E
Anonyme
Il est vrai que lorsque l'on est sorti de la seconde guerre mondiale, il fallait tout reconstruire et les grands empires financiers et patrimoniaux n'étaient pas aussi élevés que ceux que l'on connait maintenant.
Les Américains ont décidé d'insuffler dans leur pays dès les années 60 des publicités pour améliorer le confort de vie et ça a marché puisque les réserves énergétiques par habitant étaient bien plus grandes (et coulaient à flot) pour un coût très limité.
Cette culture consumériste s'est implantée ensuite presque partout en Europe et dans le monde car elle s'est révélée très séduisante aussi bien pour les particuliers que pour les chefs d'entreprises petits ou grands.
A cette époque on ne se souciait fort guère de l'empreinte écologique de ce consumérisme débridé qui s'est accéléré dès les prochaines décennies malgré le choc pétrolier de 1973
ce qui fait que depuis 1971 nous vivons a crédit écologique, c'est a dire que les ressources disponibles se renouvellent moins vite que les prélèvements
ce qui fait qu'a terme le coût d'extraction des matières ne fera qu'augmenter par pallier successifs avec des "crises" de moins en moins espacées dans le temps.
Bref aujourd'hui penser reconstruire de nouvelles infrastructures avec quelque chose qui n' existe pas encore au demeurant pour remplacer tous les usages du pétrole du gaz ou du charbon est un mythe
puisque de toute façon depuis l'homme préhistorique jusqu'à aujourd'hui nous avons toujours et à toute époque utilisé le maximum de prélèvements environnementaux possible pour notre confort qui dépend du fonctionnement de machines (machine à laver, lave vaisselle....)
De plus se sont encore les machines (outils industriels, chaine de montage, grues...) qui apportent la vitesse et la productivité du travail , même s'ils faut des hommes en poste pour les faire fonctionner....
et d'après ceux qui s'occupent des ressources minières et énergétiques , les flux viendront à baisser tôt ou tard...(c'est déjà le cas pour le pétrole conventionnel celui des émirats arabes) c'est ce qui explique pourquoi c'était mieux avant...
Ce manque de ressources en général explique en gros les dérapages budgétaires et l'augmentation de la dette pour faire de la croissance ou pour pallier dans un premier temps ce manque de croissance....
Vous vous rendez compte, que malgré l'augmentation de la dette, des prélèvements obligatoires, le chômage ne baisse pas, la croissance est positive et proche de 0 % si on reste gentil et pour couronner le tout on bat des records d'inflation sur l'alimentaire qui pour l'heure est encore exacerbé par les calamités climatiques en tout genre et pas qu'en Europe....
depuis 10 ans le nombre de SDF à doublé !
Alors pourquoi aujourd'hui déciderions nous de se passer ou de baisser de 5 % / an notre consommation de pétrole comme le préconisent en plus les scientifiques du GIEC (si cela était possible ) ?
Jamais de la vie, parce que la plupart des gouvernements mondiaux si ce n'est tous veulent augmenter la production de richesses matérielles et in fine les services qui dépendent de ces dernières (la fameuse croissance) pour espérer pouvoir assigner de la valeur à leur monnaies respectives puisque aujourd'hui l'inflation pointe le bout de son nez et les agacent ou les agacera au plus haut point.
Une demi preuve, est que la Norvège (pas un pays les plus puissants) est sur le point d'accorder son feu vert à la prospection minière des fonds marins en Arctique puisque les norvégiens sont manifestement menacés de pauvreté matérielle et s'estiment insuffisamment riches.
Personne n'a l'air de voir dans cette affaire la non soutenabilité à moyen terme et à long terme de telles pratiques.
Même si l'enrichissement se révélait possible, il ne durera pas aussi longtemps que prévu et apportera son lot de frustrations encore plus pénible à supporter plus tard.
Je pense qu'il est grand temps de partager au moins les richesses produites (dans les limites planétaires) pas au niveau national mais dans le monde le plus tôt pour éviter le ressentiment, la haine,le mépris, le racisme, le dédain , la jalousie, l'envie, et sortir de la culture du productivisme et de la matérialité individualiste.
