S
Anonyme
TW ! â ïž IdĂ©es noires, mentions de traumas.
Bon. Euh⊠par oĂč commencer en vrai ? Je crois que je suis en train de rechuter sĂ©vĂšre, dans mes troubles et surtout mes traumas notamment. Pour vous la faire courte, jâai eu un dĂ©but de vie qui puait concrĂštement la m*rde hein. Bref. Le soucis, câest que lĂ mon prochain rdv avec un psy jâen ai pas avant le 19 juin, mais je ne pense pas pouvoir tenir jusque lĂ .
Je pense sincĂšrement que jâen ai marre des gens et surtout des psys qui me mettent tout sur le dos. Quand je parle de mes traumas sâŹxuels, je reçois des commentaires du type : « oh, mais ça va, vous nâavez pas lâair si traumatisĂ©e », « oui mais aussi vous Ă©tiez habillĂ©e comment ? Si vous Ă©tiez en jupe câest Ă©vident que ça se soit passĂ© comme ça », « Bah oui mais mademoiselle câest des garçons Ă lâadolescence quoi ils sont juste en pleine croissance »⊠đ. Jâai le droit Ă des commentaires de « psychiatres » qui sont sensĂ©s mâaider qui me disent : « Vous avez fait une tentative de sUicide et vous vous ĂȘtes ratĂ©e ? Bah ça veut dire que vous vouliez pas rĂ©rpellement mourir hein, sinon vous auriez rĂ©ussi », « Vous ĂȘtes anorexique ? Bah mangez », « Vous vous faites du mal ? Bah arrĂȘtez ».
Et ça je nâen peux plus. Et je suis dĂ©solĂ©e, mais si il y a quelquâun qui rĂ©pond, si câest encore pour me balancer que câest de ma faute ou que je mens (chose que jâentends tous les jours de la part de ma charmante famille đ¶), ce nâest mĂȘme pas la peine de rĂ©pondre. Chaque fois que jâessaie dâaller mieux, je replonge et jâai lâimpression que câest pire que la fois dâavant. Câest bientĂŽt lâĂ©tĂ©, je devrais ĂȘtre contente, mais je nây arrive pas. Je suis perdue.
TW â ïž mention de TS (tentative de sâŠ)
La derniĂšre fois, câĂ©tait quand jâai Ă©tĂ© hospitalisĂ©e. Je me suis ouverte les veines et jâai bien Ă©videmment fini aux urgences. Pourtant, cette fois, je mâĂ©tais vraiment dit que câest bon, je nâallais pas me louper. Pour moi câĂ©tait une honte de mâĂȘtre « ratĂ©e ». Et le « psychiatre » qui mâa vue aprĂšs nâa rien arrangĂ©, puisquâil mâa sorti : « Ah non mais mademoiselle ne faites pas tout un plat pour ça, câest juste une petite coupure », (coupure qui Ă©tait tellement profonde quâil a fallu la recoudre et qui faisait tout mon avant-bras, mais bon). Et maintenant⊠jâai rien Ă dire, je suis juste blasĂ©e. Jâai essayĂ© tellement de fois de faire en sorte que tout sâarrĂȘte, je ne sais mĂȘme plus quelle « mĂ©thode » employer, je⊠je ne sais plus quoi faire. Jâai essayĂ© dâaller mieux, je vous jure. Mais jâai des souvenirs traumatiques qui reviennent en boucle, je fais des cauchemars tous les soirs et je dois gĂ©rer tous mes troubles, mes rĂ©sultats scolaires et les problĂšmes des autres, parce quâil nây a que ça qui mâaide Ă ne pas sombrer, mais au final⊠pff. Jâai des parents⊠bon⊠voilĂ quoi, on va dire que câest un sujet trĂšs sensible. Jâai Ă©tĂ© en foyer Ă cause dâeux, pour vous donner un aperçu de ma vie chez moi. Ma famille ne comprend pas mes troubles et me qualifient mĂȘme de (je cite) : menteuse pahtologique, manipulatrice et psychopathe. Je prĂ©cise que jâai eu des examens pour ça (venant de ma famille, bien sĂ»r đ), mais je nâai rien de tt ça. Je me dis toujours mais⊠comment je peux y arriver en ayant autant de souvenirs horribles ? Que jâai des flash back de ça en PERMANENCE, comment je suis sensĂ©e vivre ? Je ne sais pas.
