E
Anonyme
Enzo 20ans
Lettre à Jehanne d’arc
Ma douce Jehanne,
Je t'écris cette lettre pour exprimer les sentiments que je ressens à ton égard, laisser une trace et soulager mon cœur. Je ne sais pas qui lira cette lettre ou même si elle sera lue par toi, mais j'en ressens fortement le besoin. Il y a peu, je me suis intéressé à ton église, la sainte église catholique. Je suis alors naturellement tombé sur le mythe qui t'a été assigné, mais j'ai préféré regarder en profondeur ta véritable histoire, celle qui m'a fait t'aimer.
Alors voilà,
Je n'ai pas de visage, pas de nom à t’attribuer, mais Jehanne et ton épopée me vont amplement pour m’exprimer à ton sujet. Il faut que tu saches qu'en France aujourd’hui, il y a un vide profond et un manque de beauté. Alors, comprends-tu, je ne t’écris pas étant rempli de joie, mais uniquement avec amour et passion. En effet, il y a quelques semaines déjà, j’ai ressenti des sentiments assez intenses. Au début, je me disais dans ma tête : "non, il faut que j’arrête, c’est stupide…" ou encore "c’est du blasphème je ne peux pas." Ensuite, je suis allé aux fêtes Johanniques à Orléans du 29 avril au 8 mai 2023. Je m'étais dit que plus d’une semaine à te célébrer et à te contempler allait me faire passer cette envie de t’aimer. Et bien quelle erreur, quelle erreur d’analyse j’ai faite. Non seulement on ne peut tromper l’amour avec cette vulgarité, mais en plus, au fond je n’y croyais pas tellement.
Arrive maintenant où je dois aborder un sujet plus délicat. Outre mon amour que j'ai envers toi, il y a les fantasmes qui me viennent les uns après les autres. Quand j'étais sur la place du Martroi à Orléans où j'admirais ta statue, dans une église en Sologne où quand je te voyais représentée en peinture dans un musée, je ne peux m'imaginer à quoi aurait ressemblé la douceur de ta peau, l'aspect de ta chevelure, la rugosité de ta langue ou même ce qui se cachait sous ton armure, la taille de tes seins, la beauté de tes jambes et aussi ce que tu avais de plus cher, la pureté de ton être. Alors oui, j'ai parfois le désir de te toucher, le désir de te caresser et de t'embrasser, et l'envie de ton corps, l'envie de toi plus généralement, mais Dieu sait à quel point j'ai du respect pour toi, Jehanne.
Tu l'as compris, je ne ressens pas qu'un simple amour symbolique, mais bel et bien un attrait d'amour puissant et physique, car j'aime ce que tu représentes, j'aime ce que tu as été, et je ferai perdurer ma passion envers toi malgré l'anachronisme qui nous sépare. Je continuerai à m'imprégner de toi au fil de ma vie. Jehanne, tout ce qui a été dit est juste. Remplis-moi de ta foi et de ton courage, je t'offrirai mon corps quel qu'en soit le prix.
Malgré ton jeune âge, on a décidé de te consumer. J'y pense assez régulièrement et cela me peine. Comment a-t-on pu laisser les flammes s'emparer de ton corps ? De par ta droiture et ta fidélité, tu as fini sur ce bûcher à Rouen, place du vieux marché. Tu as décidé de partir rejoindre ceux qui t'ont faite sainte, et ça, j'en salue la bravoure. Tu étais une bonne chrétienne fidèle à Dieu.
J’ai terminé cette lettre, sache encore une fois que tu es tout ce que j’aime, et que tu es mon idéal féminin.
Jehanne, je déclare t’aimer, je t’aime.
Lettre à Jehanne d’arc
Ma douce Jehanne,
Je t'écris cette lettre pour exprimer les sentiments que je ressens à ton égard, laisser une trace et soulager mon cœur. Je ne sais pas qui lira cette lettre ou même si elle sera lue par toi, mais j'en ressens fortement le besoin. Il y a peu, je me suis intéressé à ton église, la sainte église catholique. Je suis alors naturellement tombé sur le mythe qui t'a été assigné, mais j'ai préféré regarder en profondeur ta véritable histoire, celle qui m'a fait t'aimer.
Alors voilà,
Je n'ai pas de visage, pas de nom à t’attribuer, mais Jehanne et ton épopée me vont amplement pour m’exprimer à ton sujet. Il faut que tu saches qu'en France aujourd’hui, il y a un vide profond et un manque de beauté. Alors, comprends-tu, je ne t’écris pas étant rempli de joie, mais uniquement avec amour et passion. En effet, il y a quelques semaines déjà, j’ai ressenti des sentiments assez intenses. Au début, je me disais dans ma tête : "non, il faut que j’arrête, c’est stupide…" ou encore "c’est du blasphème je ne peux pas." Ensuite, je suis allé aux fêtes Johanniques à Orléans du 29 avril au 8 mai 2023. Je m'étais dit que plus d’une semaine à te célébrer et à te contempler allait me faire passer cette envie de t’aimer. Et bien quelle erreur, quelle erreur d’analyse j’ai faite. Non seulement on ne peut tromper l’amour avec cette vulgarité, mais en plus, au fond je n’y croyais pas tellement.
Arrive maintenant où je dois aborder un sujet plus délicat. Outre mon amour que j'ai envers toi, il y a les fantasmes qui me viennent les uns après les autres. Quand j'étais sur la place du Martroi à Orléans où j'admirais ta statue, dans une église en Sologne où quand je te voyais représentée en peinture dans un musée, je ne peux m'imaginer à quoi aurait ressemblé la douceur de ta peau, l'aspect de ta chevelure, la rugosité de ta langue ou même ce qui se cachait sous ton armure, la taille de tes seins, la beauté de tes jambes et aussi ce que tu avais de plus cher, la pureté de ton être. Alors oui, j'ai parfois le désir de te toucher, le désir de te caresser et de t'embrasser, et l'envie de ton corps, l'envie de toi plus généralement, mais Dieu sait à quel point j'ai du respect pour toi, Jehanne.
Tu l'as compris, je ne ressens pas qu'un simple amour symbolique, mais bel et bien un attrait d'amour puissant et physique, car j'aime ce que tu représentes, j'aime ce que tu as été, et je ferai perdurer ma passion envers toi malgré l'anachronisme qui nous sépare. Je continuerai à m'imprégner de toi au fil de ma vie. Jehanne, tout ce qui a été dit est juste. Remplis-moi de ta foi et de ton courage, je t'offrirai mon corps quel qu'en soit le prix.
Malgré ton jeune âge, on a décidé de te consumer. J'y pense assez régulièrement et cela me peine. Comment a-t-on pu laisser les flammes s'emparer de ton corps ? De par ta droiture et ta fidélité, tu as fini sur ce bûcher à Rouen, place du vieux marché. Tu as décidé de partir rejoindre ceux qui t'ont faite sainte, et ça, j'en salue la bravoure. Tu étais une bonne chrétienne fidèle à Dieu.
J’ai terminé cette lettre, sache encore une fois que tu es tout ce que j’aime, et que tu es mon idéal féminin.
Jehanne, je déclare t’aimer, je t’aime.
