Complexe de maso

L
La voie de la conscience
Anonyme
Le DSM 5 ne définit justement pas le BDSM comme une pathologie ou un trouble.
Kelsy, le DSM 5 est consultable en ligne sur internet pour te faire ta propre opinion.
Voici un résumé du DSM 5 sur ce point : "Le masochisme sexuel est la participation intentionnelle à une activité dans laquelle la personne est humiliée, frappée, liée ou fait l'objet d'autres types d'abus pour qu'elle obtienne une excitation sexuelle. Le trouble de masochisme sexuel est diagnostiqué lorsqu'un patient ressent une excitation sexuelle récurrente et intense à la suite de ces activités, mais présente également une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement.
...
Le traitement du masochisme sexuel n'est pas nécessaire si l'individu ne présente pas de détresse ou d'altération cliniquement significative. "

Donc il y a seulement trouble (comme dans toute pratique sexuelle) si et seulement si, une personne ressent une détresse psychologique à avoir ce type de rapport sexuel ou parce que ce type de rapport altère son fonctionnement dans la société (par exemple, la personne déprime et arrête de travailler et se coupe socialement de l'extérieur) ou peut entrainer des risques néfastes pour sa santé physique pour la personne concernée (risque de blessure grave ou de décès au cours du rapport ).

Garde aussi à l'esprit que le DSM 5 n'est pas une bible en termes de vérités scientifiques, ces définitions sont susceptibles d'évoluer (pr exemple l'homosexualité n'est plus une pathologie depuis le DSM 4, comme la transidentité depuis le DSM 5) et certains diagnostics ou définitions de troubles sont objets de beaucoup de polémiques chez les neuropsychiatres et que les définitions que tu y trouveras correspondent à celles qui seront arrivées à faire "assez consensus" dans la communauté neuropsychiatrique, après moult débats scientifiques et certaines définitions DSM 5 sur certains sujets sont encore totalement rejetés par une partie de la communauté neuropsychiatres.

Kelsy, Tu peux t'amuser à comparer les différentes versions de DSM (de 1 à 5) sur les sujets polémiques à ce sujet pour voir l'évolution de la définition de certains troubles (surtout ceux liés à la sexualité humaine).

Donc à prendre avec des pincettes ce qui t'est avancé ici sur foforum.
 
Laëlynn ☆
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Le DSM 5 ne définit justement pas le BDSM comme une pathologie ou un trouble.
Kelsy, le DSM 5 est consultable en ligne sur internet pour te faire ta propre opinion.
Voici un résumé du DSM 5 sur ce point : "Le masochisme sexuel est la participation intentionnelle à une activité dans laquelle la personne est humiliée, frappée, liée ou fait l'objet d'autres types d'abus pour qu'elle obtienne une excitation sexuelle. Le trouble de masochisme sexuel est diagnostiqué lorsqu'un patient ressent une excitation sexuelle récurrente et intense à la suite de ces activités, mais présente également une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement.
...
Le traitement du masochisme sexuel n'est pas nécessaire si l'individu ne présente pas de détresse ou d'altération cliniquement significative. "

Donc il y a seulement trouble (comme dans toute pratique sexuelle) si et seulement si, une personne ressent une détresse psychologique à avoir ce type de rapport sexuel ou parce que ce type de rapport altère son fonctionnement dans la société (par exemple, la personne déprime et arrête de travailler et se coupe socialement de l'extérieur) ou peut entrainer des risques néfastes pour sa santé physique pour la personne concernée (risque de blessure grave ou de décès au cours du rapport ).

Garde aussi à l'esprit que le DSM 5 n'est pas une bible en termes de vérités scientifiques, ces définitions sont susceptibles d'évoluer (pr exemple l'homosexualité n'est plus une pathologie depuis le DSM 4, comme la transidentité depuis le DSM 5) et certains diagnostics ou définitions de troubles sont objets de beaucoup de polémiques chez les neuropsychiatres et que les définitions que tu y trouveras correspondent à celles qui seront arrivées à faire "assez consensus" dans la communauté neuropsychiatrique, après moult débats scientifiques et certaines définitions DSM 5 sur certains sujets sont encore totalement rejetés par une partie de la communauté neuropsychiatres.

Kelsy, Tu peux t'amuser à comparer les différentes versions de DSM (de 1 à 5) sur les sujets polémiques à ce sujet pour voir l'évolution de la définition de certains troubles (surtout ceux liés à la sexualité humaine).

