Envies et fantasmes lesbiens très bizarres, suis-je folle ?

  • Auteur de la discussion Phinette
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Phinette
Anonyme
(quand je pourrais coller la suite, j'espère que vous prendrez le temps d'aller au bout, car il y a un truc très important à la fin)
 
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Phinette
Anonyme
Il était déjà 15h, je venais de me rendre compte que nous avons fait ces choses là durant plus d’une heure et demie. La culpabilité devenait aussi forte que cette saloperie d’excitation l’avait été. La honte aussi, le dégoût de moi. Et d’avoir ressenti une telle énergie, une telle envie d’aller loin, d’y mettre de la force, une telle motivation, je ne comprends pas, en fait, j’avais l’impression de ne plus être moi, d’être sous emprise d’une force bizarre. Je ne cherche pas d’excuse, je ne comprends pas c’est tout. J’ai repensé à mon ancienne collègue et sa fille, et je me suis dégoûtée à comprendre qu’elles puissent y trouver du plaisir. C’est affreux.
 
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Phinette
Anonyme
Je suis allée m’enfermer dans ma chambre pour écrire tout ça, avant, on ne sait pas, d’avoir la faiblesse d’effacer ça de ma mémoire. Je veux écrire que c’est réel car ça le semble déjà moins, je ne veux déjà plus y croire. Je veux pouvoir le relire, m’y forcer, pour me rappeler quel animal, quel monstre je suis. Je n’ai pas eu le temps, ma fille est venue me chercher. Elle voulait qu’on se pose tranquillement devant la télé. Je lui ai dit que je ne voulais pas regarder la télé. Elle m’a dit « c’est juste pour reprendre notre petite vie comme avant, discuter et redevenir maman et fille, on a fait une parenthèse en étant partenaire, je referme la parenthèse mais toi je vois que ça va te poser des difficultés. Viens, c’est ta fille qui veut passer du temps avec sa maman maintenant ». J’y suis allée, je ne sais pas si elle avait raison ou tort de le prendre de cette façon, elle le vivait bien mieux que moi en tout cas. Nous nous sommes installées dans le canapé et nous avons mis une chaîne, je ne sais pas laquelle. Ma fille a alors parlé de tout et de rien, c’était revenu à la normale pour elle. Elle a fini par poser sa tête sur mon épaule, comme souvent, comme avant, mais là j’étais gênée. Puis elle m’a pris par le cou en soupirant et elle m’a dit « ça te dirait de venir avec moi faire du shopping la semaine prochaine, ça serait bien ça fait au moins deux mois qu’on y est pas allée ensemble ». J’ai soupiré et pour rassurer ma fille, bien que j’allais mal, j’ai posé ma tête sur la sienne et je lui ai dit « oui carrément, ça va nous faire du bien ». Ma fille à ce moment là était redevenue ma fille, j’avais un sentiment d’amour maternelle pour elle autant qu’une haine envers moi. Nous sommes restées sur le canapé, on s’est même pris la main, comme avant, pendant une heure environ. Elle a posé une question gênante à un moment : « maman, vu que tu es attirée par les femmes, tu vas faire quoi vis-à-vis de papa, vous allez pas vous séparer quand même ? ». Je lui ai dit « sûrement pas, je l’aime ton père, il ne mérite pas ça et vous non plus ». « Alors tu vas faire quoi, tu vas le tromper avec des femmes ? ». Je lui ai dit « il faut que j’apprenne à me contrôler, on n’est pas des animaux, l’amour doit passer avant le sexe ». Elle me répond alors « je suis pas d’accord, le sexe ça fait partie de l’équilibre, si on est frustrée on ne peut pas aller bien , moi je serais toi je saisirais les occasions qui se présentent et j’écouterais mes envies, mais je te demande pas de m’en parler, tu feras ce que tu veux, penses à toi et à ton plaisir, faut pas avoir de regret. Mais si tu veux me raconter… n’hésite pas, tu sais qu’on peut tout se dire ». Puis l’après-midi est passée. Mes hommes sont rentrés, je n’ai rien montré mais j’avais honte, de ce qui s’était passé comme du fait de faire comme si rien ne s’était passé. On a parlé des travaux, de l’actualité, comme une famille normale. La petite maison dans la prairie…
 
