K
Anonyme
😮(x3 pour ton plus gros des petits chiffres)
Non pas forcément homme ou femme, juste toi et moi. Ma vision du couple (à l'époque) c'était avant tout deux personnes qui font équipe pour avancer dans la vie ensemble, les critères que j'y ai placé à cet effet : la compatibilité des personnalités, la façon de voir l'avenir & la présence de l'amour. Le physique n'avait aucune importance et comme je l'ai déjà dit (même si tu n'es pas d'accord avec ça) tout le monde a sa part de beauté et peut être beau au yeux de quelqu'un.
Ce n'est pas tant que je ne sois pas d'accord avec toi sur le physique, c'est surtout les observations sur les ce que chaque apparences obtient dans les faits... C'est très factuels en réalité.
A l'époque ?
Ce devrait être une évidence... Car c'est toujours le cas. Là encore l'oeil et l'ouie trompe plus surement que tout.Quant à la recherche de plaisirs charnels, même là le physique n'avait pas d'importance (bien que l'obésité à l'extrême aurait été un peu plus compliqué dans ce contexte, je l'avoue), plutôt la compatibilité sexuelle (notamment en terme de préférence de pratiques...), l'envie de découvrir l'autre dans sa plus grande intimité et le partage de plaisir. D'ailleurs au passage, les meilleurs plaisirs n'ont pas été trouvés avec les plus "beaux hommes" 🙄
SicMais ça si les femmes ne le comprennent pas alors elles sont idiotes et je ne ressentirai que très peu de compassion pour elles (par contre j'éviterai de leur apporter mon jugement) ni pour les hommes qui agissent de la même façon.
Pour la plupart des hommes, celles qui les intéressent sont celles qui vuelent bien d'eux, simplement. Oui, il vont peut-être fuir quelques comportements trop visiblement pathologiques ou criminels (une femme qui lève sa jupe devant toi sans te connaître... tu n'as pas besoin de réfléchir très longtemps... pour faire un détour, de même que si une superbe fille vient s'asseoir en face de toi dans un bar pour te dire combien tu l'as éblouie, combien elle te veut toi, tout de suite et pas un autre... Où sont ses potes qui vont ensuite te dépouiller ?)Oui je parlais principalement du domaine professionnel.
Pour le physique de la femme, tout dépendra de ce que l'homme recherche, c'est sur que pour un soir il n'y a pas tellement de raison de se méfier. Mais "pour la vie", je trouve que pas mal d'hommes vont se méfier, ils ne vont, certes, pas forcément la repousser par contre ils seront à l'affût des fréquentations de madame, de ses changements et elle jouira de moins de libertés qu'une femme "moins belle"
Par contre moins de liberté là je n'ai pas compris ?
intéressant, bon, tu nous en diras ce que tu veux ... ou pas.Quant à se mettre à la place de l'autre, tu me décris là un quotidien en ce qui me concerne mais c'est effectivement bien trop peu courant dans notre société et ça en est limite une marque de faiblesse... c'est triste.
Oui peu importe, t'as compris ce que je voulais dire, nous avons tous une image d'un idéal (par contre c'est vrai que je citerai également + des personnages que des acteurs/actrices x))
Mais un personnage est un idéaltype et non un idéal en soi... tu vois la totale différence ?
Je me suis retrouvée face à un énorme tabou, je n'ai pas spécialement pu creuser la chose... La plus âgée avait carrément abandonné l'idée, très réservée, je dirai que son manque de sociabilisation et d'intellec en était la cause mais je ne peux pas l'affirmer, ce n'est qu'une hypothèse. La plus jeune par contre je n'avais pas d'explications... elle était un peu forte mais je la trouvais très belle, elle prenait soin d'elle, dotée d'une grande douceur et sensibilité qui n'attendait que d'aimer et être aimée (elle a fini par trouver il y a quelques mois)
Après je vis en milieu rural, il y a moins "d'opportunités", je pense que ça doit jouer
Peut-être aussi ce que décrit Kaufmann dans la femme seule et le prince charmant :
Il est très difficile de revenir sur ses prétentions, surtout lorsqu'elles sont construitent socialement par une représentation survalorisée de soi (je le vaux bien !), et même avec une dévalorisation de soi récurrente, il peut rester, comme coller au fond, une survalorisation en couche profonde : NON je ne m'abaisserai pas devrais-je en mourir ! Une sorte d'association du recul comme mort sociale par mort des aspirations définies socialement.
La soumission aux injonctions comme identité peut aller très loin ! On le voit aussi dans le travail des cadres par exemple.
Beaucoup, mais toujours pour les plus avantagés, surtout visuellement (d'où les taux donnés par les sites de consultations avec et sans photo...). Sauf que les taux de réponses avec photo seraient les plus intéressant à traiter avec des logiciels d'analyse faciale. Tu vois sûrement ce que cela donnerait, non ?C'est vrai que les sites et applis influent pas mal sur les chiffres (enfin je pense x))