P
Anonyme
Non pas de psy, impossible, je sais qu'ils nous veulent plus de mal que de bien. Je pense être pire qu'un animal.
Envies et fantasmes lesbiens très bizarres, suis-je folle ?
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Anonyme
Tu peut me tenir au courant
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Moi j'en ai 42 et des envies sexuelles aussi mais en me masturbant j'arrive à me les passer, bon je sais que c'est pas pareil mais ça soulage bien
Oui cest trop bon
A
Anonyme
Encore toi? Mais quitte foforum pour jvc, tu énerveras moins de monde, c'est bourré de crétins dans ton genre
E
Anonyme
Je n'aimerais pas être à ta place.
Que ta vie doit être dure.
Alors en effet parles en avec ta fille (mais même pour ça je n'aimerais pas être à ta place).
Il aurait été plus facile d'avoir des envies pour les copines de ta fille.
Maintenant faut il avoir des remords ou des regrets ?
Tu en seras seule juge. Bon courage
Que ta vie doit être dure.
Alors en effet parles en avec ta fille (mais même pour ça je n'aimerais pas être à ta place).
Il aurait été plus facile d'avoir des envies pour les copines de ta fille.
Maintenant faut il avoir des remords ou des regrets ?
Tu en seras seule juge. Bon courage
J
Anonyme
Bonsoir Phinette. Je me dois de réagir et vous rassurer le plus rapidement possible. J'interviens rarement sur ce forum mais je le surveille car je suis psychologue et sexologue, je travaille parfois pour la police, et mon fils est inscrit. Rassurez-vous, vous n'êtes pas folle ni un animal. Si vous l'étiez, vous seriez déjà passer à l'acte. Je suis persuadée que vous ne le ferez pas sans consentement de votre fille, votre désir est tel qu'il vous fait croire le contraire. Je ne vais pas pouvoir dire tout ce que je souhaite vous dire car j'utiliserai trop de place. Déjà, dites-vous bien que la plupart des utilisateurs de ce forum sont bien pires que vous, surtout ceux qui vous jugent. Chercher une solution est signe d'intelligence et de respect pour vos proches.
Vous n'aimez pas les "psy", je le comprend au vu de votre passif avec un professionnel malhonnête et malsain. Je vais vous expliquer malgré tout comment, psychologiquement parlant, ce qui vous arrive s'explique et est plus courant qu'on ne veut bien le croire. Vous avez envie de votre fille, pas de votre fils. Vous avez vécu très longtemps une belle relation avec votre mari, qui va continuer. Cette relation est très classique, malheureusement pas originale, et ça vous a rassuré sur bien des plans pendant longtemps. Des mésaventures et des expériences ont ouvert votre esprit sur des pratiques sexuelles auxquelles vous vous étiez empêché de penser depuis toujours. C'était bloqué, mais au fond de vous, vous avez envie de sexe moins classique, que vous considériez anormal. La relation homosexuelle devient envisageable et bien plus excitante que la relation hétéro classique. L'excitation vous fait même songer à de la relation un peu violente, un peu folle. Pourquoi votre fille ? Tout simplement par pudeur et peur des gens que vous connaissez mal ou peu. Vous n'avez pas confiance en vous ni en une éventuelle partenaire. Vous connaissez votre fille par coeur, et je pense pouvoir affirmer que vous avez une confiance totale en elle. Vous ne vous en rendez pas compte, mais c'est pour cette raison que vous avez fait le rapprochement entre le sexe et votre fille. A tel point que vous n'envisagez qu'elle à chaque fois que vous ressentez du désir, ce qui vient à vous faire désormais ressentir du désir quand vous regardez votre fille. C'est purement psychologique et très normal, c'est une question de personnalité, de confiance, de désirs refoulés, c'est incontrôlable, ça se fait naturellement.