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Phinette
Anonyme
Le repas du soir s’est passé, puis est venu le temps d’aller se coucher, tôt car mes enfants se lèvent tôt le lendemain. Ma fille prépare nos infusions du soir, comme d’habitude, me l’apporte, comme d’habitude et va se coucher. On se souhaite bonne nuit et tout le monde se couche. Un quart d’heure après, alors que je cogitais et que je commençais à lutter contre des images qui revenaient, comme si mes démons me reprenaient, ma fille m’appelle et me demande si je peux regarder si son portable n’est pas dans ma chambre. Elle l’avait bien laissé sur ma table de chevet quand elle a apporté l’infusion. Mon mari s’endormant en deux minutes, il était grognon et j’ai donc emmené le téléphone à ma fille. Je le pose simplement à côté d’elle, et elle me dit alors « attends, viens voir, faut que je te dise un truc ». Je m’approche, et elle se met à chuchoter « grâce à toi je vais m’endormir bien, je suis heureuse de ma journée, de ma première fois » mais elle parlait très bas. Elle me dit « tu sais à qui j’ai envie d’en parler ? » La trouille me prend. Je m’approche tout près et lui dit « pardon ??? » et elle me répond en souriant « à toi, et à personne d’autre, je te le jure, et toi non plus tu ne dois pas en parler, c’est notre secret pour toujours ». Elle me dit « bisou, bonne nuit ». Je lui dis aussi « bisou », et elle me dit « non mais tu peux me faire un bisou quand même ». Je m’approche rapidement, lui fais un bisou mais elle tourne la tête pour le recevoir sur la bouche. J’ai tenté d’éviter mais nos lèvres se sont touchées. Je l’ai regardé avec des yeux de colère, alors que je sentais ma respiration s’accélérer et être plus difficile. Je me disais non, ça va pas recommencer. Elle me regardait et s’est excusée, elle était presque à pleurer, elle m’a caressé la joue et elle a dit « pardon, c’était tellement bon que je risque d’avoir des pulsions par moment, pardon ». Je n’aime pas voir ma fille en détresse donc je lui ai malheureusement dit que ce n’était pas grave. Moi, je me sentais bizarre, j’étais de plus en plus en forme, énervée. J’ai voulu quitter la chambre parce que j’avais la crainte que mes envies perverses me reprennent et j’étais décidé à ne plus jamais m’y laisser aller. Ma fille m’a attrapée la main et m’a demandé de la rassurer, de lui dire que ça allait, que je n’avais pas peur d’elle, que je lui faisais toujours confiance, que je comprenais que sa fille et sa « partenaire de jeu » c’était deux choses différentes… Je lui ai dit « oui ne t’inquiète pas tout va bien », et j’ai remarqué à ses yeux qu’il se passait quelque chose. J’ai alors vu qu’elle était en train de se toucher sous le drap, et que ses pieds bougeaient. J’ai pris sur moi, alors que ça aurait dû être normal, mais j’ai pris sur moi pour la laisser en intimité et faire ce qu’elle voulait toute seule. J’ai pris sur moi, oui, car ça recommençait à me troubler. Je suis allée me recoucher, mon mari dormait à poings fermés. J’étais bizarre. Je sentais une excitation monter, de la nervosité, je n’avais pas sommeil du tout, au contraire, j’avais une énergie folle. Je ne tenais plus en place, j’étais énervée, excitée. Je me suis levée pour ne pas réveiller mon mari et je suis allée replacer la tasse, avec le bord rose, la seule que l’on a, et la même qu’à midi. J’ai foncé dans la chambre de ma fille, j’avais l’impression qu’elle se faisait lentement plaisir en m’attendant. Je lui ai dis « qu’est-ce que tu as mis dans la tisane ? » Elle m’a répondu « de quoi tu parles, ça va pas ? » J’ai répondu « je suis pas dans mon état normal, ça me reprend comme à midi, tu as mis un truc, tu m’as droguée ? » Elle me répond que non, et me fait remarquer que je vais réveiller les hommes, bien qu’ils aient le sommeil très lourd tous les deux. Je baisse de ton, je voyais qu’elle se touchait toujours, j’étais énervée après elle parce que j’ai compris qu’elle avait fait quelque chose, et en même temps j’étais de plus en plus dans un monde irréel, comme dans l’après-midi. J’avais envie de la disputer et de lui faire cracher le morceau, et en même temps, j’avais envie de faire sauter le drap et de prendre la main sur sa masturbation. Je savais qu’elle y étais pour quelque chose, je commençais à comprendre. J’allais foutre le camp avant de faire mal à ma fille, mais elle m’a dit « attends, j’avoue, j’ai mis un petit truc, c’était juste pour aider, ça n’a rien changé, c’était super léger, c’est rien du tout, ça aide juste à déculpabiliser, à désinhiber, j’ai même pas mis une dose normale, quasiment rien, vraiment ». J’ai fermé la porte de sa chambre, j’ai dit « c’est quoi, qu’est-ce que tu as mis, tu en as pris aussi ? ». Elle m’a répondu « c’est une poudre qui aide à s’épanouir, à se décoincer, c’est pas fort, je sais pas comment ça s’appelle, c’est juste pour aider mais ça fait pas faire des choses qu’on a pas envie de faire, j’en ai mis juste ce soir aussi mais même sans ça j’avais déjà envie, ça fait quasiment rien comme effet, j’avais juste tellement envie que tu viennes dans ma chambre m’embrasser ce soir, et je savais que tu y penserais mais que tu n’oserais pas venir de toi-même ». Je lui ai dit « tu as trouvé ça où ? » et elle ne voulait pas me dire. J’étais comme dans une boîte de nuit avec la musique tellement forte que je ne l’entendais plus, je ne savais plus si il faisais sombre ou clair, je planais et je me sentais indestructible, électrique, il fallait qu’il se passe quelque chose. Alors j’ai retiré le drap sèchement, je lui ai dit « et toi tu fais quoi là espèce de s****pe » tout en n’osant pas élever la voix par rapport aux hommes. J’étais encore prise au piège de moi-même, de l’animal, du monstre, ça recommençait. « Qu’est-ce que tu es en train de faire encore là hein ? » Elle me répond « je me fais plaisir toute seule, j’ai le droit ? Je repense à ce qu’on a fait et ce qu’on n’a pas fait, ce qu’on aurait pu faire d’autre, c’est dans ma tête tu vas pas me le reprocher maintenant ! » Je l’ai alors giflée, elle s’est cambrée et j’ai vu sa culotte se mouiller instantanément, elle a mis une main sur mes seins et l’autre main sur sa bouche pour ne pas faire de bruit. Je l’ai giflée à nouveau, sur le visage puis sur le sexe, je voulais la punir et ça m’excitait en même temps, et elle aussi. Je lui ai redemandé qu’elle me dise où elle s’était procuré sa poudre. Elle m’a dit « je te demande une seule chose en échange et je te promets que je te le dis. Embrasse-moi et je te le dis, promis ». Je voulais me sauver, je voulais la toucher, je voulais lui faire mal en lui donnant du plaisir, je voulais arrêter et continuer en même temps. Elle se dresse et approche sa bouche de la mienne en disant « juste une petite fois ». Je n’ai pas réussi, on s’est embrassée, encore une fois. Trois secondes à peine, et je lui ai dit que maintenant ça suffisait, qu’elle me dise ce que j’ai pris et surtout où elle l’a eu. Elle me répond « c’est pas un baiser ça, un vrai comme tout à l’heure ».
 
