Je me présente : ici, je serai ODC (Objecteurs De Consciences)
Mon but, est de tenter d'accélérer un processus qui, semble-t-il, a déjà commencé et viendra à son terme quoi qu'il arrive : l'éveil collectif aux réalités de ce que nous font subir les médias mainstream, à savoir, l'adhésion plus ou moins forcée à une pensée unique consumériste basée sur l'intolérance et la peur d'autrui.
Nous sommes devenus ce que les élites attendent de nous : des consommateurs dociles, prêts à ingurgiter sans questionnement les pensées prémâchées déversées en continu par la déesse Télévision.
Mais à qui profite tout ceci ?
Qui a intérêt à ce que la population cesse de penser par elle-même ?
Quel est le but à terme ?
Entendons-nous bien. Si nous ne sommes plus capables de penser par nous-mêmes, innover deviendra impossible, ce qui pourrait s'avérer fâcheux pour l'humanité toute entière, à terme. En revanche, sans libre pensée, nous serions parfaitement dociles et malléables, manipulables à souhait.
Avez-vous déjà tenté d'exprimer publiquement une opinion qui n'irait pas dans le sens des médias mainstream dernièrement ?
Nous en sommes rendus au point où toute opinion divergente de la bien-pensée dispensée religieusement par les médias est systématiquement taxée de complotisme, d'extrêmisme ou que sais-je encore.
La libre pensée, si elle n'est pas officiellement condamnée, n'en fait pas moins l'objet d'une chasse aux sorcières qui pousse à s'interroger sur la réalité d'une prétendue liberté d'expression.
Comment ne pas s'interroger lorsque tous les médias mainstream offrent en permanence un son de cloche uniforme ?
Comment ne pas s'interroger quand d'éminents spécialistes se voient décrédibilisés sous prétexte qu'ils ne vont pas dans le sens attendu ?
Je me rappelle d'une époque durant laquelle chaque rédaction, qu'il s'agisse d'information télévisée, écrite ou radiodiffusée présentaient une information différente avec sa propre identité. Je me rappelle d'une époque durant laquelle "polémique" n'était pas un terme péjoratif. Je me rappelle d'une époque durant laquelle chaque opinion avait la même valeur.
Que deviendraient des personnes comme Victor Hugo ou Émile Zola, dans le monde d'aujourd'hui ?
Ne rejoindraient-ils pas malgré eux le camp des méchants complotistes sous prétexte qu'ils s'indignent ouvertement ?
Non contente de nous distiller un ensemble de croyances parfois aberrantes, la déesse Télévision nous encourage à la dissension, pointant du doigt comme des problèmes graves les différences qui existent entre nous, qu'elles soient idéologiques, culturelles ou sociales.
Rappelez-vous que nous sommes tous des êtres humains, quelle que soit la couleur de notre peau, quelles que soient nos origines, quelle que soit la langue que nous parlons, quel que soit le milieu social dont nous sommes issus.
"Nous sommes en guerre !" nous a-t-on martelé inlassablement durant un discours dont ces mots représentaient près de la moitié du contenu total, tant ils ont été répétés.
Devant ce discours, je riais aux éclats, me disant que nul ne pourrait s'y laisser prendre tant c'était gros.
Et pourtant... les rayons vides dans les magasins m'avaient donné tort durant de nombreuses semaines, par la suite.
Les nombreux épisodes de violences domestiques qui s'en étaient suivis n'avait fait que confirmer ce que je constatais déjà avec stupeur, effroi et une bonne dose d'affliction, je dois bien le reconnaître.
Sommes-nous à ce point dénués d'esprit critique que 4 mots répétés au fil d'un discours puisse dicter notre conduite ?
Le mouvement libertaire des gilets jaunes, la manifestation la plus longue de l'histoire, commençait, je vous le rappelle, à s'étendre dans les pays voisins, dont les populations avaient elles aussi entrepris de hisser le pavillon de la Démocratie, la vraie. Tout ceci fut stoppé net par cette "guerre invisible".
Dans ce fil de discussion, je posterai d'autres messages, ainsi que des éléments, afin que vous puissiez vous faire votre propre opinion en votre âme et conscience. J'encourage quiconque voudrait participer, qu'il/elle soit ou non d'accord avec moi, à s'exprimer librement (mais posément... nous ne sommes pas là pour nous entre-déchirer mais pour rechercher la vérité, qu'elle soit séduisante ou rebutante).
ODC