je venais de me rendre compte que nous avons fait ces choses là durant plus d’une heure et demie. La culpabilité devenait aussi forte que cette saloperie d’excitation l’avait été. La honte aussi, le dégoût de moi. Et d’avoir ressenti une telle énergie, une telle envie d’aller loin, d’y mettre de la force, une telle motivation, je ne comprends pas, en fait, j’avais l’impression de ne plus être moi, d’être sous emprise d’une force bizarre. Je ne cherche pas d’excuse, je ne comprends pas c’est tout. J’ai repensé à mon ancienne collègue et sa fille, et je me suis dégoûtée à comprendre qu’elles puissent y trouver du plaisir. C’est affreux.
 
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Phinette
Anonyme
Je suis allée m’enfermer dans ma chambre pour écrire tout ça, avant, on ne sait pas, d’avoir la faiblesse d’effacer ça de ma mémoire. Je veux écrire que c’est réel car ça le semble déjà moins, je ne veux déjà plus y croire. Je veux pouvoir le relire, m’y forcer, pour me rappeler quel animal, quel monstre je suis. Je n’ai pas eu le temps, ma fille est venue me chercher. Elle voulait qu’on se pose tranquillement devant la télé. Je lui ai dit que je ne voulais pas regarder la télé. Elle m’a dit « c’est juste pour reprendre notre petite vie comme avant, discuter et redevenir maman et fille, on a fait une parenthèse en étant partenaire, je referme la parenthèse mais toi je vois que ça va te poser des difficultés. Viens, c’est ta fille qui veut passer du temps avec sa maman maintenant ». J’y suis allée, je ne sais pas si elle avait raison ou tort de le prendre de cette façon, elle le vivait bien mieux que moi en tout cas. Nous nous sommes installées dans le canapé et nous avons mis une chaîne, je ne sais pas laquelle. Ma fille a alors parlé de tout et de rien, c’était revenu à la normale pour elle. Elle a fini par poser sa tête sur mon épaule, comme souvent, comme avant, mais là j’étais gênée. Puis elle m’a pris par le cou en soupirant et elle m’a dit « ça te dirait de venir avec moi faire du shopping la semaine prochaine, ça serait bien ça fait au moins deux mois qu’on y est pas allée ensemble ». J’ai soupiré et pour rassurer ma fille, bien que j’allais mal, j’ai posé ma tête sur la sienne et je lui ai dit « oui carrément, ça va nous faire du bien ». Ma fille à ce moment là était redevenue ma fille, j’avais un sentiment d’amour maternelle pour elle autant qu’une haine envers moi. Nous sommes restées sur le canapé, on s’est même pris la main, comme avant, pendant une heure environ. Elle a posé une question gênante à un moment : « maman, vu que tu es attirée par les femmes, tu vas faire quoi vis-à-vis de papa, vous allez pas vous séparer quand même ? ». Je lui ai dit « sûrement pas, je l’aime ton père, il ne mérite pas ça et vous non plus ». « Alors tu vas faire quoi, tu vas le tromper avec des femmes ? ». Je lui ai dit « il faut que j’apprenne à me contrôler, on n’est pas des animaux, l’amour doit passer avant le sexe ». Elle me répond alors « je suis pas d’accord, le sexe ça fait partie de l’équilibre, si on est frustrée on ne peut pas aller bien , moi je serais toi je saisirais les occasions qui se présentent et j’écouterais mes envies, mais je te demande pas de m’en parler, tu feras ce que tu veux, penses à toi et à ton plaisir, faut pas avoir de regret. Mais si tu veux me raconter… n’hésite pas, tu sais qu’on peut tout se dire ». Puis l’après-midi est passée. Mes hommes sont rentrés, je n’ai rien montré mais j’avais honte, de ce qui s’était passé comme du fait de faire comme si rien ne s’était passé. On a parlé des travaux, de l’actualité, comme une famille normale. La petite maison dans la prairie…
 
P
Phinette
Anonyme
Le repas du soir s’est passé, puis est venu le temps d’aller se coucher, tôt car mes enfants se lèvent tôt le lendemain. Ma fille prépare nos infusions du soir, comme d’habitude, me l’apporte, comme d’habitude et va se coucher. On se souhaite bonne nuit et tout le monde se couche. Un quart d’heure après, alors que je cogitais et que je commençais à lutter contre des images qui revenaient, comme si mes démons me reprenaient, ma fille m’appelle et me demande si je peux regarder si son portable n’est pas dans ma chambre. Elle l’avait bien laissé sur ma table de chevet quand elle a apporté l’infusion. Mon mari s’endormant en deux minutes, il était grognon et j’ai donc emmené le téléphone à ma fille. Je le pose simplement