R
Anonyme
En résumé une agression sexuelle reste une agression sexuelle ! Quel que soit ce qui se passe dans la tête de la victime.
Et c'est au psychothérapeute de remettre de l'ordre dans la tête de la victime car elle peut avoir un sentiment de culpabilité par rapport à ce que son corps a pu ressentir.
Nier ce fait n'est pas aidé la victime d'un viol.
Je pense que si on dit à Lily "ah tu ne peux pas ressentir de plaisir sexuel durant un viol " c'est embrouillé son esprit pour rien, elle a le statut de victime et je vois bien qu'il y a en elle un sentiment de culpabilité par rapport à ce que son corps a pu ressentir à la fin.
Et c'est au psychothérapeute de remettre de l'ordre dans la tête de la victime car elle peut avoir un sentiment de culpabilité par rapport à ce que son corps a pu ressentir.
Nier ce fait n'est pas aidé la victime d'un viol.
Je pense que si on dit à Lily "ah tu ne peux pas ressentir de plaisir sexuel durant un viol " c'est embrouillé son esprit pour rien, elle a le statut de victime et je vois bien qu'il y a en elle un sentiment de culpabilité par rapport à ce que son corps a pu ressentir à la fin.