Bon, je me doute bien que vous vous fichez royalement de vie pleine de trou mais écrire ici m'a fait un bien fou.
Poser tout ça par écrit m'a permis de me rendre compte qu'en réalité je suis en train de vivre une p***ain de belle histoire d'amour et que peu importe le temps qu'elle durera, peut importe que ses ex soit plus jolie ou plus moche qu'il ai eu plus ou moins de sentiment pour elles.
Tout ce qui compte c'est ce que je vis avec lui aujourd'hui.
J'ai compris un truc cette nuit.
J'ai compris que si je me sens aussi perdu avec lui, si je me fais autant de nœud au cerveau et que je ne sais pas comment me comporter c'est parceque pour la première de ma vie je suis en couplé avec un homme profondément gentil et bienveillant.
Nous avons le même parcours.
Des parents cassant qui nous ont répète en boucle que nous n'étions que des bons à rien qui à chaque initiative nous disait "tu vas te planter, tu ne sais pas faire ceci ou cela".
Lui comme moi avons ensuite eu que des histoires avec des gens qui nous ont plus ou moins rabaissé et lui comme moi ont trouvé cela normal, quand je repense aujourd'hui à certains propos tenue par mes ex ça me choque qu'à l'époque je trouvais cela normal, je les trouvais gentils et quand ils me balançaient des petits piques du style "non mais regarde toi, tu es ridicule"
Je n'étais pas choquée, ça me faisait mal mais vue que j'étais d'accord avec eux m'a foi.....
Je ne me disais pas qui est il pour me juger, il n'est pas supérieur à moi. Je ne trouvais pas incongru qu'une personne sensé m'aimer me casse de la sorte.
Dans ma tête c'était toujours il me connaît mieux que personne, si il le dit c'est que c'est vrai.
Et ce truc là, ce mépris, ces réflexions assassiné je les retrouve quand il me parle de ses ex et je constate que lui aussi trouvait et semble encore aujourd'hui trouvais cela normal, parfois il me raconte une réflexion particulièrement humiliante et cassante que l'une d'elle lui a fait il me dit que ça l'avait blessé qu'elle pouvait être dur par moment mais il ne semble pas pensé que ça n'est pas normal ou pas mérité.
C'est ce qui m'a aidé à prendre conscience que je me suis toujours dirigé vers le même type de profil, j'ai toujours été gâté matériellement parlant mais rabaissé et dénigré, exactement comme mes parents l'ont fait des preuves d'amour à gogo sur le plan matériel mais du mépris dans leur regard et ça ne me choquée vue que j'ai été élevé comme cela.
Et puis un jour j'ai commencé à réalisé que ça n'était pas normal, le jour où je me suis rendu compte qu'un pour lequel j'avais beaucoup d'estime et de respect semblait apprécié ma compagnie, il semblait me trouver drôle, intelligente, il me complimentais sur plein de chose.
Au début je me disais "c'est parxeque il ne connaît pas vraiment, si il savait il se rendrait compte que je suis compte."
Il ne sest rien passé avec cet homme juste une amitié. Mais au bout d'un an j'ai fini par me dire que cet homme était loin d'être idiot et que peut être que si il apprécie ma compagnie, c'est peut être parceque je ne suis pas aussi minable que je le pense.
Alors j'ai commencé à me demande qu'est ce qui faisait que j'étais persuadé d'être aussi nul, qu'est ce qui faisait que je me sentais aussi minable alors que cet homme qui est loin d'être bête ne semble pas voir cela en moi.
Il me fallu encore une bonne année pour comprendre que les mots avec lesquels je me définissait n'était en fait pas mes mots mais ceux de mon compagnon de l'époque.
Le cheminement a été long avant que je comprenne comment il avait fait, comment j'avais pu me laisser bouffer à cr point là au point d'en arriver à penser avoir de la chance d'avoir un homme aussi dure à mes côté.
A accepter l'idée que je ne méritais pas d'être traité comme cela que personne ne méritait ça.
Et le plus douloureux à été quand j'ai compris qu'en réalité il n'avait fait que prendre la suite de mes parents.
Réalisé que mes parents que je pensais aimant et bienveillant était en fait toxique que ma mère me manipulait que si je manquais autant de confiance en moi c'est parce qu'elle a entretenu cela.
Ça, ça a été trzs douloureux.
J'en ai fait une dépression et là dessus mon compagnon est arrivé dans ma vie, il était lui même en dépression alors on était en mode je t'aime moi non plus.
Je pense qu'on essayait de sautopersuadé que non, il n'y avait pas de sentiment entre nous, on se balançait des saloperies à la gueule.
J'ai dit qu'il s'est comporte comme un co**ard mais je n'ai pas été tendre non plus.
Il se comportait comme un c*n mais je sentais que ça n'était pas quelque chose de naturelle, il y avait quelque dans son regard qui me disait qu'il n'était pas comme ça en réalité et qu'il n'aimait pas être comme ça.
Il nous a fallu du temps avant d'admettre qu'il ne s'agissait pas que d'attirance physique.
Et quand je repense à certaines choses qu'il a fait à la façon dont il m'a fui par moment, je me rend que moi aussi j'ai été dure avec lui je sais que de mon côté j'étais morte de peur de retomber sur un profil similaire à mon ex et que cest pour ça que j'avais ce comportement changeant avec lui et que finalement c'était peut être juste la peur qui le faisait agir ainsi avec moi.
