Les extrĂȘmes attirent les extrĂȘmes comme on dit. A une attaque, une rĂ©ponse forte doit ĂȘtre mis sur pied. A chacun sa dĂ©finition de rĂ©ponse forte. Un attentat contre une communautĂ© est-elle une rĂ©ponse forte ? Oui. Est-ce la bonne cible ? Non, ça ne fait que justifier encore et toujours plus les attentats d'une part et de l'autre. On ne justifie pas un attentat par un autre, on ne justifie pas un massacre par d'autres pile de cadavre. D'un point de vu pragmatique oui, mais pas d'un point de vu stratĂ©gique ni humain. Si on veut une rĂ©ponse forte aux attentats, il faut Ă©liminer la source mĂȘme du problĂšme. Les musulmans, non. Ceux qui reconnaissent la charia et toutes ces conneries dans le but de justifier des massacres, des traditions de soumissions et toute forme de viol aux droits de l'homme (Tiens, pas des femmes), ce sont eux la source du problĂšme. Avant de rejeter la faute aux Ă©trangers, qui les accepte et leur offre soi trop d'aide, soi pas du tout et les laisse crever dans la rue ? Ah non, pas eux, ceux qui les acceptent mais ne savent pas les gĂ©rer. Comme tout au monde, il faut avoir le juste milieu. Ni trop peu, ni trop nombreux. Il faut gĂ©rer, pas juste rejeter la faute des problĂšmes sur des gens puis les agresser. Je ne vois pas en quoi c'est une solution. Je n'aime pas les religions, j'ai mon opinion dessus mais je doute qu'aller brĂ»ler une Ă©glise, une mosquĂ©e ou tout autre lieu de culte puisse aider Ă rĂ©duire la force des religions. Au contraire, c'est provoquer une division au sein de la population entre les fanatiques de gauches qui vont se jeter sur la droite pour protĂ©ger les agressĂ© et les fanatiques de droite qui vont approuver les attaques et se jeter sur la gauche pour continuer Ă perpĂ©trer des violences et ça on peut le mettre dans le sens inverse avec les Black Block avec la gauche qui approuve les violences et la droite qui critique Ă coup de contre-manifestation. Aucun des deux ne valent mieux, le centre idem. Tout groupement politique qui s'enferme dans son idĂ©e est dĂ©jĂ un manque de clairvoyance. Comme les gens qui prennent des personnalitĂ©s prĂ©fabriquĂ©es pour plaire aux autres, la politique n'Ă©chappe pas Ă cette logique. Au lieu de rĂ©flĂ©chir, avoir une pensĂ©e critique et choisir en fonction de soi ET du pays, les gens prennent la facilitĂ© en suivant comme des idiots des mouvements politiques parce que c'est plus simple et peut leur donner un genre. Le burkini, soyons clair. La France n'est pas un pays musulman mais chrĂ©tien et ça on ne peut pas le lui retirer, tout comme les pays du Moyen-Orient sont musulmans et on ne leur retirera pas ça non plus. Un pays ne doit pas se soumettre pour plaire aux autres. Une nation a une volontĂ© qui doit AUSSI ĂȘtre respectĂ©e par ses citoyens attachĂ©s au pays. Si des demandes doivent ĂȘtre faite par les musulmans, qu'elles soient faite oui. Que de vrais discussion soit entreprise avec la population locale pour savoir si leur religion qui n'est clairement pas celui du pays peut avoir une petite place dans la sociĂ©tĂ© sans l'imposer aux autres. Mais Ă©videmment, ce serait trop dĂ©mocratique et pour qu'une telle dĂ©mocratie fonctionne, il faut une population humaine avec encore un cerveau. Vu comment le gouvernement cherche Ă abrutir les français, on va plutĂŽt dans le sens inverse. Le burkini, si on me le demande pour la piscine de ma ville/village, je rĂ©pondrai oui. Je m'en fous que les filles se mettent en burkini tant qu'elles ne me parlent pas de leur religion comme des fanatiques. Pas que je suis fermĂ©, juste que je m'en fous et je n'ai rien Ă construire sur ce genre de sujet avec des gens qui sont religieux. Comme parler de moto Ă quelqu'un qui n'aime pas ça, c'est futile mĂȘme si on aime ça. Je dirais cependant non Ă la construction d'un lieu de culte qui pourrait disons ĂȘtre en dĂ©saccord avec le paysage local et la culture. Je doute que les habitants de Lille soient d'accord d'avoir une statue Ă la gloire de l'Empire Allemand posĂ© chez eux parce que des allemands vivant lĂ -bas le demandent. Idem pour la religion, c'est effectivement un autre plan, pas comparable sur tout les points mais reste comparable.
