L'horrible "spectacle" cruel et sanglant : la corrida

  • Auteur de la discussion Yasmine213
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M
Membre supprimé 350
Anonyme
n'empeche je me considère de + en + danoise..
En fait jsp -_-, je comprend pas comment on se doonne une nationalité et ce que ca change T_T..
Dans la définition de nation, il y a tout un volet culturel influencée par des traditions, des peuples et ethnie qui par la volonté de vivre ensemble forme une nation qui, avec la formation d'un gouvernement, devient un Etat-nation. Si l'on se donne une nationalité, c'est par culture et mentalité que cela devrait se faire principalement et non pas uniquement par le joli passeport ou carte d'identité. Il y a des différences entre être citoyen d'une nation, adhérer à la culture et la mentalité et avoir les papiers. Je précise que ce n'est pas exhaustif mais à titre d'exemple.

Disons qu'on ne devrait pas parler de nationalité mais plus de mentalité et là il y a des différences drastiques entre les peuples pour plein de raison comme de manière générale le niveau de vie, la culture, le système politique et l'économie, les libertés et propagande etc. Plein de critère entre en compte mais disons que nationalité reste normalement un terme fort qui a perdu beaucoup de sa valeur avec le temps et principalement par manque de connaissance d'autrui et l'utilisation de stéréotype par la désinformation.

Bref, je pourrais donner des cours comme ça mdr 😂 Et désolé si je ne suis pas compréhensible pour ceux qui ne parlent pas le français de langue maternelle ;-;'
 
M
Membre supprimé 350
Anonyme
Je trouve ca horrible que des gens aiment regardé ca, ou meme qu'il sois d'accord que des gens pratiquent ce sport:eek::eek: c'est honteux ca ne devrait pas exister!
L'excuse habituelle que les adeptes sortiront c'est "C'est la tradition". L'esclavage devrait aussi être une tradition dis donc alors 🙃 #ironie
 
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Dans la définition de nation, il y a tout un volet culturel influencée par des traditions, des peuples et ethnie qui par la volonté de vivre ensemble forme une nation qui, avec la formation d'un gouvernement, devient un Etat-nation. Si l'on se donne une nationalité, c'est par culture et mentalité que cela devrait se faire principalement et non pas uniquement par le joli passeport ou carte d'identité. Il y a des différences entre être citoyen d'une nation, adhérer à la culture et la mentalité et avoir les papiers. Je précise que ce n'est pas exhaustif mais à titre d'exemple.

Disons qu'on ne devrait pas parler de nationalité mais plus de mentalité et là il y a des différences drastiques entre les peuples pour plein de raison comme de manière générale le niveau de vie, la culture, le système politique et l'économie, les libertés et propagande etc. Plein de critère entre en compte mais disons que nationalité reste normalement un terme fort qui a perdu beaucoup de sa valeur avec le temps et principalement par manque de connaissance d'autrui et l'utilisation de stéréotype par la désinformation.

Bref, je pourrais donner des cours comme ça mdr 😂 Et désolé si je ne suis pas compréhensible pour ceux qui ne parlent pas le français de langue maternelle ;-;'
wow merci! j'avais jamais vu les choses de cet angle la! Effectivement, la mentalité française et la mentalité danoise sont complétement différente!
 
Marco2
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Vous devez certainement connaitre l'horrible corrida, ce "spectacle" cruel et sanglant. Voici un texte qui décrit la corrida, étape par étape, que j'ai trouvé :

Le « spectacle »​

L'horrible "spectacle" cruel et sanglant : la corrida

L’anatomie d’un combat joué d’avance​

Les « festivités » commencent aux sons d’une réjouissante fanfare de foire. Les toreros ouvrent le bal en défilant crânement dans les arènes. Le premier taureau est ensuite poussé dans l’antre de la mort… C’est parti pour vingt minutes d’épouvante ! Vingt minutes « seulement » car passé ce délai, le taureau comprend que ce n’est pas de l’étoffe rouge que vient le danger mais de l’homme… et cela pourrait donc devenir réellement dangereux pour les bourreaux !
Une fois l’animal sorti du toril, les peones agitent leurs capes pour le provoquer de loin et se réfugient très vite derrière les barrières. Ils font alors suffisamment courir l’animal pour l’essouffler, le désorienter et le fatiguer. Il arrive que les taureaux entrent dans l’arène déjà tellement affaiblis qu’ils tombent avant même le début de la séance de torture…
Commence alors le fameux cérémonial qui se veut « traditionnel et innocent ».