Poser tout ça par écrit m'a permis de me rendre compte qu'en réalité je suis en train de vivre une p***ain de belle histoire d'amour et que peu importe le temps qu'elle durera, peut importe que ses ex soit plus jolie ou plus moche qu'il ai eu plus ou moins de sentiment pour elles.
Tout ce qui compte c'est ce que je vis avec lui aujourd'hui.
J'ai compris un truc cette nuit.
J'ai compris que si je me sens aussi perdu avec lui, si je me fais autant de nœud au cerveau et que je ne sais pas comment me comporter c'est parceque pour la première de ma vie je suis en couplé avec un homme profondément gentil et bienveillant.
Nous avons le même parcours.
Des parents cassant qui nous ont répète en boucle que nous n'étions que des bons à rien qui à chaque initiative nous disait "tu vas te planter, tu ne sais pas faire ceci ou cela".
Lui comme moi avons ensuite eu que des histoires avec des gens qui nous ont plus ou moins rabaissé et lui comme moi ont trouvé cela normal, quand je repense aujourd'hui à certains propos tenue par mes ex ça me choque qu'à l'époque je trouvais cela normal, je les trouvais gentils et quand ils me balançaient des petits piques du style "non mais regarde toi, tu es ridicule"
Je n'étais pas choquée, ça me faisait mal mais vue que j'étais d'accord avec eux m'a foi.....
Je ne me disais pas qui est il pour me juger, il n'est pas supérieur à moi. Je ne trouvais pas incongru qu'une personne sensé m'aimer me casse de la sorte.
Dans ma tête c'était toujours il me connaît mieux que personne, si il le dit c'est que c'est vrai.
Et ce truc là, ce mépris, ces réflexions assassiné je les retrouve quand il me parle de ses ex et je constate que lui aussi trouvait et semble encore aujourd'hui trouvais cela normal, parfois il me raconte une réflexion particulièrement humiliante et cassante que l'une d'elle lui a fait il me dit que ça l'avait blessé qu'elle pouvait être dur par moment mais il ne semble pas pensé que ça n'est pas normal ou pas mérité.
C'est ce qui m'a aidé à prendre conscience que je me suis toujours dirigé vers le même type de profil, j'ai toujours été gâté matériellement parlant mais rabaissé et dénigré, exactement comme mes parents l'ont fait des preuves d'amour à gogo sur le plan matériel mais du mépris dans leur regard et ça ne me choquée vue que j'ai été élevé comme cela.
Et puis un jour j'ai commencé à réalisé que ça n'était pas normal, le jour où je me suis rendu compte qu'un pour lequel j'avais beaucoup d'estime et de respect semblait apprécié ma compagnie, il semblait me trouver drôle, intelligente, il me complimentais sur plein de chose.
Au début je me disais "c'est parxeque il ne connaît pas vraiment, si il savait il se rendrait compte que je suis compte."
Il ne sest rien passé avec cet homme juste une amitié. Mais au bout d'un an j'ai fini par me dire que cet homme était loin d'être idiot et que peut être que si il apprécie ma compagnie, c'est peut être parceque je ne suis pas aussi minable que je le pense.
Alors j'ai commencé à me demande qu'est ce qui faisait que j'étais persuadé d'être aussi nul, qu'est ce qui faisait que je me sentais aussi minable alors que cet homme qui est loin d'être bête ne semble pas voir cela en moi.
Il me fallu encore une bonne année pour comprendre que les mots avec lesquels je me définissait n'était en fait pas mes mots mais ceux de mon compagnon de l'époque.
Le cheminement a été long avant que je comprenne comment il avait fait, comment j'avais pu me laisser bouffer à cr point là au point d'en arriver à penser avoir de la chance d'avoir un homme aussi dure à mes côté.
A accepter l'idée que je ne méritais pas d'être traité comme cela que personne ne méritait ça.
Et le plus douloureux à été quand j'ai compris qu'en réalité il n'avait fait que prendre la suite de mes parents.
Réalisé que mes parents que je pensais aimant et bienveillant était en fait toxique que ma mère me manipulait que si je manquais autant de confiance en moi c'est parce qu'elle a entretenu cela.
Ça, ça a été trzs douloureux.
J'en ai fait une dépression et là dessus mon compagnon est arrivé dans ma vie, il était lui même en dépression alors on était en mode je t'aime moi non plus.
Je pense qu'on essayait de sautopersuadé que non, il n'y avait pas de sentiment entre nous, on se balançait des saloperies à la gueule.
J'ai dit qu'il s'est comporte comme un co**ard mais je n'ai pas été tendre non plus.
Il se comportait comme un c*n mais je sentais que ça n'était pas quelque chose de naturelle, il y avait quelque dans son regard qui me disait qu'il n'était pas comme ça en réalité et qu'il n'aimait pas être comme ça.
Il nous a fallu du temps avant d'admettre qu'il ne s'agissait pas que d'attirance physique.
Et quand je repense à certaines choses qu'il a fait à la façon dont il m'a fui par moment, je me rend que moi aussi j'ai été dure avec lui je sais que de mon côté j'étais morte de peur de retomber sur un profil similaire à mon ex et que cest pour ça que j'avais ce comportement changeant avec lui et que finalement c'était peut être juste la peur qui le faisait agir ainsi avec moi.