Classiques Publier des belles phrases et citations

Y
Yurdernan
Anonyme
Bonjour,

Si, après soixante-dix ans, vous dites n'importe quoi, deux hypothèses : à la retraite, vous ressentez les premières atteintes du gâtisme ; en activité médiatique, vous bénéficiez des dernières flambées de la jeunesse

Bonne journée
 
Y
Yurdernan
Anonyme
Bonjour,

C'est bien le pire chez les femmes, elles veulent toujours que nous soyons parfaits. Et si nous sommes parfaits lorsqu'elles font notre connaissance, elles ne nous apprécient pas du tout. Ce qu'elles aiment, c'est nous trouver horriblement imparfaits et nous quitter si parfaits que nous en avons perdu tout attrait.

Bonne journée
 
Y
Yurdernan
Anonyme
Bonjour,

Quel effrayant lointain, quelle vaste étendue !
Toujours le ciel et l'eau, rien qui fixe la vue !
Ô sublime Océan, roi plein de majesté,
Tu portes l'infini dans ton immensité.

Couché tranquillement au bord de ton rivage,
Je compte tous les flots qui meurent sur la plage ;
L'un sur l'autre monté, chacun vient tour à tour
À ce rivage heureux témoigner son amour.

Le plus petit galet sert de borne puissante
À la vague agitée, à la masse imposante.
Profonde et vaste mer tes limites sont là ;
Quand Dieu forma tes eaux c'est ainsi qu'il parla.

Et toi qui nous confonds, toi qui dans la tempête
Parais un monstre horrible, et qu'aucun frein n'arrête,
Qui brises le vaisseau, ce chef-d’œuvre mortel,
Et l'engloutis au fond de ton gouffre cruel,

La loi du Tout-Puissant, loi juste, inviolable
Te contraint de céder devant un grain de sable !
De tes vagues sans fin les battements égaux,
Ce sourd bruissement, ce frôlement des eaux,

Jettent dans tout mon être une molle tristesse ;
Et sur le sable uni que ton onde caresse,
Sans songer au gros temps qui me ferait frémir,
Involontairement je me laisse endormir.

Bonne journée
 
Diane88
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Femme
Bonjour,

Quel effrayant lointain, quelle vaste étendue !
Toujours le ciel et l'eau, rien qui fixe la vue !
Ô sublime Océan, roi plein de majesté,
Tu portes l'infini dans ton immensité.

Couché tranquillement au bord de ton rivage,
Je compte tous les flots qui meurent sur la plage ;
L'un sur l'autre monté, chacun vient tour à tour
À ce rivage heureux témoigner son amour.

Le plus petit galet sert de borne puissante
À la vague agitée, à la masse imposante.
Profonde et vaste mer tes limites sont là ;
Quand Dieu forma tes eaux c'est ainsi qu'il parla.

Et toi qui nous confonds, toi qui dans la tempête
Parais un monstre horrible, et qu'aucun frein n'arrête,
Qui brises le vaisseau, ce chef-d’œuvre mortel,
Et l'engloutis au fond de ton gouffre cruel,

La loi du Tout-Puissant, loi juste, inviolable
Te contraint de céder devant un grain de sable !
De tes vagues sans fin les battements égaux,
Ce sourd bruissement, ce frôlement des eaux,

Jettent dans tout mon être une molle tristesse ;
Et sur le sable uni que ton onde caresse,
Sans songer au gros temps qui me ferait frémir,
Involontairement je me laisse endormir.

Bonne journée
Très joli merci 👍
 
Y
Yùtù
Anonyme
On vit seul et on meurt seul👤...
La société nous impose tout un tas de règles pour nous faire oublier ça !
Mais moi je l'oublie pas 🙅🏻.
JE VIS COMME SI IL N'Y AVAIT PAS DE LENDEMAIN ❌💀!!!!
Car je sais la vérité et je sais que tout peut arriver !
 
Diane88
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On vit seul et on meurt seul👤...
La société nous impose tout un tas de règles pour nous faire oublier ça !
Mais moi je l'oublie pas 🙅🏻.
JE VIS COMME SI IL N'Y AVAIT PAS DE LENDEMAIN ❌💀!!!!
Car je sais la vérité et je sais que tout peut arriver !
C est effectivement une façon de voir les choses et surtout très bien de profiter de chaque instant......
Et ça bravo car le rythme nous fait oublier ça...
 
Y
Yurdernan
Anonyme
Bonjour

Notre avenir doit éclore
Au soleil de nos vingt ans !
Aimons et chantons encore ;
La jeunesse n'a qu'un temps.

Cuirassés de patience
Contre le mauvais destin
De courage et d'espérance
Nous pétrissons notre pain.
Notre humeur insoucieuse,
Aux fanfares de nos chants,
Rend la misère joyeuse,
La jeunesse n'a qu'un temps.

Si la maîtresse choisie,
Qui nous aime par hasard,
Fait fleurir la poésie
Aux flammes de son regard,
Lui sachant gré d'être belle,
Sans nous faire de tourments
Aimons-la, — même infidèle...
La jeunesse n'a qu'un temps.