Bon. Euh⊠par oĂč commencer en vrai ? Je crois que je suis en train de rechuter sĂ©vĂšre, dans mes troubles et surtout mes traumas notamment. Pour vous la faire courte, jâai eu un dĂ©but de vie qui puait concrĂštement la m*rde hein. Bref. Le soucis, câest que lĂ mon prochain rdv avec un psy jâen ai pas avant le 19 juin, mais je ne pense pas pouvoir tenir jusque lĂ .
Je pense sincĂšrement que jâen ai marre des gens et surtout des psys qui me mettent tout sur le dos. Quand je parle de mes traumas sâŹxuels, je reçois des commentaires du type : « oh, mais ça va, vous nâavez pas lâair si traumatisĂ©e », « oui mais aussi vous Ă©tiez habillĂ©e comment ? Si vous Ă©tiez en jupe câest Ă©vident que ça se soit passĂ© comme ça », « Bah oui mais mademoiselle câest des garçons Ă lâadolescence quoi ils sont juste en pleine croissance »⊠đ. Jâai le droit Ă des commentaires de « psychiatres » qui sont sensĂ©s mâaider qui me disent : « Vous avez fait une tentative de sUicide et vous vous ĂȘtes ratĂ©e ? Bah ça veut dire que vous vouliez pas rĂ©rpellement mourir hein, sinon vous auriez rĂ©ussi », « Vous ĂȘtes anorexique ? Bah mangez », « Vous vous faites du mal ? Bah arrĂȘtez ».
Et ça je nâen peux plus. Et je suis dĂ©solĂ©e, mais si il y a quelquâun qui rĂ©pond, si câest encore pour me balancer que câest de ma faute ou que je mens (chose que jâentends tous les jours de la part de ma charmante famille đ¶), ce nâest mĂȘme pas la peine de rĂ©pondre. Chaque fois que jâessaie dâaller mieux, je replonge et jâai lâimpression que câest pire que la fois dâavant. Câest bientĂŽt lâĂ©tĂ©, je devrais ĂȘtre contente, mais je nây arrive pas. Je suis perdue.
TW â ïž mention de TS (tentative de sâŠ)
La derniĂšre fois, câĂ©tait quand jâai Ă©tĂ© hospitalisĂ©e. Je me suis ouverte les veines et jâai bien Ă©videmment fini aux urgences. Pourtant, cette fois, je mâĂ©tais vraiment dit que câest bon, je nâallais pas me louper. Pour moi câĂ©tait une honte de mâĂȘtre « ratĂ©e ». Et le « psychiatre » qui mâa vue aprĂšs nâa rien arrangĂ©, puisquâil mâa sorti : « Ah non mais mademoiselle ne faites pas tout un plat pour ça, câest juste une petite coupure », (coupure qui Ă©tait tellement profonde quâil a fallu la recoudre et qui faisait tout mon avant-bras, mais bon). Et maintenant⊠jâai rien Ă dire, je suis juste blasĂ©e. Jâai essayĂ© tellement de fois de faire en sorte que tout sâarrĂȘte, je ne sais mĂȘme plus quelle « mĂ©thode » employer, je⊠je ne sais plus quoi faire. Jâai essayĂ© dâaller mieux, je vous jure. Mais jâai des souvenirs traumatiques qui reviennent en boucle, je fais des cauchemars tous les soirs et je dois gĂ©rer tous mes troubles, mes rĂ©sultats scolaires et les problĂšmes des autres, parce quâil nây a que ça qui mâaide Ă ne pas sombrer, mais au final⊠pff. Jâai des parents⊠bon⊠voilĂ quoi, on va dire que câest un sujet trĂšs sensible. Jâai Ă©tĂ© en foyer Ă cause dâeux, pour vous donner un aperçu de ma vie chez moi. Ma famille ne comprend pas mes troubles et me qualifient mĂȘme de (je cite) : menteuse pahtologique, manipulatrice et psychopathe. Je prĂ©cise que jâai eu des examens pour ça (venant de ma famille, bien sĂ»r đ), mais je nâai rien de tt ça. Je me dis toujours mais⊠comment je peux y arriver en ayant autant de souvenirs horribles ? Que jâai des flash back de ça en PERMANENCE, comment je suis sensĂ©e vivre ? Je ne sais pas.