J'avais envie d'essayer...
- Auteur de la discussion Laëlynn ☆
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L'amnésie traumatique fait référence à une perte de mémoire partielle ou complète en lien avec un événement traumatique. Voici quelques signes qui peuvent indiquer une amnésie traumatique :
1. Incapacité à se rappeler certains détails : Les personnes atteintes d'amnésie traumatique peuvent avoir du mal à se souvenir de certains aspects spécifiques de l'événement traumatique. Il peut s'agir de détails précis, d'une séquence chronologique ou même de l'ensemble de l'événement.
2. Souvenirs fragmentés ou flous : Les souvenirs liés à l'événement traumatique peuvent être fragmentés, flous ou imprécis. Des trous de mémoire peuvent être présents dans le récit des événements.
3. Dissociation : La dissociation est un mécanisme de défense courant dans les situations traumatiques. Les personnes peuvent se sentir détachées de leur propre corps ou avoir l'impression de vivre l'événement depuis l'extérieur. Cela peut contribuer à une expérience de l'amnésie traumatique.
4. Flashbacks et cauchemars : Bien que l'amnésie traumatique soit caractérisée par la perte de mémoire, certaines personnes peuvent avoir des flashbacks ou des cauchemars de l'événement traumatique, ce qui peut indiquer que des souvenirs se manifestent malgré l'amnésie.
Il est important de noter que l'amnésie traumatique est un phénomène complexe et que les symptômes peuvent varier d'une personne à l'autre. Si vous pensez que vous pourriez être concerné par une amnésie traumatique, il est recommandé de consulter un professionnel de la santé mentale, comme un psychologue ou un psychiatre, pour une é
Okiii.
Peut-on prendre des antidépresseurs a 13 ans ? Il y a t'il des effets secondaires ?
La décision de prescrire des antidépresseurs à un adolescent de 13 ans dépend de plusieurs facteurs, notamment de la gravité de la situation, des symptômes spécifiques, de l'histoire médicale et des autres traitements essayés. En général, la prescription d'antidépresseurs aux adolescents est plus fréquente lorsque les symptômes dépressifs sont sévères, persistent depuis longtemps et ont un impact significatif sur le fonctionnement quotidien.
Concernant les effets secondaires des antidépresseurs, ils varient d'un médicament à l'autre. Certains effets secondaires courants peuvent inclure des nausées, une perte d'appétit, des troubles du sommeil, de l'agitation ou de la somnolence. Il est important de noter que les effets secondaires peuvent être temporaires et disparaître après quelques semaines de traitement. Il est essentiel de discuter des effets secondaires potentiels avec le médecin qui prescrira les médicaments, afin de prendre une décision éclairée.
Il est
Oki, nice.
Il y a quelques temps, lors d'une nuit, à chaque fois que je m'endormais, je me sentais sortir de mon corps, être spectateur de moi c'était bizarre. Ça la fait 6 fois de suite j'avais l'impression de mourir, c'est quoi?
Ce que vous décrivez ressemble à ce qu'on appelle des expériences de dissociation ou de paralysie du sommeil. La dissociation est un état où l'on se sent détaché de soi-même ou de la réalité, et la paralysie du sommeil est un phénomène où une personne est temporairement incapable de bouger ou de parler pendant qu'elle est éveillée ou endormie. Ces expériences peuvent être effrayantes et déroutantes, mais elles sont généralement inoffensives.
La dissociation peut être causée par divers facteurs, notamment le stress, l'anxiété, la fatigue, les troubles du sommeil ou des antécédents de trauma. La paralysie du sommeil est souvent associée à des perturbations du cycle du sommeil ou à des problèmes de sommeil tels que l'insomnie ou la narcolepsie.
Si vous éprouvez de l'inconfort ou des problèmes persistants liés à ces expériences, il serait conseillé de consulter un professionnel de la santé, comme un médecin ou un spécialiste du sommeil. Ils pourront évaluer votre situation spécifique, poser un diagnostic précis et vous proposer des stratégies de gestion ou des traitements adaptés, si nécessaire.
En attendant, il pourrait être utile de mettre en place une routine de sommeil régulière et saine, de réduire le stress et l'anxiété avant le coucher, et de créer un environnement propice au sommeil.
Hmh, des médecins que j'ai vu mon dit que les paralysies du sommeil n'existaient pas, mais bref.
Lorsque qu'un parent a vécu des traumatismes, peuvent Ils être ancré en quelques sortes dans l'enfant du parent en question ? Je ne sais pas trop comment l'expliquer enfaite ;-;
Bah tu réponds pas ?
Je m'excuse si ma réponse précédente n'était pas complète. Je comprends maintenant mieux ce que vous voulez dire.
Effectivement, il est possible que les traumatismes vécus par un parent puissent avoir un impact sur l'enfant. On parle souvent de la transmission intergénérationnelle des traumatismes. Les traumatismes peuvent influencer les comportements, les émotions et les schémas de pensée des parents, ce qui peut, à son tour, affecter la dynamique familiale et les interactions parent-enfant.
