Oui les molécules que tu généres pendant tes périodes de stress ont besoin d'être évacuées sinon elles vont se fixer ailleurs. (J'ai synthétisé).Bon.....
Comme je vous l'ai dit samedi soir je lui ai dit que je partirai le lendemain, c'était mon idée et je pensais que c'était le mieux pour nous 2.
On en a parlé, on était d'accord.
Seulement au moment de partir, je ne voulais plus partir et je n'espérais qu'une chose, qu'il me retienne ce qu'il n'a pas fait et il a eu raison.
Et là.... beh j'ai été méchante.
Alors il a pleuré donc j'ai pleuré aussi.
Et alors que la panique s'emparait de moi et que j'avais la sensation de manquait d'air, il a trouvé les mots pour me calmer et me rassurer il a même réussi à mettre des mots sur ce que je ressentais alors que j'en étais incapable.
Je suis donc parti hier après-midi honteuse de ce comportement de petite capricieuse mais en même temps soulagée.
Et j'ai passé une très bonne soirée, j'ai dormi comme un bébé et ce matin je savoure la tranquillité de mon petit appartement.
Même si je culpabilise de lui avoir causé du chagrin.
Le seul truc c'est que j'ai vraiment très très mal au dos, c'est probablement dû à tout ça....
Ou l'art de créer les problèmes ou il n'y en a pas....
Quel dilemme pour toi.Ca mouline depuis ce matin.
Pourtant ça allait bien jusque là....
Mais à peine réveiller cette pensée m'a littéralement sauté dessus:
"Il ne m'aime plus, il veut me quitter, ce qui s'est passé, c'est le début de la fin, il commence à mettre de la distance entre nous, il va espacer les rencontre petit à petit sans en avoir l'air et nous finirons par plus nous voir du tout."
Cet homme m'a fait la plus belle déclaration d'amour que j'ai entendu et malgré ça, le négatif l'emporte à nouveau...
J'ai beau essayé de me raccrocher à son visage, son regard, ses larmes et ce qu'il m'a dit, cette pensée ne me quitte pas.
Je me sens ridicule de m'être autant inquiété pour lui, je me dis qu'on est pas au même niveau que je ne lui manque probablement pas qu'il n'est sûrement pas autant investi que moi que le temps avec moi lui parait long et qu'il s'ennuie.
Je repense à toutes ces fois où je lui ai envoyé des "tu me manques" et je me sens nulle.
Je n'ose même plus lui écrire par peur de déranger et l'appeler n'en parlons pas.
Il m'a promis qu'il viendrait samedi, j'ai envie de lui dire de laisser tomber.
Je me dis qu'il m'a surement dit ça pour me consoler parce que je pleurais et que du coup si il vient ça sera parce qu'il se sent obligé et non par envie donc quel intérêt.
Il le sait déjà.Quel dilemme pour toi.
Que cherches tu dans le vie?
Ne peux tu prendre les choses telles qu'elles viennent?
Tu l'aimes, il t'aime. Pourquoi toujours avoir ces pensées négatives.
Tu as peur. Et la peur est mauvaise conseillère. Surtout si tu prends des décisions hatives.
Tu es déçu par lui. Tu en attendez tellement de cette nouvelle relation.
Son manque de libido est peut être aussi à rattacher à tes attentes par trop pressentes.
Tu voulais passer un week-end idyllique et cela ne s'est pas bien passé. Qu'à cela ne tienne. Il y aura d'autre week-end. Parler avec lui. Dis lui ce que tu as sur le cœur. Communique avec cet homme aussi bien que tu le fais sur le forum.
D'autant plus qu'à la base c'était mon idée, c'est moi qui ai voulu partir et sur le moment, j'étais vraiment convaincu que c'était la meilleure chose à faire.En fait d'un côté je le comprend mais d'un autre je me sens rejetée, mise à l'écart, indésirable.
Je ne sais pas, le fait de partir comme ça en plein milieu d'un week end prolongé, 2 jours plus tôt que prévue, faire ma valise, comme si on s'était disputé.
Et ce soulagement qu'il semblait ressentir à me voir partir.
Je me dis qu'on ne s'était pas vue depuis 10 jours qu'on allait pas se revoir pendant une semaine et me supporter 2 jours de plus c'était trop?
Et en même temps je me sens terriblement égoïste de lui en vouloir.
La réponse est en toi.D'autant plus qu'à la base c'était mon idée, c'est moi qui ai voulu partir et sur le moment, j'étais vraiment convaincu que c'était la meilleure chose à faire.
Et au fond de moi, je le pense toujours.
Alors pourquoi si je sais que ce n'est grave ça me blesse autant?
Pourquoi je cherche toujours LE truc négatif?
Pourquoi je n'arrive pas à juste hausser les épaules en me disant, "C'est pas grave quand on se retrouvera ça n'en sera que meilleure"
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