à côté d’elle, et elle me dit alors « attends, viens voir, faut que je te dise un truc ». Je m’approche, et elle se met à chuchoter « grâce à toi je vais m’endormir bien, je suis heureuse de ma journée, de ma première fois » mais elle parlait très bas. Elle me dit « tu sais à qui j’ai envie d’en parler ? » La trouille me prend. Je m’approche tout près et lui dit « pardon ??? » et elle me répond en souriant « à toi, et à personne d’autre, je te le jure, et toi non plus tu ne dois pas en parler, c’est notre secret pour toujours ». Elle me dit « bisou, bonne nuit ». Je lui dis aussi « bisou », et elle me dit « non mais tu peux me faire un bisou quand même ». Je m’approche rapidement, lui fais un bisou mais elle tourne la tête pour le recevoir sur la bouche. J’ai tenté d’éviter mais nos lèvres se sont touchées. Je l’ai regardé avec des yeux de colère, alors que je sentais ma respiration s’accélérer et être plus difficile. Je me disais non, ça va pas recommencer. Elle me regardait et s’est excusée, elle était presque à pleurer, elle m’a caressé la joue et elle a dit « pardon, c’était tellement bon que je risque d’avoir des pulsions par moment, pardon ». Je n’aime pas voir ma fille en détresse donc je lui ai malheureusement dit que ce n’était pas grave. Moi, je me sentais bizarre, j’étais de plus en plus en forme, énervée. J’ai voulu quitter la chambre parce que j’avais la crainte que mes envies perverses me reprennent et j’étais décidé à ne plus jamais m’y laisser aller. Ma fille m’a attrapée la main et m’a demandé de la rassurer, de lui dire que ça allait, que je n’avais pas peur d’elle, que je lui faisais toujours confiance, que je comprenais que sa fille et sa « partenaire de jeu » c’était deux choses différentes… Je lui ai dit « oui ne t’inquiète pas tout va bien », et j’ai remarqué à ses yeux qu’il se passait quelque chose. J’ai alors vu qu’elle était en train de se toucher sous le drap, et que ses pieds bougeaient. J’ai pris sur moi, alors que ça aurait dû être normal, mais j’ai pris sur moi pour la laisser en intimité et faire ce qu’elle voulait toute seule. J’ai pris sur moi, oui, car ça recommençait à me troubler. Je suis allée me recoucher, mon mari dormait à poings fermés. J’étais bizarre. Je sentais une excitation monter, de la nervosité, je n’avais pas sommeil du tout, au contraire, j’avais une énergie folle. Je ne tenais plus en place, j’étais énervée, excitée. Je me suis levée pour ne pas réveiller mon mari et je suis allée replacer la tasse, avec le bord rose, la seule que l’on a, et la même qu’à midi. J’ai foncé dans la chambre de ma fille, j’avais l’impression qu’elle se faisait lentement plaisir en m’attendant. Je lui ai dis « qu’est-ce que tu as mis dans la tisane ? » Elle m’a répondu « de quoi tu parles, ça va pas ? » J’ai répondu « je suis pas dans mon état normal, ça me reprend comme à midi, tu as mis un truc, tu m’as droguée ? » Elle me répond que non, et me fait remarquer que je vais réveiller les hommes, bien qu’ils aient le sommeil très lourd tous les deux. Je baisse de ton, je voyais qu’elle se touchait toujours, j’étais énervée après elle parce que j’ai compris qu’elle avait fait quelque chose, et en même temps j’étais de plus en plus dans un monde irréel, comme dans l’après-midi. J’avais envie de la disputer et de lui faire cracher le morceau, et en même temps, j’avais envie de faire sauter le drap et de prendre la main sur sa masturbation. Je savais qu’elle y étais pour quelque chose, je commençais à comprendre. J’allais foutre le camp avant de faire mal à ma fille, mais elle m’a dit « attends, j’avoue, j’ai mis un petit truc, c’était juste pour aider, ça n’a rien changé, c’était super léger, c’est rien du tout, ça aide juste à déculpabiliser, à désinhiber, j’ai même pas mis une dose normale, quasiment rien, vraiment ». J’ai fermé la porte de sa chambre, j’ai dit « c’est quoi, qu’est-ce que tu as mis, tu en as pris aussi ? ». Elle m’a répondu « c’est une poudre qui aide à s’épanouir, à se décoincer, c’est pas fort, je sais pas comment ça s’appelle, c’est juste pour aider mais ça fait pas faire des choses qu’on a pas envie de faire, j’en ai mis juste ce soir aussi mais même sans ça j’avais déjà envie, ça fait quasiment rien comme effet, j’avais juste tellement envie que tu viennes dans ma chambre m’embrasser ce soir, et je savais que tu y penserais mais que tu n’oserais pas venir de toi-même ». Je lui ai