Donc à prendre avec des pincettes ce qui t'est avancé ici sur foforum.
Pour commencer, si tu avais lu le témoignage de la personne, tu verrais que ça la dérange en quotidien car ça finit en agression quelques fois, c'est pour ça que j'ai parler de diagnostique. Ensuite, le dsm qu'on voit en ligne sur Google notamment est la version tout public, qui n'es donc pas du tout complète. Tout ce que tu dis ne me sert strictement a rien vu que je suis littéralement renseigné a se sujet et que j'ai le dsm chez moi. Ne pense pas que je suis une gamine qui parle sans savoir :)
Étant concernant par la santé mentale je m'y connais mieux que beaucoup.
 
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Kelsy, le DSM 5 est consultable en ligne sur internet pour te faire ta propre opinion.
Voici un résumé du DSM 5 sur ce point : "Le masochisme sexuel est la participation intentionnelle à une activité dans laquelle la personne est humiliée, frappée, liée ou fait l'objet d'autres types d'abus pour qu'elle obtienne une excitation sexuelle. Le trouble de masochisme sexuel est diagnostiqué lorsqu'un patient ressent une excitation sexuelle récurrente et intense à la suite de ces activités, mais présente également une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement.
...
Le traitement du masochisme sexuel n'est pas nécessaire si l'individu ne présente pas de détresse ou d'altération cliniquement significative. "

Donc il y a seulement trouble (comme dans toute pratique sexuelle) si et seulement si, une personne ressent une détresse psychologique à avoir ce type de rapport sexuel ou parce que ce type de rapport altère son fonctionnement dans la société (par exemple, la personne déprime et arrête de travailler et se coupe socialement de l'extérieur) ou peut entrainer des risques néfastes pour sa santé physique pour la personne concernée (risque de blessure grave ou de décès au cours du rapport ).

Garde aussi à l'esprit que le DSM 5 n'est pas une bible en termes de vérités scientifiques, ces définitions sont susceptibles d'évoluer (pr exemple l'homosexualité n'est plus une pathologie depuis le DSM 4, comme la transidentité depuis le DSM 5) et certains diagnostics ou définitions de troubles sont objets de beaucoup de polémiques chez les neuropsychiatres et que les définitions que tu y trouveras correspondent à celles qui seront arrivées à faire "assez consensus" dans la communauté neuropsychiatrique, après moult débats scientifiques et certaines définitions DSM 5 sur certains sujets sont encore totalement rejetés par une partie de la communauté neuropsychiatres.

Kelsy, Tu peux t'amuser à comparer les différentes versions de DSM (de 1 à 5) sur les sujets polémiques à ce sujet pour voir l'évolution de la définition de certains troubles (surtout ceux liés à la sexualité humaine).

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J'ai deux amies masochistes. Une ou ça a été diagnostiqué car c'est un trouble chez elle. L'autre non car il le vie bien et car ce n'es que peu souvent.
 
kelsy☆
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Le DSM 5 ne définit justement pas le BDSM comme une pathologie ou un trouble.
Kelsy, le DSM 5 est consultable en ligne sur internet pour te faire ta propre opinion.
Voici un résumé du DSM 5 sur ce point : "Le masochisme sexuel est la participation intentionnelle à une activité dans laquelle la personne est humiliée, frappée, liée ou fait l'objet d'autres types d'abus pour qu'elle obtienne une excitation sexuelle. Le trouble de masochisme sexuel est diagnostiqué lorsqu'un patient ressent une excitation sexuelle récurrente et intense à la suite de ces activités, mais présente également une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement.
...
Le traitement du masochisme sexuel n'est pas nécessaire si l'individu ne présente pas de détresse ou d'altération cliniquement significative. "

Donc il y a seulement trouble (comme dans toute pratique sexuelle) si et seulement si, une personne ressent une détresse psychologique à avoir ce type de rapport sexuel ou parce que ce type de rapport altère son fonctionnement dans la société (par exemple, la personne déprime et arrête de travailler et se coupe socialement de l'extérieur) ou peut entrainer des risques néfastes pour sa santé physique pour la personne concernée (risque de blessure grave ou de décès au cours du rapport ).