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Phinette
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Le repas du soir s’est passé, puis est venu le temps d’aller se coucher, tôt car mes enfants se lèvent tôt le lendemain. Ma fille prépare nos infusions du soir, comme d’habitude, me l’apporte, comme d’habitude et va se coucher. On se souhaite bonne nuit et tout le monde se couche. Un quart d’heure après, alors que je cogitais et que je commençais à lutter contre des images qui revenaient, comme si mes démons me reprenaient, ma fille m’appelle et me demande si je peux regarder si son portable n’est pas dans ma chambre. Elle l’avait bien laissé sur ma table de chevet quand elle a apporté l’infusion. Mon mari s’endormant en deux minutes, il était grognon et j’ai donc emmené le téléphone à ma fille. Je le pose simplement à côté d’elle, et elle me dit alors « attends, viens voir, faut que je te dise un truc ». Je m’approche, et elle se met à chuchoter « grâce à toi je vais m’endormir bien, je suis heureuse de ma journée, de ma première fois » mais elle parlait très bas. Elle me dit « tu sais à qui j’ai envie d’en parler ? » La trouille me prend. Je m’approche tout près et lui dit « pardon ??? » et elle me répond en souriant « à toi, et à personne d’autre, je te le jure, et toi non plus tu ne dois pas en parler, c’est notre secret pour toujours ». Elle me dit « bisou, bonne nuit ». Je lui dis aussi « bisou », et elle me dit « non mais tu peux me faire un bisou quand même ». Je m’approche rapidement, lui fais un bisou mais elle tourne la tête pour le recevoir sur la bouche. J’ai tenté d’éviter mais nos lèvres se sont touchées. Je l’ai regardé avec des yeux de colère, alors que je sentais ma respiration s’accélérer et être plus difficile. Je me disais non, ça va pas recommencer. Elle me regardait et s’est excusée, elle était presque à pleurer, elle m’a caressé la joue et elle a dit « pardon, c’était tellement bon que je risque d’avoir des pulsions par moment, pardon ». Je n’aime pas voir ma fille en détresse donc je lui ai malheureusement dit que ce n’était pas grave. Moi, je me sentais bizarre, j’étais de plus en plus en forme, énervée. J’ai voulu quitter la chambre parce que j’avais la crainte que mes envies perverses me reprennent et j’étais décidé à ne plus jamais m’y laisser aller. Ma fille m’a attrapée la main et m’a demandé de la rassurer, de lui dire que ça allait, que je n’avais pas peur d’elle, que je lui faisais toujours confiance, que je comprenais que sa fille et sa « partenaire de jeu » c’était deux choses différentes…
 