dit « tu as trouvé ça où ? » et elle ne voulait pas me dire. J’étais comme dans une boîte de nuit avec la musique tellement forte que je ne l’entendais plus, je ne savais plus si il faisais sombre ou clair, je planais et je me sentais indestructible, électrique, il fallait qu’il se passe quelque chose. Alors j’ai retiré le drap sèchement, je lui ai dit « et toi tu fais quoi là espèce de s****pe » tout en n’osant pas élever la voix par rapport aux hommes. J’étais encore prise au piège de moi-même, de l’animal, du monstre, ça recommençait. « Qu’est-ce que tu es en train de faire encore là hein ? » Elle me répond « je me fais plaisir toute seule, j’ai le droit ? Je repense à ce qu’on a fait et ce qu’on n’a pas fait, ce qu’on aurait pu faire d’autre, c’est dans ma tête tu vas pas me le reprocher maintenant ! » Je l’ai alors giflée, elle s’est cambrée et j’ai vu sa culotte se mouiller instantanément, elle a mis une main sur mes seins et l’autre main sur sa bouche pour ne pas faire de bruit. Je l’ai giflée à nouveau, sur le visage puis sur le sexe, je voulais la punir et ça m’excitait en même temps, et elle aussi. Je lui ai redemandé qu’elle me dise où elle s’était procuré sa poudre. Elle m’a dit « je te demande une seule chose en échange et je te promets que je te le dis. Embrasse-moi et je te le dis, promis ». Je voulais me sauver, je voulais la toucher, je voulais lui faire mal en lui donnant du plaisir, je voulais arrêter et continuer en même temps. Elle se dresse et approche sa bouche de la mienne en disant « juste une petite fois ». Je n’ai pas réussi, on s’est embrassée, encore une fois. Trois secondes à peine, et je lui ai dit que maintenant ça suffisait, qu’elle me dise ce que j’ai pris et surtout où elle l’a eu. Elle me répond « c’est pas un baiser ça, un vrai comme tout à l’heure ».
 
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Phinette
Anonyme
Le repas du soir s’est passé, puis est venu le temps d’aller se coucher, tôt car mes enfants se lèvent tôt le lendemain. Ma fille prépare nos infusions du soir, comme d’habitude, me l’apporte, comme d’habitude et va se coucher. On se souhaite bonne nuit et tout le monde se couche. Un quart d’heure après, alors que je cogitais et que je commençais à lutter contre des images qui revenaient, comme si mes démons me reprenaient, ma fille m’appelle et me demande si je peux regarder si son portable n’est pas dans ma chambre. Elle l’avait bien laissé sur ma table de chevet quand elle a apporté l’infusion. Mon mari s’endormant en deux minutes, il était grognon et j’ai donc emmené le téléphone à ma fille. Je le pose simplement à côté d’elle, et elle me dit alors « attends, viens voir, faut que je te dise un truc ». Je m’approche, et elle se met à chuchoter « grâce à toi je vais m’endormir bien, je suis heureuse de ma journée, de ma première fois » mais elle parlait très bas. Elle me dit « tu sais à qui j’ai envie d’en parler ? » La trouille me prend. Je m’approche tout près et lui dit « pardon ??? » et elle me répond en souriant « à toi, et à personne d’autre, je te le jure, et toi non plus tu ne dois pas en parler, c’est notre secret pour toujours ». Elle me dit « bisou, bonne nuit ». Je lui dis aussi « bisou », et elle me dit « non mais tu peux me faire un bisou quand même ». Je m’approche rapidement, lui fais un bisou mais elle tourne la tête pour le recevoir sur la bouche. J’ai tenté d’éviter mais nos lèvres se sont touchées. Je l’ai regardé avec des yeux de colère, alors que je sentais ma respiration s’accélérer et être plus difficile. Je me disais non, ça va pas recommencer. Elle me regardait et s’est excusée, elle était presque à pleurer, elle m’a caressé la joue et elle a dit « pardon, c’était tellement bon que je risque d’avoir des pulsions par moment, pardon ». Je n’aime pas voir ma fille en détresse donc je lui ai malheureusement dit que ce n’était pas grave. Moi, je me sentais bizarre, j’étais de plus en plus en forme, énervée. J’ai voulu quitter la chambre parce que j’avais la crainte que mes envies perverses me reprennent et j’étais décidé à ne plus jamais m’y laisser aller. Ma fille m’a attrapée la main et m’a demandé de la rassurer, de lui dire que ça allait, que je n’avais pas peur d’elle, que je lui faisais toujours confiance, que je comprenais que sa fille et sa « partenaire de jeu » c’était deux choses différentes…
 
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