Elle me dit « bah moi j’ai une pulsion j’ai envie d’embrasser tes belles lèvres, je n’ai pas eu assez vendredi ». Elle profite de notre proximité et position pour me faire un bisou sur les lèvres et elle enchaîne aussitôt un petit coup de langue. Je lui dis « arrête fais pas ça », elle me dit « toi arrête alors » et elle m’embrasse à nouveau. Je suis trop conne, avec l’excitation accumulée avant entre notre conversation, les vidéos, la proximité et mes envies plus fortes chaque jour, j’ai ressenti du plaisir avec ses lèvres et je n’ai pas résisté, je me suis mis à l’embrasser aussi. J’ai honte de l’avouer, mais plus on s’embrassait, plus les frissons et le plaisir augmentaient, et moins je pouvais trouver la force d’arrêter. Au bout de quelques secondes ou minutes, je ne me rends pas compte en fait, mon cerveau et mon corps commençaient à bouillir. J’avais une voix de plus en plus lointaine qui disait « pourvu qu’elle veuille arrêter, moi je vais pas y arriver ». Je l’ai attrapé par les cheveux et je l’ai plaquée contre son oreiller. J’avais à ce moment là envie de la dévorer, presque de lui faire mal, mais je pense que j’aurais résisté. Le problème c’est que on s’embrassait tellement fort que ce n’était plus réel, c’était comme si ça n’était pas vrai et que je pouvais aller aussi loin que je voulais, tout en ayant une légère retenue qui ne tenait qu’à un fil. C’était intense comme jamais. Heureusement je ne pensais même plus que c’était ma fille, ma chair, mon sang, c’était animal. Je me souviens qu’en dérivant mes lèvres dans son cou, elle m’a glissé d’une voix tremblante « mes seins, ça me fait drôle, c’est normal ? » Je continue en lui disant « tu as mal ? » et elle répond « non c’est mes tétons ils sont durs, comprimés, on dirait qu’ils vont casser, oh ça fait drôle mais c’est bon ». Elle remet alors ses lèvres sur les miennes, et nos langues n’en pouvaient plus, je n’ai jamais, de toute ma vie, même surexcitée, jamais embrassée de cette façon. Elle voulait mettre ses mains derrière ma tête mais je lui tenais les bras écartés, puis quand je lui tirais à nouveau les cheveux elle cherchait à faire pareil. Je pensais que ce genre de chose ne se passait que dans les films érotiques et même pornographiques. Nous nous sommes embrassées comme ça pendant plusieurs minutes, puis je suis allée fermer la porte d’entrée à clé et je suis revenue dans sa chambre et j’ai aussi fermé la porte, je ne sais pas pourquoi, sûrement pour un maximum de précaution. J’aurais dû alors reprendre mes esprits et dire qu’on arrêtait là. J’étais vraiment un animal et j’avais l’impression de ne plus me contrôler. Ma fille, surprise que je me lève, croyait que j’arrêtais, et déçue, elle était en train de vérifier ses tétons, je pense qu’elle découvrait ce que pouvait provoquer le plaisir. Elle m’a regardé en s’inquiétant de mon arrêt, et a vite soupiré de contentement en me voyant me remettre sur elle. Nous avons repris nos baisers de plus belle, nous nous sommes jusqu’à lécher les visages, et en même temps je lui ai pris les tétons dans mes doigts en lui disant « tu vas voir tu vas aimer qu’ils soient si durs ». J’avais à ce moment-là ma cuisse entre les siennes et même si elle hésitait, je sentais qu’elle commençait à se frotter contre. Je n’en tenais plus, ma main est descendue toucher son sexe à travers son tailleur, puis je l’ai passée dessous et je n’ai pas réussi à résister, je l’ai touché dans son intimité. On s’embrassait toujours. Elle commençait à respirer difficilement et j’ai entendu des petits gémissements. Au lieu de me dire que j’allais trop loin, comme une s****pe que je suis, je voulais aller toujours plus loin. Jusqu’à ce qu’elle ouvre grand les yeux en se redressant, et dise « non, non, oh non ». J’ai tout juste, mais alors tout juste réussi à ralentir en lui disant « quoi, ça va pas ? » et elle a alors dit d’une voix presque pleurante « continue, désolée, je crois que je vais jouir, je sais pas, il se passe un truc, continue, t’arrête pas, continue, continue ». Là encore c’était le moment de reprendre mes esprits. Je n’ai pas eu la force. J’avais de plus en plus envie d’aller loin, j’avais déconnecté complètement avec la réalité. J’ai alors relevé son tailleur et j’ai repris une masturbation, je crois que je ne l’ai jamais faite aussi bien et fort à moi-même. Mon autre main est alors passé sous son chemisier, elle a voulu continué à m’embrasser, comme si ça détournait son attention, pour moins ressentir le reste, car je crois qu’elle avait peur d’une réaction surprenante de sa part. Je sentais sa langue aller jusqu’au fond de ma bouche, elle gesticulait de plus en plus et tout à coup elle a eu un orgasme extrême, à notre grande surprise, ma fille est femme fontaine. Après coup j’aurais préféré l’apprendre de sa bouche et non en action, mais sur le moment, impossible de me contrôler, c’était trop tard, la limite était franchie et loin derrière nous. Le problème est que moi, je n’avais pas encore eu d’orgasme et je crois qu’à ce moment, je ne pouvais qu’aller le chercher, c’était devenu mon but. Pourtant, j’étais dans un état d’excitation encore plus fort que toutes les fois où j’ai fait l’amour avec mon mari, même les premières fois. C’est indescriptible.