Nous sommes dans une société qui nous oblige à penser qu'une relation sexuelle entre parent et enfant est mal et interdit. En réalité, l'inceste au sens viol est mal et interdit. Mais pourquoi une relation consentie entre un parent adulte et un enfant majeur sexuellement serait interdite ? On nous a formaté pour le penser, mais certaines civilisations ou sociétés n'ont pas la même vision des choses. J'en vient à un exemple concret. J'ai eu plusieurs cas comme le vôtre au cours de ma carrière mais je vais parler plus spécifiquement d'une mère que je suivais. Elle avait eu une relation sexuelle avec son fils. Celui-ci avait un comportement de plus en plus étrange avec sa mère, elle sentait que son fils avait du désir pour elle, mais elle n'avait pas pris ça au sérieux, et même, elle me l'avouera plus tard, elle en jouait et le provoquait parfois. Un jour qu'elle sortait de la salle de bain, son fils a craqué et s'est jeté sur elle. Au départ, elle me parlait d'un viol. Puis elle a avoué avec honte qu'elle avait pris du plaisir. Il a fallu plusieurs séances pour qu'elle m'en parle. Nous avons poursuivi, et elle vit aujourd'hui très bien cette histoire passée, son fils également. Il s'est produit ceci : le fils de 18 ans n'avait jamais eu de relation sexuelle et était attiré par les femmes d'expérience. Il n'avait pas confiance en lui ni en les autres, il avait peur des femmes, et a fini par faire de sa mère son idéal sexuel. Sa mère a par la suite compris qu'elle même fantasmait secrètement sur les jeunes hommes, comme les amis de son fils ou les jeunes qu'elle voyait dans la rue. Elle bloquait tout ça, et quand son fils est passé à l'acte, elle a ressenti une forme d'accomplissement sur le moment, comme si un rêve qu'elle n'assumait pas se réalisait. Dans le feu de l'action, elle a pris du plaisir. Ensuite, elle a énormément culpabilisé, tout en rejetant la faute sur son fils. Je les ai aidé à en parler entre eux, je leur ai fait comprendre que ce n'était qu'une relation sexuelle, aussi bizarre soit-elle considérée par la masse, que le plaisir a été partagé, qu'ils pouvaient prendre cela comme une expérience, un accident ou une erreur, mais que ça ne remettait pas leur relation mère fils en jeu. Ils ont réussi à passer outre, leur relation est revenue à la normale, le secret restera entre tous les deux.
J'ai eu également un frère et une soeur qui avaient des relations sexuelles, eux ont décidé de continuer à le faire de temps en temps. Jusqu'au jour où ils ont trouvé l'amour chacun de leur côté et ils ont compris que ce n'était que physique et que ça ne faisait de mal à personne.
Dans votre cas Phinette, je m'y engage, vous avez fait un transfert, vous avez tellement envie d'une relation homosexuelle, probablement envie d'une jeune femme d'ailleurs, il n'y a aucune honte à avoir, avec une pratique très "déjantée", que la seule personne avec qui vous arriveriez à le faire est une personne de confiance et qui vous respecte. Peut-être même cherchez-vous à ce qu'on vous obéissent. Vous pensez ne pas pouvoir luter car l'excitation est arrivée à son maximum, tellement vous avez bloqué tout ceci depuis longtemps.
Deux solutions vont se proposer à vous, après avoir échangé avec votre fille. Vous semblez dire qu'elle a apprécié vos moments tactiles, et qu'elle vous questionne sur le sujet de l'homosexualité féminine. Suivant son caractère, soit elle ira faire ses expériences de son côté, avec vos conseils puisqu'elle en a besoin, et alors il ne se passera rien entre vous, car j'en suis persuadée, vous trouverez un moyen d'expulser votre excitation d'un autre moyen qu'en la forçant. C'est une évidence, pas pour vous certes, mais même si vous allez un peu loin sans son consentement, son refus ou sa gêne vous arrêtera à temps. La deuxième solution, c'est que son caractère ou sa personnalité vont faire que, comme énormément d'enfant, elle va aussi fantasmer sur vous. Le processus est le même, elle peut faire un transfert et vous assimiler à son idéal de partenaire, pour une première fois. Si c'est le cas, laissez faire les choses, faites vous confiance comme actuellement. Vous regretterez probablement dans les moments qui suivront, vous ressentirez de la gêne ou de la culpabilité, mais ça passera, car vous comprendrez que ce n'était que physique, qu'une histoire de corps et de plaisir, et que c'est à mettre à part de la relation mère fille. Vous pourrez alors chacune de votre côté faire autre chose avec d'autres personnes, sans vous en parler, et retrouver une relation normale, ça sera votre secret. N'en parlez jamais à qui que ce soit, mais n'en ayez pas honte. Vous êtes quelqu'un de normal, et même quelqu'un de bien. Attention aux retours que vous aurez sur ce forum, n'y prêtez pas trop attention. Je vois que par désespoir vous avez cherché à parler de ça anonymement, et vous ne connaissez sûrement pas ce forum, sur lequel la plupart des gens sont très jeunes et jugent facilement sans y connaître grand chose.
Je trouvais urgent de vous répondre, car je sens que vous êtes sur le point de vous faire du mal, croyant être mauvaise et faire du mal à vos proches. J'espère vous avoir convaincu du contraire. Il y a beaucoup plus de relations physiques secrètes entre membres d'une même famille qu'on ne le croit, croyez-moi. Parfois pour débloquer quelque chose, un peu comme la chose que vous ressentez, parfois pour le simple plaisir du corps de l'autre ou d'une pratique qu'on n'ose pas avec une personne moins proche, parfois sur du long terme, tant que ça ne fait de mal à personne, et même que ça procure du plaisir ou que ça permet d'avancer, il n'y a pas à avoir honte ni à culpabiliser. Vous êtes une personne respectable et respectueuse et vous le resterez, quoi qu'il arrive. N'hésitez pas si vous avez besoin d'autres conseils ou d'autres anecdotes, j'ai beaucoup à dire sur le sujet de part mon métier. Portez-vous bien, vous êtes normale, Phinette. Au plaisir d'échanger si vous le souhaitez.