Premier acte : LE TERCIO DE PIQUE​

L'horrible "spectacle" cruel et sanglant : la corrida
Il s’agit d’un affaiblissement préalable. Cette tâche incombe à deux picadors. Ils entrent alors en piste armés de longues piques, les puyas. Plus ou moins meurtrier, les coups de pique doivent être précis :
  • plantés entre la quatrième et la septième vertèbre dorsale, ils coupent les muscles releveurs et extenseurs du cou,
  • entre les quatrième et sixième vertèbre cervicale, ils sectionnent les ligaments de la nuque.
A chaque poussée du taureau, la pique s’enfonce un peu plus, jusqu’à 20 cm grâce à un mouvement de vissage. Cela s’appelle « travailler le taureau ». Six à huit fois successivement, la pique fouille, s’enfonce dans le dos de l’animal.
Pour le torero, les avantages tirés d’un « travail bien fait » sont énormes. En effet, le taureau ne peut plus bouger la tête et la garde baissée lors des différentes passes et démonstrations.
  • Tout danger, ou presque, est écarté.
  • Un effet de fausse « bravoure » est donné par l’impression que le taureau va charger à tout moment.
Cette première torture est également appelée par les puristes le « châtiment ». Nous n’avons pas encore pu établir de quel crime il doit être puni…
À l’issue du premier acte, l’animal est dit « toréable ».

Deuxième acte : LE TERCIO DE BANDERILLES​

Cette étape est généralement présentée comme un simple jeu consistant à planter des accessoires sur le dos du taureau.
Communément appelés banderilles, ces accessoires sont en réalité des harpons de 5 voire 6 centimètres de long, ornés de fleurs multicolores qui détournent l’attention du public.
L'horrible "spectacle" cruel et sanglant : la corrida
Photo Roger Lahana
Le but inavouable de ce « jeu » est de faire évacuer le sang de l’animal pour l’empêcher d’avoir une hémorragie interne suite au « travail » du picador. On s’assure ainsi que le taureau ne flanchera pas avant la fin du spectacle.
Le taureau reçoit ainsi trois paires de banderilles, suscitant l’admiration d’un public tellement ébloui par les couleurs vives des accessoires et par le costume de lumière de l’acteur qu’il arrive à occulter la triste réalité.
Nous avons donc : un bourreau burlesque, une victime désignée d’office et un public manipulé !
Tous les ingrédients sont réunis pour jouer un numéro de prestidigitation machiavélique, doué d’une perversité peu commune.

Troisième acte : LE TERCIO DE MORT​

Il a lieu dans la grande majorité des corridas : corridas dites « espagnoles ». Les peones font à nouveau exécuter plusieurs passes au taureau. Ils stimulent encore un peu l’animal épuisé.
Le matador entre alors en scène. Vêtu de son collant et de sa veste lumineuse, il attire les regards. Gigotant dans des postures qui se veulent esthétiques, il hypnotise souvent les femmes par ses exhibitions presque indécentes.
Le dernier numéro de prestidigitation peut alors commencer.
Le matador attire et dirige les charges du taureau à l’aide de son étoffe rouge, ridiculisant et humiliant un peu plus ce pauvre animal à bout de forces.
Il lui fera ensuite baisser « docilement » la tête afin de planter son épée dans un garrot déjà ensanglanté.
La mort apparaît alors comme une délivrance… et le matador – tueur en espagnol – comme un sauveur !
L'horrible "spectacle" cruel et sanglant : la corrida
Photo Jean-Marc Montegnies – Animaux en Péril
Mais souvent, l’arme est mal plantée. Elle peut sortir par les flancs ou transpercer un poumon. La victime semble alors vomir son sang et meurt asphyxiée par une hémorragie interne. Quand le premier coup d’épée ne tue pas assez vite, un peon se glisse derrière le supplicié et d’un geste vif, retire l’épée. Il la rend alors au matador qui recommencera la mise à mort. Il arrive que les taureaux reçoivent ainsi six à sept coups d’épée, voire plus !
L'horrible "spectacle" cruel et sanglant : la corrida
Lorsque le taureau a « l’indécence » de ne pas tomber, ce qui arrive environ une fois sur trois, le tueur achève sa triste besogne à l’aide d’une épée spécifique, le descabello, plantée entre les deux cornes, pour lacérer le cerveau…
L'horrible "spectacle" cruel et sanglant : la corrida
Photo Jérôme Lescure
Dans tous les cas, un coup de grâce est donné à la nuque. Un « courageux » peon s’approchera du taureau à terre et lui plantera un poignard, appelé puntilla, dans la nuque pour sectionner la moelle épinière. Ce geste peut lui aussi en cas d’échec être répété plusieurs fois.
Le taureau bougera ses pattes sous la douleur insoutenable, il urinera de frayeur et son corps, luttant contre la mort, sera secoué de spasmes déchirants, puis sombrera peu à peu. Un cas sur trois, après la puntilla, le taureau est toujours vivant.
Une musique de cirque accompagne alors les clameurs sordides de ce carnaval dérisoire.
Et, tandis qu’une pluie de fleurs honore le matador, un attelage traîne le corps du taureau comme une épave hors de la vue du public dupé…
L'horrible "spectacle" cruel et sanglant : la corrida

