Que pensez vous de la transidentité ?
Que pensez vous de sa représentation dans les médias ?
Pour ma part j'essaie de comprendre pourquoi nombre de personnes qui ne s'identifient pas au genre assigné à leur naissance n'essaient pas de faire bouger les stéréotypes de genres.
Après avoir vu des femmes assignées homme à la naissance qui ne répondent pas vraiment aux stéréotypes de genre féminin et inversement, je me demande pourquoi ces personnes s'identifient à un autre genre que celui assigné plutôt que d'enrichir l'expression de genre.
Quelle est la portée de l'utilisation d'un pronom dans l'identité ?
Est ce un choix de tranquillité face aux limites sociétales ?
Pour moi c'est un sujet difficile. Cependant.
Il est très pris par des phénomènes culturelles et politiques.
Déjà il faut mettre les bases.
L'être humain est sexué, il y'a male et femelle, et cela entraine forcement des différences.
L'erreur aujourd'hui est d'imaginé que le genre n'est QUE une construction social, or ce n'est pas le cas.
On peut observer que dans la nature, chez les mamifères , dont nous sommes proches, les males et les femelles n'ont pas le même comportement, et cela de façon inné.
Imaginé que l'être humain est THE exepction et qu'il née, vierge, de toute empreinte lié à sa biologie est une erreur.
Je n'ai plus les sources, mais il y'a eu qq études sur lesujet sur des bébés, et déjà les cerveaux des petites filles et des petits garçons montrent des différences.
On peut aussi observer que les bébés garçons sont plus stimulés par l'interaction avec des objets '(camion, outils ect..) que par des visages humains et inversement.
Donc il y'a fondamentallement des différences de comportement lié au sexe.
On peut aussi cité les hormones qui ont un role sur notre comportement, homme et femme étant très différent. (700% de plus de testo chez l'homme par exemple.)
Du coup, je pense qu'il faut avant tout, se rappeller que les hommes sont à la naissances des hommes, et ne serront jamais vraiment des femmes, et inverssement, tout simplement car c'est inscrit en nous de façon biologiques.
Il est impossible à ce jour de réellement changé.
après on peut parler du genre, effectivement c'est des codes sociaux qui sont propres à une culture, exemple les cheveux long, qui était chez les francs un signe de mascuilinité, et aujourd'hui de féminité.
C'est la que la transidentité est possible, une personne trans veut devenir homme ou femme, pour se conformer au code du genre opposé . Qui sont , effectivements, des codes culturels. (Mais pas entièrement).
Il y'a qq année des chercheurs ont fait passé des test de personnalité type bige five, le plus utilisés en psycologie à ce jour, à de très divers peuples. Et on peut voir que dans toutes les civilisations du monde, les hommes sont moins empathiques, plus assertifs, et que les femmes sont plus aimables et ouverte à l'expérience.
Il y'a donc des comportements qui sont plus féminin et plus masculin par ''nature'', et cela à des répércutions sur la culture.
C'est pour ça qu'il n'existe (presque) aucune culture guerrière purement féminine, la martialité restant un trait masculin par exelence dans toutes les cultures.
Donc partant de ce principe, pour moi la vision de la transidentité dans la société est biaisé, car il part d'un mauvais postulat qui est souvent défendu, que : le genre n'est qu'une code sociale, et que donc on peut changer de ''sexe'' comme ça si on le veut.
Ensuite c'est vu comme progressiste, comme ''bien'', alors que à la base, c'est un trouble psy qui génère cela. La dysphorie de genre, et c'est un vrai problème.
Les trans restent une population qui se sucide bien plus que les autres personnes en générale, et même si la stigmatisation reste une des raisons principales, je pense que le trouble psy derrière y est pour qq chose.
enfin, pour ce qui est du pronom, je ne sais pas, il ya des études qui auraient démontré que les trans, même avec transition (donc qui aurait ''réussis'' leur changement'' ) sont toujours largement plus malheureux que les cis. On peut supposer encore une fois que cela ne marche pas. Donc dans la même veine, le changement de pronom ne devrait pas aider beaucoup.
Pour moi c'est un débat difficile. Il nous faudrait plus d'étude pour comprendre le sujet.