Vous n'aimez pas les "psy", je le comprend au vu de votre passif avec un professionnel malhonnête et malsain. Je vais vous expliquer malgré tout comment, psychologiquement parlant, ce qui vous arrive s'explique et est plus courant qu'on ne veut bien le croire. Vous avez envie de votre fille, pas de votre fils. Vous avez vécu très longtemps une belle relation avec votre mari, qui va continuer. Cette relation est très classique, malheureusement pas originale, et ça vous a rassuré sur bien des plans pendant longtemps. Des mésaventures et des expériences ont ouvert votre esprit sur des pratiques sexuelles auxquelles vous vous étiez empêché de penser depuis toujours. C'était bloqué, mais au fond de vous, vous avez envie de sexe moins classique, que vous considériez anormal. La relation homosexuelle devient envisageable et bien plus excitante que la relation hétéro classique. L'excitation vous fait même songer à de la relation un peu violente, un peu folle. Pourquoi votre fille ? Tout simplement par pudeur et peur des gens que vous connaissez mal ou peu. Vous n'avez pas confiance en vous ni en une éventuelle partenaire. Vous connaissez votre fille par coeur, et je pense pouvoir affirmer que vous avez une confiance totale en elle. Vous ne vous en rendez pas compte, mais c'est pour cette raison que vous avez fait le rapprochement entre le sexe et votre fille. A tel point que vous n'envisagez qu'elle à chaque fois que vous ressentez du désir, ce qui vient à vous faire désormais ressentir du désir quand vous regardez votre fille. C'est purement psychologique et très normal, c'est une question de personnalité, de confiance, de désirs refoulés, c'est incontrôlable, ça se fait naturellement.
Nous sommes dans une société qui nous oblige à penser qu'une relation sexuelle entre parent et enfant est mal et interdit. En réalité, l'inceste au sens viol est mal et interdit. Mais pourquoi une relation consentie entre un parent adulte et un enfant majeur sexuellement serait interdite ? On nous a formaté pour le penser, mais certaines civilisations ou sociétés n'ont pas la même vision des choses. J'en vient à un exemple concret. J'ai eu plusieurs cas comme le vôtre au cours de ma carrière mais je vais parler plus spécifiquement d'une mère que je suivais. Elle avait eu une relation sexuelle avec son fils. Celui-ci avait un comportement de plus en plus étrange avec sa mère, elle sentait que son fils avait du désir pour elle, mais elle n'avait pas pris ça au sérieux, et même, elle me l'avouera plus tard, elle en jouait et le provoquait parfois. Un jour qu'elle sortait de la salle de bain, son fils a craqué et s'est jeté sur elle. Au départ, elle me parlait d'un viol. Puis elle a avoué avec honte qu'elle avait pris du plaisir. Il a fallu plusieurs séances pour qu'elle m'en parle. Nous avons poursuivi, et elle vit aujourd'hui très bien cette histoire passée, son fils également. Il s'est produit ceci : le fils de 18 ans n'avait jamais eu de relation sexuelle et était attiré par les femmes d'expérience. Il n'avait pas confiance en lui ni en les autres, il avait peur des femmes, et a fini par faire de sa mère son idéal sexuel. Sa mère a par la suite compris qu'elle même fantasmait secrètement sur les jeunes hommes, comme les amis de son fils ou les jeunes qu'elle voyait dans la rue. Elle bloquait tout ça, et quand son fils est passé à l'acte, elle a ressenti une forme d'accomplissement sur le moment, comme si un rêve qu'elle n'assumait pas se réalisait. Dans le feu de l'action, elle a pris du plaisir. Ensuite, elle a énormément culpabilisé, tout en rejetant la faute sur son fils. Je les ai aidé à en parler entre eux, je leur ai fait comprendre que ce n'était qu'une relation sexuelle, aussi bizarre soit-elle considérée par la masse, que le plaisir a été partagé, qu'ils pouvaient prendre cela comme une expérience, un accident ou une erreur, mais que ça ne remettait pas leur relation mère fils en jeu. Ils ont réussi à passer outre, leur relation est revenue à la normale, le secret restera entre tous les deux.
J'ai eu également un frère et une soeur qui avaient des relations sexuelles, eux ont décidé de continuer à le faire de temps en temps. Jusqu'au jour où ils ont trouvé l'amour chacun de leur côté et ils ont compris que ce n'était que physique et que ça ne faisait de mal à personne.
Dans votre cas Phinette, je m'y engage, vous avez fait un transfert, vous avez tellement envie d'une relation homosexuelle, probablement envie d'une jeune femme d'ailleurs, il n'y a aucune honte à avoir, avec une pratique très "déjantée", que la seule personne avec qui vous arriveriez à le faire est une personne de confiance et qui vous respecte. Peut-être même cherchez-vous à ce qu'on vous obéissent. Vous pensez ne pas pouvoir luter car l'excitation est arrivée à son maximum, tellement vous avez bloqué tout ceci depuis longtemps.