Souvent encore en vie, il sera emmené au toril et agonisera seul… avant de finir à la boucherie. Pour l’un c’est la gloire, pour l’autre la mort dans l’indifférence…
Les valets de piste effacent, au râteau, les traces de sang sur le sable.
L'horrible "spectacle" cruel et sanglant : la corrida
Photo Roger Lahana
On peut alors ouvrir la porte du toril… à la victime suivante. Ils seront six à être sacrifiés ce jour là au nom d’une tradition validée par l’indifférence d’une société laxiste…
D’après le travail de Delphine SIMON et Jérôme LESCURE : « A la mémoire du deuxième taureau de Châteaurenard, dont le regard a croisé le nôtre, et à la mémoire de tous ses frères massacrés dans les arènes… »
:mad: p***ain ! quand je pense qu' il y à des Connards pour dire que les Corridas sont de la culture !!!!!!
;) Ben ! moi je préfère être inculte !!!!!!
(n)
 
Y
Yasmine213
Anonyme

L’avant corrida​

La présélection​

Les éleveurs recherchent les « sujets chez qui le goût du combat est le plus développé » disent-ils. Toreros et éleveurs se fixent sur un faisceau d’indices qui constituent « l’apparence globale du taureau ». Les parents du futur « combattant » doivent être sélectionnés, puis il faut « conserver et développer chez le produit » :
  • Sa « bravoure », qualité qui pousse le taureau à charger la tête en bas. Cette caractéristique est importante car si l’animal chargeait avec la tête haute, voire à mi-hauteur, il rendrait la tâche du torero plus difficile.
  • Sa construction physique, qui est primordiale pour que le taureau ait plus de facilité à mettre la tête en bas. Il doit posséder :
    – Un garrot plus bas que l’arrière train.
    – Un long cou : plus il est court, moins il lui permet de suivre, tout près du sol, le leurre que lui propose le torero.
Le recours à des croisements entre parents rapprochés, permet de conserver la qualité voulue, au risque, avec la consanguinité qui en découle, de tomber dans des « problèmes de faiblesse ». Par sélection génétique, les éleveurs, arrivent à produire des taureaux moins dangereux qui chargent les tissus rouges et non les hommes.
« Il suffit d’interposer un objet entre le taureau et sa proie pour que celui-ci délaisse la proie pour l’objet et le suive ». Ce sont eux qui le disent !

La préparation au combat​

Avant le combat, le taureau est parfois préparé. Diverses parties du corps de l’animal peuvent être affaiblies. Il arrive fréquemment que ses cornes soient sciées de quelques centimètres, ce qui est aussi douloureux que de tailler des dents à vif pour un être humain et qui, de plus, fait perdre au taureau ses repères spatiaux (voir plus bas). D’autres pratiques tout aussi scandaleuses et souvent frauduleuses peuvent exister dans le but d’affaiblir l’animal avant son entrée dans l’arène.
L’usage en dose massive de sédatifs ou d’anti-inflammatoires (dans le but de faire mieux résister le taureau à la douleur qu’il va devoir subir) a également été dénoncée par des vétérinaires d’arènes, sans qu’il soit possible de savoir à quelle fréquence ces tricheries sont utilisées.
Maintenant… le « spectacle » peut enfin commencer.