Garde aussi à l'esprit que le DSM 5 n'est pas une bible en termes de vérités scientifiques, ces définitions sont susceptibles d'évoluer (pr exemple l'homosexualité n'est plus une pathologie depuis le DSM 4, comme la transidentité depuis le DSM 5) et certains diagnostics ou définitions de troubles sont objets de beaucoup de polémiques chez les neuropsychiatres et que les définitions que tu y trouveras correspondent à celles qui seront arrivées à faire "assez consensus" dans la communauté neuropsychiatrique, après moult débats scientifiques et certaines définitions DSM 5 sur certains sujets sont encore totalement rejetés par une partie de la communauté neuropsychiatres.

Kelsy, Tu peux t'amuser à comparer les différentes versions de DSM (de 1 à 5) sur les sujets polémiques à ce sujet pour voir l'évolution de la définition de certains troubles (surtout ceux liés à la sexualité humaine).

Donc à prendre avec des pincettes ce qui t'est avancé ici sur foforum.
J’ai rien compris
 
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Pour commencer, si tu avais lu le témoignage de la personne, tu verrais que ça la dérange en quotidien car ça finit en agression quelques fois, c'est pour ça que j'ai parler de diagnostique. Ensuite, le dsm qu'on voit en ligne sur Google notamment est la version tout public, qui n'es donc pas du tout complète. Tout ce que tu dis ne me sert strictement a rien vu que je suis littéralement renseigné a se sujet et que j'ai le dsm chez moi. Ne pense pas que je suis une gamine qui parle sans savoir :)
Étant concernant par la santé mentale je m'y connais mieux que beaucoup.
Et hop voici l’argument d’autorité parce que j’ai osé dire que le bdsm n’est pas un trouble en soi.

Et si tu étais vraiment connaisseuse du sujet, en tout bon professionnel de santé mentale, tu t’interdirais ici tout diagnostic sans avoir rencontré la personne en question.
Tu l’inviterais simplement à consulter à voir un psy, s ́il ressent une détresse psychologique.

Je doute que tu sois ce que tu prétends être au vue du niveau de tes réponses autoritaires sans aucune bienveillance envers la personne qui a exposé sa problématique.
Je doute vraiment que tu appartiennes à une profession dans ce domaine, ou alors il y a un gros manque de déontologie chez toi.

Donc désolé je ne crois pas du tout à ce que tu dis.
 
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J'ai deux amies masochistes. Une ou ça a été diagnostiqué car c'est un trouble chez elle. L'autre non car il le vie bien et car ce n'es que peu souvent.
Et hop ! Tu es donc devenu donc experte auto proclamée dans ce domaine, grâce à ces 2 amis.
Ridicule argument d’autorité.
 
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Et hop voici l’argument d’autorité parce que j’ai osé dire que le bdsm n’est pas un trouble en soi.

Et si tu étais vraiment connaisseuse du sujet, en tout bon professionnel de santé mentale, tu t’interdirais ici tout diagnostic sans avoir rencontré la personne en question.
Tu l’inviterais simplement à consulter à voir un psy, s ́il ressent une détresse psychologique.

Je doute que tu sois ce que tu prétends être au vue du niveau de tes réponses autoritaires sans aucune bienveillance envers la personne qui a exposé sa problématique.
Je doute vraiment que tu appartiennes à une profession dans ce domaine, ou alors il y a un gros manque de déontologie chez toi.

Donc désolé je ne crois pas du tout à ce que tu dis.
Elle a jamais dis qu’elle était professionnelle juste qu’elle en sait plus que beaucoup de gens sur les troubles mentaux
 
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Et hop voici l’argument d’autorité parce que j’ai osé dire que le bdsm n’est pas un trouble en soi.

Et si tu étais vraiment connaisseuse du sujet, en tout bon professionnel de santé mentale, tu t’interdirais ici tout diagnostic sans avoir rencontré la personne en question.
Tu l’inviterais simplement à consulter à voir un psy, s ́il ressent une détresse psychologique.

Je doute que tu sois ce que tu prétends être au vue du niveau de tes réponses autoritaires sans aucune bienveillance envers la personne qui a exposé sa problématique.
Je doute vraiment que tu appartiennes à une profession dans ce domaine, ou alors il y a un gros manque de déontologie chez toi.