Deux solutions vont se proposer à vous, après avoir échangé avec votre fille. Vous semblez dire qu'elle a apprécié vos moments tactiles, et qu'elle vous questionne sur le sujet de l'homosexualité féminine. Suivant son caractère, soit elle ira faire ses expériences de son côté, avec vos conseils puisqu'elle en a besoin, et alors il ne se passera rien entre vous, car j'en suis persuadée, vous trouverez un moyen d'expulser votre excitation d'un autre moyen qu'en la forçant. C'est une évidence, pas pour vous certes, mais même si vous allez un peu loin sans son consentement, son refus ou sa gêne vous arrêtera à temps. La deuxième solution, c'est que son caractère ou sa personnalité vont faire que, comme énormément d'enfant, elle va aussi fantasmer sur vous. Le processus est le même, elle peut faire un transfert et vous assimiler à son idéal de partenaire, pour une première fois. Si c'est le cas, laissez faire les choses, faites vous confiance comme actuellement. Vous regretterez probablement dans les moments qui suivront, vous ressentirez de la gêne ou de la culpabilité, mais ça passera, car vous comprendrez que ce n'était que physique, qu'une histoire de corps et de plaisir, et que c'est à mettre à part de la relation mère fille. Vous pourrez alors chacune de votre côté faire autre chose avec d'autres personnes, sans vous en parler, et retrouver une relation normale, ça sera votre secret. N'en parlez jamais à qui que ce soit, mais n'en ayez pas honte. Vous êtes quelqu'un de normal, et même quelqu'un de bien. Attention aux retours que vous aurez sur ce forum, n'y prêtez pas trop attention. Je vois que par désespoir vous avez cherché à parler de ça anonymement, et vous ne connaissez sûrement pas ce forum, sur lequel la plupart des gens sont très jeunes et jugent facilement sans y connaître grand chose.
Je trouvais urgent de vous répondre, car je sens que vous êtes sur le point de vous faire du mal, croyant être mauvaise et faire du mal à vos proches. J'espère vous avoir convaincu du contraire. Il y a beaucoup plus de relations physiques secrètes entre membres d'une même famille qu'on ne le croit, croyez-moi. Parfois pour débloquer quelque chose, un peu comme la chose que vous ressentez, parfois pour le simple plaisir du corps de l'autre ou d'une pratique qu'on n'ose pas avec une personne moins proche, parfois sur du long terme, tant que ça ne fait de mal à personne, et même que ça procure du plaisir ou que ça permet d'avancer, il n'y a pas à avoir honte ni à culpabiliser. Vous êtes une personne respectable et respectueuse et vous le resterez, quoi qu'il arrive. N'hésitez pas si vous avez besoin d'autres conseils ou d'autres anecdotes, j'ai beaucoup à dire sur le sujet de part mon métier. Portez-vous bien, vous êtes normale, Phinette. Au plaisir d'échanger si vous le souhaitez.
I
Anonyme
Oui tout le monde trouve ca normal , ca fait peur , il sont tous inquiétant dans ce forum
Il fait ça tres souvent..
Des qu'il y a une femme en détresse il cherche a l'entrainer en priver..
Ceux qui baise leur famille sont des personnes incapable de séduire une personne exterieur..
Dernière édition:
P
Anonyme
Bonjour et merci à Jeanne pour votre intervention. Comment pourrions-nous entrer en contact sans dévoiler nos identités ni mail ni téléphone ici ? J’aimerais échanger avec vous.