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Je lui ai dit « oui ne t’inquiète pas tout va bien », et j’ai remarqué à ses yeux qu’il se passait quelque chose. J’ai alors vu qu’elle était en train de se toucher sous le drap, et que ses pieds bougeaient. J’ai pris sur moi, alors que ça aurait dû être normal, mais j’ai pris sur moi pour la laisser en intimité et faire ce qu’elle voulait toute seule. J’ai pris sur moi, oui, car ça recommençait à me troubler. Je suis allée me recoucher, mon mari dormait à poings fermés. J’étais bizarre. Je sentais une excitation monter, de la nervosité, je n’avais pas sommeil du tout, au contraire, j’avais une énergie folle. Je ne tenais plus en place, j’étais énervée, excitée. Je me suis levée pour ne pas réveiller mon mari et je suis allée replacer la tasse, avec le bord rose, la seule que l’on a, et la même qu’à midi. J’ai foncé dans la chambre de ma fille, j’avais l’impression qu’elle se faisait lentement plaisir en m’attendant. Je lui ai dis « qu’est-ce que tu as mis dans la tisane ? » Elle m’a répondu « de quoi tu parles, ça va pas ? » J’ai répondu « je suis pas dans mon état normal, ça me reprend comme à midi, tu as mis un truc, tu m’as droguée ? » Elle me répond que non, et me fait remarquer que je vais réveiller les hommes, bien qu’ils aient le sommeil très lourd tous les deux. Je baisse de ton, je voyais qu’elle se touchait toujours, j’étais énervée après elle parce que j’ai compris qu’elle avait fait quelque chose, et en même temps j’étais de plus en plus dans un monde irréel, comme dans l’après-midi. J’avais envie de la disputer et de lui faire cracher le morceau, et en même temps, j’avais envie de faire sauter le drap et de prendre la main sur sa masturbation. Je savais qu’elle y étais pour quelque chose, je commençais à comprendre. J’allais foutre le camp avant de faire mal à ma fille, mais elle m’a dit « attends, j’avoue, j’ai mis un petit truc, c’était juste pour aider, ça n’a rien changé, c’était super léger, c’est rien du tout, ça aide juste à déculpabiliser, à désinhiber, j’ai même pas mis une dose normale, quasiment rien, vraiment ».
 
