Tout en sachant que je peut bruller dans mon lit
Pourquoi vivre en souffrant si on peut mourir sans souffirir...
- Auteur de la discussion Orion✨️
- Date de début
C'est triste 😭😭😭
Si sa peut faire réfléchir pour ceux qu'il veulle mourir moi je peut dire que ces dur a vivre
Je voudrais déjà te dire que je comprends tout à fait ce que tu vis (du moins ce que tu decris), mais la mort c pas la solution, je vais te paraître un peu c*n a dire ca mais c vrai, c pas la solution pour aller mieux.
Peu etre que tu peu déjà essayer de voir des associations du genre la Maison des Ados (mda), le cmp, le Cente de Soin pour Ados (csa) (peu etre même le planing familial mais jsp trop) etc.. dans ces endroits là c gratuit, et tu peu avoir de l'aide concrète. J'ai été dans ton cas ya pas encore très longtemps (enfin c encore un peu le cas mais ça va mieux, bref), je suis au csa, et franchement depuis que j'y vais je vais mieux, t'y reçoit une vrai aide, pas juste des gens qui vont te dire "oh bah m*rde tu vas pas bien dis donc" ou "la vie est belle blablabla", ça va plutôt vite pour les rdv(enfin pour le csa du moins)
Si tu as besoin de parler vraiment hesite pas a te confier ici, c un forum vraiment bienveillant <3 Et je serais ravi de t'aider si t'as besoin
Dis toi aussi que si tu es venu là c que tu as pas encore totalement perdu espoir car tu cherches encore de l'aide et c important
Je te souhaite plein de courage par ce que je sais que c dur ce que tu vis, mais même si ça prends du temps, tu peu toujours aller mieux
Juste un rêve, sous l'eau.
Comme au fond de l'océan, le vide, le silence.
Là où le monde n'a aucun sens,
Là où la vie n'existe plus,
Là où le temps est comme figé.
Je coule.
Je regarde les bulles passer,
Je regarde mon monde brûler,
Je regarde mon âme se briser,
Sans rien dire
Petite perle perdue qui coule,
Feuille tombante qui se noie.
Juste le vide.
Le regard au loin, les pensées qui se perdent...
Ici ce n'est ni l'enfer, ni le paradis.
Ni la vie, ni la mort.
Juste un entre-deux mondes.
Bien au-delà de la vie, loin après la mort, le lieu qui n'existe pas.
Pourtant il est présent, il est bien là.
Il est là en souvenir, comme une pensée lointaine, la où le rêve et la réalité ne forment plus qu'un.
Ce n'est pas un monde existant.
C'est un souvenir oublié de tous.
Comme une flamme invisible,
Juste là, devant nous,
Mais qu'on ne voit pas.
On la cherche, on la trouve, mais elle s'éteint.
Alors la dissociation revient.
Comme au fond de l'océan, le vide, le silence.
Là où le monde n'a aucun sens,
Là où la vie n'existe plus,
Là où le temps est comme figé.
Je coule.
Je regarde les bulles passer,
Je regarde mon monde brûler,
Je regarde mon âme se briser,
Sans rien dire
Petite perle perdue qui coule,
Feuille tombante qui se noie.
Juste le vide.
Le regard au loin, les pensées qui se perdent...
Ici ce n'est ni l'enfer, ni le paradis.
Ni la vie, ni la mort.
Juste un entre-deux mondes.
Bien au-delà de la vie, loin après la mort, le lieu qui n'existe pas.
Pourtant il est présent, il est bien là.
Il est là en souvenir, comme une pensée lointaine, la où le rêve et la réalité ne forment plus qu'un.
Ce n'est pas un monde existant.
C'est un souvenir oublié de tous.
Comme une flamme invisible,
Juste là, devant nous,
Mais qu'on ne voit pas.
On la cherche, on la trouve, mais elle s'éteint.
Alors la dissociation revient.
Rien...
Plus rien dans ton corps, dans ton cœur.
Rien dans ta tête.