J’ai eu ma fille au téléphone hier soir, c’était prévu pour tout autre chose, mais je n’ai pas pu m’empêcher de lancer la conversation. Je lui ai dit que j’étais perturbée en ce moment, que ça n’allait pas, et que j’aimerais me confier à elle et à elle seule. Elle m’a demandée plus de précision, je lui ai dit que l’histoire avec mon ancienne collègue me perturbait de plus en plus et que je me demandais comment elle, ma fille, avait gérer ça de son côté. Comme elle avait des amies autour d’elle, elle s’est isolée pour en parler plus discrètement. Nous avons parlé au moins un quart d’heure, et je ne sais pas si je suis rassurée ou encore plus inquiète. Au début, elle m’a dit qu’elle me comprenait et que ce qu’a fait ma collègue était inadmissible, que de me manipuler avec l’objectif de me forcer sexuellement ensuite, c’était choquant, qu’elle lui en voulait et qu’elle comprenait que ça m’ait fait du mal. Je lui ai donc fait comprendre que ce qui me perturbe le plus, c’est de savoir que mère et fille ont des relations sexuelles ensemble. Et là à ma grande surprise, ma fille m’a répondu que ça, ça ne la choquait pas du tout, par contre. Elle m’a dit « je pense qu’elle a toujours une relation et des sentiments maternelles pour sa fille la majorité du temps, c’est juste qu’elles sont dans le même délire et qu’elles sont accrocs aux mêmes pratiques ». Je lui ai dit oui mais c’est quand même sa fille, et pour sa fille, c’est quand même sa mère. Elle m’a répondu « non, je pense que quand elles font ça elles ne se voient pas comme mère et fille, elles s’amusent, si elles ont toutes les deux envies ça ne me choque pas ». Elle m’a ensuite révélé qu’elle a une copine qui a fait sa première fois avec sa grande sœur, elles se sont cherchées pendant quelques mois jusqu’au jour où elles sont allés au bout. Elle dit que ça les empêche pas d’être des vraies sœurs et d’avoir une relation normale. Elle m’a impressionné par son ouverture d’esprit car elle m’a rappelé que tous les garçons fantasment sur leur mère à un moment, les filles sur leur père, qu’il y a toujours un moment où on est attiré par le corps d’une personne de notre famille proche. Elle m’a avoué avoir imaginé le faire avec son frère durant une période, car c’était lui qui représentait les garçons dans sa tête et que c’était le seul corps qu’elle avait vu jusqu’ici. Elle m’a dit « j’espère que tu m’en veux pas maman de t’avouer ça, mais c’est normal tu sais, mon frère je l’aime comme un frère ». Je ne peux pas lui en vouloir.
J’ai dit que je pouvais comprendre dans ce sens, les hormones, tout ça, mais je lui ai dit que quand même, quand c’est la mère qui fantasme sur son enfant, c’est grave. Elle m’a répondu que non, que c’était la même chose, qu’on peut fantasmer sur le corps d’un proche et se faire des « trips » dans sa tête. J’ai dit que c’était différent d’y penser et de le faire. C’est là que ça m’a fait bizarre. Elle a répondu que si les pensées arrivent par hasard au même moment chez les deux personnes, et qu’elles sont ensemble à ce moment-là, ça va se faire. Elle dit que si on ne force pas les choses, c’est juste un assouvissement. D’après elle, si sa copine avait envie de sa grande sœur et qu’au même moment, la grande sœur était aussi excitée par le corps de sa sœur, ça ne pouvait que se passer et que c’est ce qui se passe entre mon ancienne collègue et sa fille. Pour elle, quand l’excitation n’est pas là chez au moins une des deux personnes, il ne doit rien se passer. Si un jour le hasard fait que c’est mutuel, ce n’est pas plus grave que ça si il y a un lien familial.
Ensuite, on a parlé d’elle et je lui ai demandé si elle avait avancé sur ses réflexions. Elle m’a dit qu’en fait, elle a toujours été plus attirée par les filles. Elle s’est imaginé avec des garçons mais ça ne lui fait pas le même effet qu’avec une fille. Elle dit être naturellement plus attirée par le corps d’une fille, que le corps masculin ne lui fait pas trop d’effet, en tout cas moins. Elle me dit alors « est-ce que je peux te dire un secret sans que ça t’énerve et sans que tu le dises à qui que ce soit ? ». Je lui ai dit oui. Elle m’a dit que comme pour son frère à une époque, elle m’avait regardée une fois par la serrure quand je sortais de la douche car elle avait à ce moment-là très envie de voir le corps d’une femme et qu’elle n’avait pas résisté à la tentation. Elle s’est excusée, je ne savais pas quoi dire, je lui ai juste dit « ne t’inquiète pas ».
Elle m’a avoué aussi qu’une copine à elle, je sais laquelle, lui avait proposé de faire un plan à trois filles avec moi. Je lui ai demandé si ça l’avait choquée ? Elle m’a dit « non pas vraiment, elle m’avait déjà dit qu’elle fantasmait sur toi ». Je lui ai dit « mais oui mais elle veut qu’on soit présente toi et moi, c’est bizarre tu crois pas ? ». Elle m’a dit que non, c’est juste un fantasme, et qu’elle a tenté sa chance au cas où il y avait moyen de le réaliser, qu’il n’y a pas de mal à ça. J’ai dit ok, mais elle te demande de faire des choses avec ta mère là. Elle m’a dit « non pas forcément, je ne sais pas, je pense qu’elle te voudrait toi et moi pour elle, à moins que… j’en sais rien en fait ».