Le transport​

Les taureaux sont ensuite transportés vers les villes taurines. C’est une épreuve douloureuse. Arrachés à leur milieu naturel, ces animaux sont enfermés dans des caissons de contention en bois mesurant moins de 2 m2. Les trajets depuis le Sud de l’Espagne peuvent durer plusieurs jours et les bêtes n’ont aucune possibilité de bouger. Il arrive même qu’on leur fasse passer le trajet sur un plan incliné. Au-delà de la fatigue qui en résulte, elles ne reçoivent ni eau, ni nourriture.
Les transports ayant essentiellement lieu en saison estivale, certains animaux entassés perdent jusqu’à 30 kg dans les camions surchauffés. En 2001, plusieurs taureaux déshydratés ont été retrouvés sans vie dans ces camions de la mort. Certains seront retrouvés morts asphyxiés.
Arrivés aux arènes, les taureaux seront ensuite sortis à coup de jet d’eau, de bâton, d’injures, comme ils ont été embarqués, avec la même délicatesse.
Et le calvaire ne fait que commencer…

L’Afeitado​

L'horrible "spectacle" cruel et sanglant : la corrida
Photo Jérôme Lescure
Il s’agit d’une pratique consistant à scier à vif plusieurs centimètres au bout de chaque corne, l’opération étant ensuite camouflée avec de la résine et du vernis pour que les cornes aient l’air intactes. Cette mutilation répond à un triple but :
– infliger une souffrance additionnelle au taureau (les cornes sont innervées et la douleur est comparable à celle d’une dent humaine qui subirait la même chose), ce qui va bien entendu augmenter sa détresse juste avant de devoir faire face au choc de se retrouver dans une arène close dont il ne peut s’échapper,
– désorienter le taureau, qui a une image mentale précise de la longueur de ses cornes avant mutilation et qui donc va manquer de toucher ses tortionnaires quand il tente de les encorner,
– réduire le risque pour le torero d’être blessé ; le taureau ayant très mal aux cornes, il va hésiter à s’en servir pour repousser ses agresseurs.
Cette déloyauté a donc pour but de désarmer l’animal. En effet, il ne dispose généralement pas d’un délai suffisant pour prendre connaissance de la nouvelle longueur de ses cornes et ainsi adapter son coup de tête.
Après la scie et le marteau, les cornes sont reconstituées plus courtes avec de la résine synthétique, elle seront râpées, poncées, pour être ensuite vernies. Il n’est pas rare de voir des cornes trafiquées éclater lorsque le taureau heurte les balustrades.
« A deux mètres du taureau, ses cornes conservent tout leur aigu. Vues de très prés, comme seul le torero les voit, leurs extrémités présentent un aspect légèrement arrondi. Cette pratique a des effets psychosomatiques sur le mental des toreros qui en sont friands ». Ils réclament généralement tous l’afeitado.
C’est dans une bulle papale que l’on trouve l’origine de l’afeitado. L’église interdisait la corrida sous prétexte qu’un noble chrétien ne pouvait accepter de risquer gratuitement sa vie ailleurs qu’en combattant l’Infidèle. Sous la pression des souverains espagnols et portugais, Grégoire XIII, transigea et autorisa les corridas à la condition que tout danger mortel en soit exclu, c’est à dire en coupant les cornes ! De nos jours, l’Eglise n’a plus rien à voir à l’affaire. Pourtant l’afeitado persiste.
Si l’afeitado est « encore plus répandu qu’on veut bien le dire », il est beaucoup moins flagrant que ce l’on prétend. Tout à fait invisible à l’œil nu et indécelable de façon infaillible à l’analyse, cette mutilation « a cours même dans les plus grandes arènes espagnoles ».
« Enveloppé dans un immense suaire d’hypocrisie, le règlement de l’affaire est régulièrement renvoyé aux calendes grecques dès que la question est abordée dans les instances de régulation du spectacle taurin, qu’elles soient françaises ou espagnoles. Il n’est pourtant qu’une question d’argent ».
Durant la contention dans la boîte à treuil, les sabots peuvent également être limés, voire incisés. Des coins de bois seront alors enfoncé entre les onglons. Cette opération déstabilisera fortement l’animal qui aura du mal à rester tranquille.
Sources (pour partie) et citations issues du site Terres taurines

