Le fascisme est une doctrine politique nationaliste et totalitaire de l'idée d'un désir de rehaussement de la nation italienne, fondé par Mussolini, qui a effectué lui et ces comparses des assauts et des diktats envers le gouvernement italien de l'époque, bien avant l'accession au pouvoir d'Hitler en tant que chancelier et futur 3ème Reich, en 1933...
Donc le Nazisme est en quelque sorte l'epigone du Fascisme Italien, mais leur figure de proue distinctive était issue du milieu socialiste, national-socialiste, qui mettait en avant la souveraineté du peuple, et œuvrait à mettre en place une politique autocratique régalienne, où le mot d'ordre serait l'ordre et l'efficacité productive,
Leur campagne respective n'a pas été la même pour atteindre l'apex du pouvoir, pour autant, il y a eu des similitudes !
Hitler et son partie initialement n'avait pas autant de succès électoral que dans les années 30, d'où la tentative d'un putsch à l'encontre du gouvernement, voulant faire plier par la force la démocratie, c'étais un peu près la même chose avec Mussolini lors de son objectif d'accession au poste de premier ministre, en élaborant un coup bas contre son opposant politique de l'époque, Giacomo Matteoti, assassiné par les fascistes qui pourtant était lui-même socialiste jadis...
Seulement que ce soit l'un ou l'autre de part l'origine sociale de ces figures antagonistes du XXe siècle, il avait surtout pour épithète le socialisme afin de renforcer leur corps électoral, un engorgement massif dans la promesse d'une réhabilitation forte et puissante de l'identité nationale Allemande ou Italienne, en multipliant les tirs de boulets rouges par le biais de tribunes et de communiqués pour jeter l'opprobre sur les modèles démocratiques et républicains qui étaient en place jugés trop défaillants et affaiblissant la nation, sources essentielles des malheurs que connaissaient les populations tant en terme économique que social.
Toutes ces stratégies de désignation de l'adversaire ne datent pas d'aujourd'hui, et elles ont pour objectif principal de s'offrir un potentiel électoral hébété et désœuvré, et cela de tout évidence à marcher.
Aujourd'hui, le fascisme est toujours présent, mais plus en catimini, la justice républicaine veillant au peigne fin à surveiller les faits et gestes des principales branches suceptibles d'être capables d'exactions et de violences.
Mais si les acteurs d'extrême droite doivent être jugés et surveillés, il devrait, du moins dans la logique, être de même pour ceux qui représentent le pendant inversé de cette immense maillage identitaire et monarchiste, les progressistes mondialistes indigenistes également.
L'un ne va pas sans l'autre ! Plus il y aura de décroissance et de déséquilibre économique, social et démographique, plus le sursaut identitaire se fera ressentir et montera en grade par soucis de défense et de protection de la nation et de son identité, ce qui est assez normal, cependant c'est le principe manichéen absolue qui est risible, à savoir l'idée que étant d'origine étrangère par exemple sans être ce que l'on nommerait "Woke" aujourd'hui , tu es par conséquent le "mal" ou du camp du "mal" puisque par essence, le camp du bien représente tout ce conglomérat constitué des profils "qualitatifs" travailleuses et dans une logique relatif au bien et la défense patriotique, de la nation qui serait en danger ! Et bien évidemment blanche ! Sans se questionner évidemment sur les mauvaises graines qui pullulent l'intérieur du bastion national...
Je le sais, j'ai des connaissances et un ami de longue date qui se revendiquent à demi-mot identitaire...
Mais quoi qu'il en soit, le fascisme de toute nature et de tout bord reste un danger oui, tout comme l'extrême dépendance au modèle américain, cela va de soi, mais c'est toujours plus simple de se concentrer sur la petite souris au sol que sur l'aigle, intenable et quasiment imperceptible en hauteur, survolant le ciel avant son attaque, évidemment.