Je lui ai demandé ce qu’elle avait répondu à cette proposition. Elle m’a dit « bah rien, j’ai rigolé c’est tout. » Après elle a rajouté en plaisantant « pourquoi, tu serais intéressée ? ». Je lui ai dit « sûrement pas, tu nous vois avoir la réputation de mon ancienne collègue ? ». Elle m’a dit « ah non c’est sûr, j’arriverais pas à assumer un truc pareil, je serais trop mal ». Je lui ai dit « tu vois que c’est pas si normal que ça finalement ». Elle m’a répondu qu’il y avait une différence entre le faire en secret et le faire savoir. Je lui ai donc dis « tu ne serais pas choquée de faire ça de cette manière ? ». Elle a dit « j’ai envie de découvrir des trucs, c’est de mon âge, voir faire deux filles entre elles ça me plairait ». J’ai dit « oui mais là on parle de ta mère ». Elle m’a rappelé que ça serait différent, et elle m’a avoué timidement qu’elle ne pourrait pas s’empêcher de regarder si sa mère faisait des choses avec une autre fille. Elle m’a dit « excuse-moi, tu dois te dire que ta fille a un problème, mais c’est juste visuel, c’est pour le corps, sans aucun sentiment, quand j’y pense, c’est pas ma mère que je vois, c’est juste un corps parce que le tiens est beau et que c’est le genre qui me plait, tu comprends ? » Elle a rajouté « je te dis pas que j’ai envie que ça se passe, je te dis juste que ça me fais des choses d’y penser, c’est tout ». Comme je ne savais pas trop quoi dire, j’ai dit « de toute façon, c’est le genre de chose, s’il y a une tierce personne, ça ne peut que se savoir, c’est pour ça que je ne comprends pas pourquoi mon ancienne collègue et sa fille font ça avec d’autres personnes, ça ne pouvait que se savoir et je ne comprends pas comment on peut faire une chose aussi anormale autrement qu’en intimité. Au moins, que ça ne se sache pas, jamais, c’est quand même honteux ».
Elle m’a dit qu’elle était assez d’accord sur ce point, que quand ça arrive, il ne faut pas que ça se sache. Elle s’est à nouveau excusé de m’avoir regardé nue, elle m’a dit qu’elle espérait que je comprenais que ce n’était pas parce qu’elle regarde et pense à des choses qu’elle le ferait en vrai. Elle met ça sur le compte de phases d’excitation normales, elle dit que ça arrive à tout le monde. Elle a fini par me dire que parfois, elle a des pensées avec des filles et qu’elle se met à regarder discrètement mes fesses, mes seins, que ça lui fait des choses, mais que je n’avais pas à avoir peur d’elle et qu’elle m’aimait comme une fille aime sa mère. On allait conclure la conversation, quand elle m’a dit « sincèrement, tu ne me regardes pas aussi bizarrement des fois ? ». J’ai demandé pourquoi elle disait ça. Elle a répondu « des fois j’ai l’impression que toi aussi tu penses à des choses et que tu me regardes comme je t’ai regardé, mais tu sais, y a pas de problème, ça serait normal, je comprends », et elle a rajouté « y a des fois, quand tu me regardes, que tu rigoles comme une nouille et que tu me presses les fesses, j’ai l’impression que tu es excitée. Moi ça me fait rire parce que je vois bien que tu es gênée. Ou alors je me fais des films ? En tout cas y a pas de mal, si c’est ça c’est des pulsions, je veux même pas en savoir plus. Et c’est pas désagréable de se sentir belle et sexy, peu importe qui le pense. » J’ai donc plus ou moins assumé en lui disant « si c’était des pulsions que j’avais, ça ne te choquerai pas ? ». Elle m’a dit « non pas du tout ». Et elle a mis fin à la conversation en disant « il faut qu’on en reparle tranquillement à la maison, mais sans papa et mon frère, ils ne comprennent pas ces trucs là eux. Promet moi que ça reste entre nous. Je suis contente qu’on se confie nos intimités, je t’aime. » Evidemment que je ne vais jamais en parler avec mon mari ni mon fils. Elle revient à midi, on s’est dit qu’on allait aller se balader cette après-midi toutes les deux pour en reparler. Je me rends compte que ma fille connait déjà plus de choses que moi sur plein de choses. Peut-être que maintenant qu’on arrive à en parler, on va pouvoir extérioriser et que je vais pouvoir lui dire à quel point je deviens folle. Elle trouvera peut-être les mots pour que ça se calme, et j’ai l’impression qu’elle ne m’en voudra pas et qu’elle gardera ça pour elle. Elle est plus intelligente et réfléchie que moi, je suis fière d’elle.
Au lieu de polluer ce forum pour me libérer, j’aimerais bien en parler à Jeanne en privé. Comment peut-on faire sans avoir à donner le moindre renseignement ?