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Phinette
Anonyme
J’ai fermé la porte de sa chambre, j’ai dit « c’est quoi, qu’est-ce que tu as mis, tu en as pris aussi ? ». Elle m’a répondu « c’est une poudre qui aide à s’épanouir, à se décoincer, c’est pas fort, je sais pas comment ça s’appelle, c’est juste pour aider mais ça fait pas faire des choses qu’on a pas envie de faire, j’en ai mis juste ce soir aussi mais même sans ça j’avais déjà envie, ça fait quasiment rien comme effet, j’avais juste tellement envie que tu viennes dans ma chambre m’embrasser ce soir, et je savais que tu y penserais mais que tu n’oserais pas venir de toi-même ». Je lui ai dit « tu as trouvé ça où ? » et elle ne voulait pas me dire. J’étais comme dans une boîte de nuit avec la musique tellement forte que je ne l’entendais plus, je ne savais plus si il faisais sombre ou clair, je planais et je me sentais indestructible, électrique, il fallait qu’il se passe quelque chose. Alors j’ai retiré le drap sèchement, je lui ai dit « et toi tu fais quoi là espèce de s****pe » tout en n’osant pas élever la voix par rapport aux hommes. J’étais encore prise au piège de moi-même, de l’animal, du monstre, ça recommençait. « Qu’est-ce que tu es en train de faire encore là hein ? » Elle me répond « je me fais plaisir toute seule, j’ai le droit ? Je repense à ce qu’on a fait et ce qu’on n’a pas fait, ce qu’on aurait pu faire d’autre, c’est dans ma tête tu vas pas me le reprocher maintenant ! » Je l’ai alors giflée, elle s’est cambrée et j’ai vu sa culotte se mouiller instantanément, elle a mis une main sur mes seins et l’autre main sur sa bouche pour ne pas faire de bruit. Je l’ai giflée à nouveau, sur le visage puis sur le sexe, je voulais la punir et ça m’excitait en même temps, et elle aussi. Je lui ai redemandé qu’elle me dise où elle s’était procuré sa poudre. Elle m’a dit « je te demande une seule chose en échange et je te promets que je te le dis. Embrasse-moi et je te le dis, promis ». Je voulais me sauver, je voulais la toucher, je voulais lui faire mal en lui donnant du plaisir, je voulais arrêter et continuer en même temps. Elle se dresse et approche sa bouche de la mienne en disant « juste une petite fois ». Je n’ai pas réussi, on s’est embrassée, encore une fois. Trois secondes à peine, et je lui ai dit que maintenant ça suffisait, qu’elle me dise ce que j’ai pris et surtout où elle l’a eu. Elle me répond « c’est pas un baiser ça, un vrai comme tout à l’heure ».
 
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Phinette
Anonyme
La colère s’est alors mêlée au reste, et d’un coup, je n’avais plus rien à faire de tout perdre, plus peur de ce que ça risquait, j’ai haussé le ton. Je lui ai dit « je vais te faire crier comme ça ton père va comprendre ce qui se passe » et j’ai commencé un cunnilingus aussi énergique que possible, je lui mordais le clitoris, je rentrais ma langue en elle en tapant son clitoris, je lui griffais et giflait la poitrine, je la soulevais et la reposait avec force, je voulais qu’elle ait peur d’avoir un orgasme comme dans l’après-midi, qu’elle sente qu’elle allait hurler. Elle me disait en essayant de ne pas parler fort « non arrête je vais jouir arrête » et se mettait les mains sur la bouche que je lui retirai en disant « de toute façon tu vas gueuler crois-moi, et je vais le faire aussi, tant pis, je n’en peux plus, t’auras pas le choix de parler devant ton père ». Elle m’a alors dit « ok je te dis, je te dis, arrête » et elle a mis sa tête dans son oreiller en retenant un « aaaaaaaah » et elle a à nouveau eu un jet de cyprine énorme.

