Découverte du plaisir d'être vue

Valona
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Aventures et récits

À l'attention des bas de plafond, des coincés du nœud et des imbéciles, mes récits n'ont strictement rien de pornographiques. Ce sont les simples témoignages de mes aventures. Je mets au défi n'importe quel vicelard d'y trouver des grossièretés ou encore de la vulgarité. Tout est narré dans les convenances et dans le respect d'une simple narration. Il n'y a que les pervers pour y voir du "déviant". Ignorons ces sinistres crétins et continuons à nous amuser...

Bisous
 

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Régisssss
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Bravo ! Voilà comment des personnes adultes respectent les plus jeunes sur un forum où les moins de 17-18 ans sont majoritaires alors qu'il y a pleins de sites où ils auraient parfaitement leur place !
Et que Madame ne s’inquiète pas, je ne suis pas du tout un coincé du nœud. Je pensais simplement à plein de 12-13-14 ans. Continuez à vous amuser, les sinistres crétins vous souhaitent bcp de plaisir ;) 😂
 
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Douce
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Bonjour les coquins (et coquines)

Comme mon sujet rencontre un certain succès, qu'ici dans ma région, il pleut, que je suis dans ma chambre à travailler, je m'offre une pause récréative. Par la même occasion je partage une autre aventure. Bonne lecture.
_______________________________________

Toujours à bicyclette - 2

Mai 2019. Je longe le chemin qui contourne les jardins de l'entreprise agricole à la sortie du bourg. Je prends le sentier qui serpente entre les bosquets, les fourrés et les cabanons jusqu'aux trois étangs. Je passe souvent par ici à cheval. Aujourd'hui, je profite des rayons du soleil pour venir à bicyclette. Nous sommes mardi. Il est 16 h30.

J'ai quitté la fac à la fin des cours, à 16 h. Dix minutes de voiture jusqu'à la maison. Je me change. Je prends mon VTC, (Vélo Tous Chemins). Je suis en jupette sport, un sweat. Dans mon petit sac à dos, j'ai du jus de fruit, un K-way, un pantalon de jogging et ma minuscule paire de jumelles. Appareil optique que j'ai toujours avec moi, en promenade.

Je contourne la barrière. Il y a plein de vaches dans le pré. Je longe le premier étang. Il doit faire 150 m sur 150 m. Là-bas, il y a un pêcheur. Je reste dissimulée derrière les épais buissons aux fleurs jaunes. Je sors la petite paire de jumelles. Elle grossi 8 fois. Suffisamment pour voir que le pêcheur a probablement la soixantaine.

Il est seul. Il est concentré sur le flotteur jaune de sa ligne. Entouré d'un matériel assez conséquent. Plusieurs cannes à pêche posées sur des supports. Il est assis dans une sorte de chaise longue en toile. Il est vêtu d'un vêtement de camouflage comme en portent les militaires. Je scrute avec attention partout. Il n'y a strictement personne.

Je retire ma culotte. Je tourne mon vélo vers le sentier. Au moindre souci, je n'ai qu'à monter dessus et à filer à toute vitesse dans la légère descente. Je contourne le buisson. Je m'accroupis au bord de l'eau. Je pourrai y tremper la main. Je pose mes larges lunettes noires de soleil sur le nez. Mes longs cheveux défaits. Parfaitement anonyme.

Je peux donc loucher tout à loisir. Le pêcheur vient de lever les yeux. Il m'aperçoit. Je garde la tête baissée. Je fais semblant de regarder au sol, entre mes pieds. Les cuisses largement écartées, je suis en position "pipi". Le pêcheur n'est qu'à une cinquantaine de mètres à vol d'oiseau. Je suis prête à déguerpir au moindre risque.

L'inconnu reste confortablement assis dans son transat. Il regarde avec intérêt dans ma direction. Je me concentre. Je veux faire pipi dans l'eau. Je suis rapidement trop excitée, peut-être trop sur mes gardes, car je n'y parviens pas. C'est dommage, j'en ai vraiment une grosse envie. Je reste dans cette position un long moment.

Les fourmis me gagnent. L'ankylose me guette. Le pêcheur ne bouge absolument pas. A présent j'ai relevé la tête. Je le fixe effrontément derrière les verres noirs de mes lunettes. Je suis obligée de me redresser. Je masse mes jambes presque douloureuses. Surtout les mollets. L'homme me fait un signe amical de la main. Coucou.