Donc désolé je ne crois pas du tout à ce que tu dis.
Je ne suis pas un professionnel. Mais une concerné par la santé mentale. Il s'agirait de ne pas faire de conclusion quand ce n'était pas mes mots ;)
 
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Et hop ! Tu es donc devenu donc experte auto proclamée dans ce domaine, grâce à ces 2 amis.
Ridicule argument d’autorité.
Non, simplement car je suis renseigné concernant la santé mentale, mais ils m'ont donné envie de me renseigner encore plus.

Je ne donne pas d'arguments a des gens que j'estime pas en capacité de les recevoirs. Ni a des gens qui en donnes, mais qui ne sont pas de bons arguments selon moi.

Bonne soirée, je refuse de continuer a discuter avec une personne qui me pense incultes alors que c'est faux.
 
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Et hop voici l’argument d’autorité parce que j’ai osé dire que le bdsm n’est pas un trouble en soi.

Et si tu étais vraiment connaisseuse du sujet, en tout bon professionnel de santé mentale, tu t’interdirais ici tout diagnostic sans avoir rencontré la personne en question.
Tu l’inviterais simplement à consulter à voir un psy, s ́il ressent une détresse psychologique.

Je doute que tu sois ce que tu prétends être au vue du niveau de tes réponses autoritaires sans aucune bienveillance envers la personne qui a exposé sa problématique.
Je doute vraiment que tu appartiennes à une profession dans ce domaine, ou alors il y a un gros manque de déontologie chez toi.

Donc désolé je ne crois pas du tout à ce que tu dis.
Et désolé aussi, je ne crois pas du tout a ce que tu dis comme toi, comme ça on est quitte.
 
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Elle a jamais dis qu’elle était professionnelle juste qu’elle en sait plus que beaucoup de gens sur les troubles mentaux
Et oui, c'est facile de dire ça puis imposer son opinion
Non, simplement car je suis renseigné concernant la santé mentale, mais ils m'ont donné envie de me renseigner encore plus.

Je ne donne pas d'arguments a des gens que j'estime pas en capacité de les recevoirs. Ni a des gens qui en donnes, mais qui ne sont pas de bons arguments selon moi.

Bonne soirée, je refuse de continuer a discuter avec une personne qui me pense incultes alors que c'est faux.
Vouah ! Tu me fais peur.

J’ai très bien compris tes arguments, je t’ai contre argumenté et tu ne lnas pas supporté en allant dans l’attaque ad hominem ad nauseam, pour casser tout ce que je dis au lieu de débattre sereinement.

Et si c’est comme ça, moi aussi je connais un rayon sur la santé mentale.
Tu n’es pas la seule personne concernée directement par le sujet de la santé mentale et si tu pouvais faire preuve d’humilité dans tes propos, ça serait bien, tu ne te prendrais pas ce type de remarque de ma part.

Contrairement à toi, j’ai sourcé ce que j’ai dit en donnant la définition du DSM 5 et en indiquant que celle-ci était librement consultable, en laissant libre Kelsy de faire sa propre opinion, en rappelant les limites du DSM 5 !!!

Ceci évite d’exploiter ce que l’on appelle l’asymétrie d’information en science, qui a pour but de dire ce que l’on veut sans source vérifiable par celui qui te lit.
 
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La voie de la conscience
Anonyme
Tu peux utilisé des mots plus simple dans tout tes message je comprends rien
Un argument d’autorité est un procédé rhétorique en science, dont l’objectif est de faire taire toute critique scientifique.

Ainsi, dans un débat, l’un des protagonistes du débat peut avancer que telle ou telle proposition est vraie, sans en faire la démonstration ou la preuve empirique de sa véracité, parce que telle ou telle autorité l’aurait avancée ou parce qu’elle s’estime experte en la matière et donc elle n’a rien à prouver.

́l’Asymétrie d’information est un autre procédé rhétorique, pour imposer ses vues en exploitant l’ignorance de son interlocuteur sur un sujet donné. Par exemple, dire que telle affirmation a été décrite dans un ouvrage faisant autorité, sans te donner la possibilité de vérifier par toi meme si l’affirmation faite est fausse ou vrai en ne citant pas tes sources, c’est de l’asymétrie d’information.

Autre exemple quand tu vois un médecin qui t’établit un diagnostic quand tu es malade, tu es dans une position d’asymétrie d’information, tu es obligée de faire confiance en ce diagnostic, et cette confiance repose sur l’autorité scientifique que représente ton médecin, car tun’as pas les connaissances et compétences médicales pour évaluer scientifiquement le diagnostic établi.