J’attends quelques instants qu’elle sorte la tête de l’oreiller et qu’elle reprenne ses esprits, j’étais dans un état second mais je ne voulais pas perdre totalement le contrôle. Je voulais savoir et je n’avais rien à faire de tout en même temps, drôle se sensation. Croyant s’en sortir comme ça, elle me chuchote alors « je vais jeter ce qu’il me reste, je peux pas te dire qui me l’a donnée, mais je le ferai plus, c’était pas méchant, c’était pour mettre les chances de mon côté, ça a presque pas d’effet et j’ai quasiment rien mis ». On a entendu du bruit dans la maison, j’étais résignée, je n’avais même plus peur, alors j’ai dit « tant pis pour toi moi je m’en tape ». Elle m’a mis ses mains sur ma bouche, elle m’en aurait étouffée, et elle chuchotait « non non c’est bon c’est tata, c’est tata, m*rde, m*rde ». Et là nous écoutions et attendions de voir qui était présent. Je pense que c’était le radiateur électrique qui avait fait un « clong » en chauffant. En tout cas, personne.
 
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Phinette
Anonyme
Je lui ai dit qu’elle m’attende, je suis allée voir discrètement, mon mari et mon fils dormaient paisiblement. Revenue dans la chambre de ma fille, rhabillée et sous la couette, mais encore dans un état second, comme sa mère, je lui dis « comment ça tata ? Quelle tata ? »

En fait, nous sommes originaires d’une région et nous en avons changé depuis quelques petites années, notre famille étant quasi intégralement dans notre département d’origine. Ma fille avait fait un stage dans ce département et elle a donc été dans la famille quelques semaines. La tata en question, c’est la sœur de mon mari, ma belle-sœur, que je ne peux pas sentir, et c’est réciproque. J’ai demandé des explications à ma fille. Elle a vu sa tante chez les parents de mon mari. Je savais qu’elle n’était pas comme nous, qu’elle était malsaine, alcool, piercing, infidélité, fréquentations pas claires, etc… Bref, elles ont bien discuté, et elles sont allées se balader toutes les deux, et apparemment elles ont abordé des trucs de filles, les amours, la sexualité, et elle s’y connait car elle touche à tout. Elle aurait alors dit à ma fille, inquiète de ne pas bien faire la première fois, qu’il ne fallait pas hésiter à prendre un truc, en lui disant qu’elle-même avait quelque chose de pas dangereux et léger qui aidait à se lancer, qui donnait un peu confiance. Ma fille, curieuse et jeune, n’a pas osé dire non quand elle lui a proposé de lui montrer. Elle lui aurait fait essayer une dose ridicule, et ma fille m’a dit « c’est vrai que j’ai senti que j’étais un peu plus à l’aise mais sans plus ». Sa tante lui a proposé de lui en donner un peu et de l’utiliser « intelligemment » et de ne pas en parler car c’est interdit. Elle s’est retrouvé avec un fond dans un petit sachet zippé. Elle lui aurait dit « même quand tu auras l’habitude, tu peux en prendre un peu avant et en donner à ta copine, ça fait pas de mal et ça peut même faire de meilleures sensations ».
 
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Phinette
Anonyme
J’ai demandé à ma fille quelle dose elle a mis. Elle m’a dit « franchement je voulais pas te faire prendre de risque ni te forcer, j’en ai mis sur le coin de mon ongle, pas plus ». Elle m’a supplié de ne pas le dire à la tata, de ne pas faire d’histoire, surtout que la belle-sœur est une vraie saloperie toujours prête à me faire des histoires. Elle me dit « tu sais vous pouvez pas vous voir mais j’ai senti que tata fantasme sur toi, elle l’a pas dit mais je l’ai bien compris, elle est limite jalouse de papa ». Je me suis aussitôt souvenu d’une fois où je lui avais fait une réflexion, mes enfants n’étaient pas nés, car elle se promenait chez nous un matin en petite culotte et rien d’autre. Une famille de fou en fait…

