C
Anonyme
Abraham, Moïse, Mohammed ou muhammad ou mehemet, etc. tout comme Jésus, sont des "personnages conceptuels" !
Des fictions !
Il n'existe AUCUNE TRACE de leur existence à l'époque à laquelle ils sont supposés exister, à la différence des autres personnages importants de leur époque.
Ces personnages sont d'ailleurs parés de caractéristiques récupérées chez les demi-dieux des panthéons assyriens, babyloniens, grecs et égyptiens.
C'était une façon pour les fabricant de sectes de faire mousser leur commerce ! De même la charité était le bon filon pour obtenir de l'argent facilement, ou à défaut, des vivres, des objets, des femmes, etc.
Les créateurs de religions sont toujours des manipulateurs qui profitent de la crédulité, de la peur, de la maladie, etc. S'ils sont doués de quelque chose, c'est surtout de l'habileté à baratiner et à menacer le cas échéant (de toutes sortes de malédictions, supplices, maladies, infirmités etc.). Tout cela est très très clair dans les textes, qui sont truffés de menaces, de dangers pour celles etc eux qui ne paient pas, qui ne suivent pas docilement les ordres du baratineur en chef.
Des fictions !
Il n'existe AUCUNE TRACE de leur existence à l'époque à laquelle ils sont supposés exister, à la différence des autres personnages importants de leur époque.
Ces personnages sont d'ailleurs parés de caractéristiques récupérées chez les demi-dieux des panthéons assyriens, babyloniens, grecs et égyptiens.
C'était une façon pour les fabricant de sectes de faire mousser leur commerce ! De même la charité était le bon filon pour obtenir de l'argent facilement, ou à défaut, des vivres, des objets, des femmes, etc.
Les créateurs de religions sont toujours des manipulateurs qui profitent de la crédulité, de la peur, de la maladie, etc. S'ils sont doués de quelque chose, c'est surtout de l'habileté à baratiner et à menacer le cas échéant (de toutes sortes de malédictions, supplices, maladies, infirmités etc.). Tout cela est très très clair dans les textes, qui sont truffés de menaces, de dangers pour celles etc eux qui ne paient pas, qui ne suivent pas docilement les ordres du baratineur en chef.