L’alimentation​

Avant l’arrivée des élevages spécialisés, le taureau, à l’état sauvage, était un animal puissant, imbattable et pesant plus de 600 kg. Difficile à combattre… Dès 1890, les premiers élevages font fortune en produisant une race de taureaux plus petits, moins rapides et ne pesant plus que 400 kg.
En France, on tente par de savants dosages de répondre à l’attente de toutes les catégories de public, des toreros vedettes et de l’afición. Se distinguent l’aficionado torista, amateurs de gros toros, et l’aficionado torerista, pour qui l’essentiel est le torero et qui « ne juge plus nécessaire de le – le taureau – surcharger artificiellement de kilos ».
A l’alimentation naturelle des pâturages est donc souvent substituée une alimentation abondante à base d’aliments composés : un ou deux kilos quotidiens d’un complément alimentaire riche en protéines auquel sont adjoint vitamines à haute dose, minéraux et même anabolisants (ce qui est totalement illégal). Cette alimentation artificielle au « pienso compuesto » donne des taureaux obèses, impressionnants, mais à mobilité restreinte, trop gras pour être réellement dangereux.
On passe donc de la caste adoucie répondant à la demande d’un marché dominé par quelques «toreros conformistes», au «zeste de piquant intermédiaire entre un taureau soumis et un auroch intolérable». Le torero Belmonte, en son temps, obtint que l’âge des taureaux qu’il combattait soit abaissé de cinq à quatre ans. Manolete, profitant de l’après-guerre, tuait des novillos de trois ans. A sa suite, les toreros des années cinquante et soixante, Dominguín, Ordoñez, El Cordobes… s’habituèrent à ce taureau âgé de trois ans et demi, voire quatre, «le plus souvent afeité, parfois même de façon honteuse» disent-ils.

L’apprentissage des combats​

La « bravoure » du taureau doit être vérifiée afin d’éviter la dégénérescence, appauvrissement irréversible qui menace les lignées trop pures. L’apprentissage des combats commence donc très tôt. On fait subir aux bêtes une série de test cruels dans les arènes afin de sélectionner les futurs reproducteurs, géniteurs des « glorieux combattants ».
Si ils ont « une attitude défensive satisfaisante », ils seront sélectionnées. Dans le cas contraire, ils prendront le chemin de l’abattoir ou celui des autres activités taurines traditionnelles… Les plus faibles serviront de cobayes aux apprentis torero et matadors afin qu’ils se fassent la main.
« Le taureau doit arriver dans l’arène vierge de toute expérience de lutte contre l’homme. Dans le cas contraire, son intelligence du combat mise au service de sa puissance rendrait tout affrontement suicidaire pour le torero pourtant formé et entraîné ». Encore une fois, ce sont eux qui parlent…
En complément, une vidéo tournée dans une école de tauromachie montre à quel point le veau ou le taureau ne montrent aucune agressivité dès lors que les humains qu’ils vont croiser dans l’arène restent tout simplement immobiles.

L’élevage​

Contrairement à l’idée faussement répandue qui veut que pour le taureau dit « de combat » le bonheur soit dans le pré, dès son plus jeune âge, il doit subir les traitements qui incombent à son rang :
  • Le sevrage et les bâtons dans le nez pour l’empêcher de téter…
  • Les marquages au fer rouge qui, s’ils sont perpétrés depuis la nuit des temps, n’ont rien d’une partie de plaisir pour l’animal !
  • Les marquages aux oreilles qui sont parfois découpées à vif au couteau.
Les taureaux peuvent également être soumis à un « exercice quotidien de marche forcée afin de les endurcir ».
 
Y
Yasmine213
Anonyme
Répondez sincèrement : pour vous, la corrida c'est bien ou non ? Pour moi ce n'est pas bien.
 
M
Membre supprimé 932
Anonyme
OUI un grand OUI !!! C'est ton magnifique spectacle culturel et plein de couleurs
 
Y
Yasmine213
Anonyme
Un "spectacle" sanglant et monstrueux plutôt, c'est une horreur cette chose.
 
D
Daisy
Anonyme
Répondez sincèrement : pour vous, la corrida c'est bien ou non ? Pour moi ce n'est pas bien.
Non ce n'est pas bien, faire souffrir un animal pour le plaisir d'humains n'est jamais bien, c'est juste cruel et immorale.
 
Y
Yasmine213
Anonyme
Surtout c'est lâche, parceque l'animal ne peut pas se défendre.
 

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