J’ai dit à ma fille « on va pas passer la nuit comme ça, demain c’est école, papa va trouver bizarre que je ne sois pas à côté de lui, mais on va reparler de ça à têtes reposées, là on est pas en état ». Je lui ai juste demandé combien de fois elle m’avait droguée. Elle m’a dit « c’était juste ce soir et t’étais pas droguée avec si peu ». Je lui ai répondu « là tu me mens, à midi tu as fait la même chose, j’ai ressenti les mêmes trucs ». Elle m’a dit « non à midi j’étais prête à le faire, j’avais prévu que si tu te libérais pas comme vendredi, j’essaierais d’en mettre un peu pour voir, mais j’en ai pas mis ». J’ai répondu « oui et vendredi après-midi, pareil », elle a dit « mais non vendredi c’est pareil, j’y pensais au cas où mais j’ai pas osé, je vais pas droguer ma mère quand même ». Je lui dis « bah si, tu l’as fait », elle a répondu « oui là j’ai déconné parce que je ne tenais plus, je voulais t’embrasser encore une fois, j’ai été conne ». Puis elle me dit « de toute façon, quand tu avais tes pulsions, que tu me regardais et que tu pelotais mes fesses et mes seins, même si c’était un jeu comme le reste, tu avais pas besoin de produit ». Je lui ai dit « ne retourne pas la situation non plus ». Elle m’a dit « on s’appelle dans la semaine si je peux, mais tu avais autant envie que moi, tu arrives juste moins à l’admettre et à te laisser aller. On verra vendredi prochain, je jure que je te donnerai rien, on verra si on n’a plus du tout envie, c’est que c’est passé et qu’on a fait ce qu’il faut en une fois. Si on a encore des envies, faudra pas me le reprocher, mais faudra pas qu’on lutte, on y arrivera pas, ça fera qu’empirer. Bonne nuit. »

Et on est restée là-dessus pour le moment.
 
P
Phinette
Anonyme
(il y a encore un paragraphe important, mais il ne passe pas)
 
U
Unepersonne
Anonyme
Ça c'est vraiment produits ????
 
P
Phinette
Anonyme
Oui, juré, malheureusement. Je suis dévastée.
 
P
Phinette
Anonyme
Alors je fais quoi, moi. Je ne peux pas en vouloir à ma fille, tout est de ma faute. A ma belle-sœur, oui. Dois-je lui remonter les bretelles ? Ne rien dire ? J’ai jeté le sachet de ma fille dans les toilettes, je n’ai pas pensé à en garder pour savoir ce que c’est. D’après vous ? Cocaïne ? Je me dis maintenant que peut-être, à chaque fois, je l’espère finalement, j’étais droguée, quand j’avais ces pulsions ? Ma fille n’est pas une menteuse, mais dans le cas présent, c’est difficile pour elle d’avouer tout. Elle dit que ce n'était que dimanche soir, mais vu mon état vendredi après-midi et surtout dimanche après-midi, je me dis que si vraiment c’est juste de l’excitation, pour ma fille en plus, je suis à enfermer. Maintenant qu’on a fait tout ça, comment l’effacer ? Impossible. Je jure que tout est vrai, après m’être relue, je sais que vous allez penser que je suis mythomane. Je vais en tout cas montrer à ma fille que vendredi après-midi, si elle a envie d’autre chose que des échanges normaux mère fille, elle n’obtiendra plus rien de moi. Je ne veux plus faire ça, pas avec elle. Je suis toujours troublée par les femmes et les relations extrêmes, d’autant plus que… j’ai du mal à le dire, mais d’autant plus que j’ai eu des sensations… bref, stop. Merci si vous m’avez lu et que vous essayez de comprendre comment j’ai pu me retrouver dans une telle situation.
 
P
Phinette
Anonyme
(PS j'ai posté plusieurs fois les mêmes paragraphes quand ils ne passaient pas, j'espère que ça restera dans l'ordre et compréhensible)
 
Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.

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