Je me balade dans la capitale, l’esprit ailleurs. Je flâne, je fouine, je fouille.
Il est encore tôt, peu de gens sont dans les rues. Paris s’éveille doucement.
J’apprécie ce moment de la journée.
Des travailleurs pas tout à fait réveillés déambulent.
Les boulangeries et les cafés commencent à ouvrir leurs devantures.
Une odeur particulière se repand dans la rue et se mélange aux autres, cette odeur du matin, savant mélange entre le pain, le café, la poussière et la fatigue.
Je me sens envahi d’une étrange melancolie.
Je jette un coup d’œil à ma montre et m’installe à la terrasse d’un café.
Dans quelque minute, je rencontre mon assassin.
Quelques coup d’œil à l’heure et un café plus tard, un homme arrive. Je me lève pour l’accueillir.
”- Bonjour.
-Bonjour.
- Est-ce vous ?
- Oui.
Je le laisse s’installer.
- Qu’allez vous prendre ?
- Comme vous, s’il vous plaît.
J’interpelle un serveur.
- Garçon ! Deux cafés et une corbeille de croissants.”
Il acquiesce et revient rapidement avec notre commande.
Je me met à parler de tout et de rien avec cet inconnu dont j’ignore tout.
Je fini par apprendre qu’il est le genre de personnnes à travailler dans un bureau douze heures par jours pour un chef tyrannique.
Il vit dans un appartement dans le 19e arrondissement, qui, sans être luxueux, lui apporte le confort nécessaire. Il mène une vie simple dont il est bien satisfait, sans femme ni enfant.
Je me dévoile aussi.
Je lui parle de mon métier, ou plutôt de mes métiers. Je suis journaliste, un métier qui rest plaisant tant qu’on ne s’approche pas d’autre chose que de la culture.
Je suis aussi écrivain, à mes heures perdues. J’ai publié quelques œuvres, dont une adapté en bande dessinée. Rien qui n’ait été un réel best seller, mais dont je suis assez fier tout de même.
J’aborde mon couple qui bat de l’aile. Tout ce genre de chose.
Je fini par sortir une douzaine de lettre de ma poche. La véritable raison de notre rencontre.
Sur la première, ne sont écrits que quatre mots, au centre de la page.
”Je suis votre assassin”
Je le fixe, impatient. Je vais enfin avoir des réponses. Peut-être aussi une mort certaine.
Mais ce n’est plus un problème.
Il est encore tôt, peu de gens sont dans les rues. Paris s’éveille doucement.
J’apprécie ce moment de la journée.
Des travailleurs pas tout à fait réveillés déambulent.
Les boulangeries et les cafés commencent à ouvrir leurs devantures.
Une odeur particulière se repand dans la rue et se mélange aux autres, cette odeur du matin, savant mélange entre le pain, le café, la poussière et la fatigue.
Je me sens envahi d’une étrange melancolie.
Je jette un coup d’œil à ma montre et m’installe à la terrasse d’un café.
Dans quelque minute, je rencontre mon assassin.
Quelques coup d’œil à l’heure et un café plus tard, un homme arrive. Je me lève pour l’accueillir.
”- Bonjour.
-Bonjour.
- Est-ce vous ?
- Oui.
Je le laisse s’installer.
- Qu’allez vous prendre ?
- Comme vous, s’il vous plaît.
J’interpelle un serveur.
- Garçon ! Deux cafés et une corbeille de croissants.”
Il acquiesce et revient rapidement avec notre commande.
Je me met à parler de tout et de rien avec cet inconnu dont j’ignore tout.
Je fini par apprendre qu’il est le genre de personnnes à travailler dans un bureau douze heures par jours pour un chef tyrannique.
Il vit dans un appartement dans le 19e arrondissement, qui, sans être luxueux, lui apporte le confort nécessaire. Il mène une vie simple dont il est bien satisfait, sans femme ni enfant.
Je me dévoile aussi.
Je lui parle de mon métier, ou plutôt de mes métiers. Je suis journaliste, un métier qui rest plaisant tant qu’on ne s’approche pas d’autre chose que de la culture.
Je suis aussi écrivain, à mes heures perdues. J’ai publié quelques œuvres, dont une adapté en bande dessinée. Rien qui n’ait été un réel best seller, mais dont je suis assez fier tout de même.
J’aborde mon couple qui bat de l’aile. Tout ce genre de chose.
Je fini par sortir une douzaine de lettre de ma poche. La véritable raison de notre rencontre.
Sur la première, ne sont écrits que quatre mots, au centre de la page.
”Je suis votre assassin”
Je le fixe, impatient. Je vais enfin avoir des réponses. Peut-être aussi une mort certaine.
Mais ce n’est plus un problème.