Dame Lavandiere ! Un poème SVP !!!

L
Le barde
Anonyme
Derrière, Dame Lavandière se cache " une grande Poétesse ", donc dans le respect le plus total et avec une immense politesse, pourriez vous, nous écrire un poème ?
Nous, vous remercions tous d'avance !
Et , nous nous léchons les babines à l'avance...
Sans la moindre des offenses...
 
L
Le barde
Anonyme
Je commence !
Elle lui offrit son cœur, comme preuve d'amour
Il lui offrir des bagues,des parures...
Elle lui offrit son corps pour toujours
Il lui offrit des vêtements pour se couvrir
Elle voulait voir l'avenir, en sa compagnie
Il voulait voir d'autres femmes, avec d'autres charmes
Elle voulut lui tordre le coup, pour se genre de pensées
Il prit sa voiture et ne revint jamais
Heureusement, pour elle,car il n'était vraiment pas bien...
Un jour le soleil vînt se présenter à sa porte
Sous l'aspect d'un prince charmant
Et, ils vécurent pendant longtemps etc...etc ..etc...
Tout cela pour plaisanter bien-sûr...
 
Lavandière
Enragé
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Femme
A vos risques et périls.. voici mon poème :

Un monde en décomposition
Où tout n’est que supputation
Un monde de désolation
Où tout n’est que trahison

Depuis la nuit des temps
Toujours les mêmes événements
Des armes pour la guerre
Des larmes pour nos mères

Depuis la naissance de la Terre
Ses veines et ses artères
Sont souillées par le sang
Et salies par les gens

D’hier à aujourd’hui
Jamais les Hommes n’ont compris
Et répètent sans cesse
Infamies et bassesses.
 
Ronin ..
Légende
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A vos risques et périls.. voici mon poème :

Un monde en décomposition
Où tout n’est que supputation
Un monde de désolation
Où tout n’est que trahison

Depuis la nuit des temps
Toujours les mêmes événements
Des armes pour la guerre
Des larmes pour nos mères

Depuis la naissance de la Terre
Ses veines et ses artères
Sont souillées par le sang
Et salies par les gens

D’hier à aujourd’hui
Jamais les Hommes n’ont compris
Et répètent sans cesse
Infamies et bassesses.

Ça c'est plutôt un Biographie de l'humanité ..
 
L
Le barde
Anonyme
A vos risques et périls.. voici mon poème :

Un monde en décomposition
Où tout n’est que supputation
Un monde de désolation
Où tout n’est que trahison

Depuis la nuit des temps
Toujours les mêmes événements
Des armes pour la guerre
Des larmes pour nos mères

Depuis la naissance de la Terre
Ses veines et ses artères
Sont souillées par le sang
Et salies par les gens

D’hier à aujourd’hui
Jamais les Hommes n’ont compris
Et répètent sans cesse
Infamies et bassesses.
Merci à vous Dame Lavandière, que de vous être un peu dévoilée...( Un poème un peu noir ! ).
Pourtant, la vie, c'est aussi :
Laisser le soleil, vous accueillir dans ses rayons ,
S'envoler ses pensées vers la lune ,
Tout comme ses rêves vers les cieux
Croire en un ou plusieurs dieux
Chanter en compagnie des oiseaux
Pour libérer tout son amour
Et le faire partager aux autres
Le jour et la nuit sont des cadeaux
Que vous offre la Terre
Avec tous ses joyaux
Pour le bien de nos cœurs
Et le plaisir de nos yeux
Pour un instant ou un long moment
Ainsi va la vie
La danse avec la vie
Dans une danse de folie
Accompagnée de joie et de bonheur
Des cavaliers, que l'on aimerait tous avoir...

Bonne fin de nuit à tous...
 
L
Le barde
Anonyme
A vos risques et périls.. voici mon poème :

Un monde en décomposition
Où tout n’est que supputation
Un monde de désolation
Où tout n’est que trahison

Depuis la nuit des temps
Toujours les mêmes événements
Des armes pour la guerre
Des larmes pour nos mères

Depuis la naissance de la Terre
Ses veines et ses artères
Sont souillées par le sang
Et salies par les gens

D’hier à aujourd’hui
Jamais les Hommes n’ont compris
Et répètent sans cesse
Infamies et bassesses.
C'est aussi
Caresser la pluie
Jouer avec les nuages
Ce laisser, emporter par le vent
Sentir le cœur d'une rose
Pour se laisser envahir
De mille plaisirs
S'appuyer contre un arbre
Pour regarder le temps
Croire en son étoile
En ayant espoir
C'est tellement de choses...
 
Varian
Passionné
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La Lune nous assèche de son éclat terne,
Le soleil refroidit nos vaines prétentions.
Parcourant enfin le Styx, l'âme en berne,
de là, errons brûlés sans acclamations.