Je fais de même. Voilà un second personnage qui arrive. Il trimballe du matériel de pêche. Il serre la main à l'autre quidam toujours assis. Je remets ma culotte. Je monte sur ma bicyclette. J'ai une de ces envies de faire pipi. Je m'arrête un peu plus loin. Entre les cabanons de jardin. Je me soulage enfin. Avec une légère frustration.

Bisou
Coucou trop agréable merci bisous
 
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Douce
Anonyme
bonjour vallona !! je lis ton histoire en allant regarder les réponses à mes demandes je veux te dire que moi aussi j'aime être vue j'ai 38 ans donc je pourrais être ta mère depuis l'âge de mes 8 ans avec mes parents nous sommes naturistes au cap d'agde j'ai découvert au fil du temps que j'aime me montrer nue Depuis que je suis mariée et mère de deux filles j'ai fait réaliser une épilation intégrale de mon sexe et avec ma fille ainée nous passons nos journées en été à bronzer sur la plage sur des transat mon plaisir est de m'allonger sur le dos les jambes bien écartées pour laisser rentrer le soleil et le vent le plus possible da j'aime aussi sentir les hommes autour de moi me regarder droit dans mon intimité je crois que je suis un peu exhibitionniste alors pour ton histoire on est un peu pareilles voila ce que je voulais te dire Bises d'une maman impudique
Coucou Martine aurais tu des histoires aussi ? Bisous
 
D
Douce
Anonyme
Le plaisir d'être vue

Première expérience délibérée

Une semaine a passé depuis ce "choc" émotionnel. Je n'ai cessé d'y penser. Surtout le soir, après mes devoirs et mes préparations. Je suis une excellente élève. Je tiens à le rester. Je privilégie donc toujours mes études. J'aime l'ambiance du lycée et les cours me passionnent. Je suis adorée de mes professeurs. Je sais faire le nécessaire et entretenir ces relations de professeurs à l'élève studieuse que je suis. Le plaisir des sens n'emporte jamais la victoire sur ma volonté.

Je suis à bicyclette cette fois. Un bon VTC qui m'emporte à travers la magnifique campagne dans laquelle je vis depuis toujours. Je reviens bien évidemment sur les lieux où j'ai découvert de nouveaux frissons. L'étang des trois chênes. Il fait beau. J'ai emmené de quoi réviser. L'ultime épreuve de mon DNB a lieu demain matin. Cette fin d'après-midi de juin est tellement agréable. Il est 18 h. J'ai une petite heure à moi et je ne suis qu'à trois kilomètres de la maison.

Mais c'est une autre idée que j'ai derrière la tête. Mes cours sont parfaitement révisés. Je suis affutée pour l'épreuve finale demain matin. Le cahier de notes et les deux livres que je tire de mon petit sac à dos ne sont que dérisoires prétextes. Il n'y a personne. Je scrute scrupuleusement les environs avec ma petite paire de jumelles. Là-bas, un pêcheur. Je ne l'avais pas vu. Leurs accoutrements paramilitaires les dissimulent à la vue. Quelle idée saugrenue !

Cette fois, je suis bien décidée à revivre mes émotions de la semaine dernière. Je sais qu'elles seront supérieures car souhaitées. Je retire ma culotte. Je suis dans les fourrés. Mon téléphone dans une main, au cas où... Ma bicyclette tournée vers le sentier. Je suis prête à filer à la moindre alerte. Je suis d'une prudence de Sioux. Rien ne doit échapper à mon contrôle total. Je tiens à vivre les instants qui vont venir dans la quiétude et la sérénité. Je maîtrise toujours tout.

Je regarde avec les jumelles. Les pêcheurs sont le plus souvent des hommes d'âges mûrs. Celui-là est un sénior vautré dans son fauteuil pliant et à dossier. Il est à une cinquantaine de mètres. Il lève rarement les yeux. Il allume un cigare. Il observe le flotteur de sa canne à pêche. Je me concentre. Je respire plusieurs fois à fond. Je sens les picotements de sueur dans mon dos. L'excitation me gagne. Je retiens mon souffle. Je quitte ma cachette. Je viens au bord de l'eau.