Je ne sais pas quoi dire ni faire pour que cela change et j'en suis désolé.
Les Américains ont décidé d'insuffler dans leur pays dès les années 60 des publicités pour améliorer le confort de vie et ça a marché puisque les réserves énergétiques par habitant étaient bien plus grandes (et coulaient à flot) pour un coût très limité.
Cette culture consumériste s'est implantée ensuite presque partout en Europe et dans le monde car elle s'est révélée très séduisante aussi bien pour les particuliers que pour les chefs d'entreprises petits ou grands.
A cette époque on ne se souciait fort guère de l'empreinte écologique de ce consumérisme débridé qui s'est accéléré dès les prochaines décennies malgré le choc pétrolier de 1973
ce qui fait que depuis 1971 nous vivons a crédit écologique, c'est a dire que les ressources disponibles se renouvellent moins vite que les prélèvements
ce qui fait qu'a terme le coût d'extraction des matières ne fera qu'augmenter par pallier successifs avec des "crises" de moins en moins espacées dans le temps.
Bref aujourd'hui penser reconstruire de nouvelles infrastructures avec quelque chose qui n' existe pas encore au demeurant pour remplacer tous les usages du pétrole du gaz ou du charbon est un mythe
puisque de toute façon depuis l'homme préhistorique jusqu'à aujourd'hui nous avons toujours et à toute époque utilisé le maximum de prélèvements environnementaux possible pour notre confort qui dépend du fonctionnement de machines (machine à laver, lave vaisselle....)
De plus se sont encore les machines (outils industriels, chaine de montage, grues...) qui apportent la vitesse et la productivité du travail , même s'ils faut des hommes en poste pour les faire fonctionner....
et d'après ceux qui s'occupent des ressources minières et énergétiques , les flux viendront à baisser tôt ou tard...(c'est déjà le cas pour le pétrole conventionnel celui des émirats arabes) c'est ce qui explique pourquoi c'était mieux avant...
Ce manque de ressources en général explique en gros les dérapages budgétaires et l'augmentation de la dette pour faire de la croissance ou pour pallier dans un premier temps ce manque de croissance....
Vous vous rendez compte, que malgré l'augmentation de la dette, des prélèvements obligatoires, le chômage ne baisse pas, la croissance est positive et proche de 0 % si on reste gentil et pour couronner le tout on bat des records d'inflation sur l'alimentaire qui pour l'heure est encore exacerbé par les calamités climatiques en tout genre et pas qu'en Europe....
depuis 10 ans le nombre de SDF à doublé !
Alors pourquoi aujourd'hui déciderions nous de se passer ou de baisser de 5 % / an notre consommation de pétrole comme le préconisent en plus les scientifiques du GIEC (si cela était possible ) ?
Jamais de la vie, parce que la plupart des gouvernements mondiaux si ce n'est tous veulent augmenter la production de richesses matérielles et in fine les services qui dépendent de ces dernières (la fameuse croissance) pour espérer pouvoir assigner de la valeur à leur monnaies respectives puisque aujourd'hui l'inflation pointe le bout de son nez et les agacent ou les agacera au plus haut point.
Une demi preuve, est que la Norvège (pas un pays les plus puissants) est sur le point d'accorder son feu vert à la prospection minière des fonds marins en Arctique puisque les norvégiens sont manifestement menacés de pauvreté matérielle et s'estiment insuffisamment riches.
Personne n'a l'air de voir dans cette affaire la non soutenabilité à moyen terme et à long terme de telles pratiques.
Même si l'enrichissement se révélait possible, il ne durera pas aussi longtemps que prévu et apportera son lot de frustrations encore plus pénible à supporter plus tard.
Je pense qu'il est grand temps de partager au moins les richesses produites (dans les limites planétaires) pas au niveau national mais dans le monde le plus tôt pour éviter le ressentiment, la haine,le mépris, le racisme, le dédain , la jalousie, l'envie, et sortir de la culture du productivisme et de la matérialité individualiste.
Je ne sais pas quoi dire ni faire pour que cela change et j'en suis désolé.