Oser en parler ou pas, l'attente triste en silence

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Les études d'IRM ont révélé quelque chose de vraiment émouvant sur les chiens et leur lien avec leurs compagnons humains.
Il ne s'agit pas seulement de friandises, de jouets ou même de la compagnie d'autres chiens ; l'amour des chiens pour leurs humains est beaucoup plus profond.
Des chercheurs ont découvert que lorsqu'un chien sent l'odeur de son maître, une partie spécifique de son cerveau, appelée noyau caudé, s'active bien plus que lorsqu'il sent la nourriture ou un autre animal.
Cette zone du cerveau est liée à des sentiments d'amour, de joie et de récompense, ce qui prouve que les chiens non seulement reconnaissent l'odeur de leur famille, mais se sentent submergés par le bonheur et l'affection.
Cette réaction puissante révèle que lorsque nos amis à fourrure nous regardent avec ces yeux adorables ou courent nous saluer à la porte, ce n'est pas seulement l'instinct ou l'habitude.
Au plus profond de leur cerveau, les chiens éprouvent un amour sincère et profond pour nous, un amour aussi réel et significatif que celui que ressentent d'autres espèces animales en tant qu'individus qu'ils sont et leur capacité à ressentir.

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C'est bien mais moi c'est un chat que j'ai 😅🤣

 

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Moral bas ce soir, le contre coup des paroles de ma mère sans doute.
C'est dur de penser qu'on est une déception constante pour ses parents..

 

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Cette nuit je ferais la grande balade, pour prendre l'air, et essayer de me changer un peu les idées.

 

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cigarettes prêtes pour tantôt.

 

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Maquillage terminé, près avoir été fumer je ferais ma playlist pour ce soir.

 

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Rentrée.

Nuit calme, sans surveillance. Le seul hic ?
Mes crises, elles ont empiré lors de cette balade.
J'ai eu du mal à l'aller, la douleur était déjà bien forte à mi-chemin, donc je n'ai pas su avancer bien vite.
J'avais tellement du mal qu'arrivée au parc, j'ai du attendre un moment le temps qu'elle se calme avant de fumer, et j'ai bien cru que j'allais devoir m'allonger sur le banc.. Heureusement elle a fini par passer et j'ai pu fumer, puis j'ai pris mon traitement avant de faire le trajet retour.

Au moment où j'ai fini de remonter les marches du parc, j'ai aperçu une silhouette au loin devant moi, du coup je me suis stoppée me demandant si c'était lui. Mais visiblement non, la veste n'était pas une des siennes et il a fait demi-tour au bout de 2,3 pas. Donc impossible que ce soit lui, sinon il serait venu aussi, enfin je suppose car je pense pas qu'il veuille me voir..

Quant au retour ? Pas bien meilleur que l'aller, la douleur est revenue alors que je commençait à remonter du boulevard... Elle ne s'est dissipée que peu avant le pont après que j'ai fait un petit arrêt près d'un poteau pour la calmer. Je me suis même permise de bien profiter du pont pour reprendre mon souffle, vu que pour une fois il n'y avait pour ainsi dire personne en route.

Et je n'ai pas été surveillée de la journée non plus. Cette balade m'a fait du bien, elle était calme et relaxante pour changer.

J'irais fumer ma dernière à 58, puis j'irais me coucher.

 

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Le fait que ces crises empirent autant, ça ne me rassure pas du tout..