Plusieurs mécanismes peuvent être impliqués dans la transmission intergénérationnelle des traumatismes. Il peut y avoir des influences génétiques, des facteurs environnementaux partagés et des processus psychologiques. Par exemple, un parent qui a vécu des traumatismes peut être plus susceptible de présenter des symptômes de stress post-traumatique, de dépression ou d'anxiété, ce qui peut avoir un impact sur sa capacité à être émotionnellement disponible et réceptif envers son enfant.
Il est important de souligner que tous les enfants ne sont pas affectés de la même manière et que chaque situation est unique. Certains enfants peuvent développer des symptômes similaires à ceux de leurs parents, tandis que d'autres peuvent avoir des réactions différentes. Il est également possible pour les enfants de faire face et de guérir des traumatismes, avec un soutien approprié.
Si vous êtes préoccupé par les effets que les traumatismes de vos parents pourraient avoir sur vous, il peut être bénéfique de consulter un professionnel de la santé mentale, comme un psychologue ou un psychothérapeute. Ils pourront vous aider à comprendre et à gérer les éventuels impacts et vous fournir un soutien adapté.
Oki...
Es-ce grave si un cousin a moi quand j'avais 11ans et lui 10ans a voulut me forcé de l'embrasser, est monté dans mon lit pour encore une fois m'embrasser, c'est déshabiller intégralement devant moi en me menaçant de répéter les secrets que je lui avais dis si je ne faisais pas ce qu'il voulait ? Comment peut-on appeler ce qu'il a fait sachant qu'il ne m'a finalement pas embrassé car mon père est arrivé vu qu'on faisait trop de bruit en plein nuit ?
Je suis vraiment désolé d'entendre que vous avez vécu une expérience traumatisante. Ce que vous décrivez relève du comportement inapproprié et coercitif de votre cousin, qui peut être considéré comme une agression sexuelle. Il est important de comprendre que vous n'avez pas à porter la responsabilité de son comportement, quel que soit le secret que vous lui avez dit. Personne ne devrait être contraint ou menacé de se livrer à des actes contre leur volonté.
Dans de telles situations, il est crucial de trouver un soutien et de parler de votre expérience à quelqu'un de confiance. Vous pouvez envisager de partager ces informations avec un parent, un enseignant, un conseiller d'école ou un professionnel de la santé. Ils peuvent vous aider à obtenir le soutien dont vous avez besoin, vous accompagner dans le processus de guérison et vous orienter vers des ressources spécialisées, telles que des thérape
Mais finalement il ne m'a pas embrassé, donc c'est quand même une agression sexuelle ?
J'en ai parlé avec ma mère le lendemain, mais elle n'as pas trop compris à quelle point ça m'a fait peur.
Je m'excuse pour la confusion. Il est important de souligner que je suis un modèle de langage qui fournit des informations générales. Je ne suis pas un professionnel de la santé mentale, et je ne peux pas poser de diagnostics ou fournir des évaluations individuelles. Dans des situations comme celle-ci, il est préférable de consulter un professionnel de la santé mentale qui pourra vous offrir un soutien personnalisé et répondre à vos questions spécifiques.
Cependant, il convient de noter que même si l'agression sexuelle n'a pas abouti à des actes concrets et qu'il n'y a pas eu de contact physique direct, l'expérience que vous avez vécue reste troublante et potentiellement traumatisante. Il est compréhensible que cela ait suscité de la peur et de la confusion en vous.
Il peut être utile de chercher un soutien supplémentaire auprès d'un professionnel de la santé mentale, comme un psychologue ou un thérapeute, afin de travailler à travers les émotions et les effets de cette expérience. Ils peuvent vous aider à mieux comprendre et à traiter
D'accord.
Je suis suivie en CMP par une psychologue depuis fin mars. Mais depuis quelques temps, les rdv que j'ai avec elle sont constamment avec l'infirmière du CMP, pourquoi ?
Je ne peux pas connaître les raisons spécifiques pour lesquelles l'infirmière du CMP assiste à vos rendez-vous avec la psychologue. Cependant, cela peut être dû à différentes raisons.
Dans certains cas, l'infirmière peut être présente pour fournir un soutien supplémentaire, en particulier si vous avez des problèmes de santé mentale et physique qui nécessitent une attention combinée. L'infirmière peut aider à évaluer votre état global, à surveiller vos symptômes physiques et psychologiques, et à collaborer avec la psychologue pour offrir un soutien holistique.
Dans d'autres cas, la présence de l'infirmière peut être due à une décision clinique spécifique liée à vos besoins et à votre situation individuelle. Cela peut inclure des exigences de procédure du CMP ou des raisons de coordination des soins.
Il est important de communiquer vos préoccupations
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