J’ai eu ma fille au téléphone hier soir, c’était prévu pour tout autre chose, mais je n’ai pas pu m’empêcher de lancer la conversation. Je lui ai dit que j’étais perturbée en ce moment, que ça n’allait pas, et que j’aimerais me confier à elle et à elle seule. Elle m’a demandée plus de précision, je lui ai dit que l’histoire avec mon ancienne collègue me perturbait de plus en plus et que je me demandais comment elle, ma fille, avait gérer ça de son côté. Comme elle avait des amies autour d’elle, elle s’est isolée pour en parler plus discrètement. Nous avons parlé au moins un quart d’heure, et je ne sais pas si je suis rassurée ou encore plus inquiète. Au début, elle m’a dit qu’elle me comprenait et que ce qu’a fait ma collègue était inadmissible, que de me manipuler avec l’objectif de me forcer sexuellement ensuite, c’était choquant, qu’elle lui en voulait et qu’elle comprenait que ça m’ait fait du mal. Je lui ai donc fait comprendre que ce qui me perturbe le plus, c’est de savoir que mère et fille ont des relations sexuelles ensemble. Et là à ma grande surprise, ma fille m’a répondu que ça, ça ne la choquait pas du tout, par contre. Elle m’a dit « je pense qu’elle a toujours une relation et des sentiments maternelles pour sa fille la majorité du temps, c’est juste qu’elles sont dans le même délire et qu’elles sont accrocs aux mêmes pratiques ». Je lui ai dit oui mais c’est quand même sa fille, et pour sa fille, c’est quand même sa mère. Elle m’a répondu « non, je pense que quand elles font ça elles ne se voient pas comme mère et fille, elles s’amusent, si elles ont toutes les deux envies ça ne me choque pas ». Elle m’a ensuite révélé qu’elle a une copine qui a fait sa première fois avec sa grande sœur, elles se sont cherchées pendant quelques mois jusqu’au jour où elles sont allés au bout. Elle dit que ça les empêche pas d’être des vraies sœurs et d’avoir une relation normale. Elle m’a impressionné par son ouverture d’esprit car elle m’a rappelé que tous les garçons fantasment sur leur mère à un moment, les filles sur leur père, qu’il y a toujours un moment où on est attiré par le corps d’une personne de notre famille proche. Elle m’a avoué avoir imaginé le faire avec son frère durant une période, car c’était lui qui représentait les garçons dans sa tête et que c’était le seul corps qu’elle avait vu jusqu’ici. Elle m’a dit « j’espère que tu m’en veux pas maman de t’avouer ça, mais c’est normal tu sais, mon frère je l’aime comme un frère ». Je ne peux pas lui en vouloir.
J’ai dit que je pouvais comprendre dans ce sens, les hormones, tout ça, mais je lui ai dit que quand même, quand c’est la mère qui fantasme sur son enfant, c’est grave. Elle m’a répondu que non, que c’était la même chose, qu’on peut fantasmer sur le corps d’un proche et se faire des « trips » dans sa tête. J’ai dit que c’était différent d’y penser et de le faire. C’est là que ça m’a fait bizarre. Elle a répondu que si les pensées arrivent par hasard au même moment chez les deux personnes, et qu’elles sont ensemble à ce moment-là, ça va se faire. Elle dit que si on ne force pas les choses, c’est juste un assouvissement. D’après elle, si sa copine avait envie de sa grande sœur et qu’au même moment, la grande sœur était aussi excitée par le corps de sa sœur, ça ne pouvait que se passer et que c’est ce qui se passe entre mon ancienne collègue et sa fille. Pour elle, quand l’excitation n’est pas là chez au moins une des deux personnes, il ne doit rien se passer. Si un jour le hasard fait que c’est mutuel, ce n’est pas plus grave que ça si il y a un lien familial.
Ensuite, on a parlé d’elle et je lui ai demandé si elle avait avancé sur ses réflexions. Elle m’a dit qu’en fait, elle a toujours été plus attirée par les filles. Elle s’est imaginé avec des garçons mais ça ne lui fait pas le même effet qu’avec une fille. Elle dit être naturellement plus attirée par le corps d’une fille, que le corps masculin ne lui fait pas trop d’effet, en tout cas moins. Elle me dit alors « est-ce que je peux te dire un secret sans que ça t’énerve et sans que tu le dises à qui que ce soit ? ». Je lui ai dit oui. Elle m’a dit que comme pour son frère à une époque, elle m’avait regardée une fois par la serrure quand je sortais de la douche car elle avait à ce moment-là très envie de voir le corps d’une femme et qu’elle n’avait pas résisté à la tentation. Elle s’est excusée, je ne savais pas quoi dire, je lui ai juste dit « ne t’inquiète pas ».
Elle m’a avoué aussi qu’une copine à elle, je sais laquelle, lui avait proposé de faire un plan à trois filles avec moi. Je lui ai demandé si ça l’avait choquée ? Elle m’a dit « non pas vraiment, elle m’avait déjà dit qu’elle fantasmait sur toi ». Je lui ai dit « mais oui mais elle veut qu’on soit présente toi et moi, c’est bizarre tu crois pas ? ». Elle m’a dit que non, c’est juste un fantasme, et qu’elle a tenté sa chance au cas où il y avait moyen de le réaliser, qu’il n’y a pas de mal à ça. J’ai dit ok, mais elle te demande de faire des choses avec ta mère là. Elle m’a dit « non pas forcément, je ne sais pas, je pense qu’elle te voudrait toi et moi pour elle, à moins que… j’en sais rien en fait ».