Je m'accroupis. J'ai mes lunettes noires de soleil. Mes cheveux défaits qui masquent mon visage. Je me sais dissimulée derrière un anonymat total. Je reste ainsi, jambes serrées. Il me faut un second courage. Je me concentre. Je louche derrière les verres fumés de mes lunettes. L'homme m'a vu. Je suis couverte de frissons. J'ai l'impression qu'un profond silence vient de s'installer sur l'étang et ses environs. Enveloppant mes délicieux frissons. Ce sentiment de honte me gagne.

Ce sentiment que j'ai tant souhaité pour revivre ces sensations uniques et incomparables. Il me faut faire preuve d'un nouveau courage. Celui d'écarter mes cuisses. C'est une intention délibérée. Je veux être vue. C'est ma volonté. Je mords ma lèvre inférieure afin de faire cesser les tremblements de ma mâchoire. J'écarte les cuisses. Mon Dieu. Quelle émotion. J'en ai des vertiges. Je vais m'évanouir. Je dois me retenir d'une main au tronc de l'acacias à ma droite. Je reste ainsi, immobile.

Je peux sentir mon cœur battre la chamade. Jusque dans mes tempes. Je sens la sueur ruisseler dans mon dos, entre mes seins minuscules. Ça me picote le nez, les joues. Je vais perdre connaissance. C'est trop bon. L'intensité de ce moment restera à jamais gravé en moi. Impossible de faire pipi. Ce serait pourtant tellement bien. Je me moque éperdument de ce que cet inconnu peut ressentir à cet instant. Seul compte mon plaisir. Mes sensations, Mes émotions. Le reste m'importe très peu. Je ne désire rien d'autre.

Il y a soudain des voix. Là-bas, plus loin, c'est un couple qui arrive par ici. Ils se tiennent par la main, s'arrêtent pour se faire des bisous. Je me redresse prestement. Ma culotte pend au guidon de mon vélo. Je n'ai pas le temps de l'enfiler. Je monte sur ma bicyclette. Je déteste le contact de la selle contre mon sexe trempé. Ça glisse en plus. C'est détestable. Les amoureux me font un beau sourire sans se douter de rien. Je m'arrête un peu plus loin pour remettre ma culotte.

Je rentre à la maison toute contente d'avoir réalisé mon souhait. Nous mangeons pour 19 h15...

Bisou
Je me balade dans la nature et j'enlève chaque fois mon soutien et ma petite culotte ça m'excite
 
Valona
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Balade à bicyclette - 3

Je suis en vélo. Je parcours un de mes itinéraires préférés. Au bas des collines, près du petit lac. Il fait beau. Il fait chaud. Nous sommes à la fin du mois de mai 2019. Je suis en jupette, en T-shirt. J'ai mon petit sac à dos. Je longe les eaux noires qui reflètent un ciel d'un bleu immaculé. J'arrive près du restaurant "Pieds dans l'eau". C'est un établissement construit sur pilotis. Il y a une terrasse. Plein de monde. Sans doute des randonneurs. Je ne m'arrête pas. J'ai ma bouteille d'eau. Ma pomme.

Je passe près du parking, à environ deux kilomètres du restaurant. Il y a plein de marcheurs. Je suis obligée d'être prudente, de louvoyer. Certains promeneurs me regardent avec un air de reproche. C''est un sentier pédestre et pas une piste cyclable. Je continue mon chemin. Il est presque 16 h. J'arrive au bord de la rivière qui se jette dans le lac. De l'autre côté, il y a un homme qui tient un chien au bout d'une laisse. Il ne m'a pas vu. Il semble téléphoner en marchant. J'ai envie de faire pipi.

Mes tendances exhibitionnistes trouvent là une charmante opportunité d'être vue, d'être regardée, protégée par une rivière profonde et large d'une bonne dizaine de mètres. L'occasion est trop belle. Je m'arrête un peu plus loin. Je m'assure d'être bien seule. Je scrute avec ma petite paire de jumelles. Personne. Je retire ma culotte. Je me mets en position. Là-bas, à environ cent mètres, voilà le quidam et son chien. Je retiens mon souffle. J'essaie de me détendre. Je tente la "normalité". En souriant.