Puisque les plus belles choses,
Les amours et la beauté,
Comme le lis et les roses,
N'ont qu'une saison d'été,
Quand mai tout en fleurs arbore
Le drapeau vert du printemps,
Aimons et chantons encore :
La jeunesse n'a qu'un temps.

Notre avenir doit éclore
Au soleil de nos vingt ans !
Aimons et chantons encore ;
La jeunesse n'a qu'un temps.

Bonne journée
 
Diane88
Passionné
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Femme
Bonjour

Notre avenir doit éclore
Au soleil de nos vingt ans !
Aimons et chantons encore ;
La jeunesse n'a qu'un temps.

Cuirassés de patience
Contre le mauvais destin
De courage et d'espérance
Nous pétrissons notre pain.
Notre humeur insoucieuse,
Aux fanfares de nos chants,
Rend la misère joyeuse,
La jeunesse n'a qu'un temps.

Si la maîtresse choisie,
Qui nous aime par hasard,
Fait fleurir la poésie
Aux flammes de son regard,
Lui sachant gré d'être belle,
Sans nous faire de tourments
Aimons-la, — même infidèle...
La jeunesse n'a qu'un temps.

Puisque les plus belles choses,
Les amours et la beauté,
Comme le lis et les roses,
N'ont qu'une saison d'été,
Quand mai tout en fleurs arbore
Le drapeau vert du printemps,
Aimons et chantons encore :
La jeunesse n'a qu'un temps.

Notre avenir doit éclore
Au soleil de nos vingt ans !
Aimons et chantons encore ;
La jeunesse n'a qu'un temps.

Bonne journée
Très très beau...
 
Y
Yurdernan
Anonyme
Bonjour

L'amour-propre ne connaît que l'objet qu'il chérit, il méprise tous les autres, et il les sacrifierait tous pour lui seul. On pourrait l'appeler le vice des vices.

Bonne journée
 
Y
Yurdernan
Anonyme
Bonjour,

Avant d'avoir ramené la confiance, on aurait beau recourir à tous les systèmes de crédit comme aux expédients les plus révolutionnaires, on ne ferait pas renaître l'abondance là où la crainte et la défiance du lendemain ont produit la stérilité

Bonne journée
 
Y
Yurdernan
Anonyme
Bonjour

Quand je me dis le soir sous mon toit solitaire,
J'ai fait ce jour encor le bien que j'ai pu faire
Mon cœur s'épanouit ; j'éprouve en un tel instant
Une céleste joie, un saint ravissement ;

Et ce plaisir divin souvent se renouvelle ;
Le temps n'en détruit pas le souvenir fidèle,
On en jouit toujours ; et dans l'âge avancé,
Le présent s'embellit des vertus du passé.

Du temps, vous le voyez, j'ai senti les outrages
Déjà mes yeux éteints sont chargés de nuages
Mon corps est affaissé sous le fardeau des ans
Mais, sans glacer mon cœur, l'âge affaiblit mes sens

J'embrasse avec ardeur les plaisirs qu'il me laisse.
De cœurs contents de moi j'entoure ma vieillesse
Je m'occupe, je pense, et j'ai pour volupté
Ce charme que le ciel attache à la bonté.

Bon dimanche
 
Diane88
Passionné
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Genre
Femme
BonjourQuand je me dis le soir sous mon toit solitaire,
J'ai fait ce jour encor le bien que j'ai pu faire
Mon cœur s'épanouit ; j'éprouve en un tel instant
Une céleste joie, un saint ravissement ;Et ce plaisir divin souvent se renouvelle ;
Le temps n'en détruit pas le souvenir fidèle,
On en jouit toujours ; et dans l'âge avancé,
Le présent s'embellit des vertus du passé.Du temps, vous le voyez, j'ai senti les outrages
Déjà mes yeux éteints sont chargés de nuages
Mon corps est affaissé sous le fardeau des ans
Mais, sans glacer mon cœur, l'âge affaiblit mes sensJ'embrasse avec ardeur les plaisirs qu'il me laisse.
De cœurs contents de moi j'entoure ma vieillesse
Je m'occupe, je pense, et j'ai pour volupté
Ce charme que le ciel attache à la bonté.Bon dimanche
Oh merci magnifique...
J'ai toujours apprécié...les rapports au passé
....mon petit...côté nostalgique...😅Bon dimanche
Encore merci Yurdernan de cette jolie poésie quotidienne
👍👍
 
Y
Yurdernan
Anonyme
Bonjour,

L'amour s'irrite par les obstacles tant qu'il a l'espoir de les surmonter. Il s'aiguise tant qu'il n'est pas mutuel. L'amour s'affaiblit par l'absence, il tiédit par l'habitude, et meurt enfin de langueur dans les bras de l'ennui qui lui ferme les yeux.

Bonne journée
 
Y
Yurdernan
Anonyme
Bonjour,

L'amour s'irrite par les obstacles tant qu'il a l'espoir de les surmonter. Il s'aiguise tant qu'il n'est pas mutuel. L'amour s'affaiblit par l'absence, il tiédit par l'habitude, et meurt enfin de langueur dans les bras de l'ennui qui lui ferme les yeux.

Bonne journée
 

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