Aussi, il est marrant de lire "Il faut respecter les libertĂ©s de chacun, c'est notre corps". Et pour le vaccin ? Quelle Ă©tait le discours ? Je suis certains Ă 150% que le discours devait ĂȘtre "Oui mais il faut aussi penser aux autres". C'est lĂ qu'il faut aussi trouver le juste milieu entre "LibertĂ© personnelle" et "SociĂ©tĂ©" (MĂȘme si j'ai une vision diffĂ©rente de la sociĂ©tĂ©). Il y a des rĂšgles qui doivent exister, des rĂšgles qui doivent ĂȘtre supprimĂ©es. Oui Ă la libertĂ© mais donc je peux me balader nu ? Non, c'est extrĂȘme. Pas besoin d'atteindre les extrĂȘmes pour que dĂ©jĂ ce soit trop comme libertĂ©. Tout ça sont des questions complexes qu'il ne faut pas non plus laisser de cĂŽtĂ©. Avoir un sujet est intĂ©ressant, un problĂšme Ă rĂ©soudre aussi. Le plus important, c'est de comprendre le vĂ©ritable problĂšme, les rĂ©els volontĂ©s, les consĂ©quences selon les rĂ©ponses donnĂ©es et se projeter avec, penser Ă l'impact de celle-ci et prendre sous tous ses angles le problĂšmes. Je peux vous prĂ©senter un carrĂ©, trois quart des humains me dirait que c'est un cube et moi je vous rĂ©pondrai qu'en fait c'Ă©tait une pyramide mais personne n'a voulu regarder sous plusieurs angle le problĂšme. Ne vous arrĂȘtez pas Ă la surface, ne plantez pas des fleurs pour cacher la mauvaise herbe. Prenez une charrue et retournez la terre, arrachĂ© la racine des plantes et mettez ensuite et uniquement ensuite vos fleurs. C'est aussi comme ça qu'on aura enfin des prioritĂ©s plus logiques en ce monde. Les libertĂ©s de tenues c'est bien mais on a sĂ©rieusement des problĂšmes plus dramatique que ça et qu'il faut saisir maintenant comme par exemple la dĂ©finition mĂȘme d'Etat-nation, les divisions au seins des nations et la sociĂ©tĂ© qui tente de se mentir en se disant que tout va bien dans un monde oĂč l'hĂ©gĂ©monie amĂ©ricaine s'effondre de partout et donc les sociĂ©tĂ©s capitaliste-libĂ©rale europĂ©enne. Prenez le problĂšme sous tous ses angles, l'impact actuelle de celui-ci et ensuite trouver une solution durable et efficace. ProcĂ©der par trois Ă©tapes : Trouver la racine du problĂšme, chercher une solution rĂ©aliste, viable et durable puis appliquez la. Trois Ă©tapes logiques que tout le monde semble oublier. Il est bon de les rappeler.
Quoi qu'il en soi, le sujet est stupide mais rĂ©vĂšle plein d'autres problĂšmes qui eux sont bien plus grave. Le burkini, qu'elles les portent et qu'on arrĂȘte de faire ch*er les gens pour ça. Une demande qui coule de source et qui peut ĂȘtre acceptĂ© par nos sociĂ©tĂ©s, ne soyons pas attardĂ© comme les autres Ă refuser ces changements de tenues mais ne dĂ©rivons pas dans une sociĂ©tĂ© de soumission, bisounours d'inaction en laissant les autres rĂ©gir nos volontĂ©s. En tant que suisse, mon pays ne m'appartient pas comme un statut me dĂ©finissant. JE suis la nation AVEC les autres suisses et personne ne supprimera ma nation en empiĂ©tant sur NOTRE volontĂ©. C'est ça ĂȘtre pour son pays, ce n'est pas celle de se dire que plus le progrĂšs est lent, plus les gens seront heureux car comme tout en ce monde, rien n'est statique, tout Ă©volue.