Il arrive à ma hauteur. Ça y est. Il m'a vu. Il s'arrête. Il m'observe. Une vingtaine de mètres nous séparent. Les eaux de la rivière sont tumultueuses, bruyantes. Il serait tout à fait impossible d'échanger quelques mots. J'ai mes cheveux défaits. Je porte mes larges lunettes noires de soleil. Je suis totalement dissimulée derrière mon parfait anonymat. J'essaie de me lâcher. Je ne suis pas encore trop excitée. Ça devrait aller. Je me sens devenir toute rouge. La sueur me picote le nez et les joues. La honte. Sensations délicieuses...

Impossible de faire mon besoin. Pourtant j'en ai envie. L'inconnu est toujours là, tirant parfois sur la laisse de son chien. Il regarde franchement dans ma direction. Aucune possibilité de traverser la rivière. La situation parfaite. Celle que je recherche et que je préfère. Je reste dans ma position de plus en plus inconfortable. Je sens les fourmis me monter dans les jambes. L'ankylose me gagne. Je me redresse. Frustrée de n'avoir pas fait pipi. Mais je me console, j'ai été regardée. Ce que j'apprécie énormément. Seulement quand je le décide. Où est le mal ?

Je monte sur mon vélo. L'homme me fait un signe amical de la main. Je fais pareil. J'accélère et je file pour retourner vers le restaurant. La piste cyclable...

Bisou
 

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Eviradnus
Anonyme
Balade à bicyclette - 3

Je suis en vélo. Je parcours un de mes itinéraires préférés. Au bas des collines, près du petit lac. Il fait beau. Il fait chaud. Nous sommes à la fin du mois de mai 2019. Je suis en jupette, en T-shirt. J'ai mon petit sac à dos. Je longe les eaux noires qui reflètent un ciel d'un bleu immaculé. J'arrive près du restaurant "Pieds dans l'eau". C'est un établissement construit sur pilotis. Il y a une terrasse. Plein de monde. Sans doute des randonneurs. Je ne m'arrête pas. J'ai ma bouteille d'eau. Ma pomme.

Je passe près du parking, à environ deux kilomètres du restaurant. Il y a plein de marcheurs. Je suis obligée d'être prudente, de louvoyer. Certains promeneurs me regardent avec un air de reproche. C''est un sentier pédestre et pas une piste cyclable. Je continue mon chemin. Il est presque 16 h. J'arrive au bord de la rivière qui se jette dans le lac. De l'autre côté, il y a un homme qui tient un chien au bout d'une laisse. Il ne m'a pas vu. Il semble téléphoner en marchant. J'ai envie de faire pipi.

Mes tendances exhibitionnistes trouvent là une charmante opportunité d'être vue, d'être regardée, protégée par une rivière profonde et large d'une bonne dizaine de mètres. L'occasion est trop belle. Je m'arrête un peu plus loin. Je m'assure d'être bien seule. Je scrute avec ma petite paire de jumelles. Personne. Je retire ma culotte. Je me mets en position. Là-bas, à environ cent mètres, voilà le quidam et son chien. Je retiens mon souffle. J'essaie de me détendre. Je tente la "normalité". En souriant.

Il arrive à ma hauteur. Ça y est. Il m'a vu. Il s'arrête. Il m'observe. Une vingtaine de mètres nous séparent. Les eaux de la rivière sont tumultueuses, bruyantes. Il serait tout à fait impossible d'échanger quelques mots. J'ai mes cheveux défaits. Je porte mes larges lunettes noires de soleil. Je suis totalement dissimulée derrière mon parfait anonymat. J'essaie de me lâcher. Je ne suis pas encore trop excitée. Ça devrait aller. Je me sens devenir toute rouge. La sueur me picote le nez et les joues. La honte. Sensations délicieuses...

Impossible de faire mon besoin. Pourtant j'en ai envie. L'inconnu est toujours là, tirant parfois sur la laisse de son chien. Il regarde franchement dans ma direction. Aucune possibilité de traverser la rivière. La situation parfaite. Celle que je recherche et que je préfère. Je reste dans ma position de plus en plus inconfortable. Je sens les fourmis me monter dans les jambes. L'ankylose me gagne. Je me redresse. Frustrée de n'avoir pas fait pipi. Mais je me console, j'ai été regardée. Ce que j'apprécie énormément. Seulement quand je le décide. Où est le mal ?

Je monte sur mon vélo. L'homme me fait un signe amical de la main. Je fais pareil. J'accélère et je file pour retourner vers le restaurant. La piste cyclable...

Bisou
Encore une jolie histoire légèrement pimentée (point trop n'en faut). Merci
 

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