Le piano

  • Auteur de la discussion Bambi-sauvage
  • Date de début
Salut !
J'ai fait un petit texte ce soir.
Comme une personne m'a déjà reprochée d'écrire beaucoup de "belles phrases" sans forcément avoir de sens dans mes textes je ferais un petit paragraphe explicatif sur les phrases qui sont peu être un peu trop abstraites 😊👍.
Pour moi chacune de ses phrases à un sens précit.
Je m'excuse d'avance pour les fautes, merci


Quand je me détache de la raison.
Que la mélancolie me prend
Je m'assois sur ce tabouret de vieux cuire cracelé par les années
Et je pose délicatement mes mains sur le clavier froid.
Je laisse tomber ma tête en arrière
Et doucement mes doigts commencent à glisser et rebondir sur les touches du piano
Chaque note me transperce, elles s'enchènent et la musqiue s'intensifie doucement accompagnée de mon pied lourd et lent sur la pédale tonale.
Mes doigts arpentent ces touches déjà usées par mes mille passages.
Les notes s'entremêlent et la douce mélodie hésitante devient le chaos de mon esprit.
Le piano vibre, mes doigts tombent plus fort, les larmes me viennent et mon pied appuis de plus en plus fort sur la pédale tonal.
Je m'enfonce dans cet état second.
Mais doigts chantent seuls, mes yeux se ferment et mon esprit crit ce sentiment d'injustice.
Puis le chaos laisse place à une mélodie douce et mélancolique et les souvenirs resurgissent comme pour apporter des preuves.
Je m'énerve.
Je sens en moi cette haine monter
Et le piano rugit pour moi.
Il joue chaque notes qu'autre fois j'aurais oublié.
Lui qui auras su m'écouter pendant toutes ces années.
Il est plus qu'un simple instrument.
Il fait partie de moi et je fait partie de lui.
Mais doigts faiblissent.
Ils glissent sur le clavier mouillé par mes efforts.
Et ils oublient laborieusement des notes.
En trainant avec leur lacunes ce sentiment d'impuissance.
Mon pied maintenant loin de la pédale marque le rithme de ses notes claires et stridentes qui déchirent avec mal le silence bien plus présent.
Mes yeux souvrent.
Mes larmes sèchent.
Et je me jette en avant en levant les doigts du clavier ruisselant comme pour arrêter ce qui me semble maintenant être un désastre.
Cette chose me revien.
Ce semblant de raison et les barreaux de la cage.
Cette image que se doit d'avoir chaque personne civilisée.
Qui m'enferme dans cette brison de marbre qu'est le silence.


Dans "Et le piano rugit pour moi.
Il joue chaque notes qu'autre fois j'aurais oublié.
Lui qui auras su m'écouter pendant toutes ces années.
Il est plus qu'un simple instrument.
Il fait partie de moi et je fait partie de lui."

J'essaye de dire que le piano me complète, il est comme la voix qui me permet de m'exprimer librement et moi je suis là pour lui dire que dire.
J'essaye aussi de dire que j'évolue avec lui car ces petites "séances d'improvisation" me laisse pas idem.

Dans "Et ils oublient laborieusement des notes.
En trainant avec leur lacunes ce sentiment d'impuissance."

J'essaye de montrer la raison qui revient doucement pour casser ce rêve.
Les lacunes symbolisants le raisonement écourté par les pensés tel que "de tout façon je peux rien faire..."

Dans "Et je me jette en avant en levant les doigts du clavier ruisselant comme pour arrêter ce qui me semble maintenant être un désastre.
Cette chose me revien.
Ce semblant de raison et les barreaux de la cage.
Cette image que se doit d'avoir chaque personne civilisée.
Qui m'enferme dans cette brison de marbre qu'est le silence."

J'essaye de montrer la limite qui s'impose et qui m'eprisonne dans le silence.


Voilà je croit que c'est tout pour les phrase potentiellement abstraites.
Dites moi si un truc vous échappe.
Merci de m'avoir lut et excusez moi encore pour les fautes
 
B
Bambi-sauvage
Anonyme
Voici les deux musiques :
Naval
De Yann Tiersen
Pour le piano

juli,Juli
De dirk Maassen
Poir l'éclaire
 
B
Bambi-sauvage
Anonyme
Ce texte est inutile
Et ce que tu viens d'écrire aussi.
Il y a bien des chauses que je déteste chez les autre mais le pire c'est quand une personne refuse de réfléchir.
Je n'arrive même pas a concevoir le fait qu'un être vivant puis-ce être assez idiot pour "oublier" de penser.
J'ai mille raisons ou preuves appel ça comme tu veux que ce que j'écrit cert à quelques chose ( a l'echelle humaine ), par exemple grace à ce texte qui est d'abord une idée, une réfléxion j'apprend à pousser mes raisonnements de plus en plus loin, j'apprend à rédiger un texte, j'apprend plus de choses sur moi même, sur ma sensibilité, j'en apprend aussi sur les autres avec leurs réactions.
Là je suis presque grossier en arrondissant tout ça, si tu me cherche là dessus crois moi je suis capable de nomer des idées j'usqu'a la plus petite différence.

Aujourd'hui, suite à mes réflexions, chose que MOI je fait, je suis capable d'affirmer qu'a l'echelle humaine comme à celle de l'univer, chaque élement à une utilité, si tu n'est pas capable de comprendre le raisonement d'un gosse de 14 ans qui te l'explique avec des mots de pas plus de 4 lettres pose toi des questions vieux.

Et puis si je suis ton "raisonnement" ( je sais pas si je peux appeler ça comme ça ) toi aussi tu es inutile.
À quoi tu sert toi ?
Écrire des messages casse couille sur des forum ?
Fonder une famille ?
Exercer un metier ?
Je sais pas trop moi ?
Je dirait qu'en partant de ton "raisonnement" très très poussé ( hum hum ) tu n'est pas plus utile que mon texte.

Alors la prochaine fois souvient toi qu'un mioche t'a demandé de réfléchir.
Tu sais le truc que tu fait pas quand tu écrit à quelqu'un sur un sujet qui n'est pas celui de l'informatique ent général.
 

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