Je lui ai demandé ce qu’elle avait répondu à cette proposition. Elle m’a dit « bah rien, j’ai rigolé c’est tout. » Après elle a rajouté en plaisantant « pourquoi, tu serais intéressée ? ». Je lui ai dit « sûrement pas, tu nous vois avoir la réputation de mon ancienne collègue ? ». Elle m’a dit « ah non c’est sûr, j’arriverais pas à assumer un truc pareil, je serais trop mal ». Je lui ai dit « tu vois que c’est pas si normal que ça finalement ». Elle m’a répondu qu’il y avait une différence entre le faire en secret et le faire savoir. Je lui ai donc dis « tu ne serais pas choquée de faire ça de cette manière ? ». Elle a dit « j’ai envie de découvrir des trucs, c’est de mon âge, voir faire deux filles entre elles ça me plairait ». J’ai dit « oui mais là on parle de ta mère ». Elle m’a rappelé que ça serait différent, et elle m’a avoué timidement qu’elle ne pourrait pas s’empêcher de regarder si sa mère faisait des choses avec une autre fille. Elle m’a dit « excuse-moi, tu dois te dire que ta fille a un problème, mais c’est juste visuel, c’est pour le corps, sans aucun sentiment, quand j’y pense, c’est pas ma mère que je vois, c’est juste un corps parce que le tiens est beau et que c’est le genre qui me plait, tu comprends ? » Elle a rajouté « je te dis pas que j’ai envie que ça se passe, je te dis juste que ça me fais des choses d’y penser, c’est tout ». Comme je ne savais pas trop quoi dire, j’ai dit « de toute façon, c’est le genre de chose, s’il y a une tierce personne, ça ne peut que se savoir, c’est pour ça que je ne comprends pas pourquoi mon ancienne collègue et sa fille font ça avec d’autres personnes, ça ne pouvait que se savoir et je ne comprends pas comment on peut faire une chose aussi anormale autrement qu’en intimité. Au moins, que ça ne se sache pas, jamais, c’est quand même honteux ».
Elle m’a dit qu’elle était assez d’accord sur ce point, que quand ça arrive, il ne faut pas que ça se sache. Elle s’est à nouveau excusé de m’avoir regardé nue, elle m’a dit qu’elle espérait que je comprenais que ce n’était pas parce qu’elle regarde et pense à des choses qu’elle le ferait en vrai. Elle met ça sur le compte de phases d’excitation normales, elle dit que ça arrive à tout le monde. Elle a fini par me dire que parfois, elle a des pensées avec des filles et qu’elle se met à regarder discrètement mes fesses, mes seins, que ça lui fait des choses, mais que je n’avais pas à avoir peur d’elle et qu’elle m’aimait comme une fille aime sa mère. On allait conclure la conversation, quand elle m’a dit « sincèrement, tu ne me regardes pas aussi bizarrement des fois ? ». J’ai demandé pourquoi elle disait ça. Elle a répondu « des fois j’ai l’impression que toi aussi tu penses à des choses et que tu me regardes comme je t’ai regardé, mais tu sais, y a pas de problème, ça serait normal, je comprends », et elle a rajouté « y a des fois, quand tu me regardes, que tu rigoles comme une nouille et que tu me presses les fesses, j’ai l’impression que tu es excitée. Moi ça me fait rire parce que je vois bien que tu es gênée. Ou alors je me fais des films ? En tout cas y a pas de mal, si c’est ça c’est des pulsions, je veux même pas en savoir plus. Et c’est pas désagréable de se sentir belle et sexy, peu importe qui le pense. » J’ai donc plus ou moins assumé en lui disant « si c’était des pulsions que j’avais, ça ne te choquerai pas ? ». Elle m’a dit « non pas du tout ». Et elle a mis fin à la conversation en disant « il faut qu’on en reparle tranquillement à la maison, mais sans papa et mon frère, ils ne comprennent pas ces trucs là eux. Promet moi que ça reste entre nous. Je suis contente qu’on se confie nos intimités, je t’aime. » Evidemment que je ne vais jamais en parler avec mon mari ni mon fils. Elle revient à midi, on s’est dit qu’on allait aller se balader cette après-midi toutes les deux pour en reparler. Je me rends compte que ma fille connait déjà plus de choses que moi sur plein de choses. Peut-être que maintenant qu’on arrive à en parler, on va pouvoir extérioriser et que je vais pouvoir lui dire à quel point je deviens folle. Elle trouvera peut-être les mots pour que ça se calme, et j’ai l’impression qu’elle ne m’en voudra pas et qu’elle gardera ça pour elle. Elle est plus intelligente et réfléchie que moi, je suis fière d’elle.
Au lieu de polluer ce forum pour me libérer, j’aimerais bien en parler à Jeanne en privé. Comment peut-on faire sans avoir à donner le moindre renseignement ?
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