Je resurgit de nulle part, je sentais bien que ce sujet serait mis sur la table.
Nous assistons à une véritable guérilla, opposant des jeunes inconscients qui ont pour plaisir les fredaines par manque d'éducation, et l'ensemble des FDO, du corps policier qui ont pour tâche d'endiguer l'escalade de ce phénomène indiscutablement irresponsable.
Et ce soubresaut collectif n'a plus rien à voir avec la mort de ce Nael, Nael est devenu un prétexte, une justification pour porter atteinte aux institutions publiques, administratives et aux commerces locaux, c'est indécent.
Et ces mêmes protégés de la gauche (je précise, LFI) ne peuvent plus se faire leur manteau de protection car les demeurés qui détruisent la paix sociale s'en prennent maintenant aux domiciles d'élus, à coup de bélier, et vous savez quoi ? Les victimes sont à bien des égards des élus de gauche ! Quel ironie, et quel déchéance.
Si Nael n'avait vraisemblablement pas à mourir pour un refus d'obtempérer dans un état de droit où juridiquement parlant, un individu ne paye pas au prix de sa vie une infraction routière, il est certain aussi que cela ne devrait conduire à ce barnum barbare que nous voyons içi et là, en toute impunité, et sans mesure draconienne.
Pour finir, parce que ce sujet devient assez exaspérant et fatiguant à ressassé en permanence, cette fièvre rouge ne sera pas sans conséquence, et sur le plan politique et électoral, elle sera étudiée, soupesée et par conséquent contribuera à faire élire le parti qui imposera un programme ultra répressif contre les parents irresponsables de ces jeunes, et contre ces jeunes qui n'ont pas l'intelligence suffisante de mesurer les conséquences de leur acte.
Ils en paieront le prix, et malheureusement même ceux/celles qui agissent avec droiture, justesse, et bon sens seront également sujet à soupçons, à critiques délirantes à CAUSE encore une fois de jeunes imbéciles qui ne comprennent pas les forces qui sont en jeu, et qui vont déployer leur carte dans les prochaines années, et je me surprend de dire cela, mais ils/elles l'auront bien cherchés.