Simplement un cri de désespoir,
Un appel à l'aide avant le dernier coup.
Avant le dernier pas, le dernier souffle,
Le dernier mot, la dernière larme...
Plus qu'une seconde à vivre,
Une seconde à penser.
Comme le dernier souvenir :
Celui de la vie et du bonheur.
Une vie passée à souffrir, à mourir.
Une vie réduite à une seconde de souvenirs.
Une vie réduite à une seule larme.
Une seule larme,
Un cri de désespoir,
Un dernier appel à l'aide.
Une seule larme qui coule.
Une seule larme qui tombe sur le sol imprégné de sang.
Le cœur déchiré,
Une vie passée à pleurer.
Une âme abandonnée,
Sans pouvoir reculer.
Le cœur qui éclate en mille gouttes de sang.
Comme une larme perdue au milieu de l'océan.
Car on ne meure pas à quatorze ans.
Plus rien dans ton corps, dans ton cœur.
Rien dans ta tête.
Simplement un cri de désespoir,
Un appel à l'aide avant le dernier coup.
Avant le dernier pas, le dernier souffle,
Le dernier mot, la dernière larme...
Plus qu'une seconde à vivre,
Une seconde à penser.
Comme le dernier souvenir :
Celui de la vie et du bonheur.
Une vie passée à souffrir, à mourir.
Une vie réduite à une seconde de souvenirs.
Une vie réduite à une seule larme.
Une seule larme,
Un cri de désespoir,
Un dernier appel à l'aide.
Une seule larme qui coule.
Une seule larme qui tombe sur le sol imprégné de sang.
Le cœur déchiré,
Une vie passée à pleurer.
Une âme abandonnée,
Sans pouvoir reculer.
Le cœur qui éclate en mille gouttes de sang.
Comme une larme perdue au milieu de l'océan.
Car on ne meure pas à quatorze ans.
C'est magnifique ! ^^
S
Anonyme
C'est très joli ce que tu dis 😊
Pour l'instant je reste dans les fonds marins, mais en prenant ces coquillages inertes comme un nouvel espoir, une nouvelle chance de vivre.
S
Anonyme
Tu fais bien. Prends le temps qu'il faudra pour remonter. Et ne t'inquiète pas de potentielles futures erreurs, il y aura quelqu'un pour t'aider a continuer de remonter 😊
Oh c beau 🥲✨
Prends ton temps, il y a quelques jolis coquillages à contempler en attendant ^^
S
Anonyme
Tu peux les balancer. On ne ne se moquera pas.
Plus un seul mot, plus une seule émotion.
Assis face à la mer, juste à attendre.
Attendre pendant des heures, commes si c'était des secondes.
Attendre dans la tempête et l'orage, sous la pluie et le vent.
Se souvenir de chaque mot, chaque chanson,
Comme si c'était le dernière fois qu'on le voyait.
De chaque bonheur, chaque émotion,
Comme la dernière fois qu'on existait.
Prendre la vie comme un rêve pour oublier la solitude.
Un rêve qui s'envole, comme à chaque habitude.
Oublier d'être seul, oublier l'inquiétude.
Comme une larme versée, une goutte de trop.
Juste sauter des rochers, et couler sous l'eau.
Avec ce ''pourquoi ?'', le dernier de tous les mots.
Assis face à la mer, juste à attendre.
Attendre pendant des heures, commes si c'était des secondes.
Attendre dans la tempête et l'orage, sous la pluie et le vent.
Se souvenir de chaque mot, chaque chanson,
Comme si c'était le dernière fois qu'on le voyait.
De chaque bonheur, chaque émotion,
Comme la dernière fois qu'on existait.
Prendre la vie comme un rêve pour oublier la solitude.
Un rêve qui s'envole, comme à chaque habitude.
Oublier d'être seul, oublier l'inquiétude.
Comme une larme versée, une goutte de trop.
Juste sauter des rochers, et couler sous l'eau.
Avec ce ''pourquoi ?'', le dernier de tous les mots.
Quand je l'ai écrit, j'avais vraiment envie de partir.
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